n° 20724 | Fiche technique | 19014 caractères | 19014Temps de lecture estimé : 11 mn | 21/01/22 |
Résumé: Alona retrouve Rémy. | ||||
Critères: amour lingerie trans fdanus -transsex | ||||
Auteur : Mirabel Envoi mini-message |
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Résumé de l’épisode précédent :
Sophie emmène Alona à l’aéroport, pour récupérer son Rémy.
Nous sommes, Sophie et moi, dans le hall des arrivées de l’aéroport de Blagnac.
Ding, Dong : « Le vol en provenance de Nancy annonce un retard de dix minutes ». Oh non ! Pour moi, en ce moment, une minute c’est une éternité… Je ne tiens plus en place, je ne sais plus quoi faire de mes mains. Sophie me prend par les épaules, m’emmène m’asseoir sur un banc puis me serre contre elle :
oooOOOooo
Il est 14 h 39, mon avion est toujours en l’air, les ceintures sont bouclées, je reconnais le périphérique de Toulouse. L’atterro est proche.
Atterrissage, débarquement. De loin, je vois Anola qui me fait de petits signes de la main et m’envoie des bisous. Elle est accompagnée d’une femme très élégante, certainement Sophie. Je découvre une femme superbe : grande, élancée, l’allure sportive. Elle doit avoir entre trente et trente-cinq ans, la taille fine, de jolies rondeurs, plutôt juvéniles, un visage souriant, très attirant et des yeux… à tomber ! D’un bleu très clair, avec quelques reflets violacés qui lui font un regard pénétrant, un regard de séductrice. Elle est très classe dans son tailleur, dont la jupe arrive juste au-dessus de ses genoux.
Dès le portillon franchi, Anola se précipite vers moi, me saute au cou. Elle est vraiment obligée de sauter pour atteindre l’altitude souhaitée. Elle enserre ma taille de ses jambes, pour se caler, et m’embrasse passionnément. Heureusement qu’elle est en jean, nous avons évité de justesse l’attentat à la pudeur. Pas complètement, semble-t-il : sur un banc, un peu plus loin, une petite vieille qui a vu Anola m’embrasser est outrée. Avec beaucoup de précautions, je la repose par terre, Sophie s’approche, me tend la main :
Je n’ai pas le temps de terminer ma phrase : Sophie s’approche, met ses mains sur mes hanches, et me fait une bise sur chaque joue. Elle se serre un peu plus contre moi, met ses mains autour de mon cou, m’attire et m’embrasse sur la bouche… La petite vieille lève les yeux au ciel, et marmonne : « Quelle jeunesse ! Une honte ! » Sophie éclate de rire, s’approche d’Anola, l’embrasse sur les lèvres et nargue la petite vieille qui est devenue rouge tomate. Sophie lève le pouce en signe de victoire, et nous invite à la suivre :
Arrivé à la voiture, je vais pour ouvrir la portière arrière, mais il n’y en a pas ! C’est une petite berline allemande, deux portes, d’allure sportive, très sympathique. Mais pour pénétrer aux places arrière, il faut basculer le siège et se contorsionner. Mission quasi impossible pour moi ! Alona se dévoue pour y aller et me met en boîte :
Bon, d’accord, ce n’est pas le genre de voiture qui conviendrait à ma carcasse, mais à l’avant, je suis à l’aise. Sophie s’installe au volant, évidemment sa jupe remonte à mi-cuisses, elle ne fait rien pour la rabaisser. Elle me regarde en souriant, prend ma main gauche et la pose sur sa cuisse ! Je suis très gêné, je me retourne pour voir Anola. Elle ne semble pas choquée du tout, me sourit et m’envoie un bisou du bout des doigts. Sophie me demande :
Anola m’interroge du regard, je lui fais signe que oui, elle répond :
Je suis étonné de la facilité qu’a Sophie de tout régler en quelques instants, sans se départir de son magnifique sourire. J’étais plutôt mal à l’aise avant de la voir – je suis plutôt timide avec les filles – et je me demandais comment allait se passer le moment où je devrais la rencontrer pour la première fois. Et en quelques minutes, elle m’a rassuré, nous sommes à présent comme de vieux amis ! Et même des amis intimes, puisque ma main a le droit de caresser sa cuisse ! Alors j’en profite, sans exagérer pour ne pas lui faire perdre le contrôle de sa voiture. La glace est rompue et Anola me sourit…
Nous arrivons au magasin ; Sophie nous lâche sur le trottoir et repart pour se garer. Nous montons à l’appartement, Alona entre, je la suis, elle appelle « Léna ? », personne ne répond.
Elle me montre, dans une vitrine, au moins trente livres de cuisine et des classeurs, et m’explique :
Je pense que j’ai bien fait de dire à Anola que la présence de Léna ne me gênerait pas. Et je ne leur ai jamais dit que mon « violon d’Ingres » c’était aussi la gastronomie et que je me défendais très très bien sur ce terrain-là. Il va y avoir une saine concurrence, mais attention, les filles, il n’y aura pas que moi qui devrai surveiller ma ligne !
Anola revient :
Je me dis : La vie est quand même plus sympa ici qu’à Nancy !
oooOOOooo
Apéro pas trop arrosé, dîner relax au cours duquel chaque convive a exprimé sa bonne humeur et qui s’est terminé par un fou rire général quand Léna, à force de rire, n’a pas pu se retenir et a mouillé sa culotte… Ce qu’elle n’a pas pu cacher, car elle était en dessous sexy plutôt minimalistes ! Elle s’est précipitée vers les toilettes, avec une démarche de canard, qui nous a fait exploser de rire et provoqué une course générale vers… les toilettes !
Quand tout le monde est un peu calmé, Sophie s’adresse à Léna :
Avec un sourire éclatant et enjôleur, et une petite courbette, Léna lui répond :
Nouvelle crise de fou rire. Sophie se tourne vers nous :
Elle se lève, prend Anola dans ses bras et l’embrasse tendrement, puis se tourne vers moi, passe ses bras autour de mon cou, m’attire et m’embrasse à mon tour sur les lèvres. Je ne sais pas trop quoi faire de mes mains, je prends Sophie par la taille, lui caresse un peu les fesses, elle réagit en me massant légèrement la braguette et m’abandonne avec un grand sourire :
Quand Anola et moi avons été seuls, il y a eu entre nous un petit moment de gêne. Loin l’un de l’autre, dans nos mails, nous nous étions promis en termes souvent très crus, de multiples ébats bien chauds, car il est toujours plus facile de se défouler à distance, quand l’interlocuteur n’est pas en face de soi. Mais quand on se retrouve en présence de l’autre, la pudeur fait que l’on recherche un langage un peu plus châtié et chacun hésite à entamer la conversation. Je prends l’initiative : plutôt que des paroles, je soulève Anola, comme une plume, l’emmène sur le canapé, l’assois sur mes genoux et lui tends mes lèvres. Elle s’en empare avidement. D’une main dans son dos, je la retiens pour lui éviter une chute, et mon autre main va – sans me prévenir – lui caresser les seins. Après quelques instants, elle soupire de contentement, la glace est rompue, et elle me propose :
Cette phrase a un effet magique sur moi, car je l’ai déjà entendue. Elle avait été le signal d’une chaude nuit… Je lui demande si elle s’en souvient.
Nous avons versé l’huile, qui nous a mis le feu. J’avais une sensation étrange, l’impression que mon épiderme rétrécissait tout en devenant hyper sensible. Dès qu’Alona me passait l’éponge, cela me déclenchait des frissons et des envies de sexe. Nous n’avons pas résisté longtemps. Sophie avait dit « un quart d’heure », nous ne l’avons jamais atteint. Nous nous sommes emboîtés et avons joui plusieurs fois, jusqu’à ce que l’eau du bain soit froide…
Puis nous avons été sur le lit, l’huile faisant toujours son effet, notre peau était devenue douce et glissante, nous avons réalisé avec bonheur toutes les figures que nous nous étions promises dans nos mails. Alors, j’ai promis à Anola d’acheter plusieurs grands flacons de cette huile…
oooOOOooo
Samedi,
Comme convenu, Sophie nous emmène chez elle, et comme la première fois, elle prend ma main gauche pour la poser sur sa cuisse, découverte jusqu’à la lisière de ses bas. Je lui demande :
Alona ne suit pas trop :
Quand nous sommes arrivés chez Sophie, elle nous invite à faire le tour du propriétaire :
Elle nous présente rapidement le bâtiment principal qui date des années 1850-1860, puis le parc avec plusieurs arbres très âgés, une grande piscine avec un plongeoir et au fond du parc masquée par une haie d’arbres, un hangar agricole au premier abord, mais qui, en réalité, abrite un court de tennis, très moderne avec vestiaire, douches, toilettes et une salle de massage !
Je me dis que ce week-end ne va pas être de tout repos.
Elle nos emmène au premier étage, nous fait entrer dans une chambre dans laquelle se trouve un lit pour au moins quatre personnes, même des obèses. Elle sourit en voyant nos expressions ahuries, et nous indique :
Anola :
Sophie répond :
Dans l’armoire : deux petites boîtes-cadeaux argentées avec nos prénoms nous attendent, ainsi qu’une série de vêtements. De petites mini-robes noires, de différentes coupes, mais toutes très courtes et transparentes, créées pour réveiller les morts. Anola a du choix ! Elle hésite un peu, aucune ne cache ses charmes, ses seins sont toujours visibles, et les strings minuscules ou… absents. Elle me regarde, semblant demander mon avis :
Pour moi, Sophie a prévu un pantalon noir en similicuir élastique, qui me moule bien serré : on ne peut rien ignorer de mon anatomie. Sur un cintre m’attend une chemise en soie noire, et elle m’a même trouvé une paire de mocassins italiens qui ont dû coûter un bras, et en plus à ma pointure ! Elle a vraiment l’œil d’une pro, puisqu’elle n’a pris aucune mesure. Je commence à comprendre que Sophie est une fée et que nous sommes ses petits protégés.
J’ouvre ma boîte-cadeau : c’est un masturbateur de dernière génération, connecté et pilotable à partir d’un smartphone. Anola a le même !
Ça y est ! Je sais maintenant ce qu’elle voulait dire dans ses mails.