n° 21373 | Fiche technique | 40132 caractères | 40132 6411 Temps de lecture estimé : 22 mn |
25/12/22 |
Résumé: Après quelques échanges, Martin rejoint chez elle sa voisine. La présence de son amie Marissa augure d’un trio des plus sulfureux qui pourrait voir Martin entrer dans la phase finale de son initiation. | ||||
Critères: fffh fbi fplusag couleurs couple voisins poilu(e)s hépilé fépilée amour fsoumise fdomine odeurs caresses rasage cunnilingu anulingus fgode fdanus fsodo hdanus hgode -totalsexe | ||||
Auteur : Cvices&delices Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Marie-Claude Chapitre 05 / 05 | FIN de la série |
Les semaines sont passées depuis le cours particulier approfondi donné à Martin par Célia, l’amie de Marie-Claude, dans son salon de massage. Malheureusement, la relation avec Émilie, la récente petite amie de Martin, ne s’est pas améliorée. La jeune femme ne paraît en effet pas encore prête pour cheminer sur les sentiers de la sensualité sur lesquels Martin s’est engagé, guidé par les conseils avisés de sa voisine. D’autant que le concours de la pétillante Célia a piqué la curiosité vorace du garçon. Dépité par ce premier échec sentimental, Martin s’en retourne chercher des conseils auprès de sa mentore qui n’a pas usé de tout son savoir pour parfaire l’éducation de son apprenti.
Martin se réveilla morose ce dimanche matin. En dépit des précieux conseils de Célia et de Marie-Claude, ses rapports avec Émilie ne s’étaient pas arrangés. La jeune femme était restée désespérément fermée à ses tentatives de l’éveiller sexuellement. Martin sentait la confusion en lui. D’un côté, en peu de temps, sa mentore avait fait éclore en lui un autre garçon, un homme même, qui avait pris confiance dans sa capacité à séduire et surtout à donner du plaisir à ses partenaires. Mais cela l’avait aussi mis en face d’un dilemme. Il lui fallait trouver une partenaire en phase avec ses nouvelles aspirations. Ses expériences avec Marie-Claude et Célia l’avaient mis aux prises avec des femmes matures dans leur sexualité, à la sensualité pleinement affirmée. Ça n’était clairement pas le cas d’une large part des étudiantes qu’il fréquentait à l’université et qui, pour beaucoup, commençaient à peine à faire la paix avec elles-mêmes et leur corps.
Mais au-delà de cela, Martin sentait que son rapport à son propre corps avait changé. Il avait commencé à découvrir qu’il était beaucoup plus sensible aux caresses et aux sollicitations autres qu’un simple contact direct sur son sexe. Il pressentait qu’un plaisir accru se dissimulait derrière une combinaison encore inconnue de caresses et de stimuli à différents endroits et de différentes façons qu’il allait lui falloir découvrir, pour lui et pour ses partenaires. Quelque part, cette perspective l’enchantait diablement. Il devenait limpide dans son esprit que savoir donner du plaisir et faire jouir sa partenaire en devinant par une grande réceptivité les gestes à prodiguer lui donnait, non pas un sentiment de puissance, mais un vrai pouvoir qu’il se sentait en devoir de partager.
Martin s’extirpa de son lit et fila à son bureau où il alluma prestement son ordinateur jusqu’à la fenêtre de chat qu’il utilisait pour communiquer avec sa voisine.
M@rt1 : Hello. Tu es là ?
Martin regarda son écran inerte une longue minute. Visiblement, elle était absente.
Il fit rouler sa chaise jusqu’à la fenêtre et chercha des signes de présence chez sa voisine. Les fenêtres de l’étage étaient totalement sombres et paraissaient inhabitées, mais lorsqu’il porta son regard sur celle de la cuisine, il vit passer furtivement une ombre. Il scruta plus attentivement, une pointe d’inquiétude dans le cœur. Il allait s’habiller pour descendre sonner, mais une alerte sonore venant de son PC attira son attention.
MC : Salut toi. Bien dormi ?
Rassuré, Martin posa ses doigts sur le clavier.
M@rt1 : Ça va moyen. Tu es chez toi, non ? J’ai vu une ombre bizarre à la fenêtre de ta cuisine. Tout va bien ?
MC : Une ombre bizarre ? lol. Tu m’espionnes ? Tu sais que tu n’as pas besoin de ça pour me voir nue… lol. L’ombre que tu as vue est mon amie Marissa qui a passé la nuit ici. Je ne savais pas que j’avais un chien de garde autour de ma maison…
M@rt1 : Tu me charries là. J’étais inquiet, c’est tout.
MC : Excuse-moi si je t’ai inquiété, mais tu sais, je suis une grande fille et en dépit des merveilleux moments que je passe avec toi, j’ai également une vie à moi dans laquelle je vois d’autres personnes.
M@rt1 : Parce que Marissa et toi ?
MC : Je t’aime beaucoup, Martin, mais cela ne te regarde pas. Alors, dis-moi, avec Émilie, tu en es où ?
M@rt1 : On s’est séparés
MC : Mince ? Je suis sincèrement désolée. Que s’est-il passé ?
M@rt1 : Ben, j’ai vraiment essayé de prendre mon temps, de la mettre en confiance comme tu me l’as appris et Célia aussi (que tu remercieras encore chaleureusement au passage). Mais j’ai bien senti que malgré cela, elle restait bloquée. Je la sentais crispée à chaque fois qu’on se voyait pour faire l’amour, comme si elle le redoutait ou le faisait un peu par devoir.
MC : Mon Dieu, l’amour par devoir. Quand je pense à toutes ces femmes encore contraintes d’écarter les cuisses ou de sucer leur mec parce que c’est ce qui se fait pour être une bonne épouse. Ça me hérisse.
M@rt1 : Moi aussi. Du coup, à un moment, je lui ai posé la question de but en blanc et elle m’a avoué qu’en effet, elle ne prenait absolument aucun plaisir, quoi que je fasse, et qu’elle se sentait encore mal à l’aise pour certaines choses. Je lui ai proposé que l’on y aille doucement, et qu’avec le temps ça s’arrangerait, mais elle a finalement préféré qu’on arrête là. J’ai vraiment essayé de bien faire, tu sais.
MC : Je n’en doute pas. Je commence à te connaître et je suis sûre que tu as fait preuve de beaucoup de douceur et de tendresse avec elle. Mais parfois, hélas, il arrive que deux amants ne soient pas au même diapason. Et personne n’y peut rien. L’harmonie des personnalités et celle des sexualités sont deux choses totalement distinctes et j’oserais même dire qu’il est rare de trouver les deux dans une relation. Mais il ne faut pas que cela te fasse peur.
M@rt1 : Peur, non. Je n’ai pas prévu de me marier demain, sauf avec toi…
MC : Petit malin.
M@rt1 : Dis, je peux te demander quelque chose ?
MC : Bien sûr, quoi donc ?
M@rt1 : Eh bien, quand j’étais avec Célia, elle m’a dit que si j’avais été un peu plus expérimenté, elle m’aurait demandé de la sodomiser. Sur le coup, ça m’a fait un peu peur, mais je dois t’avouer que depuis, ça me travaille pas mal.
MC : Elle m’a raconté votre petite séance en effet. Je sais qu’elle t’a parlé de sodomie et de plaisir anal. Tu veux en parler ?
M@rt1 : Je ne sais pas trop en fait. C’est bizarre, non. Enfin, je veux dire, d’un côté ça me tente, et d’un autre, je me dis que c’est sale. Non ?
MC : Eh bien, comment te dire. On n’est jamais à l’abri d’un accident, mais bien amené, ça ne pose pas de soucis. Mais c’est quelque chose de particulier et surtout de bien éloigné de ce que tu as pu voir dans les pornos.
M@rt1 : C’est-à-dire ?
MC : Eh bien c’est-à-dire qu’il faut beaucoup de temps, de douceur et de préparation avant d’enfoncer quelque chose dans le derrière de quelqu’un et qu’il faut se sentir très en confiance avec la personne à qui l’on offre son cul.
M@rt1 :, Mais, tu aimes ça toi ?
MC : Je t’avoue que je ne suis pas une grande adepte. Mais cela ne fait pas de moi une généralité. Certaines personnes adorent cela, parfois plus que la pénétration vaginale. D’autres n’aimeront jamais. C’est ainsi.
M@rt1 : J’ai de plus en plus l’impression que plus j’en découvre sur la sexualité, plus il y en a à découvrir. On arrive à en faire le tour un jour ?
MC : Autant te faire à l’idée tout de suite, on n’en a jamais fini, d’autant qu’avec les années, ta sexualité va changer. Et tu verras bien le chemin que prendra ta sexualité au fil du temps. Tu veux passer déjeuner à la maison ce midi. En plus, tu feras la connaissance de mon amie Marissa. Tu vas voir, c’est une fille incroyable et elle à plus d’une chose à t’apprendre sur les femmes. Pour le coup, elle est une vraie panthère du sexe… lol !
M@rt1 : Tu es sûre que ça ne te dérange pas ? Dans ce cas avec plaisir. Tu veux que j’amène quelque chose ?
MC : Juste toi, ça sera parfait. À toute !
M@rt1 : À tout'.
Martin ferma la boîte de dialogue et resta un moment l’air perdu dans ses pensées. La perspective de voir Marie-Claude et son amie l’intriguait. Il la savait capable d’organiser un traquenard sensuel à vocation éducative… Enfin, façon de parler.
Martin regarda l’heure. 10 h 50. Un brin de toilette s’imposait avant de débarquer. Le jeune homme fila dans la salle de bain. Une fois nu, il s’observa dans la glace en pieds. Grand au physique assez frêle, Martin avait encore l’allure légèrement voûtée des adolescents en fin d’une croissance qui se solderait dans les années par une prise de masse musculaire. Mais cela lui importait peu pour le moment, car Martin se sentait plutôt en paix avec lui-même et surtout avec le corps que Dame Nature lui avait octroyé. Il se dit qu’il y avait une vraie forme d’iniquité dans le rapport au corps qu’entretenaient hommes et femmes. Si lui et beaucoup de ses amis hommes ne pensaient simplement pas plus que cela à leur apparence, il avait pris conscience, au contact de Marie-Claude et de son ex-petite amie, Émilie, à quel point vivre dans un corps de femme au quotidien pouvait être éprouvant et source de souffrance. Les femmes étaient avant et surtout d’abord réduites à n’être qu’un corps avant d’être une personne.
Marie-Claude lui avait raconté comme un acte anodin comme celui de marcher dans une rue bondée en centre-ville pouvait revêtir un caractère désagréable. Il y avait d’abord tous ces regards masculins qui avaient ce trait de systématiquement la dévisager longuement avant de scanner intégralement son corps de haut en bas. Puis ces regards lourds et pesants dans son dos, à reluquer, presque palper virtuellement son corps et ses fesses. Enfin, il y avait les accostages directs faits avec plus ou moins de finesse dont une part se soldait par un « sale pute » au simple motif qu’elle avait refusé de donner son prénom ou son numéro de téléphone. Autant de choses qui, hélas, n’avaient rien d’exceptionnel, mais constituaient pourtant le quotidien d’une large majorité de femmes. Marie-Claude lui avait raconté qu’un jour, elle en avait eu marre de ces diktats. Elle avait commencé par arrêter de s’épiler sous les bras ainsi que la vulve. Ces simples changements avaient eu des répercussions inattendues sur sa façon d’être. Ce sentiment de liberté d’être envahit petit à petit tous les champs de sa vie, à commencer par sa sexualité qu’elle s’était soudain sentie libre de vivre exactement comme elle l’entendait. C’est ainsi qu’elle avait commencé à expérimenter. Souvent avec bonheur, parfois avec déception. Elle avait ainsi appris à se connaître et surtout à vivre pleinement les choses sans plus être entravée par le fait que ce qu’elle faisait entre ou pas dans la catégorie du respectable.
Martin observa son corps nu en s’interrogeant. Une forme de réciprocité existait-elle dans le regard des femmes sur les hommes ? Des femmes aimaient-elles regarder avec désir les formes de son postérieur ou la courbe de son dos ? Il posa les yeux sur la forme pendante de son sexe au repos, perdu dans l’épaisse touffe de poils noirs. Il se demanda d’un coup ce que les femmes pensaient vraiment du sexe des hommes. La fascination qu’il éprouvait lui-même pour le sexe des femmes, sa soif de les humer, de les caresser et de les goûter jusqu’à plus soif, avait-elle son équivalent ? Certaines femmes paraissaient en effet éprouver un vrai attrait pour la bite. Et qu’en était-il de la pilosité intime des hommes face à celle des femmes, objet de tous les débats et de toutes les discordes ?
Il ouvrit le tiroir du meuble de la salle de bain et attrapa la tondeuse. Il passa en revue les différentes tailles de sabot et se décida sur la taille intermédiaire de 6 mm. Le vrombissement de l’appareil troubla la quiétude de la pièce si bien que Martin dut faire couler l’eau pour couvrir ses agissements. Il attrapa la pointe de son pénis d’une main et commença à faire glisser les lames sur la fine peau. Tout se passa bien jusqu’au moment de s’occuper des bourses. La douleur fut fulgurante lorsque le premier pli se prit entre les pointes du sabot, laissant perler une goutte de sang pourpre. L’opération allait être plus ardue qu’il ne s’y était attendu. Une fois la plaie épongée et maîtrisée, Martin reprit, veillant à tendre la peau entre ses doigts pour éviter un nouvel accident de tonte. Tout se déroula bien jusqu’à ce que les lames entaillent de nouveau la chair. Il fallut finalement de longues minutes pour achever de tout égaliser. Le résultat lui parut intéressant. Cette petite coupe en brosse lui donna immédiatement l’impression que son sexe ainsi dégagé venait de gagner quelques centimètres.
Satisfait, il entra dans la cabine de douche et ouvrit le robinet. L’eau brûlante vint s’abattre sur son corps largement imberbe, à l’exception de quelques poils épars disséminés au niveau de chacun de ses tétons et de son bas-ventre. Quelle chance, se dit-il, de ne pas être doté d’un épais manteau corporel ! Il avait tant et tant entendu les filles autour de lui au collège et surtout au lycée exprimer leur totale aversion pour les hommes velus. Sa plus grande crainte avait été de voir apparaître des poils un peu partout sur son corps en grandissant. Mais il n’en fut rien. Il avait un jour posé la question à Marie-Claude un soir qu’elle caressait son torse du bout des doigts.
Marie-Claude avait ri.
Il avait pris conscience ce jour-là que la sexualité, sa sexualité, s’inscrirait dans une réalité toute faite de nuances d’expériences libérées du fardeau des convenances et de la morale accumulée au fil de l’histoire. Mais l’heure passait et il était temps d’y aller. Martin fut prêt en moins de temps qu’il n’eût fallu pour le dire et il fit retentir le carillon de la sonnette de sa voisine à l’heure dite.
La porte s’ouvrit sur une haute et étroite silhouette surmontée d’un souriant visage d’ébène.
Marissa lui tourna le dos et prit la direction du salon pendant que Martin lui emboîtait le pas. Il en profita pour détailler les formes de la jeune femme dont l’extrême noirceur contrastait fortement avec la blancheur de son pull de laine. Sa silhouette était si différente de celle de Marie-Claude ou encore de Célia, toutes deux plutôt petites et toutes en rondeurs. Marissa était incroyablement grande, un bon mètre quatre-vingt-cinq, et avait une allure presque androgyne, avec des hanches très étroites ornées de fesses dont la fermeté était évidente malgré le jean ample dans lequel elles étaient enfermées. Une haute ligne d’épaules et une taille peu marquée finissaient de lui donner l’allure d’une liane. Elle faisait penser aux athlètes façonnées par l’entraînement. Par-dessus tout, la belle avait le crâne lisse comme une boule de bowling. Son allure androgyne n’en dégageait pas moins une incroyable féminité à la sensualité éminemment féline.
Marissa alla prendre place dans l’imposant sofa et invita Martin à en faire de même.
Comme chaque fois qu’il rencontrait une amie de Marie-Claude, Martin redoutait le portrait qui avait été fait de lui au préalable et s’interrogeait chaque fois sur le niveau de détails intimes donnés.
Ils se jaugèrent du regard quelques secondes.
Martin n’eut pas le temps de répondre que le bruit de la porte d’entrée se fit entendre.
Comme chaque fois, Martin la regarda avec une admiration non feinte. Elle avait négligemment remonté une partie de sa chevelure en une espèce de chignon désordonné maintenu par ce qui semblait être un crayon, laissant pendre de part et d’autre de son visage et dans son cou une multitude de mèches ondulées.
Martin assistait, silencieux, au manège des deux amies.
Marie-Claude et Marissa partirent dans un éclat de rire, ce qui commença à agacer Martin sérieusement. Marie-Claude s’en rendit compte.
Marissa et Marie-Claude échangèrent un regard complice.
Marissa sourit.
Martin les observa, mi-figue mi-raison, se demandant s’il avait bien fait de se montrer brave hache face à ces deux tigresses dont il se demandait bien ce qu’elles allaient lui réserver.
Le trio se leva à l’unisson et se dirigea vers le petit escalier menant à l’étage. Les marches grincèrent sous les pas. Marie-Claude pénétra dans la pièce aux murs couverts de chaux au centre de laquelle trônait un large lit. Marie-Claude appuya sur l’interrupteur qui fit jaillir la lumière des deux lampes sur pieds dotées de larges abat-jour d’osier donnant une tonalité très douce et chaleureuse à la pièce. Elle se dirigea ensuite vers le lit sur lequel elle s’allongea de tout son long.
Martin vint s’asseoir sur un côté du lit et fut suivi par Marissa qui s’installa entre ses deux amants.
Martin porta son regard vers Marissa qui se tourna vers lui. Sentant le jeune homme un peu mal à l’aise, elle prit ses mains dans les siennes. Ce dernier baissa les yeux, subjugué par le contraste des peaux. Leurs mains se mirent à danser l’une dans l’autre, à se caresser. Martin fut surpris par la texture soyeuse de cette peau sombre qu’il avait imaginée plus revêche. Chacun des deux amants avait les yeux plantés dans ceux de l’autre pendant que leurs mains se caressaient et s’exploraient. Ce ballet des peaux les propulsa immédiatement à un haut degré d’excitation qui fit s’emballer les cœurs.
Marie-Claude qui assistait à la scène vint se plaquer dans le dos de son amie et passa ses bras autour d’elle pour l’enserrer et sentir son corps battre contre sa poitrine. Cette dernière savoura la sensation du souffle chaud de sa comparse dans sa nuque alors qu’elle ne lâchait pas Martin du regard. Les mains glissées sous le pull commencèrent à caresser la peau du ventre qui ondulait au rythme de la respiration. Les doigts remontèrent jusque sur les tétons nus pointant sous les mailles de laine blanche. Le corps pris en étau par les caresses de ces deux paires de mains, la belle Ivoirienne redressa légèrement le buste pour faciliter l’accès à son corps qui commençait à supplier davantage.
Le jeune homme libéra ses mains de l’étreinte dont elles étaient prisonnières pour venir se poser sur celles de Marie-Claude qui les accompagna jusque sur les flancs de leur prisonnière consentante. La pulpe des doigts du jeune homme goûta la sensation de l’épiderme chaud avant de glisser jusque sous les aisselles afin de faire remonter le large pull. Marissa savoura la lente progression sur sa peau nue puis le long de ses bras. Marie-Claude ôta à son tour ses vêtements, tout comme Martin, jusqu’à ce que tous trois se retrouvent torse nu. Elle vint presser ses seins éveillés dans le dos de son amie que la chaleur électrisa immédiatement.
Le garçon avança le visage, enivré du parfum fruité de la belle jusqu’à poser ses lèvres sur la peau frissonnante. La jeune femme sentit la bouche brûlante de son amant picorer centimètre après centimètre, son cou et sa nuque, chaque avancée éveillant davantage le reste de son corps et faisant se transformer petit à petit le mince filet entre ses cuisses en ruisseau tumultueux.
Marissa s’allongea et offrit son bassin aux mains délicates qui dégrafèrent le pantalon avant de le faire glisser, passant les hanches puis glissant le long des jambes. Martin découvrit avec surprise un microstring de cuir noir maintenu par de fines cordelettes, et dont la surface réduite peinait à masquer quoi que ce soit. Mû par son instinct, Martin vint poser sa bouche sur un des flancs de la jeune femme. Il fut immédiatement envahi par le puissant parfum de sa peau largement perlée de sueur. Les notes salées de la sueur de la belle agirent comme un puissant aphrodisiaque pour le couple d’amants qui, une fois nu, vint s’allonger de part et d’autre de leur victime consentante. Marie-Claude posa son regard sur la verge gonflée de Martin et remarqua les soins du jeune homme avant de la caresser du bout des doigts.
Le contact sur son membre le fit tressaillir et il dut se concentrer pour ne pas jouir immédiatement. Sentant son trouble, Marie ôta sa main qu’elle vint poser sur le visage de Marissa avant de l’attirer à elle pour l’embrasser langoureusement. Martin posa à son tour sa bouche sur le ventre frémissant de la belle allongée et entama une longue et sinueuse descente vers le minuscule sous-vêtement. Il sentit le corps se contorsionner comme pour le guider et lui faciliter l’accès au creux de ses cuisses. Au moment d’arriver au triangle de cuir, il sentit une des mains de son amante se mouvoir pour venir saisir une des cordelettes et tirer dessus, arrachant l’ensemble et offrant pleinement sa vulve à son assaillant. Le jeune homme découvrit avec délice ces bourrelets de chair mêlant les teintes brunes aux pourpres et luisantes des sécrétions qui en suintaient en épais filets. Bien qu’amateur de vulves plus duveteuses, il était hypnotisé par la beauté de ce sexe dénué du moindre follicule pileux et dont l’épiderme sombre lisse comme du papier de soie laissait émerger les plis irréguliers des lèvres guidant le regard vers un imposant clitoris. Martin fut surpris par la taille de l’organe dont il n’imaginait pas qu’il put en exister d’aussi imposants. Incapable de résister, il fit glisser sa bouche sur la peau nappée de sueur jusqu’à passer sur le relief des lèvres gorgées et venir enfin aspirer le dard émergeant de son capuchon de chair.
La caresse arracha un gémissement à Marissa qui embrassa son amante de plus belle en même temps qu’elle pressait davantage la tête de Martin pour l’inviter à la dévorer plus encore. Marie-Claude caressa de plus belle le ventre et les seins de son amie. Martin, sentant le clitoris durcir et se dresser davantage dans sa bouche à mesure qu’il jouait à l’aspirer puis le relâcher se mit à le faire rouler sous sa langue. Il ne fallut pas longtemps pour que le premier orgasme survienne, inondant au passage les draps et la bouche du jeune homme qui en avala jusqu’à la dernière goutte.
Marissa s’exécuta et écarta largement les cuisses pour s’offrir pleinement à ses hôtes.
Le sexe dressé et gonflé, Martin vint se placer sur le corps d’ébène étalé sur le lit. Il positionna son membre exactement à l’aplomb du sillon fessier et laissa le poids de son corps se poser doucement. Marissa sentit son corps pressé et immobilisé en même temps qu’elle percevait la raideur du membre dont elle attendait qu’il vienne l’embrocher.
Les derniers espaces de liberté s’envolèrent lorsqu’elle sentit les mains de Martin enserrer les siennes et sa bouche brûlante se poser sur son cou. Sans y réfléchir, Martin commença à faire onduler et rouler son bassin. Les mouvements d’avant en arrière faisaient glisser la peau de son prépuce sur son gland, aidé par la sueur nappant les épidermes. Tout doucement, la bouche du garçon se mit à descendre le long de l’échine pendant que ses mains parcouraient les flancs de la belle qui se mit à cambrer sa croupe. Il ne fallut pas longtemps pour que les lèvres atteignent le sillon fessier qui s’ouvrit sans résistance sous la pression du visage du jeune homme. Un râle de plaisir l’encouragea à poursuivre jusqu’à venir poser la langue sur le bourrelet plissé de son anus.
Marissa sentit ses fesses s’écarter pour faciliter la progression du visage qui lui dévorait sa croupe. Marie-Claude en profita pour glisser une de ses mains sous le ventre de son amie et poser ses doigts sur son clitoris qu’elle se mit à caresser en rythme. Passé les contreforts bourrelés, Martin fut surpris par la texture lisse et soyeuse sous sa langue.
Il alterna les caresses du pouce et de la langue jusqu’à ce qu’il sente l’ouverture souple et relâchée.
Le garçon suivi les consignes à la lettre. D’abord avec deux, puis trois, puis enfin les quatre phalanges. À chaque fois, il sentait le corps de Marisa gémir et onduler comme pour l’inviter à pénétrer plus profondément en elle. Dans le même temps, la boule de feu née des caresses prodiguées par Marie-Claude sur son clitoris atteignait des proportions dont elle sentit qu’elle ne tarderait pas à perdre le contrôle. C’était comme si des milliers de mains et de doigts la caressaient et la pénétraient en même temps.
Sentant son amie au bord du précipice, Marie-Claude ôta sa main de la vulve, se releva du lit et marcha en direction de l’imposante armoire dans la pièce. Elle farfouilla dans un tiroir et revint, un objet à la main.
S’écartant un peu du postérieur largement ouvert devant lui, il porta son regard sur la forme oblongue sombre dans la main de Marie-Claude. L’objet était long d’une quarantaine de centimètres, muni d’une sorte de poignée à une extrémité, le tout d’un seul tenant sculpté dans la masse d’un bois sombre. L’autre extrémité représentait la forme reconnaissable d’une verge aux proportions généreuses dont le gland particulièrement dessiné saillait. Enfin, le corps de la verge faisait apparaître d’irréguliers reliefs évoquant des picots doux.
Marie-Claude enduisit l’objet d’une sorte d’huile puis guida la main du jeune homme.
Avec une sorte de recueillement, le jeune homme vint positionner le phallus de bois contre la couronne plissée de Marissa et le pressa. La croupe d’ébène avala l’objet avec une incroyable aisance, le tout provoquant le gémissement de sa propriétaire. Il entama un lent mouvement de va-et-vient.
Martin ferma les yeux en posant ses doigts sur les lèvres trempées, cherchant la pointe durcie du clitoris.
Profitant de la concentration de son apprenti, Marie-Claude vint se placer à genoux légèrement derrière lui et sa verge de la main gauche tout en glissant sa main droite entre ses fesses. Martin sursauta légèrement, mais pris dans le feu de l’action et par le plaisir de sentir son membre ainsi flatté, il la laissa faire. Il sentit les doigts s’immiscer doucement jusqu’à trouver son anus qu’ils se mirent à presser et caresser au même rythme que la main qui branlait son membre. L’attelage se mit à onduler à l’unisson, les va-et-vient du phallus de bois suivant les mouvements sur le clitoris qui eux-mêmes épousaient les gestes sur le sexe et l’anus de martin.
Les premiers tremblements annonciateurs du tsunami saisirent Marissa à qui il ne fallut pas plus de quelques minutes pour être foudroyée par un violent orgasme qui inonda ses cuisses au moment où le phallus de bois venait de s’enfoncer une ultime fois entre ses reins. Martin ne résista pas beaucoup plus, l’immixtion des doigts de Marie-Claude entre ses fesses ayant décuplé les sensations au niveau de sa verge. Il jouit dans un puissant râle immédiatement suivi de plusieurs longs jets chauds qui vinrent maculer la croupe sombre ouverte devant lui.
Marie-Claude observa avec délectation les corps repus de plaisir sur son lit, fière de les avoir conduits aux cimes du plaisir.
Elle vint poser ses mains sur le manche du phallus de bois qu’elle fit glisser hors de son fourreau de chair. Elle tendit l’objet à Martin.
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Épilogue :
Ainsi s’achève la série dédiée à l’initiation de Martin par sa voisine Marie-Claude. L’histoire ne s’arrête pas là, et pour celles et ceux intéressé(e)s de retrouver notre jeune héros, vous pourrez le retrouver dans les aventures de Martin, écrites et publiées sur ce site en 2019 (histoires 19 066, 19 083 et 19 122 sous l’intitulé « un barbier nommé Martin »).