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Temps de lecture estimé : 43 mn
12/06/23
Présentation:  Un texte un peu moins soft qui rappellera peut-être des souvenirs à certaines personnes...
Résumé:  Finalement, nous n’avons rien dit à nos parents au sujet de notre baiser par inadvertance et de ce qui s’est ensuivi.
Critères:  fh jeunes vacances plage caresses intermast fellation cunnilingu init -prememois
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Série : Miss Cata

Chapitre 02 / 03
Miss Cata – Pendant


Un texte un peu moins soft qui rappellera peut-être des souvenirs à certaines personnes…

Bonne lecture : )





Résumé de l’épisode précédent :

Contrairement à l’année dernière, Justine est venue en vacances avec ses parents dans la villa voisine de la nôtre. J’avais quitté une fillette, ou disons plutôt une grande fille, elle est revenue en tant que jeune fille. Ma copine de vacances est une Miss Catastrophe, pas des grosses, pas des énormes, il est vrai, mais elle arrive toujours à déclencher quelque chose. En tout cas, elle a réussi à déclencher en moi un énorme intérêt imprévu pour sa personne…


Pour info, B3 signifie : Bon Bad Boy, et ça commence par la même lettre que mon prénom (Boris).




Tests et vérifications



Finalement, nous n’avons rien dit à nos parents au sujet de notre baiser par inadvertance et de ce qui s’en est ensuivi. Nous avons jugé qu’il était préférable de les laisser dans l’ignorance, afin de ne pas les avoir sur le dos, car des parents, ça imagine toujours plein de choses !


En ce qui concerne notre relation naissante, le lendemain, alors que nous nous dirigeons tous les deux vers la plage, Justine m’avoue très honnêtement :



Je réponds tout aussi sincèrement :



Comme nous sommes loin de nos villas, je la capture dans mes bras pour l’embrasser. On ne peut pas dire qu’elle résiste beaucoup à mon initiative. Nos lèvres se soudent en un long baiser qui s’échauffe petit à petit. Un vaste tourbillon m’emporte à nouveau. Je ne pense pas que ce soit l’effet du hasard. Quand nos lèvres se séparent, je dis tout bas :



Par la suite, je ne compte plus le nombre de fois où nous avons vérifié, elle et moi ! Nous sommes tombés d’accord que c’était vraiment très plaisant, et que ça ajoutait incontestablement un plus à notre relation, déjà forte, existant depuis des années.


Curieusement, nos parents ne disent jamais rien sur le fait que nous faisions souvent bande à part. Pour ménager la chèvre et le chou, nous faisons parfois acte de présence à leurs côtés sur la plage. Tout au plus ont-ils remarqué que nous nous chamaillons moins, contrairement aux autres années. La maturité, a dit sentencieusement mon père.




Joker



Bien que, depuis trois jours, nous passions agréablement le temps à nous embrasser et à balader la main dans la main, Justine fait toujours une fixette sur cette histoire de bad boy et sur l’acronyme que j’ai inventé : B3 (voir explication plus haut). Ayant un peu trop lu certains témoignages ci et là, elle souhaite vivre de temps à autre le grand frisson d’une relation toxique tout en ne risquant rien. Elle a de ces idées ! Mais, d’aussi loin que je me souvienne, elle a toujours flashé sur des trucs incongrus ou étranges.


Pour en revenir à son histoire de bad boy, il est certain que ce n’est pas moi qui vais lui rendre la vie infernale et imbuvable.


Une fois de plus, nous nous sommes installés un peu à l’écart sur la plage. Et une fois de plus, j’ai le grand plaisir d’admirer son ensemble trois-triangle qui ne fut pas pour rien dans notre rapprochement fort intime. Pour être franc, Justine n’est pas un canon de beauté, mais elle exhibe sous mes yeux un mignon petit corps fort intéressant.


Ayant auparavant cogité à son histoire de bad boy, avant d’aller faire trempette, je lui propose une façon de satisfaire tout le monde, c’est-à-dire elle et moi :



Justine possède souvent une solution à tout problème :



Tout est soit trop simple ou soit trop compliqué avec ma copine d’enfance. Je soupire :



Justine croise les bras, ce qui fait agréablement remonter sa poitrine qu’elle présente à présent comme sur un plateau :



Ses seins toujours mis en évidence, elle affiche une mine surprise :



Un bref silence s’installe entre nous. Je relance rapidement la conversation :



J’affiche un grand sourire de satisfaction :



Je développe mon propos :



Je précise ma pensée :



Elle devient songeuse :



Je préfère ne pas demander quelles sont ces possibilités. Il vaut mieux que je les découvre petit à petit. Justine affiche un grand sourire qui m’inquiète un peu :



Elle se jette carrément à mon cou, manquant au passage de se casser la figure. Heureusement que ma nuque est résistante ! Puis se frottant vicieusement contre moi, elle prononce distinctement :



Assurément, elle ne perd pas de temps !




B3 en action



Tandis qu’elle est toujours plaquée contre moi, me faisant bien sentir la différence qui existe entre le genre féminin et le genre masculin, elle murmure à mon oreille :



Toujours accrochée à mon cou, elle passe outre mon explication, préférant me gronder :



Ah, changement d’insulte ! Elle délaisse pour une fois son traditionnel « connard ». Je rectifie :



Elle regarde autour d’elle, puis toujours plaquée contre moi, elle me confie à voix basse :



Pour éviter de répondre, je l’embrasse de façon très ardente. Sa bouche rivée à la mienne, Justine ondule vicieusement sur la bosse de mon maillot. Les sens en fusion, j’avoue au fond de moi que je ne détesterais pas lui faire subir bien des outrages !




B3 en action - bis



Nous avons eu diverses embrassades fort sensuelles, ainsi que des séances de caresse. Pour l’instant, nous ne nous aventurons pas en dessous de la ceinture. Ma grande satisfaction est que je peux peloter à volonté ses mignons seins et même déguster ses tétons en forme de framboises. Bien sûr, je ne serais pas contre le fait d’aller plus loin, mais j’ai vite compris qu’il ne faut pas se dépêcher au risque de tout perdre. Certains de mes amis ont eu des mésaventures cuisantes en se prenant pour des voitures de course.


Une autre grande satisfaction, c’est que le mot « connard » est quasiment sorti de son vocabulaire quand nous sommes à deux. Mais j’y ai encore droit quand nous sommes en famille.


Quand nous basculons dans le jeu, j’ai pris l’habitude de l’appeler Justy. Ça me permet arbitrairement de bien distinguer les deux filles : Justine et Justy. En effet, Justine évoque trop pour moi la fillette avec qui je joue depuis des années ; des jeux gentils et innocents. Ceux que nous pratiquons maintenant le sont moins, nettement moins, même si nous en restons au stade du flirt plus ou moins poussé.


Après divers palabres, nous avons convenu que c’est elle qui déciderait du passage en B3. Et que c’est à moi d’imaginer des scénarios. À chacun son rôle. Ça ne m’aurait pas déplu que ce soit l’inverse de temps à autre. Peut-être dans quelques jours…


Alors que nous venons de sortir de sa villa pour aller faire une petite balade en ville, les yeux brillants, Justine me confie :



La tirant par la main, je m’aventure dans une allée assez boisée et peu passante. Après un dernier coup d’œil circulaire, j’annonce la couleur de ce nouveau B3 :



Elle sait très bien que c’est un jeu. Je n’étais pas certain du résultat, pourtant, elle obéit. L’instant d’après, sa petite culotte au bout du doigt, elle me demande :



Curieuse sensation que d’avoir sa culotte en main et de savoir qu’elle n’a plus rien sous sa jupette. Sa pièce de lingerie dégage un certain aromate plutôt grisant. J’avais vu juste : en effet, j’ai craint que l’odeur de sa culotte imprègne ma sacoche. D’où l’idée du sac de congélation qui a déjà fait ses preuves. Personnellement, ça ne me dérange pas, mais comment justifier ce genre de senteur auprès de mes parents ? Avant de ranger soigneusement sa lingerie, je constate un détail :



Justine a bien compris l’utilité de ce mot. Je place sa culotte odorante dans un sac de congélation que je referme, puis que je mets dans ma sacoche. Ensuite, je lui applique une petite claque légère sur la fesse par-dessus la jupette :



Elle vient de dire ça d’une petite voix de gamine, en forçant l’intonation. Aucun mot joker n’a été prononcé. À mon tour, je force le trait :



Je pose ma main sur sa taille et je l’entraîne vers la Grand-Rue. Je sens bien qu’elle tremble un peu, sans doute un mélange d’excitation et d’appréhension. Pour ma part, j’espère que tout ira bien. Je ne voudrais pas qu’un problème survienne, d’autant que Justine est parfois une spécialiste pour se fourrer dans des situations pas possibles !


Hélas, quand on évoque la chose, elle se produit souvent ! Par deux fois, je réussis à la rattraper à temps, évitant qu’elle se retrouve par terre, les fesses en l’air ! Pourtant, aucun obstacle sur le trottoir. Mais quelle idée aussi de se balader à tout prix sur des talons aiguilles !



Je réponds autrement :



Visiblement, ça ne l’a pas choquée. Elle est bien ancrée dans son rôle. Tout se passe bien, personne ne s’est rendu compte de la chose, ou bien on a oublié de nous le dire. Justine s’amuse à glisser ci et là divers sous-entendus, mais sans plus.


Par trois fois, je me suis offert le luxe de caresser ses fesses sous sa jupe, en veillant à ce que personne ne me voit faire. À chaque fois, Justy a protesté, mais j’ai bien compris que c’était pour la forme. Cette histoire de bad boy fait bien mes affaires, c’est une très bonne façon de faire des choses que la plupart des petites amies classiques n’acceptent pas forcément. Finalement, les lubies étranges de ma copine d’enfance ont leurs avantages.


À la fin de la séance, quand nous sommes proches de nos villas, je bifurque vers la petite allée du départ. À l’abri des regards, je lui rends sa petite culotte, et je la félicite :



Elle regarde aux alentours pour voir si personne ne vient. Je m’apprête à me retourner, elle me lance :



Je ne comprends pas bien la logique de tout ceci. Quoique… Toujours est-il que j’ai le plaisir de la voir remettre sa culotte, et d’avoir une belle vision fugace sur ses fesses totalement dévoilées, car elle a fortement remonté sa jupe.



Légèrement rougissante, elle prend ma main et nous quittons la petite allée arborée. Elle la lâche quand nous arrivons trop près des villas de nos parents. Inutile de dire que, la nuit venue, j’ai trente-six fois rêvé d’une certaine paire de fesses !




Que pour nous deux



Le lendemain, Justine décide de s’acheter un nouveau maillot de bain. Je me demande bien pourquoi, je lui en connais au moins quatre, peut-être cinq. Mais si j’ai le plaisir d’assister aux essayages, je ne suis absolument pas contre !


Tandis que nous ne sommes qu’à deux, sans oreille indiscrète, elle se justifie :



Enveloppée dans le cliquetis de ses talons aiguilles, elle hausse les épaules :



À ces mots incompréhensibles, je fronce des sourcils :



Je suis un peu déçu, j’aime bien quand il y a un minimum de toison :



Nous dénichons un magasin qui semble avoir ce que Justine recherche. Elle essaye tout d’abord deux tenues, mais elle les trouve banales, alors que pour ma part, je la trouve franchement bandante dedans. Elle avise alors les maillots une-pièce, mais elle ne trouve rien à sa convenance.


Elle se tourne alors vers la vendeuse qui semble être aussi la gérante :



Avec un sourire de connivence, la vendeuse demande alors :



La vendeuse fait mine de réfléchir :



Justine ajoute aussitôt :



Elle disparaît dans l’arrière-boutique. Je pense que la gérante n’a pas encore réussi à vendre les articles qu’elle va nous proposer et qu’ils lui sont restés sur les bras, dans son stock. La vendeuse revient peu après avec quatre modèles, ainsi que des pages imprimées illustrant ces maillots :



Devançant Justine, en regardant les tenues et surtout les illustrations et photos, je m’exclame :



La vendeuse s’amuse de ma réflexion :



Que je décrive ces quatre… euh… tenues.


Le premier bikini sera la plus simple à expliquer, elle ressemble à l’ensemble trois-triangles de ma Dulcinée, mais avec des dimensions plus riquiqui. Charitablement, les deux triangles du haut cachent quand même les tétons, mais laissent largement à découvert chaque sein et sa courbe basse. Quant à celui du bas, il cache tout juste la fente.


Le deuxième couvre plus l’anatomie, c’est indéniable. De loin, c’est un bikini classique et plutôt sage, mais chaque triangle est divisé en trois bandes verticales qui convergent vers la pointe, dont la zone centrale est translucide, ce qui cache et révèle en même temps bien de choses.


Le troisième ressemble à deux gouttes d’eau à la tenue de Vampirella : un accent circonflexe (ou un V inversé) pour le haut et un V (normal) pour le bas, qui se rejoignent tous les deux à la taille, sur les côtés. Indéniablement, la poitrine est fortement révélée, le pubis aussi.


Enfin le quatrième bikini n’est pas triste non plus : imaginez un collier autour du cou avec un anneau légèrement au-dessus des seins. De cet anneau partent en diagonale vers le bas, à la fois à gauche et à droite deux fines bandes de tissu qui couvrent les tétons, mais pas énormément la masse du néné. En bas, même topo, un collier accroché à la taille avec aussi un anneau au niveau du pubis d’où part une bande de tissu pour cacher l’entrejambe.


J’essaye d’imaginer ces tenues sur Justine. Ma conclusion est simple : mon self-control ne résistera pas plus de cinq secondes, et je suis généreux !


Justine analyse les quatre propositions. Elle écarte rapidement la tenue Vampirella. Puis elle retire de son choix le bikini à bandes, que je trouvais pourtant être le plus soft de l’ensemble. Elle s’adresse ensuite à la vendeuse :



Justine se tourne vers moi :



Inclinant un peu la tête sur la gauche, je réfléchis en vitesse :



Je fais une suggestion :



Justine prend le maillot avec les anneaux des mains de la vendeuse :



Puis elle s’enferme dans une cabine. Durant ce temps, je demande à la vendeuse :



C’est un grand classique : quatre mois à la mer, quatre mois à la montagne et quatre mois chez soi. Je souris :



Notre conversation est interrompue par Justine qui a fini de revêtir son bikini :



Je reste carrément bouché bée : c’est au-delà du très sexy, c’est carrément indécent ! Ma copine s’amuse sans complexe de mon expression :



Face au grand miroir, elle pivote sur elle-même. Le dos est pire, car il se limite à quelques ficelles, dévoilant sans complexe tout son mignon popotin que j’ai eu le plaisir d’entrevoir hier. Justine est plus nue que nue dans cette tenue !



Mettant ma sacoche devant mon short, je tente une pirouette :



Égayée et ravie de son effet sur ma libido, elle se tourne vers la vendeuse :



Tout en continuant de se mirer dans le miroir, ma trop sexy copine lâche :



Justine rosit un peu :



Puis la gérante me désigne :



La vendeuse indique un prix qui reste raisonnable, mais horriblement cher par rapport au prix par centimètre carré ! Ou plutôt millimètre carré. Je m’adresse à la gérante :



Surprise, Justine proteste :



Égayée, la vendeuse se penche sur Justine :



La gérante se met à rire :



Justine décide de garder le bikini sur elle, sous sa jupe et son T-shirt. Une fois sortis de la boutique, elle me donne un furtif bisou sur la joue, à l’orée de mes lèvres :



Elle me demanda en minaudant :



Nous avons mangé ces glaces. L’après-midi s’est terminé de très belle façon : après avoir déniché un coin tranquille, Justine a osé s’exhiber en bikini. Inutile de dire que mon sang n’a fait qu’un tour et que nous avons passé la fin de la journée à nous embrasser, à nous caresser, à faire plein de choses qu’il n’est pas judicieux de faire voir aux enfants !




Un peu plus loin



À chaque fois que nous arrivons à nous dénicher un coin tranquille, Justine amortit son nouveau bikini en le revêtant. Et moi, j’adore !


Je deviens de plus en plus téméraire et le bikini qu’elle porte sur elle me permet bien des bisous et caresses. Visiblement, Justine adore que je m’occupe d’elle de la sorte, couvrant son corps de baisers brûlants de son front à ses pieds, sans oublier d’aller m’égarer du côté de ses anneaux…


Il y a à peine une heure, Justine m’a offert son côté pile, ce qui m’a permis de m’attarder sur ses belles fesses seulement habillées d’une sorte de lacet qui disparaît d’ailleurs dans son sillon. J’adorerais m’attarder dans ce sillon en question, mais je sens que ce n’est pas encore le bon moment…


Nous venons de revenir de baignade, ma petite amie s’allonge de dos sur sa serviette afin d’offrir son corps au soleil et à ma convoitise. Innocemment, ses jambes sont légèrement écartées et le tissu mouillé qui masque son entrejambe moule délicieusement son abricot devenu glabre depuis quelques jours, malgré mes protestations.


Je me positionne sur le côté, surplombant son nombril, puis me penchant vers ses pieds, je passe à l’attaque. Elle sursaute :



Elle ne dit rien quand je remonte plus haut puis que je pose mes lèvres à l’intérieur de ses cuisses. On dirait presque qu'elle dort, baignée par le soleil. Je remonte alors un peu plus haut, maculant de baisers son ventre, ses hanches, puis je glisse insensiblement vers son anneau, et donc son pubis.


Elle ne proteste aucunement quand mes baisers deviennent plus appuyés du côté de la mince languette qui protège sa fente. Je crois qu’il est temps que je lance mon OPA (Opération de Patinage d’Abricot). Alors je me positionne autrement pour mieux plonger vers son entrejambe. J’aurais préféré me nicher entre ses cuisses, mais chaque chose en son temps.


Bras en appui de l’autre côté de son corps alangui, je penche fortement ma tête pour être positionné au bon endroit stratégique. Je recommence ma série de bisous. Avec plaisir, je constate qu’elle écarte un peu plus les jambes pour me faciliter l’accès. M’enhardissant, mes lèvres glissent à présent sur le fin tissu qui recouvre ses lèvres intimes. Une certaine odeur aphrodisiaque titille mes narines. Mes baisers deviennent de plus en plus appuyés.


Une fois de plus, elle écarte légèrement les cuisses. Qui ne risque rien n’a rien.


Alors je glisse ma langue sous le tissu, puis je pousse mon avantage à m’enfoncer plus loin encore sous la languette. Elle pousse un petit soupir d’aise. Du bout du nez, je repousse le bas de son bikini, et très facilement, le textile s’écarte, se nichant dans le creux de l’articulation, révélant à présent toute une belle fente toute lisse.


Inutile de dire que ma langue se fait un plaisir d’explorer cette vallée inconnue !


Je lèche, je caresse, je titille, je bois cet étrange liquide qu’elle sécrète abondamment maintenant. C’est loin d’être mauvais, je l’avoue. Puis je m’attaque à son petit bouton rose, niché plus haut dans sa fente odorante. Je me déchaîne autour de ce clitoris en feu. Elle gémit. Je continue de plus belle, replongeant de plus belle après avoir repris mon souffle.



Soudain, une main se pose sur ma tête, des doigts s’infiltrent dans mes cheveux, tandis que, sous ma langue, le corps de Justine frémit de plus en plus. Non seulement, Justine accepte ce genre de caresse de ma part, et en prime, elle va sans doute jouir. Je ne suis pas un grand spécialiste des dames et demoiselles, je commence seulement à m’intéresser à ce vaste sujet, mais je sais qu’une femme qui jouit est une femme qui y revient.



La voix de Justine devient de plus en plus rauque. Elle frémit aussi de plus en plus. Quelque chose me dit que c’est pour bientôt. Je continue mes coups de langue dans son antre.



Elle presse ma tête contre ses lèvres ruisselantes. Resserrant ses cuisses, elle coince aussi ma tête. Je m’inquiète un peu d’être bloqué de la sorte ! Son corps est assailli de soubresauts, elle gémit, elle pousse des tas de petits cris. Levant les yeux, je la vois en train de jouir. C’est étonnant, son visage irradie, on dirait qu’elle est transfigurée.


Soudain, écartant les jambes, elle repousse violemment ma tête. J’ai lu quelque part que trop de sensations pouvait être douloureux. De ce fait, je n’insiste pas, je délaisse ses lèvres intimes, afin de continuer à mieux contempler sa jouissance.


Oui, c’est beau une jeune fille qui jouit. Il doit en être de même avec une femme, une plus âgée.


Elle continue à pousser mille petits cris, tout en s’apaisant doucement. Je ne sais pas quoi faire. Est-ce que je l’embrasse ? Est-ce que je la caresse ? Est-ce que je ne fais rien ? Je décide de l’embrasser quand elle cesse de gémir. Peu importe, mes lèvres sont maculées de sa cyprine, je capture sa bouche, tout en agrippant un sein entre mes doigts voraces. Une façon de conjuguer baiser et caresse. Notre baiser dure longtemps…


Quand nos lèvres se séparent, elle garde les yeux fermés, comme pour mieux récupérer. Puis quelques instants plus tard, elle les ouvre :



Ce qui rime avec « connard ». Je ne réponds pas, je me contente de sourire. Elle aussi.




Toujours plus loin



Toujours vêtue (si on peut le dire ainsi) de son nouveau bikini, Justine récupère de ses émotions. Assise sur sa serviette, les bras en appui arrière, elle me regarde. Je me demande ce qu’elle va me dire à nouveau. Peu après, elle ouvre la bouche :



Elle se tait, je sens intuitivement qu’elle a quelque chose à me dire, et qu’elle cherche ses mots. Elle soupire bruyamment, puis se lance :



Je préfère ne pas lui demander si elle n’a pas, au moins une fois, remplacé ses doigts par un garçon, ou une fille, je ne suis pas sectaire. Elle continue sur sa lancée :



Elle se met à rougir comme un coquelicot. Elle détourne la tête, je sens que si je n’interviens pas, elle va se murer dans son silence. Pour débloquer sa gêne, je propose :



Tandis qu’elle se réajuste, je me relève, puis je lui tends la main pour qu’elle se mette debout. L’instant d’après, nous sommes tous les deux dans l’eau, à l’écart de la foule. C’est préférable, vu le bikini qu’elle porte. Mais l’a-t-elle vraiment réalisé ?


De retour sur nos serviettes, Justine me dit malicieusement :



Par jeu, je lui demande :



Je me penche sur elle pour l’embrasser gentiment. Dernière halte avant les hautes montagnes de la vaste Turpitude !



Elle marque un léger temps de pause avant de répondre calmement :



Je constate avec une certaine satisfaction qu’elle ne proteste pas, quant au fait de me sucer et que je vide dans sa bouche ! C’est un grand pas en avant ! Honnêtement, je ne pensais pas qu’elle accepterait si facilement !



Pratiquant la politique du fait accompli, je baisse mon maillot, mettant à jour mon sexe déjà raide. Puis toujours allongé, je m’accoude :



Elle est un peu étonnée par la facilité avec laquelle j’ai dévoilé mon intimité. Par bravade, elle dit avec une désinvolture que je trouve feinte :



Du menton, je désigne mon sexe en pleine forme :



Elle fait la moue :



Tant pis pour la sucette, mais je préfère m’en passer, plutôt que de mettre à mal notre relation. Je lui propose une échappatoire. Elle me regarde d’un air embêté :



Il est visible qu’elle est soulagée par ce que je viens de dire. Sa réponse me le confirme :



Je remarque que, depuis le début, elle louche quand même sur ma verge. Est-ce la première fois qu’elle en voit une de si près ? Je veux dire, celle d’un homme, pas celle d’un enfant. Pour la longueur, je pense que je suis dans une honnête moyenne. Peut-être que ma tige est un peu plus épaisse que la moyenne.


Justine cale une mèche derrière son oreille :



À ma grande surprise, elle se penche sur mon sexe et dépose un petit baiser sur mon bout. Rougissante, elle se relève et dit bravement :



Se pinçant les lèvres, elle regarde à nouveau ma verge de façon intense. Je sens qu’elle oscille, qu’il faut savoir donner un petit coup de pouce au destin. Ne rien dire, est-ce la bonne solution ? Donner un ordre, est-ce judicieux ? Faire une proposition, est-ce mieux ?



Elle ne répond rien, elle reste oscillante. À ce moment précis, involontairement, ma verge frémit un peu, une perle de sperme suinte de mon méat, faisant luire un peu mon bout écarlate.


C’est alors qu’elle se penche sur mon sexe et dépose un petit baiser sur mon bout, mais cette fois-ci, elle s’attarde. Je n’ose pas bouger. Je regarde avec attention ses lèvres posées sur le sommet de mon sexe.


Puis elle se décide à passer à l’étape suivante en commençant à lécher l’arrondi autour du méat. Sa langue caresse le sommet de ma verge et ça me fait un effet fou ! Je comprends mieux pourquoi certains hommes ne jurent que par ça. Mais entre le savoir et le vivre, il y a un monde.


Justine s’enhardit en gobant à présent mon gland et en activant l’opération sucette. Peu à peu, ma tige disparaît dans sa bouche humide et chaude. Je suis aux anges !


À présent, ma copine de vacances ramone à sa façon ma verge de haut en bas, sans toutefois y avoir mis les doigts. Bien qu’on sente qu’elle n’est pas une habituée de la chose, elle compense allègrement par une évidente bonne volonté qui fait plaisir à voir et à subir !


Tellement que je sens la sève monter irrésistiblement en moi !


Je serre les dents, je ne tiens pas à ouvrir les vannes trop tôt, car je veux pouvoir profiter longtemps du plaisir qu’elle m’offre. Mais moi aussi, je ne suis pas un habitué de la chose, et je sens que je ne vais pas résister bien longtemps !


Je préfère la prévenir :



Elle continue un peu son supplice, puis m’ôtant momentanément de sa bouche, elle me dit :



Puis me m’enfournant à nouveau, elle continue son agréable tourment autour de ma verge frémissante. Je sens comme une contraction intense, une impression étrange que je n’ai jamais ressentie jusqu’à maintenant. Pourtant, ce n’est pas la première fois que je vais bientôt éjaculer. Dans le doute, sentant que je suis à la limite de la rupture, je tapote sur son épaule comme convenu.


À ma grande surprise, elle continue à me sucer. Je tapote à nouveau, pensant qu’elle n’a pas senti le signal. Tout en continuant de s’activer, elle grogne :



Visiblement, elle a bien reçu le message. Veut-elle que j’éjacule dans sa bouche ? Je ne demande pas mieux ! Comme je suis arrivé à la limite de ma limite, je me laisse aller, inondant la bouche de Justine par d’innombrables jets chauds et poisseux.



Durant ce temps, elle continue toujours de me sucer. Je suppose qu’elle est aussi en train d’avaler en même temps. Je n’en demandais pas tant !


Je perds un peu le fil de ma pensée qui se met à vagabonder dans les nuages. Je me sens à la fois si puissant et si las. Je ne sais plus bien où est le haut et où est le bas. Soudain, j’ai le flash d’une rivière qui se déverse dans un puits. Cette image est remplacée bien vite par un état cotonneux.


Je sens confusément que ma tige se ramollit, puis que je ne suis plus au chaud.


Il me faut un certain temps pour réémerger. Justine est toujours à côté de moi, ses lèvres sont légèrement luisantes, avec une petite trace sur son menton. Je reprends mon souffle, je dois dire que cette fellation a été une très heureuse surprise :



Elle rougit un peu. Même si c’est peu diplomate, je lui demande :



Que dois-je comprendre ? Qu’elle l’a déjà fait ou pas ? Alors que je triturais la cervelle pour le lui demander, Justine commente à voix haute :



Mais quelque chose me dit que ce n’est pas la première fois qu’elle goûte à ce liquide anatomique. À moins qu’elle ne veuille pas avouer que c’est avec moi qu’elle découvre et expérimente tout ça. C’est vrai que c’est glorifiant pour un garçon d’être l’initiateur, mais parfois, il la ramène un peu trop, ce qui peut être vexant et/ou humiliant pour la fille. Justine devrait pourtant savoir que ce n’est pas le genre de la maison.


Je suis en train de me demander si son séjour en Angleterre n’aurait pas aidé à la déniaiser. Je me rappelle qu’il existe un nanar qui s’appelle « À nous les petites Anglaises », je parie que, réciproquement, les Françaises doivent posséder une bonne part dans l’imaginaire fiévreux des boys outre-Manche…



Il n’y a pas à dire, Justine joue bien le jeu ! Comme je dois justifier l’adjectif « bon » dans l’acronyme B3, je propose d’une voix doucereuse :



C’est ainsi que nous avons dégusté cinq glaces à nous deux.




Petits jeux divers



Inutile de dire que nous avons vite recommencé le jeu de l’échange de bons procédés. Mais toujours à tour de rôle, sans nous lancer dans un soixante-dix moins un.


La dernière fois, j’ai réussi à la faire jouir trois fois d’affilée. Justine était complètement épuisée. Elle a dévoré plusieurs gaufres pour s’en remettre ! Malheureusement, comme il fallait bien un petit souci au tableau, elle a fait tomber la sucrière, mais sans qu’elle se fracasse au sol.


Le corps de ma petite amie est devenu un terrain de jeu, pour mes baisers, mes caresses et mes éjaculations. Justine n’a pas fait de problème quand j’ai souhaité maculer de sperme sa juvénile poitrine dénudée. Elle m’a regardé me branler avec une grosse attention, et elle battait des mains à chaque salve qui s’est aplatie sur elle. À la fois femme et enfant…


Elle a été un peu plus réticente quand j’ai demandé le côté pile :



Je reconnais que l’idée m’a effleuré plus d’une fois. L’instant d’après, ses mignonnes petites fesses luisaient de sperme. J’ai plusieurs fois imaginé que ma semence collante s’aventurait vers une entrée interdite…


En parlant de collant, en ce qui concerne la colle, finalement, on ne peut pas dire qu’elle ait beaucoup servi. Justine en a mis une fois pour me faire plaisir, mais avec ou sans, son bikini reste parfaitement en place. Il faudra que j’imagine un autre emploi…


Je pimente parfois nos fellations. D’habitude, je reste allongé sur le dos, verge pointée vers le ciel, et elle descend sa bouche pour m’absorber. Mais parfois, je joue les machos en restant debout et en exigeant qu’elle me suce à genoux. Néanmoins, j’évite de trop abuser de cette situation, même si elle obéit.


Je me souviens très bien de ce premier essai effectué dans un bois proche de la plage…



Elle obéit. J’abaisse alors mon maillot de bain pour révéler mon sexe déjà bien en forme :



Je me suis demandé si je n’avais pas poussé le bouchon trop loin. De la main, Justine me fait un signe qui va vers le haut. Je cligne des yeux. Elle recommence son petit geste, alors je me jette à l’eau dans ce scénario de jeu de rôle :



Il y a eu comme un petit flottement, je me suis demandé si je n’avais pas mal interprété son petit geste de la main. Quand sa bouche est venue engloutir ma verge, j’ai eu confirmation que je ne m’étais pas trompé.


Le jour suivant, elle m’a avoué que se faire traiter de salope lui avait procuré un gros frisson. Et que la situation lui avait fait quelque chose dans le ventre. Mais elle a vite précisé :



Message bien reçu.


Toujours pas de pénétrations. Elle ne se sent pas prête. Je réalise soudain qu’elle n’a jamais touché ma verge de ses mains. Elle m’a sucé plusieurs fois, chaque jour depuis qu’elle a commencé, je me suis frotté sur presque toutes les parties de son corps, mais jamais, elle n’a saisi ma tige ou mes testicules.


Un oubli à réparer…




Jaillissements



Avec tout ce que nous avons pu faire les dernières fois, fatalement, nous avons encore un peu progressé sur une voie qui s’avère de plus en plus dangereuse. Je préférerais aller plus loin, mais j’avoue que le fait de pouvoir éjaculer devant elle, ou plutôt sur elle et aussi en elle (dans sa bouche), permet de diminuer singulièrement ma tension.


Pour la colle, j’ai réussi à l’utiliser de façon fun en collant deux billets de banque en guise de cache-tétons sur la mignonne poitrine de ma copine. Elle m’a traité de gros libidineux pervers, mais le concept l’a divertie. Elle s’est même amusée à danser, telle une habituée de la scène de certains cabarets et autres clubs particuliers…


Aujourd’hui, nous avons déniché un petit coin tranquille pour nous mettre carrément à l’aise, c’est-à-dire nus tous les deux. Allongés à l’abri des regards sur une double serviette, nous nous embrassons, nous nous câlinons, nous nous caressons.


Justine me dit tout bas :



Posément allongé sur le dos, je respire un grand coup, puis je lance :



Elle rougit un peu :



Je suis assez étonné par cette réponse :



J’ai connu des explications nettement plus limpides dans ma courte vie :



Frémissante, elle lance sa main vers ma verge déjà bien raide. Timidement, elle la saisit entre ses doigts puis commence un mouvement de va-et-vient. Assez vite, elle s’enhardit, ses yeux rivés sur ma tige, calottant et décalottant mon gland turgescent.



Elle y va de bon cœur. Peut-être un peu trop ! Comme je crains les problèmes, car Justine a démontré plus d’une fois qu’elle était un Miss Cata, je dois la modérer :



Du bout de l’index, je lui montre le petit bout de chair concerné :



Je ne me suis jamais posé la question. J’hasarde une réponse :



Forçant moins, elle continue son efficace branlette sur ma verge, et je sens que je vais avoir des problèmes de maîtrise. Mes testicules sont en effervescence, prêts à jouer les canonniers. Me contenant encore un peu, je le signale à ma petite amie :



Je résiste bien encore un peu, mais je sais que je vais rapidement perdre à ce petit jeu :



Un premier jet fuse, puis un deuxième, et ensuite d’autres. Dieu que c’est bon de se vider ainsi, surtout quand on s’est fait aider par la douce main d’une fille ! Bien que du sperme coule à présent sur ses doigts, Justine continue de me branler, fort intéressée par ces divers jaillissements poisseux qui perdent peu à peu leur intensité.


Ses yeux toujours largement ouverts et rivés sur ma verge qui se ramollit, ses doigts poisseux et gluants, elle me confie :



Intrigué, je la regarde attentivement, on dirait qu’elle a envie d’expérimenter quelque chose, mais qu’elle n’ose pas franchir le pas. Sa bouche entrouverte me laisse supputer une certaine direction. C’est pile ou face. Et si je me plante, elle pourra invoquer son joker.



Elle ne répond rien, elle ne me regarde pas, elle fixe toujours ma verge. Je ne sais plus où j’ai pu lire ça, mais il faut savoir insister à bon escient. Si je me souviens bien, certaines personnes disent qu’il faut formuler la chose plusieurs fois pour que le message passe, d’autres disent qu’il faut le reformuler différemment, et enfin des quidams moins subtils disent qu’il faut être impératif. En réalité, je crois qu’il faut adapter son discours en fonction de la cible visée, ce qui me semble logique.


Si je suis un bad boy, c’est normalement la troisième solution que je dois adopter (être impératif), mais rien ne m’empêche de la mélanger avec les deux autres. Et si je m’éternise trop, je risque de louper le coche. Alors je me jette à l’eau :



La réponse me semble de bon aloi. Et la suite me prouve que je ne me trompais pas. Justine commence une fellation sur ma verge empoissée, en toute connaissance de cause. Elle s’applique, indifférente à l’aspect visqueux de ma colonne. Le spectacle qu’offre sa bouche est très excitant. Les léchouilles en tout genre sont décidément une très heureuse découverte de cet été. J’adore la lécher entre les jambes et déguster sa cyprine abondante, elle ne déteste pas s’occuper de ma lance et de son liquide qui en jaillit. Finalement, les joies buccales suffisent à notre bonheur, pas besoin d’aller plus loin.


Sauf si ça se révèle encore plus… grandiose…


Même si je viens de jouir, il y a quelques instants, je ressens à nouveau une envie pressante de bientôt me vider, ma verge étant en train de durcir. Justine me regarde avec un petit sourire moqueur, du genre « je suis trop bonne ». Je ne peux la contredire, ses léchouilles étant terriblement efficaces. Pourtant, je me croyais hors service pour un bon bout de temps…


J’ai envie de lui offrir une réciproque, alors je lance ma main entre ses cuisses pour venir taquiner un petit bouton rose que je commence à bien connaître du bout de la langue. Justine écarte ses gambettes pour me faciliter la tâche.



La bouche occupée, elle ne me répond pas, mais le regard qu’elle me lance alors m’indique clairement qu’elle accepte le défi. Je ne sous-estime pas sa dextérité autour de ma verge qui va en s’améliorant de jour en jour, mais moi aussi, j’apprends vite !


Ma main toujours plongée dans son entrejambe, je m’active sur son clitoris afin de la faire jouir, car j’adore quand elle décolle vers le septième ciel ! Son corps frémit de plus en plus, parcouru par divers vagues électriques. Ses membres s’agitent, sa bouche perd parfois le rythme.



La bouche pleine, l’endurance de Justine commence à faiblir. Je m’active plus encore. Elle résiste encore, mais difficilement. Soudain, elle délaisse ma verge et se laisse aller :



Bien sûr, j’obéis.



Étonné par cette demande, j’obéis une fois de plus. Visiblement, Justine souhaite aller plus loin, mais si elle est encore vierge, est-ce que je ne risque pas de la déflorer ? Réunissant la plupart de mes doigts pour former un cône, je les enfonce entre les lèvres détrempées, essayant de jouer le diamètre plutôt que la longueur.



Sous cette intrusion qu’elle a demandée, Justine déflagre et jouit comme une petite folle. Elle se tord dans tous les sens, les membres convulsés, le corps contracté et zébré de vagues de plaisir. Dans un dernier cri, elle se tend comme un arc, reste figée quelques instants, avant de retomber sur mon ventre tel un paquet de linge, complètement vidée, épuisée par la jouissance qu’elle vient d’éprouver.


Tandis qu’elle récupère peu à peu, je caresse délicatement ses cheveux…


Le temps semble suspendu.


Immobile.


Figé.


Blottie contre moi, sa main sur mon torse, ayant récupéré, elle me confie :



Je n’en saurai pas plus. Mon instinct me dit que je vais attendre très longtemps, ça ne sera ni pour aujourd’hui, ni pour demain, ni pour un autre jour. Autant tourner la page, d’autant que nous avons franchi un nouveau cap, elle et moi.


Ce en quoi je me trompais, car Justine murmure :



Elle a confiance en moi. À moi de ne pas la décevoir, ce qui n’est pas mon intention. La serrant un peu plus contre moi, je me dis que nous aurions pu passer cet été sans tomber dans les bras l’un de l’autre, et que ç’aurait été une grande perte !




Révéler ou cacher



Nous venons à nouveau de faire nos petites affaires. Collés l’un contre l’autre, en tenue d’Ève et Adam, nous nous reposons. Je décide d’aborder un sujet qui me turlupine depuis quelques jours, voire depuis le début de notre relation devenue souvent horizontale :



Je me gratte la tête :



Elle propose une solution pour couper la poire en deux :



Elle fait la grimace :



Ainsi, Justine semble vouloir que ça dépasse une simple amourette de vacances. Pour ma part, je ne suis pas contre. J’aurais préféré que nous habitions plus près l’un de l’autre. Et puis, avec le retour à la vie normale, est-ce que notre relation tiendra ? Je ne sais pas, mais si nous n’essayons pas, nous ne le saurons pas.



Elle me regarde avec des yeux brillants :



Elle continue de me regarder avec ses yeux tout brillants :



Se blottissant fortement contre moi, elle se met à rire !



Voulant changer de conversation et pour oublier un avenir moins ensoleillé, assez égoïstement, j’avoue une fantaisie facile à assouvir, puisque déjà assouvie auparavant :



Quelques minutes plus tard, momentanément épuisé, j’ai l’immense plaisir de contempler mon sperme luisant sur les seins dénudés de ma petite amie. Ses tétons érigés sont tout empoissés, quelques rigoles descendent sur le côté. Oui, c’est un beau spectacle !



Elle commence à s’essuyer, aidée d’un rouleau d’essuie-tout :



Ayant presque tout enlevé, me fixant droit dans les yeux, elle devient plus sérieuse :



Je la regarde à mon tour :



Je deviens moi aussi plus sérieux :



Elle s’apprête à ouvrir la bouche, sans doute pour protester. Je pose ma main sur ses lèvres :



Amusée, Justine écarte ma main :



Je m’apprête à la capturer dans mes bras pour l’embrasser, elle résiste un peu :



Je la serre un peu plus contre moi :



Cette fois-ci, elle ne résiste pas quand je l’embrasse.


Pour l’instant, tout va pour le mieux. Je me demande fugacement quelle sera la suite des événements, une fois les vacances terminées. J’espère pouvoir continuer ma relation avec Justine. Mais peut-être est-ce entre nous juste un gros flirt d’été, un été de porcelaine, comme l’a chanté Mort Shuman (je ne compte plus le nombre de fois où ma mère a pu me bassiner avec cette chanson ! ).


L’avenir me dira quoi ? En attendant, je compte bien profiter de ces quelques jours qui nous restent à passer à deux avant l’échéance.