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Temps de lecture estimé : 21 mn
15/10/23
Présentation:  Une histoire de vacances qui se déroule dans les années 80.
Résumé:  Aujourd’hui est le jour de Donia. La brune copine de ma cousine semble vouloir elle aussi profiter de sa journée, mais c’est moins ostensible, car la demoiselle est plutôt réservée.
Critères:  fh jeunes vacances voir caresses fellation cunnilingu init
Auteur : Patrik            Envoi mini-message

Série : Une histoire de porte

Chapitre 03 / 05
J’ai bien fait – Donia

J’ai bien fait – Donia





Une histoire de vacances qui se déroule dans les années 80. Bonne lecture : )



Résumé


Je sais que je n’aurais pas dû, mais voilà, je l’ai quand même fait. En vacances avec la famille, j’aurais dû toquer à la porte de la chambre que ma cousine Clara et ses deux copines (Blandine et Donia) occupent. Au lieu de ça, j’ai ouvert précipitamment la porte en criant à moitié :



Puis je suis resté, bouche bée, les bras ballants, la bouche grande ouverte et les yeux bien ronds.


Visiblement ma chère cousine et ses deux copines avaient trouvé une occupation en attendant que la petite pluie cesse. Elles sont toutes les trois nues de la tête au pied, si on excepte un collier pour la copine blonde, et leurs corps sont, comment dire, enchevêtrés sur le matelas inférieur du lit superposé.


Je vous épargne le reste puisque tout a déjà été relaté dans un précédent texte. Mais pour résumer le résumé, sachez que :



Je ne regrette absolument pas d’avoir ouvert cette porte, car ça m’a ouvert bien de nouvelles possibilités. Clara et moi nous avions planifié de nous répartir alternativement la compagnie des deux filles extérieures à notre famille.


Ah oui, j’oubliai : moi, c’est Alex.




Après la porte ouverte



J’ai pu passer une journée complète avec Blandine, en bord de mer, seuls tous les deux. J’ai maintenant une petite idée du nirvana. Non, nous n’avons pas consommé, elle ne le souhaitait pas, et moi, ça m’arrangeait aussi, car ses besoins et les miens étaient satisfaits, sans que je doive monter ma science sexuelle concernant la pénétration, d’autant que je suis un néophyte complet dans les joies des vis et des écrous.


Nos bisous, nos frotti-frotta, nos jeux de lèvres et de langues permettent déjà bien des choses, sans aller risquer une grosse mésaventure qui met neuf mois à se concrétiser à l’air libre.


Blandine est une fille parfaite pour découvrir sans complexe les joies du sexe et des différences entre les hommes et les femmes. Et elle possède des belles différences toutes en courbes !




Donia matin



Aujourd’hui est le jour de Donia. La brune copine de ma cousine semble vouloir elle aussi profiter de sa journée, mais c’est moins ostensible, car la demoiselle est plutôt réservée.


Une fois de plus, nous sommes partis en pique-nique, soi-disant à quatre, toujours sans casque, cheveux au vent. Tandis que je conduis le scooter, Donia se colle fortement contre mon dos, sa joue sous ma nuque. Mais elle ne prend pas d’initiative, contrairement à Blandine.



Donia soupire d’une curieuse façon :



Un silence s’installe, je parie qu’elle rougit. Je change de sujet :



À ces mots, je cligne des yeux, mais je ne peux pas me retourner pour la dévisager, ce n’est pas indiqué quand on roule :



Je sens qu’elle tremble un peu :



Elle se tait, puis elle reprend la conversation :



Je tourne à droite au carrefour :



Je dis distinctement ce qui me semble être le nœud du problème :



J’explique les choses telles qu’il me semble qu’elles soient :



Elle se serre plus contre moi :



Comme je manque d’imagination, je retourne à deux cents mètres de l’endroit où j’ai été avec Blandine. Il ne s’agit pas vraiment du fond de la baie qui est trop vaseux, mais d’un endroit assez proche et propre. Une fois sur place, j’installe les serviettes de la même façon. Durant ce temps, Doria se met en maillot de bain. Elle était venue en vacances avec un maillot une-pièce assez informe, mais les filles lui ont prêté deux bikinis plus dans l’air du temps. Aujourd’hui, elle porte le vert et blanc, un classique du genre avec des nœuds sur le côté.


Donia s’assied en premier. Je l’accompagne. Elle demande :



Elle regarde fixement devant elle, vers la mer :



Elle regarde toujours devant elle :



Je tombe des nues :



Elle me regarde enfin, mais pas dans les yeux :



Donia se met à rougir :



À ces mots, je m’étonne :



À ces mots, je me rappelle la fameuse scène où les trois filles étaient joyeusement emmêlées, nues, se faisant des privautés :



Je sais que certains pères sont stricts mais à ce point ! Quoique… le père de Jean-Bernard n’est pas triste dans son genre, aussi bien pour ses filles que pour ses garçons ! Je décide de prendre les choses en main à ma façon :



Elle obéit, s’allongeant sur le dos. Elle ferme très vite les yeux à cause du soleil.



Elle se laisse aller, un petit sourire s’affiche sur son visage.



Quelques minutes s’écoulent, les yeux clos, Donia est de plus en plus détendue. J’attends encore un peu, la laissant être envahie par la quiétude. Sa respiration est lente, calme. Me mettant à angle droit, agenouillé sur le côté, je me penche sur elle pour déposer mes lèvres sur les siennes.


Elle frémit juste un peu, mais ne bouge pas, n’ouvre pas les yeux. Alors je m’enhardis, mon baiser devient plus appuyé. Elle ne proteste toujours pas, entrouvrant les lèvres. Alors je m’enhardis un peu plus, glissant ma langue, cherchant la sienne. Nos salives fusionnent.


Fébrile, je pose ma main sur son ventre, j’ai besoin de son contact. Nos bouches se soudent. Visiblement, Donia n’est pas en mode passif, elle participe. Parfois nos dents s’entrechoquent, mais nous passons outre. Ma main remonte légèrement. Notre premier vrai baiser continue, encore et encore. Il est différent de ceux que j’ai avec Blandine. Deux filles, deux façons.


Me souvenant du moment où j’étais plaqué sur son dos, ma main glisse encore plus haut, mon pouce et mon index enserrent la base d’un mignon sein. Donia se laisse faire, alors je capture posément son mignon lolo que je caresse voluptueusement.


Puis arrive le moment où nos lèvres se séparent. Je me demande si je n’en ai pas fait un peu trop. Toujours allongée sur le dos, Donia regarde avec un grand sourire :



Détendue, elle se lève prestement :



Elle capture ma main, je crois savoir qu’elle souhaite une prolongation de la séance baiser. Ce que nous ferons toute la matinée, sur la plage, dans la mer, derrière les arbres. Avec divers câlins et caresses. Après un nouveau bain, de retour sur notre grande serviette, elle me demande :



Elle s’allonge sur le ventre :



Peu après, je constate qu’elle s’est carrément endormie. Tout à l’heure, sur le scooter, elle m’a avoué qu’elle avait mal dormi, assez stressée par notre journée d’aujourd’hui. J’en profite pour la contempler : elle ressemble à une enfant, avec un petit quelque chose d’une femme.




Donia sieste



Je contemple avec attendrissement ma compagne de jeu et du jour en train de dormir. Je ne suis pourtant pas du genre à m’émouvoir, mais avec elle, c’est plus fort que moi. J’éprouve une vague culpabilité à l’entraîner dans des jeux un peu spéciaux, quoique ma chère cousine ne se gêne pas trop. Mais mon côté ludique et pervers me dit que Donia est la proie, pardon, la personne rêvée pour mener à bien diverses expériences…


Pour passer le temps, je barbotte parfois dans la mer. J’aurais dû prendre un livre, ou bien un papier et un crayon pour noter les diverses idées qui fusent dans la tête. Alors que je pense à diverses choses, assis à côté de Donia, je l’entends s’exclamer :



Je regarde dans le sac où j’ai laissé ma montre :



Il y a des choses à ne pas me demander ! Je suis parfois profiteur à mes heures. La regardant dormir, des idées curieuses me sont venues en tête.



M’agenouillant à côté d’elle qui toujours allongée sur le ventre, j’affiche un grand sourire



Elle me regarde d’un air suspicieux :



J’évite de répondre. Une autre idée vient de germer en moi :



Bonne initiative, ma petite Donia. Je propose :



Avec Blandine, c’est plus simple. Mais quelque part, ce jeu de couleur permet d’éviter bien des maldonnes. Je reviens à la charge :



Toujours allongée sur le ventre, elle m’adresse un petit sourire :



Je défais les deux nœuds, un de chaque côté, puis je repousse le tissu sur ses cuisses, dévoilant un splendide popotin. Je l’ai déjà vu, je me suis même honteusement frotté dessus, mais aujourd’hui, je vais pouvoir en disposer de façon plus large !


J’ai trop faim de ces fesses pour m’attarder à les contempler. Tout en caressant une fesse, j’embrasse l’autre. Donia frémit un peu, mais ne dit rien. Puis lentement, je me laisse aller à dévorer ce beau cul qui m’est gracieusement offert. Ma partenaire ne dit rien, se laissant faire, bien que le curseur commence à monter lentement.



Je continue à m’occuper des deux beaux hémisphères de son séant. Au bout de quelques minutes, n’y tenant plus, je sors mon sexe bien raide de mon maillot, puis je le frotte sur la belle masse qui me fait face. Pas très rassurée, elle tourne la tête vers moi :



Elle me regarde d’un air inquiet. Je précise :



Elle ne répond rien. Mes genoux encadrant ses cuisses, je m’installe à quatre pattes au-dessus d’elle, ma verge posée sur une fesse bien ronde. Puis je m’allonge à moitié. Très vite ma tige vient se loger le long de sa raie, comme durant notre fameux bisou de la première fois. Sans complexe, je me frotte avidement sur elle, avec la ferme intention de me libérer de toute ma tension.



La délivrance arrive très vite. Un premier jet vient maculer le creux du dos de ma partenaire. Les autres jets s’égarent sur son popotin qui devient peu à peu luisant. J’adorerais glisser mon gland à l’orée de son petit trou, mais je me dis que ce serait abuser de sa confiance en moi.


Quelques instants plus tard, vidé, épuisé, je m’affale à côté ma brune partenaire :



Je caresse sa joue. Elle me sourit, puis elle me confie :



Je continue de caresser sa joue, elle apprécie. Un peu plus tard, elle murmure :



J’écarte une de ses mèches brunes :



Nous restons ainsi quelques instants. Puis je me relève :



Elle rougit fortement. Elle regarde aux alentours, puis elle se lève à son tour, je capture sa main, et je l’entraîne dans l’eau.




Donia après-midi



Dans l’eau, j’en profite honteusement pour l’embrasser, la caresser, la câliner, plein d’autres choses, en plus de nettoyer son popotin souillé par mon sperme. J’ai constaté que j’adorais que mon sperme souille la peau des filles qui m’excitent. Comme pour laisser une trace sur elles…


À chacun ses petites manies…


De retour sur la serviette, elle accepte de rester cul nu, tandis que nous déjeunons. Elle s’allonge même parfois sur le ventre pour que je profite du spectacle. Elle semble apprécier qu’on la désire de la sorte. Le repas fini, accroupie, elle soupire :



Du doigt, je désigne sa menue poitrine cachée par deux triangles de tissu :



Après avoir jeté un coup d’œil aux alentour, Donia dénude son buste. Aussitôt, je couvre ses petits seins de mille baisers, croquant parfois délicatement ses tétons déjà érigés. Elle semble aimer ma ferveur. Soudain, il me prend la fantaisie de m’attaquer à son sein droit.



Inutile de préciser que j’ai obtempéré tout de suite !


J’arrive à tout mettre dans ma bouche, c’est la première fois que ça arrive. Ce serait impensable avec les melons de Blandine. Posséder ainsi cette douce masse me met en émoi. Avide, je dévore son petit lolo. Puis lentement, je le fais ressortir afin de mieux me focaliser sur son aréole puis son téton. Donia s’est laissée faire, elle a même soupiré d’aise plusieurs fois.


Je reprends mon souffle, puis je m’adresse à ma voisine :



Elle rougit tout en s’exclamant :



Elle caresse ma joue, c’est bien la première fois :



Laissant sa main sur ma joue, elle s’interrompt pour mieux chercher ses mots. J’attends la suite sans la déranger. Puis elle enchaîne :



Elle respire un grand coup. Puis elle termine son discours :



J’embrasse le creux de sa main :



Délicatement, je l’allonge sur le dos, j’écarte ses cuisses pour venir nicher ma tête tout près de son fruit odorant que je déguste aussitôt. Un abricot tout lisse, aidé par le miel si je me souviens bien, une tradition d’après elle.



Sous mes lèvres voraces, elle décolle dans mille petits cris, inondant ma bouche de cyprine, comme un petit jet. Je suis un peu surpris, ce genre de chose ne s’était pas passé la première fois, ni avec Blandine. Mais c’est une nouveauté que je ne déteste pas !


Elle revient à elle :



Couché à ses côtés, je la serre contre moi :



Non, je ne suis pas certain, je suppose. Comme explication, je propose une image :



Je parle trop vite ! Mais je réussis à trouver rapidement un exemple :



Puis pour la faire taire, je lui vole un baiser. Elle me le rend aussitôt. Puis nous enchaînons un nombre incalculable de bisous. Puis main dans la main, nous nous reposons sur la serviette.


Mais je n’en ai toujours pas assez, j’ai envie de plus, toujours plus de cette fille qui me fait un effet étrange, différent de Blandine. Me tournant vers elle, je lui demande :



Elle ne répond rien, mais ses yeux brillent.


Quelques instants plus tard, j’ai l’immense plaisir d’être collé contre son dos, ma verge bien dure sur ses fesses fraîches, mes mains affamées sur ses mignons seins, et ma bouche vorace dans son cou si doux. C’est délicieux !


Emporté par mon élan, je la plaque contre un arbre, sans cesser de capturer ses lolos. Elle ne proteste pas, et ses gémissements sont d’une autre nature que la peur ou la douleur. Je continue toujours de l’embrasser dans le cou, tandis que mon sexe en rut se frotte impudiquement sur les belles masses postérieures.


C’est à présent entre ses hémisphères dodus que ma tige coulisse, comme dans une sorte de branlette espagnole avec des seins en moins et des fesses en plus. Trivialement, une nana qui a un gros cul, c’est tout aussi bien qu’une fille qui a des gros nichons ! Qu’est-ce que ça doit être si la femme possède les deux en même temps ! Peut-être qu’on ne sait plus par où commencer, à l’image de cet âne mort entre les carottes et le baquet d’eau…



Oh merdum ! Je ne l’ai pas vu venir ! J’éjacule de tout mon saoul, sans savoir contrôler quoique ce soit ! Je suis en train de nous souiller de sperme tous les deux. Encore heureux que la mer soit à deux pas ! Peu après, je libère ma captive :



Délaissant le tronc, elle me fait face :



Elle ne répond rien. Elle regarde curieusement mon sexe poisseux en berne. Amusé, je lui dis :



Sans lâcher des yeux ma verge molle, elle répond simplement :



Elle devient écarlate. Elle murmure quand même :



Baissant la tête, elle ne répond pas. À sa grande surprise, je la capture dans mes bras, pressant ses menus seins contre ma poitrine. Elle me regarde avec ses grands yeux sombres. Puis d’une main, je la ceinture, de l’autre, je caresse ses cheveux :



La réponse fuse à toute vitesse :



Soudain baissant la tête, elle se fige :



Je relève son menton entre mon pouce et mon index, nos yeux rivés les uns aux autres :



Elle murmure :



Elle est trop attendrissante. Me laissant aller, je l’embrasse, elle répond à mon baiser.


Ensuite, nous plongeons dans un tourbillon fait de caresses, de baignades, de baisers et plein d’autres choses, dont la splendide sucette qu’elle est en train de m’accorder. Tout à l’heure, elle m’a avoué qu’elle aimait faire ce genre de chose. Pourquoi, je ne sais pas. Si je devais apporter une réponse, je dirais que c’est un bon moyen de conjuguer la satisfaction de deux parties tout en ne consommant pas. Peut-être y a-t-il une autre composante…


Peu importe, c’est trop bon de se faire sucer ! Et au diable les questions !


Peu après, je lui rends la pareille en m’activant sur son fruit tout lisse. À nouveau, ma bouche est inondée de cyprine, une boisson que je suis loin de détester !


Ce qui vient de se passer m’ouvre de nouveaux horizons…


Tandis que Donia récupère de sa jouissance, je fais le point : je pensais honnêtement que ma journée avec Donia aurait été plus plan-plan, mais je découvre que ce n’est pas le cas. Pour résumer en peu de mots : avec Blandine, c’est explicite ; avec Donia, c’est implicite.


Écarlate, elle me demande :



Puis je l’embrasse. Elle ne proteste absolument pas, ne restant pas passive, mais moins dévergondée que Blandine, il est vrai.


Nus tous les deux, nous passons le reste de l’après-midi en diverses alternances de baisers, de baignades et de cochonneries, comme le dit si bien Donia. De temps à autre, ma copine du jour me parle des us et coutumes de sa famille. Les heures passent malheureusement trop vite, il faut quitter cette plage et revenir vers le monde civilisé.


Alors que nous nous dirigeons vers le scooter, Donia me confie :



Elle explique :



Donia devient rêveuse :



Je tire un peu sur la corde en demandant d’un air faussement détaché :



Elle a protesté, sans doute pour la forme, mais elle me l’a quand même faite ! Je lui ai proposé de lui rendre la pareille mais elle a décliné. Elle estimait qu’elle avait eu sa dose.


Finalement, mon code des couleurs n’a quasiment pas servi. Ce qui est bon signe pour la suite des événements.




Conclusion partielle



Maintenant que j’ai pu passer une journée avec chaque fille, j’y vois un peu plus clair. Enfin, pas vraiment, puisque je veux les deux.


Avec Blandine, c’est direct, épicé et un poil pervers. Elle ne fait pas de chichi, elle est très nature. Elle et moi sommes au même niveau, nous faisons sensiblement jeu égal. Nos relations m’évoquent une partie de ping-pong.


Avec Donia, c’est plus soft, plus larvé, le jeu est dissymétrique : je suis l’émetteur, elle est le récepteur. Je ne dirais pas qu’elle est la soumise et moi le maître, ce serait très exagéré. Non, c’est quelque chose de plus feutré, subtil.


Oui, entre ces deux filles, je serais bien en peine de choisir si je devais le faire, mais ce n’est pas le cas. Je n’ai pas de choix réel à faire, j’ai simplement à m’occuper d’elles comme le fait ma cousine. Pourquoi devrais-je me tourmenter pour quelque chose qui n’existe pas ?


Oui, j’ai bien fait d’ouvrir cette fameuse porte !