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Temps de lecture estimé : 11 mn
09/11/23
Résumé:  Le jeune homme va peu à peu découvrir le piège imaginé par sa sœur et sa copine Sarah.
Critères:  fffh jeunes freresoeur fête
Auteur : Stiletto  (Ecrire est un plaisir, cela me fait rêver.)      Envoi mini-message

Série : Une soirée entre filles

Chapitre 02 / 06
Chapitre 2

Chapitre 2




Résumé de l’épisode précédent :

Fréderic, un jeune garçon, a fait du chantage auprès de sa sœur pour qu’elle l’emmène à une soirée exclusivement entre filles.




Durant tout le trajet, Fréderic ne peut s’empêcher de mater les jambes gainées de nylon de sa sœur, qui multiplie les petits gestes sexy destinés à le faire bander.

Heureusement que c’est elle qui conduit, car sinon ils n’arriveraient jamais à destination ; ils auraient un accident à chaque coin de rue.

C’est donc déjà excité comme un pou qu’il parvient à destination.



Fréderic acquiesce d’un hochement de tête, et suit sa sœur dans les escaliers en essayant de masquer son érection. « Quel con je suis, se dit-il, j’aurais dû passer devant elle pour éviter de voir son petit cul remuer sous mes yeux à chaque marche. La salope, je suis sûr qu’elle a fait exprès de se déhancher comme ça. »



Une grande jeune femme vient les accueillir. Que dis-je, une femme, je devrais plutôt parler d’une amazone. Sarah mesure près d’un mètre quatre-vingt, et avec ses talons, elle dépasse d’une bonne tête le jeune homme qui se tient timidement derrière sa sœur.



Le pauvre garçon sent le sang affluer vers son visage. Il a l’impression d’être un petit garçon devant sa mère, lorsque Sarah profite de lui faire la bise pour lui coller son énorme poitrine sous le nez. En effet, non seulement ses jambes sont magnifiques, mais elle possède également une paire de seins à faire pâlir d’envie une bimbo. Quant à son cul, n’en parlons pas, le jeune homme n’ose même pas le regarder de peur de jouir instantanément dans son boxer.

Il préfère donc se concentrer sur son visage ; bon sang qu’elle est belle ! Fréderic se laisserait volontiers dépuceler par une telle femme !

Jugez vous-même : un visage ovale, une peau légèrement hâlée, de beaux yeux noisette mis en valeur par une paire de lunettes qui lui donne un look à la fois sévère et sensuel. Pas de doute, Sarah est de toute évidence une femme à poigne ! D’ailleurs, son allure de dominatrice est accentuée par le chignon qui rassemble sa longue chevelure brune, ses longs ongles rouge-carmin, et enfin sa belle bouche pulpeuse.

Attiré par cette dernière comme un moustique par la lumière, le jeune garçon ne tarde pas à apercevoir un piercing sur la langue de Sarah. Il se met alors à imaginer ce qu’elle doit être capable de faire avec, et son érection reprend de plus belle sous le regard amusé de sa sœur.



Fréderic ne se laisse pas départir et lui répond du tac au tac.



Sa sœur fait un petit sourire énigmatique.



Précédés de leur hôtesse, ils pénètrent dans l’appartement et rejoignent les autres invitées. Comme prévu, il n’y a que des « meufs » ; sept pour être exact, sans compter Sarah et Stéphanie. Fréderic est donc le seul mec parmi neuf nanas, toutes habillées de façon plus sexy les unes que les autres. Le rêve à l’état pur !

Une fois dans le salon, Sarah fait les présentations :



Le jeune garçon ne parvient pas à retenir tous les noms. De toute façon, depuis son arrivée, il n’a d’yeux que pour la poitrine et les longues jambes chaussées de talons aiguilles de Sarah. Comparée à elle, même sa salope de sœur lui semble soudainement fade.


Sont-elles sincères, ou ont-elles été briffées à l’avance ? Toujours est-il que toutes les filles viennent embrasser chaleureusement Fréderic à l’énoncé de leur nom, tout en le couvrant de petits compliments. Les joues du jeune garçon rougissent, au fur et à mesure des baisers qu’elles reçoivent.

Une fois les présentations terminées, la maîtresse des lieux frappe dans ses mains.



Fréderic mange tranquillement, entouré de toutes ces demoiselles, en ne revenant toujours pas de sa chance. Contrairement à ce qu’il craignait, elles ne papotent pas entre elles de choses de filles en le laissant de côté, mais s’intéressent à lui en posant une foule de questions. Manifestement, sa présence parmi elles les intrigue, et il ne les laisse pas indifférentes ; à moins que tout cela ne soit qu’une comédie, bien sûr.

Fréderic n’a pas le moindre soupçon de ce genre, et profite de sa chance dont il ne revient toujours pas. Il n’a cependant pas beaucoup le temps de réfléchir à la question, car une fois tout le monde rassasié, Sarah réclame le silence en tapant dans ses mains.



Chacune des filles propose une idée :



Aucune des propositions ne remporte l’unanimité, jusqu’à ce que Stéphanie lance :



Le pauvre garçon, plus rouge qu’une tomate, n’ose pas répondre.



Sentant que la conversation s’envenime, Sarah intervient :



Sarah emmène ce dernier avec elle dans une pièce isolée.



Le jeune homme n’est pas convaincu, et Sarah poursuit :



Fréderic ne répond pas. Bien sûr qu’il aimerait voir les seins de Sarah, mais le risque de devoir se dénuder devant plusieurs filles, dont sa peste de sœur, l’effraie. Pour faire tomber ses dernières résistances, Sarah ajoute :



Trente secondes plus tard, Sarah et Fréderic sont de retour dans le salon.



Tandis que les filles éclatent de rire, la perspective que sa queue pénètre bientôt l’une de ces bouches rieuses enlève les dernières réticences du garçon, et la partie commence aussitôt.

Comme Sarah le lui avait dit, les filles semblent se battre pour perdre, et leurs vêtements volent les uns après les autres un peu partout dans la pièce, alors que le jeune homme a seulement dû enlever ses chaussettes.

Une demi-heure plus tard :



Fréderic n’a pas le temps de répondre. Jeté avec adresse, le sous-vêtement en dentelles atterrit sur son visage, lui bouchant un instant la vue.

Il reste bouche bée en écartant le tissu. Tels de gros melons bien fermes, les seins dodus de Sarah emplissent son champ de vision.



Le garçon pose délicatement une main sur chacun des seins, mais n’ose pas aller plus loin. D’un geste vif, Sarah pose alors les siennes par-dessus et entame un mouvement rotatif.



D’abord doucement, puis de plus en plus fermement, Fréderic caresse la poitrine qui s’offre à lui. Sa queue lui fait mal, tellement il bande. Pourvu que personne ne s’en aperçoive ! se dit-il.



Stéphanie s’emporte subitement :



Stéphanie ne répond pas. Oui, comme vous l’avez peut-être deviné, elle est effectivement jalouse. Cela fait des mois qu’elle a le béguin pour son amie.

Sentant qu’elle a touché un point sensible, Sarah se radoucit :



Honteux, Fréderic lâche aussitôt les seins, et baisse la tête. Sarah la lui relève pour lui murmurer :



La partie reprend, et les filles se retrouvent presque toutes à poils. La plupart ne portent plus que leur petite culotte, et Fréderic fait des pronostics sur celle qui va bientôt lui pomper le dard. « Pourvu que ce soit Sarah, oh oui, pourvu que ce soit elle », se répète-t-il en boucle.

Cependant, après une heure de chance éhontée, le vent tourne pour le jeune garçon. Lui, qui jusque-là avait pu se rincer l’œil, en attendant avec impatience qu’une des convives se retrouve complètement nue et embouche sa queue, se met subitement à perdre encore et encore. Il se doute que ce n’est pas normal, que les filles trichent, mais que peut-il faire ? Il ne peut pas quitter la partie au moment où les choses commencent à mal tourner pour lui.

Et ainsi, impuissant, il est obligé de retirer un à un ses vêtements sous les yeux ironiques de sa sœur. Il comprend maintenant que c’était un coup monté, mais il ne peut plus reculer. Et bientôt, le moment fatidique arrive.



Fréderic a de nouveau perdu, alors qu’il ne lui reste plus que son boxer.



Insensibles à ses suppliques, les jeunes femmes en furie continuent de crier :



Coincé dans un angle du salon, Fréderic met ses mains en protection devant son sexe, alors que des dizaines de doigts aux ongles vernis s’en approchent.

Mais alors que tout semble perdu pour le pauvre garçon, la voix de Sarah résonne au-dessus du brouhaha.



Debout sur la table basse, elle brandit un petit sac, et la peur peut se lire sur le visage du jeune homme quand elle en sort le contenu.