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Temps de lecture estimé : 20 mn
09/11/21
Résumé:  Ma femme Sophie et moi savourons une nouvelle vie... à trois.
Critères:  ffh grp couplus candaul amour cérébral voir trans -transsex
Auteur : Ericcontact            Envoi mini-message

Série : Ma femme Sophie

Chapitre 07 / 08
Six mois plus tard…

NDLA : J’avais adoré il y a quelques années cette série écrite par SELEUCOS et dont les trois premiers épisodes étaient restés inachevés. N’ayant pas réussi à le contacter pour lui demander son autorisation d’en écrire la suite, j’ai pris le risque et la liberté de le faire.




Résumé des épisodes précédents :

J’avais découvert les infidélités de ma femme Sophie et après une période candauliste notre couple était en danger. Un week-end de tous les espoirs et une rencontre extraordinaire changèrent notre avenir. Six mois plus tard, une nouvelle vie se dessine.








Quand on rentre dans notre maison, ce n’est jamais par la porte d’entrée, toujours par la porte-fenêtre de la cuisine donnant sur le jardin. Et là après 8 h de boulot, j’ai une vue magnifique sur Sophie et Sacha qui préparent ce qui semble être un poisson en papillote.



Elles rient toutes les deux.


Ça fait six mois que Sacha a emménagé chez nous. L’idée semblait folle, mais ça fonctionne. Et Sophie et moi avons trouvé en elle une alliée, une épaule, et… une amante.



J’embrasse à son tour Sacha d’un doux baiser dans le cou.



On éclate de rire tous les trois.


Sacha vit dans notre chambre d’ami et prend ses cours à la faculté non loin de la maison. Sophie a quitté son travail et en commence un nouveau la semaine prochaine. Elle m’avait dit ne plus vouloir de contact avec ce qu’elle avait appelé « sa vie d’avant ».


Quant à moi je m’accorde très bien de mes deux belles bombes dans cette maison.


Je les laisse à leur atelier et je file à la douche. Quand j’en sors, je les rejoins au salon. On parle, on refait le monde autour d’un apéro, quand Sacha s’exclame soudain :



Sophie et moi attendons la suite.



S’ensuivent conversations sur des anecdotes du club des deux sexagénaires où Sacha travaillait, rires, et deuxième tournée. Le poisson s’annonce, on passe à table, et je débarrasse une fois le dîner délicieux englouti.



J’ai dû m’endormir à peu près au milieu du film, je crois. La télé est encore allumée sur un programme de fin de soirée, j’ai un plaid sur moi et je suis seul sur le canapé. J’émerge lentement, me lève et vais voir dans notre chambre au rez-de-chaussée : Sophie n’y est pas. Je souris et là j’entends des gémissements venant de la cage d’escalier. Je me rapproche. La voix de Sophie parvient jusqu’à moi.



Je monte lentement vers l’étage et la chambre de Sacha, prenant le temps d’écouter les mots de ma femme.



Ses gémissements, de plus en plus audibles, sont accompagnés de claquements très explicites.



J’entends Sacha lui répondre en continuant de monter :



J’atteins le palier, et je reste en retrait dans l’encadrement de la porte ouverte.



Je me penche discrètement, voyeur dans ma propre maison. Le spectacle est sublime. Ma femme est à quatre pattes sur le lit de Sacha, et celle-ci la prend vigoureusement par-derrière. De mon observatoire elles ne me voient pas, mais j’ai une pleine vue sur la scène : les seins lourds de Sophie qui balancent sous le pilonnage intense de Sacha, sa façon de lancer ses fesses vers elle pour l’inciter à y aller plus fort, les jolis seins en poire de Sacha qui eux aussi ballottent au même rythme que leurs hanches.


Leurs corps sont transpirants, elles brillent dans la lumière de la lampe de chevet. Sacha martèle l’intimité de Sophie sans retenue, le plaisir intense se lit sur leurs deux visages.



Sacha attrape alors Sophie par la taille et bascule leurs deux corps ensemble en arrière.

Dans un râle intense, Sophie se retrouve sur Sacha, couchée maintenant sur le dos. Sophie la chevauche, cavalière sensuelle dont les jambes grandes ouvertes exhibent entièrement l’accouplement bestial. Elles sont face à moi, et la vue de l’énorme pieu de Sacha qui entre et sort de l’intimité de ma femme accentue encore mon érection déjà bien prononcée.

Son sexe est une vraie barre d’acier, et Sophie l’accueille et s’empale dessus férocement, ondulant ses hanches, montant et redescendant pour l’enfoncer encore plus profondément.



Je me délecte du spectacle, quand Sophie m’aperçoit soudain.



Elle n’a jamais cessé d’aller et venir en me disant ça, et je rentre dans la chambre, m’approchant doucement du lit.

Je quitte mon short et me retrouve nu et bien tendu face à ma femme qui, après avoir léché son majeur et son annulaire, se caresse désormais lascivement le sexe, glissant ses doigts entre et autour de ses grandes lèvres charnues.



Je suis captivée par ce gros plan pornographique et si excitant. Je me branle en même temps, Sophie continue :



Ce dernier mot finit dans une longue plainte intense, en même temps que Sacha accentue sa pénétration encore plus. Sophie bascule, la tête en arrière, sa bouche ouverte dans un long cri d’orgasme. Sacha ne s’arrête pas pour autant, martelant la chatte de ma femme au point de la faire sauter sur elle.



Je me lève et approche mon sexe de son visage.



Je ne la laisse pas finir et m’enfonce dans sa bouche.

Elle m’avale presque entièrement, les bonds que Sacha lui fait faire poussant un peu plus chaque fois ma queue au fond de sa gorge.

De plus en plus fort… de plus en plus loin…

Je sens mon plaisir monter, de ma vue dominante la scène m’amène rapidement au bord du gouffre, le corps de Sophie qui monte et descend, les mains de Sacha sur ses hanches, leurs seins qui balancent dans tous les sens et la bouche de ma femme qui m’engloutit entièrement… Je jouis dans sa gorge et elle avale mon plaisir, s’empalant frénétiquement sur Sacha.


Celle-ci gémit alors… Elle aussi va venir, je me jette alors entre les cuisses de Sophie, lui lèche avidement la chatte défoncée sur le sexe qui va-et-vient en elle… Sacha crie et se retire de Sophie. J’attrape son énorme pieu et l’avale, le plus loin possible à mon tour. Sacha se contracte et jouit, une longue saccade de sperme jaillissant dans ma bouche. J’avale avec plaisir et pas pour la première fois la jouissance de ce sexe magnifique.


Sophie s’est endormie juste après, épuisée, entre Sacha et moi. On se regarde sans rien dire, toujours étonnés de la tournure que notre trio a pris ces dernières semaines.

Sacha se penche par-dessus Sophie et m’embrasse… un long baiser que je lui rends avec langueur.



Je lui souris, passant ma main dans ses cheveux et sur son beau visage.

On s’endort comme ça, l’un contre l’autre… contre l’autre.


La lumière du jour passe à travers les volets, j’ouvre les yeux. Une sensation agréable à l’entrejambe accélère mon réveil. Je lève la tête :



Elle me suce doucement, faisant aller et venir sa bouche en rond autour de mon sexe érigé.

Elle accélère un peu plus, branlant en serrant de plus en plus fort, et quand elle ouvre la bouche en grand, tirant perversement sa langue vers mon gland, je jouis longuement entre ses lèvres, la regardant laisser couler mon sperme de sa bouche en souriant.

Elle suce ses doigts comme après un délicieux dessert et se lève, j’entends couler la douche une minute après.


Quand j’arrive dans la cuisine après être moi aussi passé par la douche, les filles sont accoudées sur l’îlot central, un café devant elles, et discutent. Je passe derrière Sophie et lui vole un baiser en tournant autour d’elle. Je me penche vers Sacha et l’embrasse langoureusement à son tour. Celle-ci continue :



Comme nous avions accueilli Sacha dans la chambre d’ami, j’avais fait installer un petit chalet dans le jardin, derrière la piscine, peu après son arrivée. Il possède une jolie chambre avec une salle de bain pour nos amis en visite.



Je pars travailler et laisse mes deux princesses. J’ai pris mon vendredi après-midi, mais je dois achever deux ou trois dossiers dans la matinée.

Vers 11 h, j’ai fini, et quand je rentre, les filles ont préparé la maison. Je m’attelle au jardin et tonds, taille un peu et nettoie la piscine.

Il est 15 h quand, le karcher à la main, je vois Sacha et Sophie s’installer en maillot de bain au bord de la piscine. Elles sont arrivées avec un grand plateau, des verres et une bouteille de rosé dans un seau à glace.



Elles rient, je les rejoins, on trinque.

Allongés sur leur transat, verre à la main, je ne peux m’empêcher de reluquer, c’est le terme exact, leurs maillots de bain. Sophie le remarque :



Je reconnais le style d’une célèbre marque de micro-bikinis australienne. Sophie porte un tout petit deux-pièces blanc. Deux triangles minuscules reliés par de fines bretelles cachent à peine ses grandes aréoles, tandis qu’un encore plus petit triangle sert de string. À travers le fin tissu, je devine sa toison brune fournie mais parfaitement taillée. Sacha, elle, arbore un modèle rose pâle, légèrement maillé. La transparence est encore plus accentuée que celui de Sophie, et cette fine résille ne cache rien des magnifiques seins en poire de Sacha. Ses longues jambes à la peau caramel sont croisées, et quand elle change d’un coup de position je constate que son petit string lui non plus ne cache rien de son anatomie bien pourvue et, elle, parfaitement lisse.

Si je n’avais pas fait entourer le jardin d’un grand mur à la façon d’une hacienda, les rares voisins seraient en train de faire un arrêt cardiaque.

Tout en sirotant nos verres de vin, Sophie et Sacha se font plus aguicheuses :



Leurs transats sont collés l’un à l’autre, et elles sont allongées dans une position lascive en me regardant. Sophie tend son bras vers le bikini de Sacha, et elle glisse son index lentement sous la bretelle du haut, caressant au passage l’arrondi de son sein. Sacha, comme un écho sensuel, approche à son tour sa main du string de Sophie, et de son index aussi glissé sous la fine ficelle, elle promène son doigt jusqu’au triangle qui couvre à peine son intimité.



Je résiste, et ris doucement à leur tentation.



Elles rient aussi de leur attitude tentatrice et me laissent continuer, papotant en bronzant au soleil d’avril.

Miranda et Jacques arrivent à l’heure prévue, les filles se sont habillées de leurs plus jolies et légères robes dans cette douce soirée.


Un apéro dînatoire de retrouvailles et nous nous racontons les changements de nos vies survenus ces six derniers mois. Quelques verres plus tard, tout le monde décide de plonger dans la piscine chauffée. L’ambiance est chaleureuse, les rires fusent. Batailles dans l’eau, Sophie et Miranda s’affrontent perchées respectivement sur les épaules de Jacques et de Sacha.

Miranda et Sacha gagnent, Sophie s’écroule dans l’eau avec Jacques. Les rires fusent de nouveau.


Miranda sort et me rejoint, s’asseyant sur le transat à côté du mien, son verre à la main.

C’est vraiment une très belle femme. 60 ans passés, une élégance rare avec une lumière coquine dans le regard. Des formes que l’âge lui a doucement données n’entament en rien sa beauté, au contraire. Des rides de sourire et de soleil sur le visage et le cou, des rondeurs aux bras et aux hanches, de superbes seins ronds qui pendent légèrement sous un sublime maillot blanc, une pièce, les épaules nues et le col montant soulignant un ventre un peu rebondi et un entrejambe échancré. Elle se penche vers moi :



Miranda m’écoute, attentive.



Elle sourit. On les regarde s’amuser à essayer de couler Jacques. Ce qui ne risque pas d’arriver, lui étant un massif gaillard bien en chair mais au charme d’un ours de montagne.

Il est immense à côté de Sacha qui, déjà, fait presque ma taille. Et à côté, Sophie a l’air d’être une brindille. De ses bras gros comme des troncs, il les soulève toutes les deux et les lance au-dessus de l’eau où elles plongent dans un fracas d’éclaboussures. Elles ressortent dans un fou rire général. Sacha se rapproche du bord et sort de l’eau, s’asseyant sur le rebord de la margelle. Sophie, tenace, relance son attaque sur Jacques. Miranda a rapproché son transat du mien et du dos de sa main, elle caresse mon bras.



Elle se tourne vers moi.



La dernière attaque de Sophie lui vaut de se retrouver coincée entre Jacques et la margelle.

Dans l’agitation, ses seins se sont échappés entièrement du tout petit maillot. Ma femme en me regardant arbore un air un peu gêné mais malicieux… elle croque son index entre ses dents comme une fillette prise en train de faire une bêtise, puis ils sortent de l’eau.

Sacha vient de s’allonger sur l’autre transat qui touche le mien : Miranda à ma droite, Sacha à ma gauche.

Miranda s’approche de mon oreille et murmure :



Je la regarde, on se sourit.

Sacha se love contre moi. Miranda pose sa main sur mon torse.

Pendant ce temps, Jacques est venu galamment commencer à sécher Sophie. Il est juste derrière elle mais sa stature l’entoure presque. Il essuie sa peau, emportant les fines bretelles du haut du bikini… ses seins sont libérés, ronds et lourds, à la vue de tout le monde.

Miranda se love elle aussi contre moi, et de concert avec Sacha elles glissent toutes les deux chacune une main dans mon maillot.

Je sens leurs dix doigts me prendre en main, bite et couilles, tout à la fois. Je me tourne vers Sacha et on s’embrasse à pleine bouche. Lorsque je quitte ses lèvres, Sophie est nue, la tête penchée en arrière vers Jacques dans son dos. Ils s’embrassent aussi fougueusement.


Miranda déboutonne mon short et le fait glisser sous mes fesses. Je me retrouve nu à mon tour, et mes deux masturbatrices continuent leur œuvre sensuelle.

Miranda écarte son maillot et colle un sein sur mon visage, Sacha en fait autant avec le petit triangle de tissu. Je regarde Sophie au milieu des bras géants de Jacques. Elle a relevé les siens et enlace le cou de Jacques au-dessus de sa tête pendant que lui, de toute sa hauteur, promène ses mains immenses sur le corps de ma femme.

Sacha et Miranda ont repris de plus belle leur double branlette, et en même temps ont chacune écarté le bas de leur maillot : Miranda glisse lentement ses doigts entre de jolies lèvres humides et rasées, Sacha, elle, caresse son épaisse verge qui durcit à vue d’œil. Miranda me murmure à nouveau à l’oreille :



Leurs mains me branlent, caressent mes couilles, un doigt glisse vers mon anus…



Miranda continue sa provocation :



Les doigts curieux de Sacha explorent ma raie, titillent de plus en plus mon anus jusqu’à glisser une fois, deux fois, un doigt dans mon anneau. Miranda branle énergiquement ma bite dure, elle a collé son sein à ma bouche et je la tête avec gourmandise. Sacha glisse sur son transat jusqu’entre mes cuisses, et sans que la main de Miranda ne me lâche le sexe, elle avale ma queue dans sa bouche.


Sophie est face à moi à deux mètres, appuyant maintenant ses mains sur la table basse. Derrière elle, accroupi, Jacques lui dévore l’entrejambe. Les yeux fermés, elle savoure la langue qui la fouille, et lorsqu’elle ouvre les yeux, son regard croise le mien. Souriante et heureuse, elle se mord alors la lèvre inférieure en me disant pour que je le lise à distance : « je t’aime ».


Sacha me suce activement, et Miranda toujours à ma droite se branle maintenant sans aucune pudeur, les cuisses largement écartées.

Jacques se relève, derrière Sophie, toujours penchée en avant. Il ouvre son short qui tombe à ses pieds. Son sexe en érection jaillit, impressionnant autant par la longueur que par le diamètre…

Miranda, toujours aguicheuse, revient vers moi :



Sacha, elle, avale entièrement la mienne en salivant dessus furieusement. Elle continue l’allumage de Miranda entre deux coups de langue sur mon sexe :



Les deux torturent ma jalousie, mais elles ont très bien compris que ça m’excite.

En face de moi, Jacques va pour s’introduire dans Sophie quand celle-ci tourne la tête vers lui et dit quelque chose. Il se penche sur elle et lui pose une question inaudible aussi. Je devine un « oui » quand elle lui répond et me regarde à nouveau. Elle écarte un peu plus les pieds et lentement il pousse à l’intérieur de ma femme son énorme pieu.


Son visage se tend. Surprise, le plaisir qui s’ensuit immédiatement après illumine son visage. Sans hésiter, il commence à la prendre plus puissamment, et la voix de Sophie s’élève très vite vers des gémissements intenses.

Miranda se redresse et vient se mettre à califourchon face à moi.



Sacha la gratifie au passage d’un grand coup de langue sur sa chatte rasée et Miranda s’empale en se laissant complètement retomber sur mon sexe, dans un long cri de satisfaction.

Elle se baise sur moi de plus en plus vite. J’attrape ses seins, les pétris, attirant ses mamelons vers ma bouche.



Sacha s’est redressée et arbore maintenant une magnifique érection.



Sacha se rapproche d’elle et Miranda se met à lécher sa queue, sautant sur la mienne en ondulant ses hanches de plus belle. Elle l’attire vers elle et se met à la sucer goulûment, sans jamais ralentir sur moi.

Me penchant entre leurs deux corps au-dessus de moi, j’aperçois derrière elles Sophie, maintenant à quatre pattes sur la table basse et soumise au pilonnage intense de Jacques. Ses gémissements parviennent à moi au-dessus de ceux de Miranda et de Sacha.



Le Jacques n’y va pas de main morte et donne de grands coups de boutoir.



Encore et encore, j’entends ses soupirs devenir plus gutturaux.

Sacha passe au-dessus de moi, son énorme sexe dressé au-dessus de mon visage… Miranda plonge sa bouche entre ses fesses et se met à lui lécher le cul, lapant et dardant sa langue sur son anus.

Ma main quitte un sein de Miranda et attrape la grosse tige de Sacha. Celle-ci gémit aussitôt, ondule son bassin pour en avoir plus et Miranda accentue encore son anulingus.

Les cris de plaisir emplissent le jardin. Miranda se dégage alors de moi et me dit en souriant :



Elle se redresse et moi aussi. Derrière elle, sur la grande table basse où Sophie est en train de se faire prendre en levrette, Sacha s’allonge face à moi et, ses immenses jambes grandes ouvertes, elle se branle en se caressant les seins, son gros sexe dans une main et deux doigts qui vont et viennent dans son anus lisse… Je me penche au-dessus d’elle, le sexe à la main moi aussi.



Je lui souris, flatté, et je la laisse me prendre dans sa main et me guider vers son œillet. Elle s’ouvre encore plus, Miranda lui tenant les jambes en arrière, Sophie et Jacques ont même ralenti leur accouplement.

J’entre en elle doucement, mon sexe serré si fortement dans cet orifice encore vierge.

Un « O » muet apparaît sur le visage de Sacha, puis un soupir, puis sa voix :



Doucement, j’entre en elle, et son anus m’enserre très fort. Je vais et viens de plus en plus profondément au fur et à mesure que Sacha s’habitue à moi. Elle m’incite à continuer :



J’accentue mes coups de reins de plus en plus, Sacha gémit plus fort, caressant plus vite son sexe dur. Je le prends en main et reprenant sa masturbation, j’augmente la cadence de cette sodomie incroyable.

Sacha est entièrement à son plaisir, se tenant les jambes en l’air et devenant de plus en plus vocale.

Juste à côté, Miranda se branle furieusement, enfonçant trois doigts à la fois dans sa jolie chatte glabre.

Derrière elle enfin, Sophie a maintenant la tête, les bras et la poitrine qui reposent sur la table basse… Seules ses fesses bien en l’air encore en levrette sont tenues par les mains de Jacques qui la pilonne fougueusement.

Toutes les trois crient… et je baise le cul de Sacha de plus en plus fort en entendant leurs trois voix se mêler…

Sophie râle plus qu’elle ne gémit tellement Jacques y va fort…

Je regarde Sacha, me penche vers elle et l’embrasse intensément.



Je me relève, elle se retourne à quatre pattes sur la table à son tour. Elle me regarde en penchant sa tête vers moi :



Écartant ses sublimes fesses, je m’enfonce en elle lentement. Sacha est face à Sophie, et toutes les deux se font prendre en chœur.



Je la regarde à mon tour, elle est en transe sous les coups de hanches de Jacques.



Sophie sourit et lui répond :



Sophie pousse un grand cri quand Jacques accentue l’intensité. Sacha la questionne encore, admirative :



Alors Jacques, basculant avec Sophie en arrière, s’assoit sur un transat. Ma femme ouvre en grand ses cuisses pour les poser sur les genoux de Jacques. Et face à nous, caressant lubriquement sa jolie toison, je vois que l’énorme bite de Jacques est entièrement enfoncée dans le cul de ma femme…


Je m’enfonce encore plus fort et plus vite en Sacha. Miranda s’approche alors et s’allonge devant nous, ses jambes de chaque côté du visage de Sacha, qui plonge sa bouche sur sa chatte rasée, la lui mangeant avec délice.


Sophie s’empale de plus en plus fort, Sacha gémit en léchant Miranda qui s’y met-elle aussi…

Il ne faut pas longtemps pour que cette dernière ne jouisse dans une longue plainte de plaisir, écrasant ses lèvres intimes sur la bouche gourmande. Sacha aussi va jouir au ton de sa voix…



Miranda bondit de la table et se jette sous elle, prenant dans sa bouche son sexe prêt à jaillir.

Elle la branle et suce au même rythme que je l’encule et, dans un dernier cri, Sacha jouit, vidant son plaisir entre les lèvres de Miranda.


Je me retire doucement et m’affale en arrière. Sacha et Miranda viennent près de mon sexe tendu, proche de l’explosion. De l’autre côté de la table, Sophie n’a plus aucune retenue, montant et descendant sur toute la longueur de l’énorme bite qui lui défonce le cul. Quelques secondes plus tard, s’enfonçant jusqu’à la garde, elle jouit en criant son orgasme anal pendant que Jacques la pilonne férocement.


Sacha et Miranda me branlent et me sucent ensemble… et quand Jacques annonce qu’il vient, je jouis au moment même où il se vide dans ma femme. Sacha et Miranda, toutes deux à quatre pattes devant moi, avalent ma jouissance pendant que je regarde Sophie se faire remplir le cul en hurlant de plaisir à nouveau.

Là, je suis allongé sur un transat, entre mes deux sublimes amantes, dans le petit moment de calme qui suit une tempête.

Sophie laisse un Jacques étendu et vient s’asseoir au pied de mon matelas.



Son doux regard se pose sur Sacha :



Elle me sourit en disant cela. J’acquiesce.



Sophie me saute au cou, colle ses lèvres sur ma bouche, et sa langue se noue à la mienne. Elle m’avoue d’une petite voix :



Elle rougit :



Elle m’embrasse à nouveau longuement.

Les deux sublimes créatures dorment lovées contre moi.

En face, Jacques émerge en se levant, et nous envoyant un baiser de la main, il se dirige vers le chalet. Nous voyons la lumière de la salle de bain s’allumer peu après.

Sophie, assise contre ma jambe, se tourne vers moi. Elle ne dit rien mais ses yeux pétillent de désir.



Elle m’embrasse langoureusement et se lève en direction du chalet.

Le froid se fait un peu sentir.

Je me lève à mon tour et soulève d’abord doucement Miranda, l’emmenant vers la maison. Je l’installe dans notre chambre du rez-de-chaussée, la couvre, puis je fais de même avec Sacha.

Je me douche, enlevant agréablement les effluves de ma peau pendant de longues minutes.

Un regard dans la chambre, Miranda et Sacha dorment dans les bras l’une de l’autre. Je retourne fumer une cigarette dans le jardin.

Les lumières du chalet sont allumées, je cède à la tentation d’aller voir.

Avant même d’atteindre la porte vitrée, j’entends la voix de Sophie exprimer son plaisir :



J’atteins la porte et en voyeur discret je regarde à travers la vitre. Sur le lit Sophie est à quatre pattes, le visage écrasé dans les draps. Cambrée tel un chat, elle offre à ma vue ses fesses relevées, avec au-dessus et derrière elle, presque debout, Jacques qui la sodomise de toute sa puissance.

Leur position expose à ma vue de la manière la plus impudique le sexe monstrueux qui pilonne profondément le rectum de ma femme. Elle le lui tend et il s’y enfonce sans retenue, de toute sa longueur, pendant qu’elle branle de sa main lubrique sa chatte trempée.

Il l’encule puissamment, allant tout au fond d’elle qui, à chaque rentrée, pousse un long gémissement. Il se met alors à sortir et remettre entièrement son énorme sexe, dévoilant l’anus béant de Sophie qui l’invite à y aller encore plus fort à chaque fois :



Je le regarde agrandir à chaque pénétration l’orifice maintenant largement ouvert, et la masturbation frénétique que se donne Sophie pousse l’obscénité de la scène à son paroxysme.

Une érection violente m’a prise, quand soudain je sens deux mains entourer ma taille et descendre dans mon short. La voix de Sacha me tire de mon hypnose de voyeur :



Elle me branle doucement en serrant très fort.



Elle maintient sa poigne autour de mon sexe, montant et descendant très lentement.



Sa déclaration me touche, je me retourne vers elle :



Elle m’embrasse, on s’embrasse.

Derrière moi, les gémissements de Sophie annoncent un énième orgasme.



Je la regarde, elle me précise :



Sa main glisse à nouveau dans mon short.



Et me tenant par le sexe, telle une poignée, Sacha m’emmène vers l’intérieur de la maison au son des cris de plaisir de Sophie.




À suivre