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Temps de lecture estimé : 17 mn
05/07/24
Présentation:  Avant d’entrer dans la vie active, François doit satisfaire aux exigences du service militaire.
Résumé:  François est affecté dans la Marine pour un an, mais fera quelques années supplémentaires...
Critères:  fh fplusag fellation pénétratio
Auteur : ChrisM      Envoi mini-message

Série : Une vie de conquête (s)

Chapitre 02 / 05
2 Au service de la Nation

Résumé de l’épisode précédent :

L’androsténone a permis à François de développer sa vie sexuelle, au lycée puis en école d’ingénieurs.




Les hasards de l’incorporation m’envoient dans la Marine, non sur un bateau, mais à terre, dans une base proche de Toulon.


Comme j’ai le permis de conduire, je suis affecté au garage. On n’est pas submergé de travail, je passe des heures à poireauter. Assez vite, je récolte une mission à risque : amener le Commandant le matin, de sa villa à la base et le ramener le soir. Les horaires sont stricts, le Commandant n’aime pas attendre, la tenue doit être impeccable, s’il nous convoque à six heures du matin, on doit être rasé de près. En contrepartie, pendant la journée, on me fout une paix royale.


Dans l’hiver arrive la fête de la Marine. C’est un grand raout, beaucoup de monde, des officiels, les familles. Un après-midi de discours, de sonneries militaires et de buffets bien garnis.


Dans la soirée, on m’appelle. Je dois ramener la femme du Commandant chez elle, la soirée va se terminer entre hommes au mess.


Elle s’installe à côté de moi dans la voiture.



La soirée est un peu fraîche, elle a gardé son manteau sur elle. C’est elle qui fait la conversation, je réponds brièvement, ne pose pas de questions, je ne veux pas faire d’impair.


Et je la vois commencer à chercher ses mots, se tortiller. Merde, c’est le champagne du buffet ou c’est mon « charme » qui agit ? Je commence à flipper.


Heureusement, nous arrivons devant chez elle et je commence à respirer.



Je lui donne le bras, elle s’appuie sur moi. Devant la porte, je veux faire demi-tour.



Je suis bien obligé d’accepter. Nous entrons, elle pose son manteau. En robe longue, elle présente encore bien pour une femme de son âge. Arrivée dans le salon, elle s’assoit à côté de moi sur le canapé.



À vouloir être trop poli…



Bon Dieu, il faut que je me sauve.


Trop tard, elle me pousse sur le canapé, tire sur mon pantalon, arrache le boxer. Elle se jette sur moi, m’avale dans la foulée.



Elle ne m’écoute pas, continue de me pomper. Malgré les circonstances, ma queue commence à durcir, à prendre du volume.


Il faut que j’en termine rapidement. Je lui prends la tête à deux mains, lui enfonce ma queue dans la gorge et commence à la baiser. Mon excitation monte, ce n’est plus la femme du Commandant devant moi, c’est une femelle que je vais remplir de mon foutre.



Quand je sens que ça vient, je lui bloque la tête, elle ne peut plus reculer. Giclée après giclée, je lui arrose le fond de la gorge.


Quand je la relâche, elle se relève, les cheveux en bataille, le maquillage dévasté, les lèvres ruisselantes de sperme, mais les yeux brillants.



Je me suis sauvé avant qu’elle ne bloque la sortie.



oooOOOooo



Pendant près d’un mois, silence radio, je commence à me rassurer.


Un matin dans le garage, un quartier-maître me fait signe, le téléphone de l’atelier à la main.



Je prends le combiné :



C’est elle, la femme du Commandant.



Et elle raccroche.


Quand je me gare sur son parking, j’ai conscience que je m’embringue dans une drôle d’histoire, mais la curiosité est la plus forte, l’envie aussi, sa dernière phrase me tourne en tête. Heureusement, la villa est un peu à l’écart et on ne voit pas la voiture depuis la rue.


Je vais pour sonner, la porte est entrouverte, je m’avance. Une voix :



Les rideaux sont tirés, le salon baigne dans une douce lumière, la chaîne stéréo diffuse une musique jazzy. Je m’assieds sur le canapé que je connais déjà.


Isabelle arrive portant un plateau, un seau à champagne, deux coupes. Mais, elle est simplement vêtue d’une culotte et d’un soutien-gorge. Elle sourit de ma surprise, me susurre :



Chicago, c’est le surnom du quartier chaud de Toulon.



Le soutien-gorge, si on peut l’appeler comme cela, ne soutient rien, mais met en valeur ses seins, les larges aréoles sont découvertes, les tétons pointent. La culotte, très transparente, est fendue devant et derrière. D’autres auraient pu être ridicules, elle est bandante. Elle reprend :



Le champagne est bon, nous vidons rapidement une première coupe. Elle se lève, m’embrasse sur les lèvres, me caresse le sexe à travers le pantalon.



Elle se met en face de moi, nous sommes les yeux dans les yeux. Elle dégrafe le soutien-gorge, le laisse tomber, ses seins se libèrent, s’épanouissent.


Elle descend sa culotte, la fait glisser jusqu’au sol. Elle est nue.


Jusqu’à présent, je n’avais vu à poil que des femmes de mon âge, Francine n’avait que sept ans de plus que moi. Isabelle, c’est au moins vingt ans d’écart, c’est la première femme mûre que je vois ainsi. Bien sûr, les seins tombent un peu, les cuisses sont empâtées, les fesses manquent de fermeté mais je suis sous le charme. Dans sa jeunesse, elle a dû être une sacrée beauté. Aujourd’hui, c’est une beauté épanouie.



Je me suis déshabillé, ma queue parle pour moi, elle est dressée, raide. Je commence à me masturber devant elle.



Nous montons dans sa chambre, celle du Commandant. Elle s’allonge, me fait venir au-dessus d’elle, je la pénètre. En quelques minutes, elle prend son pied. Je m’arrête quelques instants, le temps pour elle de récupérer, puis je recommence à la baiser doucement.



Je ne bouge plus, ma queue serrée dans son con, la jouissance est proche. Tout à coup, une contraction le long de ma bite, puis un relâchement, elle est en train de me branler avec son vagin. La douceur de cette caresse est délicieuse, je me laisse faire. Quand l’éjaculation arrive, je ne cherche pas à me retenir. Ce ne sont pas de violentes giclées de sperme, mais un écoulement permanent qui me semble durer une éternité. Je ferme les yeux quelques instants, quand je les rouvre, je suis allongé sur le lit, elle n’est plus là. J’entends du bruit dans le salon, je descends. Elle est habillée, je suis à poil, mes vêtements étant restés dans le salon.



C’est vrai, j’ai retrouvé une belle érection.


Elle s’approche une coupe à la main, en boit une grande gorgée, se penche sur moi et, rapidement, me prend en bouche. Mon sexe baigne dans le vin frais, les bulles crépitent sur mon gland, la langue virevolte. C’est quand elle m’enfonce un doigt dans le cul que j’explose. Elle est forte, aucune goutte de champagne ne tombe, elle a tout avalé.




Mais cela n’arriva pas.



oooOOOooo



Quelques jours plus tard, je suis convoqué par un Lieutenant de vaisseau. Il attaque :



Mon sang se vide, je bégaie :



Je suis dans une merde noire, je vais essayer d’épargner Isabelle.



Et de lui parler de mon « charme ».



Il se recule dans son siège, réfléchit.



Il prend son téléphone, demande à la personne de venir.


Quelques instants plus tard, on frappe, une femme entre. Jeune, visage sévère, tenue stricte. Il lui demande quelques renseignements, puis elle repart.




Je passe une sale nuit. Comment ont-ils fait pour être au courant ? Le téléphone ? Ce qui me rassure est que le Commandant était comme d’habitude ce matin, il ne doit rien savoir.


Je dois sauver ma peau et ça passe par cette Caroline. Ce n’est pas une cible facile, elle a l’air coincée. Au petit matin, un plan se dessine. Quand je rappelle le capitaine pour lui demander un coup de main, il me donne son accord.


En début d’après-midi, comme convenu, je viens le chercher à son bureau, Caroline l’accompagne. Pendant le trajet, il examine des documents, demande à Caroline quelques éclaircissements. Arrivé à destination, il m’ordonne de la ramener au bureau.



Et nous partons. J’ai une demi-heure pour réussir.


J’engage la conversation, elle répond en phrases courtes, polies, mais distantes. Mais, petit à petit, son comportement change, elle devient plus nerveuse, elle a du mal à rester en place. Ça devrait marcher.



oooOOOooo



Le lendemain, j’appelle le capitaine.



Quand j’arrive à dix-huit heures, la porte du capitaine est ouverte, il est assis à son bureau, il ne peut pas nous rater. Caroline m’accueille d’un sourire, un baiser sur les lèvres et nous partons bras dessus, bras dessous. Une fois dans la rue :



La veille, dans la voiture, j’avais été très mal à l’aise, j’avais l’impression de tricher avec elle. Alors, je lui ai tout avoué, mon histoire avec Isabelle, sans la nommer, l’entretien avec le Lieutenant, l’épreuve qu’il m’imposait, les conséquences si j’échouais. Après un moment de réflexion, elle m’avait répondu :




Le studio de Caroline est petit, mais fonctionnel. La déco est sympa, on se sent bien. Elle nous prépare des pâtes, j’avais acheté une bouteille de vin au passage, on fait connaissance, on se marre bien en pensant à la tête que doit faire le capitaine.


Vers vingt-deux heures, un coup d’œil dans la rue, c’est désert.



On s’est couchés, on s’est endormis longtemps après, son réveil a sonné, on s’est levés longtemps après.




Un mois plus tard, je n’avais toujours pas reçu ma mutation. Quand je le pouvais, j’accompagnais Caroline le matin, elle prenait un malin plaisir à me rouler une pelle quand le capitaine était dans les parages, ça la mettait en joie pour la journée.


Enfin, il me convoque.




oooOOOooo



L’ordre de mission ne donnait aucun détail. Je devais simplement me présenter à une certaine personne, à une adresse, située dans le XXe arrondissement de Paris.


Ayant signé un engagement de confidentialité, je ne peux donner de détails sur ces journées, même après tant d’années. Je vis cinq ou six personnes qui m’interrogèrent longuement, je passai plusieurs examens médicaux. C’est à cette occasion que le médecin identifia mon hyper dégagement d’androsténone. Et c’est ce qui les intéressait. J’en profitai pour l’interroger, un truc me turlupinait depuis longtemps :



Je me sentais bien mieux. Je comprenais aussi pourquoi je n’arrivais à rien avec certaines filles, et aussi pourquoi des mecs tournaient autour de moi.


On me proposa un contrat d’engagement que j’acceptai. J’aurais refusé, ils m’auraient renvoyé vers le Lieutenant de vaisseau, lui m’aurait expédié avec plaisir chez les sakos, il me restait six mois de service, ils m’auraient tué.


En deux mois, j’appris tout ce qui m’était nécessaire. Et on m’envoya à Budapest pour ma première mission. C’était encore le temps du Rideau de Fer, le pays était sous la poigne de l’URSS. Même si le pays était réputé pour une certaine ouverture, la ville était grise, les gens moroses. Officiellement, j’étais là pour remplacer un gendarme le temps de son congé. Je pris donc son poste et le premier mois, je passai l’essentiel de mon temps enfermé dans une guérite, à contrôler des papiers d’identité.


Enfin, je suis convoqué par mon responsable.



La préparation de l’opération dura près d’un mois. Et c’est le grand jour, plutôt le grand soir.


Je reçois un appel, « manteau marron, bonnet de laine beige », je me dirige, comme chaque soir, vers l’arrêt de tram. Le réseau dessert toute la ville, les wagons sont vieillots, on est pas mal secoués, c’est souvent blindé de monde, mais ça ne coûte rien.


Trois arrêts plus loin, je suis un des rares à descendre, ce sera facile de vérifier si je suis suivi. Je me dirige vers la grand-place, c’est là que tout se joue, il faut que j’attrape le bon tram. Je laisse passer une correspondance, elle n’est pas dedans. J’attends la suivante, je repère mon collègue qui sort d’un wagon, la cible est là. Je monte, j’ai douze stations pour réussir.


Le dossier n’est pas très détaillé. Érika, trente-cinq ans, mariée, deux enfants, pas de liaisons connues. Quelques photos, dont une en maillot de bain, peut-être avec son mari. Une belle blonde, un corps athlétique, le maillot de bain moule une poitrine assez généreuse. Je ne devrais pas me forcer pour bander.


C’est l’heure de pointe, le wagon est bondé. Je la repère assez vite, elle est à cinq mètres de moi, c’est le visage que j’ai vu sur les photos, aucun doute. Deux arrêts me sont nécessaires pour m’approcher et me retrouver dans son dos. J’ai dû écraser quelques pieds tant la foule se presse.


À présent, tout repose sur mon « charme ». Deux stations passent, je lutte pour garder ma place derrière elle. Après un énième cahot, elle se trouve propulsée contre moi, la foule la maintient collée à moi, je ressens tous ses mouvements, ses changements de pied.


Le parcours défile, plus que six stations. Il fait très chaud dans le wagon, elle ouvre son manteau. Il est temps d’agir. De ma poche, je sors mon mouchoir en tissu, je m’éponge le front, le cou, je laisse flotter le mouchoir au-dessus de son cou. L’effet se fait sentir, Érika s’agite, change de position en permanence, sa respiration devient saccadée. Je m’appuie franchement contre elle, elle ne se dérobe pas. Je dois avouer que j’avais largement imbibé mon mouchoir de sperme.


J’imagine son corps dévêtu, je me vois la pénétrer, j’arrive au but recherché, je bande. L’épaisseur du manteau n’empêche pas Erika de sentir la barre dans son dos, elle ne se dégage pas.


Lors d’un arrêt, un mouvement de foule m’écarte d’elle, je crains de l’avoir perdue. Mais, volontairement ou pas, elle se retrouve face à moi, nous sommes de nouveau plaqués l’un contre l’autre, nos ventres collés. Pour la première fois, je la regarde en face. Elle est ailleurs, les yeux perdus dans le vague.


Nous allons bientôt arriver, je dois lui donner le coup de grâce, je passe mon mouchoir sur ses joues, sur la bouche. Elle rougit violemment, la bouche reste ouverte, les pointes de seins se durcissent, son bassin s’agite contre mon sexe dressé.


C’est mon arrêt, je lui prends la main et nous nous extrayons du wagon. L’appartement est à quelques minutes à pied et, pour ne pas lui laisser le temps de réfléchir, je l’entraîne presque en courant.


Quand, la porte enfin refermée, je la serre contre moi pour notre premier baiser, elle s’abandonne complètement. Sans cesser de l’embrasser, je fais glisser son manteau au sol, je remonte son pull sous les aisselles, ouvre le chemisier, dégage ses seins du soutien-gorge. De larges aréoles, de longs tétons durcis. Mes mains font rouler les seins, son baiser devient sauvage. Sa main s’active sur ma ceinture, je l’aide, elle agrippe ma queue.


Depuis notre rencontre, nous n’avons pas échangé une seule parole.


Je l’entraîne vers la chambre, nous tombons sur le lit, toujours enlacés. Elle me lâche, enlève ses vêtements, arrache les miens. Ma queue lui saute au visage, elle m’avale immédiatement. Je la laisse faire quelques instants puis me retire, je ne veux pas jouir trop vite.


Je lui rends sa caresse. J’adore faire des cunnis, j’aime faire monter l’excitation, les voir perdre tout contrôle, sentir leur jouissance bouillonner et, par-dessus tout, quand elles explosent sous ma langue. Ce soir, il ne faut pas longtemps pour qu’elle m’arrose largement.


Sans attendre, je la retourne pour la prendre en levrette. Nous faisons face au miroir de l’armoire, sur son visage se succèdent des expressions de plaisir et de souffrance en raison de mes violents coups de boutoir.


L’éjaculation arrive, je me précipite devant elle. Quelques coups de poignet me libèrent sur son visage, ses seins. Pour la touche finale, je lui remets ma bite en bouche pour un petit nettoyage intime.


Quand elle se relève, son visage encore englué, elle me pose une question. En quelques mots d’allemand, je lui explique que je suis un touriste en visite dans la ville, elle se décompose. Cinq minutes plus tard, elle a quitté la chambre.



De retour le lendemain au boulot, mon responsable m’appelle.



Il me tend une pochette. Une cinquantaine de photos, grand format. Le photographe était en planque dans l’armoire, avec la glace sans tain, il était aux premières loges.


On ne voit jamais ma tête sur les tirages, on ne peut pas m’identifier.


Mais elle, elle est partout, souvent en gros plan. De la fellation au facial, tout y est. Et on voit bien qu’elle ne se force pas.



Un mois plus tard, je quittais le pays, mon remplacement était terminé. Je connaissais la suite. Quelqu’un prendrait contact avec la femme, lui proposant un marché : elle nous transmettait des documents, sinon les images étaient envoyées à sa famille, ses amis.


L’année suivante, j’appris que nous avions une source de première importance dans le pays. Je n’ai jamais su si c’était une conséquence de mon intervention, mais j’étais content de moi.


Mes patrons aussi, car ils m’envoyèrent rapidement pour une autre mission. En trois ans, je suis parti dix fois, je n’ai échoué que deux fois. De retour de la dernière mission, je fus informé que j’étais grillé. J’avais été repéré, les photos circulaient, je ne pouvais plus passer incognito.


L’armée, c’était fini pour moi, on m’aida à trouver un poste dans une grande entreprise nationalisée.


C’était mon retour à Paris, la possibilité de retrouver la famille, les copains et les copines du lycée.




La suite dans : Une vie de conquête (s) 3. Retour sur Terre.



Nota : dans la Marine nationale, le Lieutenant de Vaisseau est l’équivalent du Capitaine dans l’armée de Terre, et on l’appelle Capitaine (et non, mon Capitaine). Et un Capitaine de Vaisseau est appelé Commandant…