n° 21918 | Fiche technique | 21315 caractères | 21315Temps de lecture estimé : 15 mn | 27/07/23 |
Résumé: Pour apprendre, rien ne vaut l’exemple et la pratique. Une soumise en herbe progressera mieux si elle est appariée à une compagne émérite. Il suffit de les harnacher à l’identique. | ||||
Critères: fff fagée jeunes campagne fsoumise fdomine voir exhib odeurs caresses jouet uro fouetfesse piquepince | ||||
Auteur : Dyonisia (Rêves et autofictions… souvenirs et confidences…) Envoi mini-message |
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Résumé des épisodes précédents :
La roue tourne, Maîtresse hier, Soumise aujourd’hui. Chacune qui le veut s’essaye sur elle à la domination. Mais tendre ou sévère, le jeu n’échappe pas aux règles de l’amitié amoureuse.
Non, la chambrière n’était pas pour moi. Martine a inventé un nouveau jeu. Nous sommes descendues du Donjon dans la Basse-cour – le jardin, quoi – en procession solennelle de sept aubes blanches, notre Reine en tête, et Colette nue trottinant devant nous. Je fermais la marche, chargée d’un coffret que des mains obligeantes m’avaient confié. Une fois arrivées, Martine a tiré sur les rênes et sa cavale s’est arrêtée. Une traction de plus l’a mise à genoux. Martine a insisté et j’ai retrouvé Colette dans la position obscène où je l’avais surprise un matin de début Avril, il y a quatre mois, il y a un siècle.
Les épaules au sol, les seins traînant à terre, le cul en l’air, Colette attendait, les cuisses écartées, la base d’un gode trônant entre les créoles de ses nymphéas. Martine m’a fait signe d’approcher et a choisi divers accessoires dans le coffret. Puis, elle s’est tournée vers Marie.
Les yeux de Marie avaient brillé en répondant à la première question. Je m’attendais presque à l’entendre dire « chiche ! », comme à son habitude. Mais la seconde la plongeait dans un abyme de perplexité. Il a fallu lui en expliquer les raisons et la nécessité.
Décidément, il lui tient à cœur, ce mot. Qui incite pourtant l’autre à surenchérir plutôt qu’à s’abstenir de continuer… Inconsciente jeunesse !
Ma Marie est nue maintenant, bien moins sûre d’elle en contemplant d’un air perplexe l’objet que sa Maîtresse vient de lui fourrer dans la main, et qui du coup s’impatiente.
Je crois qu’en effet la bête serait trop grosse pour le petit fondement de ma puce. Elle a déjà du mal à l’enfourner dans sa bouche et nous amuse en s’escrimant maladroitement à mener à bien ce simulacre de fellation. Un bon entraînement, au fond, qui pourra lui être utile le jour où elle se décidera à fréquenter les garçons. Elle finit par s’acquitter honnêtement de cette première partie de sa tâche. Reste la plus délicate : introduire où il convient l’instrument.
Marie est embarrassée devant le postérieur que lui présente Colette. Celle-ci est passive, celle-là hésite. Un bref mouvement du poignet, et la mèche du fouet de Martine lui caresse les fesses. Un léger claquement, à peine une faible marque rose sur la peau, mais qui suffit à décider l’indécise. Elle appuie le bout du plug sur le cratère offert. Le grand soupir de sa résolution nous parvient quand elle l’enfonce. Un peu trop brutalement, sans doute, à voir le sursaut que ne peut réprimer la réceptrice. Mais sa plainte involontaire est presque inaudible et l’intrus dans son cul est bien en place.
Marie se redresse, partagée entre remord et fierté, pour se faire aussitôt héler par Martine.
Marie tremble, je vois des frissons qui agitent son dos. Elle doit rassembler tout son courage pour ne pas flancher devant ses aînées et Anaïs. J’ai pitié d’elle. Je la serre contre moi, mes mains prenant ses seins pour la rassurer. Elle s’agrippe à mes bras, sa nuque nichée au creux de mon épaule. Je lui murmure à l’oreille qu’elle peut tout arrêter. La voix lui manque, mais elle remue la tête pour dire non. Elle veut savoir.
Martine la regarde intensément en lui montrant les deux simples pinces plates prolongées d’un anneau qu’elle tient dans la main. Puis, elle lui parle presque affectueusement.
Marie obéit, ses doigts se crispent sur ma peau. Sa respiration se bloque lorsque les mors en plastique se referment sur sa chair fragile. La première pince est posée.
Cette fois, ce sont les ongles de Marie qui s’incrustent dans mes avant-bras. Par réflexe, je serre plus fortement ses seins. Une douleur qui la distrait de l’autre, confondant leurs ondes dans son ventre. Un petit gémissement conclu la pose de ses nouveaux ornements. Elle se détend. Je relâche ma prise. Martine est toute douceur.
Le petit cœur de Marie bat la chamade, je le sens sous ma paume. Sa poitrine palpite, elle frissonne, mais ses fraises sont tendues. Je les caresse du bout des doigts et tout son corps frémit contre moi. Instant d’incertitude que je ne trouble pas, trop excitée par la communion de nos sens. Je sais ce qu’elle éprouve, la peur et le désir, la tentation et le refus. Je connais ce trouble, ma chatte est aussi mouillée que la sienne. À elle seule de faire son choix.
Ce n’était qu’un souffle, un murmure, qui fait naître un sourire sur les lèvres de Martine. Sur celles aussi de nos autres compagnes dont je comprends soudain que nous avions capté l’attention. Toutes semblent soulagées et ravies par la décision de Marie. À l’exception de Colette, qui reste impassible comme il sied à une soumise confirmée. Et de Anaïs, tétanisée par la scène qu’elle observe, en s’y projetant peut-être.
Tout en fouillant à nouveau dans le coffret, Martine s’adresse à moi.
Je m’exécute. Le sang pulse sous la pulpe de mon pouce quand j’étrangle les bouts de seins de ma puce adorée qui s’abandonne dans mon giron. Je dépose des bises tendres sur sa tempe pour me faire pardonner. Elle n’a pas encore osé regarder, je crois, ce qui décore à présent sa craquette. De fait, elle n’a d’yeux que pour la petite mâchoire d’acier brillant qui s’approche et happe son téton. Martine tourne progressivement la molette en observant les effets de son geste sur le visage de mon amour, et s’arrête enfin sur un tressaillement qui me fait trembler d’inquiétude.
Elle desserre légèrement l’emprise de la pince avant d’en vérifier la bonne tenue. La traction qu’elle exerce fait sursauter Marie, et moi aussi, par empathie. Le clamp est bien fixé sur sa proie. Martine peut officier sur l’autre téton, avec le même soin et la même attention. La même vérification aussi, et les mêmes conséquences qui nous font encore frémir pendant qu’elle fixe deux longues chaînettes aux pinces des seins. « Comme Colette », avait-elle promis…
Je sais l’endolorissement des seins de Marie. Je les masse tendrement là où je peux pour atténuer sa peine. Je ne cherche pas à caresser sa minette, les morsures sur ses nymphes en seraient avivées. Je me contente de câliner sa poitrine en lui murmurant des mots affectueux et des compliments pour son courage dans mes baisers sur sa joue. Ma langue efface les larmes qui perlent de sa paupière, tièdes et salées. Je veux tellement la consoler et la féliciter que je ne réagis pas tout de suite quand Martine me sollicite.
Marie a capitulé, de toute façon. Avec un grand soupir, elle a d’elle-même passé ses mains derrière ma nuque pour s’accrocher. Je la prends sous les genoux et je me redresse. Elle est lourde, ma petite chérie. Je dois me raidir pour la supporter, ses cuisses bien écartées et sa craquette offerte. Je ne vois pas, mais je devine les anneaux qui balancent au bout de ses longues petites lèvres. Un joli tableau devant lequel se penche Martine.
Aux mouvements de ses poignets, je comprends qu’elle a saisi délicatement les ornements de la chatoune et qu’elle les éloigne l’un de l’autre. Son sourire et le frisson de Marie témoignent des effets de son geste sur la fente. Ses yeux s’illuminent et son sourire s’élargit quand elle approche le nez de la fourche ouverte. Elle inspire à pleins poumons puis se recule en riant.
Dire qu’une bousculade s’en suit serait exagéré. Après tout, elles ne sont que trois à réagir, Anaïs est déjà à proximité. Mais elles la rejoignent dans un empressement joyeux tandis que Martine requiert impérativement ses services.
Quatre mains sous les cuisses de Marie, cela commence à faire beaucoup. Néanmoins, je ne vais pas me plaindre de ces soutiens supplémentaires : je commençais à fatiguer. Ils seront les bienvenus aussi pour neutraliser un réflexe inopportun de fermeture. Ce n’est pas le cas pour l’instant. L’angle de vision est largement ouvert et son centre franchement exposé attire d’intéressants commentaires qui font rougir l’intéressée malgré sa résignation.
C’est à celle qui fera montre du meilleur sens de l’observation. L’une remarque la profusion d’une cyprine pourtant si légère au toucher. L’autre pointe la turgescence du bourgeon qui émerge de sa cachette. Celle-ci admire la palpitation des muqueuses intimes et en décrit les détails. Celle-là s’extasie sur le charme de l’étoile bistre du cratère mis en valeur par la position. Un vrai concourt des beaux-arts licencieux !
Elle y farfouille quelques secondes et se redresse avec une exclamation de satisfaction en brandissant un gode de taille médiocre, mais qui résonne de façon étrange dans sa main. Elle l’agite gaiement à mon oreille et je crois reconnaître un vague son de maracas. Il enferme, semble-t-il, deux objets lourds qui butent contre l’enveloppe souple. Je spécule sur un olisbos extrapolé des classiques boules japonaises, ce que me confirme le clin d’œil de la malicieuse rousse, toute fière de sa trouvaille.
Ce n’est pas un élégant Bourdalou que lui propose Bénédicte, mais une vulgaire bassine en zinc qui fait entendre une belle musique sous le jet fusant qui la frappe. J’imagine le plaisir de ma petite puce en vidant sa vessie, comme je sens contre ma joue la sienne brûlante de honte à rejouer la « Janneke-piss »face à l’aréopage de maîtresses. Et ça dure, ça dure… Ça dure trop au goût de Martine qui s’agace.
Marie a un semblant de refus en voyant les ustensiles en question, mais Martine approuve vivement la suggestion de Janine. Alors, la tête de Marie retombe sur mon épaule et un gros soupir s’échappe de sa bouche.
La boutade fait rire les copines, mais pas Anaïs qui prétexte son manque d’expérience.
Le langage est grossier, mais le conseil est pertinent. Anaïs le suit à la lettre, et la position et le consentement du sujet aidant, le petit plug s’insère facilement entre les fesses ouvertes. Tout juste si les doigts de Marie se sont-ils crispés sur ma nuque lors de l’intromission avant qu’elle ne frissonne et soupire à nouveau, de plaisir cette fois. Sa joue est moins chaude sur la mienne, la coquine y prend goût. Je sens son sourire quand Andréa prend la place de Anaïs entre ses cuisses.
Andréa m’avait étonnée par sa souplesse, elle me surprend par sa douceur. Il y a de la tendresse dans ses gestes lorsqu’elle introduit le godemiché et c’est avec délicatesse qu’elle écarte les nymphes pour ne pas raviver la morsure des pinces. Puis, elle le pousse lentement dans le vagin en prenant garde de ne pas le forcer. Mais ma petite chérie est si mouillée que le plastique glisse tout seul, et si excitée que c’est elle qui projette son bassin à sa rencontre.
Quand elle se retire, le gode est clipsé sur les anneaux des pinces, et Martine lui succède pour faire rapidement passer, à travers chacun d’eux, chaque chaînette des seins – « Comme Colette », avait-elle dit, n’est-ce pas ? – avant d’ordonner la remise sur pieds de la patiente. Pour ma part, je n’en suis pas fâchée. Même avec de l’aide, mes reins finissaient par peiner à supporter son poids, et la voir harnachée telle une réplique plus jeune de notre hôtesse est assez plaisant, bien que je compatisse à sa peine et à son embarras.
Les poignées des chaînes/rênes dans une main, la chambrière dans l’autre, Martine dirige Marie vers Colette, et d’une traction prolongée l’oblige à prendre la même position. Les voici donc agenouillées côte à côte, la nouvelle et l’ancienne soumises, leur poitrine au sol, leur cul en l’air, leurs pieds nus reposant sur les orteils et sagement écartés pour laisser ouverte la fourche des cuisses. L’une s’abandonne avec la patience d’une longue habitude, l’autre s’y efforce avec l’inquiétude d’une récente pratique.
Martine s’amuse à promener la mèche de son fouet des voûtes plantaires sans défense aux intimités offertes. Caresses légères et virevoltantes qui font frissonner les peaux exposées de la crainte d’une soudaine morsure du cuir. Il ne s’agit pourtant que de distraire une attente, mais l’incertitude d’une douleur prochaine en aiguise la peur. La Maîtresse joue de cette sourde anxiété pour prolonger le doute jusqu’au retour de Bénédicte nantie des baskets réclamées, et aussitôt mise à contribution.
Elle ne cesse de faire voleter la lanière d’une échine à l’autre tout le temps de ce ferrage, et lorsque les fers/baskets sont enfin en place, ce sont deux claquements secs qui réveillent les croupes.
Je n’ai pas à me poser la question, le petit sac à dos que me tend Andréa fera office de bât. Elle me confie le soin d’en harnacher la pouliche tandis qu’elle équipe de même sa voisine. Ce n’est pas si simple de disposer les bretelles en travers du jeune poitrail avec les pinces et les chaînettes qui l’entravent, mais en prenant exemple sur les gestes de ma compagne je m’en tire honorablement. C’est un peu serré, peut-être, mais au moins nous n’aurons pas besoin de re-sangler en cours de route, si j’ai bien deviné quel est le but de ces préparatifs : une promenade vers le « petit Nice » de Colette, à en juger par les bouteilles d’eau embarquées dans les sacs.
La remarque de Andréa, plantée devant l’attelage, me conforte dans mon hypothèse.
Allons bon ! Encore une métaphore équestre, mais de quelle bride s’agit-il ? Là aussi, il me suffit d’observer Andréa pour comprendre. Elle s’empare du bout du téton gauche de Colette, je fais de même avec le droit de Marie. Il est dur et gorgé de sang. Ma puce chérie lutte pour supporter courageusement sa géhenne, tandis que Martine inverse les « guides » fixées au sein gauche de l’une et au sein droit de l’autre. Elles auront intérêt à coordonner leurs pas et leurs mouvements pour ne pas s’infliger des tiraillements supplémentaires de leurs poitrines et de leurs chattes.
Pour l’instant, elles sont immobiles, épaule contre épaule, deux cavales appariées dont la mieux dressée est le mentor de la postulante. Leurs harnais brillent au soleil, éclats d’acier des pinces et des chaînettes qui barrent les bustes, éclats de bronze des créoles qui ornent les entrecuisses. Des perles de sueur s’irisent çà et là sur les peaux nues qu’une transpiration sournoise envahit peu à peu. Les crinières s’agitent parfois, lorsqu’un insecte importun sur une joue s’abreuve. Les têtes bougent alors, mouvements contrôlés qui se gardent d’accroître les tensions sur les zones sensibles des corps.
Je les contemple de dos pendant que nous chaussons nous aussi nos protections pédestres. Hormis les poils gris ou bruns qui les coiffent et une légère différence de hauteur, rien dans leur tournure ne distingue vraiment ces deux silhouettes sans voile. Je suis à nouveau frappée par la jeunesse d’allure que Colette conserve. Sa taille n’est pas moins marquée que celle de Marie, ses hanches ne sont pas plus empâtées, ses jambes ne sont pas moins bien dessinées, ses fesses n’accusent pas de mollesse qui fâche et soutiennent sans rougir le voisinage de leurs cadettes. Ah, si, à ce niveau un contraste : la largeur de la base des plugs anaux qui pénètrent les culs.
Et à mieux regarder, je distingue autre chose lorsque me sautent aux yeux, luisantes et ténues, les traces maculant les cuisses de Marie. Les effets pernicieux des œufs de geisha me reviennent en mémoire. Garnie d’eux par Colette, quelques minutes et la courte distance entre maison et voiture avaient alors suffi pour me faire éprouver des frissons délicieux. Des mêmes causes, donc, les mêmes conséquences, ma petite chérie mouille autour de son gode, japonais de concept sinon de création. Une ardente jument se passe d’étalon. Ne manque que la queue. De crin ! Que n’allez-vous penser ?
Oui, une queue de cheval adroitement placée embellirait au mieux chacune de ces croupes. Je m’en ouvre à Janine qui se désole aussi d’un manque d’accessoires complétant le tableau. Sans doute existent t’ils, là-haut dans le donjon, mais aller les chercher nous retarderait trop. Il faudra les prévoir si ce jeu de poneys nous excitait assez pour le renouveler. Je me prends à rêver du rôle de Marie… Mais accouplée à qui ? Andréa, par exemple ?
Pourquoi pas ? L’image me séduit. Mon sein étiré vers sa chatte, et le sien vers la mienne, nos tétons tourmentés par les pinces cruelles, nos lèvres enjolivées des créoles attachées, un gode dans le con, un gode dans le cul, les rênes en chaînettes nous caressant la fente et, comme maintenant, réunies par derrière dans la main de Martine qui agite son fouet…
D’un geste ample et noble, la Maîtresse a claqué le signal du départ. Curieux bige et curieuse aurige qui s’ébranlent au petit trot en direction de la forêt. Nous suivons, cinq dames blanches en file indienne, supputant joyeusement les plaisirs à attendre de cette balade. Le sentier est étroit et accidenté, il y a pas mal d’obstacles à surmonter. J’imagine la danse des lourdes billes dans le gode creux de Marie, avec tous ces tressautements…
A suivre