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Temps de lecture estimé : 19 mn
02/11/21
Résumé:  Le week-end de tous les espoirs pour notre couple se révèle totalement inattendu.
Critères:  fh candaul voiture amour cérébral voir exhib trans
Auteur : Ericcontact            Envoi mini-message

Série : Ma femme Sophie

Chapitre 06 / 08
Surprendre et être surpris

Résumé des épisodes précédents :

J’ai découvert les infidélités de ma femme Sophie. Après une période candauliste, il devient de plus en plus difficile de trouver un sens à notre couple… Je décide de l’emmener en week-end où après un trajet excitant nous nous retrouvons dans un restaurant. Le dîner lui aussi promet des aventures insoupçonnées. La rencontre avec un jeune serveur va nous permettre de trouver un juste milieu entre nos désirs.








L’invitation du jeune serveur est joyeuse, nous quittons le restaurant avec lui en direction du parking de notre hôtel. Je marche devant, et Sophie se rapproche de lui pour le connaître un peu mieux.



Il rigole et je les entends converser un bon mètre derrière moi. Il s’appelle Sacha, il a 26 ans et travaille cette année pour payer sa thèse en psychologie. Il est grand comme moi, 1,75 m, mais plus fin, un peu éthéré, très beau. Ses traits sont fins, sa peau mate, caramel, et il est habillé élégamment. Un air androgyne, un peu, peut-être. Ses longs cheveux noirs attachés en catogan lui donnent un air elfique, presque mystérieux.



Ils rigolent ensemble.


La scène me rappelle étrangement le soir où j’avais ramené Sophie et son amant Éric (voir « le changement »).

Mais un peu comme un film dont on aurait juste changé la musique, j’ai une tout autre sensation à ce moment. Ils continuent leur conversation derrière moi.



Sophie rit.



Nous arrivons au parking, et je me retourne vers eux en ouvrant la voiture. Sophie est au bras de Sacha.



Mon prétexte foireux semble pourtant leur convenir très bien. Rien n’est dit, mais tout le monde se comprend.



Clin d’œil appuyé vers moi, Sophie monte à l’arrière avec lui. Je monte aussi et démarre, Sacha commence le guidage.

Nous roulons plusieurs minutes en ville, et ses indications sont claires. Je n’entends pas Sophie, mais dans le rétroviseur je croise son regard, un peu interrogateur, mais en même temps je vois qu’elle fera ce qu’elle désire… et je n’ai aucune envie de l’en empêcher.

C’est là l’avantage de conduire le SUV que j’ai : il a un très grand rétroviseur. Et à ce moment, j’ai une pleine vue sur l’intégralité de la banquette, du bas des mollets de mes passagers au haut de la plage arrière.

Nous sortons de la ville sur une route départementale, les indications de Sacha se font rares…



Dans le rétroviseur, Sophie est appuyée tout contre lui. Il se penche vers elle et ils s’embrassent. Un long baiser, sensuel, et leurs mains ne sont pas de reste. Il lui caresse les seins, plutôt les lui malaxe en fait, et elle frotte sa main sur la bosse que forme son entrejambe. Mon regard fait des allers-retours entre le rétroviseur et la route. J’entends les soupirs, les tissus qui se frottent. Il lui relève la robe et elle repousse ses bretelles en même temps. Ses seins, gros et lourds, aux aréoles si larges, contrastent dans le noir de la voiture. Elle lui dégrafe son pantalon et en sort une belle queue, bien droite, sur laquelle elle se jette comme une affamée.


J’entends les bruits de succion, d’aspiration, la bouche de ma femme qui gobe et avale le sexe d’un jeune homme. Un regard et je la vois allongée sur le côté, sa tête allant et venant en même temps que sa bouche entoure ce sexe glabre… Lui n’est pas inactif et, penché aussi sur elle, il passe sa main dans son dos pour atteindre son intimité… je ne sais pas quel orifice il masturbe à ce moment-là, mais le bruit, les clapotis humides résonnent à mes oreilles. Elle le suce avidement, sa bouche en « O » montant et descendant avec sa main qui va de la tige aux couilles sans le moindre poil. Il n’a jamais lâché son sein de l’autre main…



Je vois du mouvement dans le rétro. Et le visage de Sophie apparaît au niveau du mien, juste entre les sièges avant. Elle est rouge, essoufflée, et sublime.



Elle est accoudée sur les deux sièges avant, son visage à 30 cm du mien, et dans le grand rétroviseur je constate qu’elle est désormais à califourchon sur Sacha. Ses jambes grandes ouvertes sur son intimité, je ne vois juste en dessous que le bassin et les jambes de Sacha. Une longue et large bite darde devant la toison brune et luisante de ma femme.



Son gémissement emplit l’air en même temps qu’elle retombe en arrière.

J’essaye de conduire, mais je ne peux m’empêcher de regarder dans le rétro. Elle est adossée à lui. Jambes grandes ouvertes, et l’énorme sexe de Sacha est enfoncé tout au fond d’elle. Il va et vient doucement, et Sophie se penche à nouveau en avant, tout près de moi.



Je vois sa tête avancer et reculer juste à côté de moi, en même temps qu’elle monte et descend sur la bite de Sacha…

Il a pris ses seins dans ses mains, et la fait aller et venir sur lui.

Elle gémit, respire de plus en plus fort jusqu’à haleter, au rythme de plus en plus rapide de ses allers et venues.



Elle repart en arrière, et le spectacle du rétroviseur m’offre une vue sur ma femme balançant son bassin de plus en plus vite sur les cuisses de Sacha. Celui-ci lui malmène les seins désormais, deux poignées pour lui permettre d’accentuer les coups de boutoir qu’il inflige à ma femme. Un œil sur la route, l’autre sur le couple qui baise à l’arrière, les cris de jouissance de Sophie me parviennent d’un coup aux oreilles.


Le silence retombe. Sacha et elle ne bougent plus. Elle se redresse en s’adressant à lui :



Elle se penche à nouveau vers moi :



Je tourne sur le chemin qui semble s’enfoncer dans un bois. Dans le rétro, Sophie est toujours assise sur Sacha, adossée à lui. Elle croise mon regard, la vue qu’elle m’offre est incroyablement perverse : elle se caresse doucement les seins en descendant ses mains vers ses cuisses encore grandes ouvertes, sa chatte encore profondément empalée sur l’énorme membre. Ses lèvres intimes sont rougies et déployées comme deux ailes délicates, ses poils bruns brillent d’un mélange de son plaisir à elle et du sperme que Sacha vient d’éjaculer en elle. D’un doigt, elle en cueille une goutte et la porte à sa bouche.

Ni une ni deux, je gare la voiture sur le bord du chemin désert, dans un champ. La nuit nous entoure, je sors et ouvre la portière arrière sans réfléchir, mû par un désir soudain. Sophie et Sacha me regardent toujours assis l’un sur l’autre, et ma femme comprend soudain mon envie. Elle glisse vers moi, enjambant Sacha et se désemboîtant de lui dans un bruit mouillé…



Elle s’exécute. Je relève ses jambes vers sa poitrine et plonge ma bouche sur sa chatte pleine du sperme de Sacha. Je la dévore, lèche, avale et engloutis ses grandes lèvres dans ma bouche. Je lèche encore, sans réfléchir, et les gémissements de Sophie reviennent, comme une musique suave et si excitante. Je m’active encore plus, léchant plus fort, mordant presque, un instant sur et autour de son clitoris si durci qu’il paraît être de pierre. Sacha lui attrape les cuisses, les redresse encore plus. Je lape violemment ce délice pendant que Sophie repart vers un orgasme foudroyant.


Je me relève doucement, sortant de ma frénésie… Sophie repose ses jambes, les laissant pendre en dehors de la voiture. Je la contemple, elle redresse la tête et rit, de ce rire que l’on a parfois juste après un orgasme. Elle se rassoit non sans mal sur la banquette et referme la portière pendant que je reviens au volant.

Quand je redémarre, je vois au loin des lumières sur un petit parking. À l’arrière de la voiture, Sacha remonte son pantalon et Sophie se réajuste un peu. Nous arrivons devant une grande maison, plus un mas en pierre en fait, et après nous être garés nous montons en direction d’une grande porte d’entrée.


Un homme d’une soixantaine d’années nous ouvre après que Sacha a sonné.



Il émane de lui une gentillesse et une joie sincère. Nous le suivons et entrons.



Le Jacques en question s’arrête au milieu de la porte.



Et il disparaît en refermant la porte derrière lui. Sacha nous regarde, surpris, et sourit :



Nous rions tous les trois et Sacha nous invite à le suivre. Un grand salon s’ouvre devant nous, un bar en pierre derrière lequel s’affaire une belle femme du même âge que Jacques.

Dans la salle, une dizaine de tables où quelques clients discutent, à trois ou à quatre, leurs conversations couvertes par une chanson rock qui passe en fond.

Sacha nous conduit au bar, où nous nous installons sur de grands fauteuils hauts.



La voix de la femme du bar réussit à surpasser en volume sonore le groupe de rock.



S’adressant à Sacha elle enchaîne :



Nous rions tous les quatre. Je prends Miranda un peu à l’écart.



Elle me gratifie d’un client d’œil coquin. C’est une femme magnifique, vêtue d’une combinaison moulante noire qui laisse voir sans équivoque ses formes : des hanches sculpturales, un petit ventre rebondi mais très sexy et de jolis seins en poire qui tombent légèrement en laissant sans pudeur deviner deux tétons qui pointent sous le tissu. Je crois même entrevoir le détour du mamelon, le tissu doit être très fin…



Je décroche de mes observations et emboîte le pas de Sacha et Sophie. Nous traversons la salle principale, qui donne au-dehors sur un grand jardin qui se mélange à la forêt environnante. Un couloir nous mène à un hall rond d’où partent un escalier et un autre couloir. Sacha commente sa visite :



Nous le suivons vers le hammam et découvrons un joli décor, plusieurs douches et ledit hammam, grande pièce remplie de vapeur dense, derrière une énorme porte en bois. À l’intérieur, de chaque côté de la pièce entièrement carrelée, 2 étages de bancs carrelés eux aussi forment le seul mobilier. Sacha referme la porte et nous montons à l’étage. Un plus petit hall distribue des couloirs, et nous entrons dans un joli dédale où s’alternent coins canapés, alcôves aux lits larges et d’autres chambres qui elles peuvent se fermer. C’est joli, propre et bien tenu. Nous redescendons et revenons nous installer au bar ou je commande une bouteille de champagne.



Sacha continue la conversation :



La musique est excellente, le champagne aussi, Sophie, Miranda et Sacha conversent agréablement pendant que je les regarde ainsi que les clients du grand salon. Il y a des jeunes, des plus âgés, quelques-uns parlent et d’autres se regardent sans rien dire.


Nos coupes terminées, Sacha nous ramène vers le couloir du rez-de-chaussée et nous montre le vestiaire :



Sophie et moi entrons et trouvons de jolis casiers déjà garnis d’une grande serviette, et d’une clé sur un bracelet.

On se déshabille autant du regard que littéralement. Je crois que je ne me lasserai jamais de la voir nue.

Elle s’enroule dans la serviette de bain, j’en suis encore à quitter mon pantalon.



À mon tour je suis en serviette, autour de la taille. Celle de Sophie lui fait une jolie robe, ses cheveux maintenant attachés en queue de cheval lui donnent un air espiègle et sexy. On sort du vestiaire et je suis Sophie vers le hammam. En marchant dans le couloir, nous passons devant une grande douche commune ouverte. Une jolie scène s’y déroule. Deux couples y sont emmêlés, les deux femmes appuyées face au mur, cambrées en arrière pendant que leurs hommes accroupis ont leur visage enfoui entre leurs fesses. Sophie marque un arrêt dans l’entrebâillement, visiblement aussi captivée que moi par la scène.



Elle rit et m’emmène par la main un peu plus loin.


L’eau chaude coule sur nous deux. Sophie est contre moi et frotte doucement ses mains sur mon torse. Les miennes attrapent un peu de gel douche et je caresse sa peau en commençant par le bas de son dos, allant sur ses fesses puis ses cuisses. Nous nous lavons mutuellement, en nous regardant droit dans les yeux. Elle entreprend de laver mon sexe qui, depuis le vestiaire, est dur et droit comme un "i". J’ai une main entre ses fesses, l’autre nettoie son intimité.

Elle nettoie chaque recoin du prépuce tendu, mes couilles rasées, mon entrejambe.



Elle me coupe, continuant son examen minutieux, en souriant :



À mon tour, je l’interromps :



Elle me sourit amoureusement, ma fierté de mâle voit sa jauge remonter à 110% et nous terminons en nous rinçant. Le hammam est juste après dans le couloir, nous laissons nos serviettes à un crochet et j’ouvre la porte pendant que Sophie y entre. Elle choisit de s’installer sur le banc carrelé du haut à droite, je m’assoie sur celui un cran en dessous. La pièce de quatre mètres sur quatre est spacieuse mais cosy. Sophie s’allonge sur le dos, une jambe repliée. Assis en dessous, ma tête repose sur sa cuisse, sa main sur ma nuque. Une moiteur douce nous entoure, la vapeur dense revient par cycle, troublant la vue sans la gêner totalement.


La porte s’entrouvre, et Sacha fait son entrée. Mais un détail semble avoir changé. Ses cheveux sont désormais attachés comme Sophie en queue de cheval, haute. Sacha déroule la serviette qui l’entourait et, tandis qu’il l’accroche, je constate avec surprise qu’il… qu’elle a une magnifique paire de seins. Deux jolies poires, menues mais bien rondes, avec de jolies aréoles surmontées de beaux tétons.

Je me tourne vers Sophie, qui me regarde d’un air amusé :



Je reste sans voix pendant que Sacha, dans le trouble de la vapeur chaude, s’installe en face de nous sur le banc opposé.



On éclate de rire tous les trois, Sacha reprend :



Sophie, toujours allongée au-dessus de moi mais maintenant appuyée sur un coude, lui demande :



En disant ça, elle soulève et caresse son long pénis, puis le laisse tomber doucement. C’est Sophie qui reprend :



Sacha sourit, et reprend :



On se regarde avec ma femme, de nos étages de banc respectif. À mi-chemin entre le balcon de Roméo et Juliette, et une séance chez une conseillère conjugale…

Sophie hésite un instant et se met à raconter l’intégralité de notre histoire depuis quelques mois, ma découverte, ses infidélités, le début de compromis, la rechute, et enfin notre week-end toujours en cours…

À la fin du récit, Sacha est dans une profonde réflexion. Elle brise le silence :



On se regarde avec Sophie. Aucun de nous n’a de réponse, Sacha continue :



La démonstration de Sacha est pertinente.

Je brise à mon tour le silence :



Puis je continue, mais en regardant ma femme :



Sacha intervient :



Sophie marque un temps… elle est allongée sur le dos et regarde le plafond.



Sacha poursuit :



À mon tour, je marque un temps de réflexion.



Sacha prend son temps avant de reprendre.



Je réfléchis.



Sophie me regarde à présent. Sacha apporte son aide :



Petit temps de pause.



Sophie rit à son tour et poursuit :



Deuxième pause… mais plus courte : Je remonte vers son visage et l’embrasse à pleine bouche. Je me tourne vers elle, toujours posée comme suspendue sur le banc au-dessus du mien. Allongée là au milieu de la moiteur du lieu, on dirait une déesse romaine.

Je pose ma main sur sa cuisse, et remonte directement jusqu’à son intimité. Elle écarte les jambes me laissant libre le passage, et sa main à elle vient attraper mon sexe dur.



À mon tour, deux de mes doigts rentrent en elle sans résistance, m’accueillant dans un soupir. Je la branle plus fort, elle gémit encore.

Elle se redresse d’un coup, descend de son étage jusqu’au bas des bancs, devant moi. S’appuyant sur mes cuisses, elle s’agenouille entre elles, puis reprend mon sexe dans sa main. Elle me branle elle aussi activement puis met mon sexe dans sa bouche en l’attrapant des deux mains.

Elle me suce ardemment, forçant au fond de sa gorge pour m’avaler encore plus loin.

Mon plaisir est fabuleux, lorsque j’ouvre les yeux et vois Sacha se masturber en nous regardant. Je lui dis sans réfléchir :



Sophie s’arrête, se tourne vers elle et ajoute :



Sacha se lève et nous rejoint, s’asseyant juste à côté de moi. Sophie nous fait face, toujours accroupie. Elle ouvre en grand ses cuisses, lèche baveusement deux de ses doigts et les glisse instantanément entre ses lèvres trempées… Elle jauge nos deux sexes érigés devant elle :



Sacha et moi rions… Sophie attrape nos deux membres et les branle sensuellement… elle se penche vers moi et y met un coup de langue…

Elle fait de même sur Sacha, gobant un instant le gland, aguicheuse. Elle continue de nous branler en même temps… Sacha gémit autant que moi.



Sophie se penche sur elle, et tente d’avaler l’énorme membre. Elle crache dessus et reprend perversement de la sucer…



Je me lève et approche mon sexe de son visage sans qu’elle ne le lâche de la main. Sacha en fait autant.

Sophie nous lèche alternativement, branle et suce de plus en plus vite… Elle salive abondamment et se délecte de nos deux membres, se frottant le visage avec l’un et gobant l’autre, avalant presque jusqu’à la garde le mien, s’étouffant à moitié sur celui de Sacha. Celle-ci attrape mes fesses et me pousse vers la bouche de Sophie qui m’engloutit entièrement, je sens mon gland passer sa gorge et dans un accès de plaisir j’attrape le sein de Sacha. Je suis au bord du précipice, Sacha aussi. Sophie accélère, branle plus fort, suce plus intensément, elle sent que Sacha et moi ne sommes plus très loin :



Elle nous masturbe ensemble juste devant sa bouche grande ouverte, et quand dans un râle je viens, Sacha gémit au même moment qu’elle aussi y est. Deux jets de sperme arrosent la bouche de Sophie, suivis par de nombreuses saccades que ma femme engloutit ou reçoit sur son visage. Elle lèche nos deux sexes, récoltant et avalant avec gourmandise notre plaisir.



Sacha rit et nous aidons Sophie à se relever.



On sort du hammam, et après une douche rafraîchissante nous arrivons au bar.



Nous rions de bon cœur, un peu pris la main dans le sac. Il n’y a plus personne dans le grand salon à part deux hommes à une table, visiblement éméchés. Je m’assois sur un tabouret haut, Sophie se love de dos contre moi, entre mes cuisses, enroulée dans sa serviette. Sacha nous sert tous les trois une flûte, quand l’un des deux gars se lève bruyamment. Miranda a l’air agacée :



Elle part à l’arrière. Le gars debout vient vers nous et aboie :



Miranda revient et l’interpelle :



Je l’interromps, m’adressant à l’homme ivre :



Mon ton m’étonne. Mais je ne le montre pas. J’ai l’impression d’être au bras de trois femmes superbes, avec une assurance sans limites, et d’être assis sur une énorme paire de couilles. En l’occurrence les miennes.



Je ne le laisse pas finir :



Le gars marque un temps et lève les bras en signe de paix.



Il rejoint son acolyte et ils partent.

Sophie est toujours contre moi de dos, mais elle a tourné la tête vers moi et me regarde comme si j’étais Brad Pitt.

Elle se tourne vers Sacha et Miranda qui elles aussi me regardent :



Ma paire gonfle à son paroxysme.



Et elles éclatent de rire toutes les trois.

Une gorgée de champagne, puis une autre. La conversation reprend.



Sophie s’immisce :



La discussion continue sur l’immobilier. C’est cher, c’est moche et c’est compliqué. Je le sais bien, c’est la ville où nous vivons.


Une idée me vient d’un coup. Dingue et simple.


Je caresse Sophie sur le côté, elle penche la tête vers moi. Je lui murmure à l’oreille :



Sophie se redresse et se tourne entièrement vers moi.



J’acquiesce.



On se sourit comme deux crétins. Sophie se retourne vers Sacha :





À suivre…