n° 22524 | Fiche technique | 26315 caractères | 26315Temps de lecture estimé : 19 mn | 08/07/24 |
Présentation: Artglass, une petite société, sera à l’origine du développement de la carrière de François. | ||||
Résumé: Comment François reprend Artglass et, avec l’aide de ses amies, en fait le moteur de sa réussite professionnelle. | ||||
Critères: fh fellation préservati | ||||
Auteur : ChrisM Envoi mini-message |
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Résumé des épisodes précédents :
François a retrouvé les anciennes copines, trouvé un bon job.
Un matin, mon patron :
Je passe trois jours chez Artglass, rencontre le responsable, le personnel, quelques clients, visite les ateliers. Puis je reviens présenter mon rapport à mon patron.
Le sujet me trottant dans la tête, j’en reparle à mon patron quelques mois plus tard :
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Quelques jours plus tard, je rencontrai Armelle à l’occasion du baptême de son premier garçon. Cette fois-là, la discussion était apaisée, nous avons parlé tranquillement de choses et d’autres, et sans que je sache pourquoi, j’évoquai Artglass. Elle m’écouta un moment, puis :
Armelle, l’étincelle.
Le lendemain, je vois mon patron. L’affaire est rapidement menée et, six mois plus tard, je suis seul maître à bord chez Artglass. Je passe les trois années suivantes à travailler comme un fou, six jours sur sept, à visiter les clients, superviser les ateliers, contrôler la moindre dépense. Je ne sors plus, par manque de temps, d’argent.
Heureusement, Alexandra me fait crédit, je n’ai jamais eu tant besoin de ses massages.
Et merci Irène. Elle était venue me voir un samedi, je lui avais montré les ateliers. Tout de suite, elle a voulu apprendre le travail du verre, en quelques semaines, elle en était devenue experte.
Un jour que je travaille sur une consultation de produits cadeaux d’entreprise, Irène :
Le lendemain, elle passe sa journée dans l’atelier. Le soir même, elle passe me voir, accompagnée du chef d’atelier. Je ne veux pas savoir comment elle se l’était mis dans la poche, mais ils s’entendent à merveille. Ils me montrent le proto, un superbe mariage de métal et de verre. Nous avons eu la commande, j’ai passé un contrat de design avec Irène, le premier d’une longue série.
Trois ans après la reprise, la situation d’Artglass est moins critique, l’activité s’est redressée, j’ai même embauché trois personnes, nous dégageons suffisamment de marge pour investir et, enfin, me verser un salaire décent.
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Ceux qui connaissent déjà l’histoire d’Artglass, du moins ce qu’on en dit dans les magazines, demanderont comment j’ai connu Hélène ?
Un mardi soir, j’étais allé au cinéma voir le dernier Woody Allen. Le massage d’Alexandra m’avait vidé, le film était bon, j’étais dans un état de béatitude avancé. Quand je rentre, il est pratiquement minuit, le métro est quasiment désert, peu de sièges sont occupés.
À une station, entre une jeune fille, dix-huit ans à peine. Dans ma bulle, je la devine plus que je ne la vois. Elle s’assied à cinq ou six rangées de moi. Quelques instants plus tard, elle se lève pour se rasseoir presque aussitôt, se rapprochant d’un rang. Le manège se reproduit, elle finit par s’asseoir à mon côté, comme un insecte attiré par la lumière et qui finit par se brûler contre la lampe.
Quand je descends du métro, elle m’emboîte le pas sans un mot. Arrivé dans l’entrée de mon immeuble, je vois que je ne pourrai pas m’en débarrasser.
Et de me suivre dans mon appartement. La soirée m’a lessivé, je n’ai pas l’envie de démarrer une nouvelle histoire et je suis trop crevé pour la virer de chez moi, alors je fais comme si elle n’existe pas. Une douche et au lit, j’ai dû m’endormir immédiatement. À elle de se démerder avec le convertible du séjour.
Le matin, au réveil, l’érection matinale habituelle. Mais de sentir ma queue bien au chaud dans une bouche me fait ouvrir les yeux rapidement.
Dans la pénombre de la chambre, elle est penchée sur moi. Un physique androgyne, pas de poitrine, pas de fesses, toute en longueur. J’espère vraiment qu’elle n’est pas mineure.
Elle me fait signe que non. C’est peut-être vrai, mais elle n’a pas dû connaître beaucoup d’hommes, sa pipe est timide, maladroite.
Ensuite, je ne suis pas de bois, je la laisse faire, en lui donnant quelques conseils.
Et je me répands dans sa bouche, giclée après giclée, sans qu’elle s’arrête un instant.
Drôle de fille. Pendant qu’elle est dans la salle de bains, je fouille dans son sac, regarde ses papiers. Elle a bien vingt-deux ans.
Le vendredi soir, elle m’attend devant la porte de l’appartement.
Je la laisse entrer. Elle improvise un petit repas avec ce qu’elle trouve.
Hélène faisait ses gammes depuis quelques années. Personne ne se doutait encore quel talent, je dirais même génie, était en elle.
Quand nous fîmes l’amour, je découvris à quel point sa chatte était serrée. On pouvait à peine y glisser un doigt, alors une queue… J’ai vraiment eu l’impression de la dépuceler et cela m’a rappelé une fille, en terminale. Elle m’avait invité chez elle, je savais comment ça allait se terminer, la façon dont elle m’avait sucé au lycée avait montré une certaine pratique. Aussi, j’avais été surpris de la trouver vierge. J’avais ramé pour la pénétrer, impossible de franchir l’obstacle, et elle qui me pressait, sa mère allait bientôt rentrer. Quand ma bite était enfin rentrée, elle était si serrée que j’avais failli jouir dans sa chatte, j’avais juste eu le temps de me retirer. Heureusement, elle ne m’en avait pas tenu rigueur.
Hélène passait souvent chez moi, je n’avais encore jamais couché avec une fille aussi attentive à mon désir, presque au détriment du sien. Je crois qu’elle était amoureuse, mais je savais que je n’étais pas l’homme qu’il lui fallait. Aussi, je me comportais avec elle comme Francine l’avait été avec moi, limitant nos rencontres, refusant de vivre avec elle.
Et puis, c’était idiot, mais je pensais à Armelle. Elle avait beau être déjà mariée, mère de deux garçons, me rembarrer. Au fond de moi, je l’attendais.
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Armelle, je la voyais régulièrement, elle m’avait dépatouillé quelques contrats avec des clients. Je l’avais chaudement remerciée pour le temps qu’elle me consacrait, avec deux jeunes enfants et une carrière menée de front.
Armelle, la non conventionnelle.
Nous avons renoué, Charles et moi, quand il est rentré des USA. Tout allait bien pour lui, il avait pris un nouveau poste dans sa société, il gagnait bien mieux sa vie que moi, moins de soucis, des horaires moins contraignants. Mais il subissait une structure et enviait ma liberté de manœuvre.
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Un samedi après-midi, Hélène passe me voir au bureau alors qu’Irène me montre quelques prototypes. Elles ne se connaissent pas encore.
Et s’adressant directement à Hélène :
Hélène devient rouge pivoine. Elle, plutôt réservée, n’est pas habituée aux manières d’Irène. J’interviens pour éviter une discussion scabreuse :
Hélène sort un flacon et lui dépose quelques gouttes sur le poignet. Après quelques instants, Irène le renifle, attend encore, respire à nouveau, mais ne dit rien. Ce n’est pas son habitude. Je lui demande :
La semaine suivante, Irène me passe des dessins.
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Trois semaines plus tard, petite fête chez Artglass à l’occasion d’une belle commande. Ça fait du bien après ces années de galère. Charles, Armelle, Irène sont là.
C’est Caroline qui a fait les invitations. Je l’avais embauchée quelques mois plus tôt, son mari ayant été muté à Paris. Il va sans dire que nous n’avons plus jamais couché ensemble, je n’aurais pas voulu perdre une telle collaboratrice.
Ce soir-là, le champagne aidant, Irène montre le flacon de parfum à Charles.
Charles tourne le flacon, sent le parfum.
Un mois plus tard, Charles m’appelle.
Sitôt dit, sitôt fait, on se retrouve. Il attaque :
Et de m’expliquer.
Charles me parle de ces marques, certaines bien connues, d’autres beaucoup moins. J’en remarque une :
Je connaissais Lexor grâce à Caroline. Pas celle de Toulon, une autre…
Je l’avais rencontrée dans un avion, le Genève – Paris. Encore une dans un train ou un avion, me direz-vous, mais mon charme n’opère que dans un rayon limité. Donc, on est assis l’un à côté de l’autre, elle ne m’intéresse pas plus que ça parce que j’ai une masse de travail en retard, et aussi, je dois l’avouer, en raison de son âge, la cinquantaine, de son allure très bourgeoise. Et pourtant, nous finissons par partager un taxi pour aller de l’aéroport à Paris et elle m’invitera au restaurant de son hôtel le lendemain soir. Une soirée de détente, nous avons parlé comme des amis de trente ans, bien ri, j’ai apprécié son humour, son mordant. Mais, nous ne sommes jamais allés plus loin que la poignée de main.
Caroline était la femme du patron de Lexor.
Elle dut voir mon air interrogateur.
Deux ou trois fois par an, quand elle venait à Paris, elle me réservait une soirée et nous allions découvrir un nouveau restaurant ou voir une pièce de théâtre. Je la considérais comme une tante à qui on peut se confier, je crois que j’étais le gendre qu’elle aurait voulu avoir…
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Jusqu’à la signature du contrat avec Lexor, j’ai cru que la marche était trop haute, que le projet Carmen allait couler Artglass. Mais Hélène retravailla une gamme de parfum, Irène développa avec les industriels les différents flacons, Armelle prépara les projets juridiques, Charles me donna les contacts des commerciaux et prépara notre premier rendez-vous avec Lexor.
On emporta le morceau. Mais comme me l’indiqua Charles le soir :
J’avais une autre explication.
À l’approche de Noël, Caroline ayant prévu de faire un peu de shopping à Paris, j’avais repéré un restaurant dont on disait le plus grand bien. La veille, elle m’appelle :
Si, mais je ne pouvais pas l’avouer. Nous n’aurons pas le même type d’intimité avec une troisième personne.
Le lendemain soir, arrivée à leur hôtel, patatras, Caroline m’annonce qu’elle ne se sent pas bien, qu’elle n’a pas envie de sortir, mais qu’elle ne veut pas priver sa fille de la découverte de ce restaurant.
Frédérique arrive, emmitouflée dans un grand manteau, prête à sortir. Je n’avais vu d’elle que des photos, j’avais remarqué sa silhouette, intéressante, ses formes, attirantes. Mais quand sa mère me la présente, c’est la douche froide : un visage fermé, dur, des yeux qui me détaillent, une façon de parler distante. Si J’avais eu des idées de drague, c’est raté. Bon, j’espère que le dîner sera bon et que je ne perdrai pas totalement ma soirée. Je fais contre mauvaise fortune bon cœur et nous voilà partis.
Après avoir déposé son manteau au vestiaire, comme compagne de table, elle me fait honneur. Très élégante dans une simple robe noire, qui a dû coûter un max, un maquillage discret, une coiffure artistiquement déstructurée, elle fait tourner les têtes, même si elle n’a pas l’air de s’en soucier.
On se trouve des points communs, nous aimons manger, nous allons souvent au théâtre, la discussion est lancée, mais je n’apprends pas grand-chose sur elle. Après le repas, Frédérique file aux toilettes, j’en profite pour régler l’addition, commander un taxi. À son retour, je lui propose :
Ça me fera faire un détour mais c’est la fille de Caroline et je tiens à faire preuve de la plus grande courtoisie.
Elle ouvre la main et pose devant moi sa petite culotte.
Je n’ai rien vu venir.
Quand le taxi nous dépose devant l’hôtel, elle me demande d’attendre un quart d’heure avant de la rejoindre dans sa chambre.
Les Suisses ont une réputation de calme, de placidité, « y a pas le feu au lac », Frédérique a, ce soir-là, « le feu au cul ».
On est rentré tout de suite dans le vif du sujet, elle est déjà nue quand elle m’ouvre sa chambre. Dans la foulée, elle me pousse contre le mur, s’accroupit, descend mon pantalon, le slip et entame une sucette gourmande. J’en profite pour câliner les fesses, glisser un doigt dans la chatte, titiller la rosette. Elle signifie son accord par des grognements approbateurs, ça promet.
Quelquefois, ça fait du bien de baiser égoïstement, de suivre ses envies, ses pulsions, ses fantasmes sans se soucier du plaisir de l’autre. Et Frédérique est au diapason, elle veut, elle réclame du sexe débridé, de la baise profonde, de la bite brutale.
Ce soir-là, comme un état second, je me suis servi d’elle. J’ai fait la ronde des trous, la bouche, la chatte, le cul et je recommençais. Personne ne m’avait avalé la queue comme elle l’a fait ce soir-là, pour un peu, mes couilles lui rentraient dans la bouche, ses cuisses faisaient presque le grand écart quand je lui pilonnais la chatte, elle s’effondrait sur le lit quand je l’enculais violemment en levrette. Et elle de réclamer, toujours et encore.
Quand je suis parti, le lit était un vrai champ de bataille, les draps maculés, une odeur forte flottait dans l’air.
Le lendemain, je revois Caroline.
C’est vrai que je m’étais bien lâché, j’avais traité Frédérique pire qu’une pute de bas étage.
Sa fille ? Elle veut la mettre dans mon lit ?
Fine mouche, elle reprend :
Dommage qu’elle préfère les femmes, au vu des photos, je l’aurais bien sautée.
Fin janvier, Frédérique m’appelle.
Au moins, c’est direct. Elle continue :
Le mercredi soir, je frappe à sa porte. Elle s’ouvre, la chambre est plongée dans l’obscurité. Une voix :
Je me couvre les yeux et attends. Je la sens tourner autour de moi. On défait ma veste, elle tombe. La chemise suit, puis les chaussures, les chaussettes, le pantalon, le slip. Elle me prend la main, me guide vers le lit, me fait allonger sur le dos.
Je sursaute.
D’abord un bras, puis l’autre, une jambe, puis l’autre. C’est une première pour moi, j’avoue que je me sens pas trop à l’aise.
Sa bouche se pose sur la mienne pour un long baiser. Une main descend sur ma poitrine, vers le ventre, cueille mon sexe pour le branler doucement. J’étais déjà bien excité en arrivant, ma queue est dure, le gland me fait mal quand elle me décalotte. Elle arrête son baiser, ses lèvres picorent mon cou, les seins, le ventre. Sa bouche enveloppe ma queue, la langue mouille le gland. De ne rien voir, de ne pas pouvoir bouger, toute mon attention se concentre sur ma queue. Je me laisse faire, sa langue me fait un bien fou, elle pourrait me faire jouir rapidement. Elle se relève :
Après un moment, un mouvement sur le lit, elle est montée sur moi. Sa main attrape ma queue, la pose à l’entrée de son vagin. Je ne suis pas attaché très serré, je lève mon bassin, ma bite entre doucement. Si j’avais ma liberté de mes mouvements, je serais en train de la pilonner rudement, mais je dois accepter son rythme. Peut-être l’effet de la frustration, je suis vraiment très gros, elle a du mal à rentrer ma queue, elle geint en sourdine. Il lui faut de nombreux aller et retour pour qu’enfin, elle arrive à s’asseoir sur moi, mon sexe complètement enfoncé. Je ne me retiens plus et éjacule en longues saccades. Je ne pense pas qu’elle a joui.
Elle se retire. Quelques instants plus tard, elle me libère.
Un programme que j’ai scrupuleusement respecté.
Et je revois Caroline au mois de mai.
Je fais un rapide calcul. Si c’était moi ? Je ne m’étais pas soucié de lui demander si elle prenait la pilule et d’une voix blanche :
Disant cela, elle me regarde bien dans les yeux. J’ai bien compris, j’ai suppléé aux défaillances du mari.
J’ai l’impression d’avoir été mené en bateau. Et si Michelle, c’était moi aussi ? En y repensant, le scénario romantique ne correspond pas au tempérament de Frédérique. Je ne voyais rien, je devais rester passif. Si Michelle s’était glissée à la place de Frédérique, je n’aurais rien remarqué.
Et il me revient une chose en tête. Après avoir attaché Frédérique, je lui avais fait un cunni. Étonnamment, son vagin était propre, alors que j’aurais dû baigner dans mon sperme.
Et je lui parle du projet Carmen. Elle me promet de l’appuyer, elle me doit bien ça !
Les six mois suivants, grosse activité pour préparer le lancement du parfum en France. Toutes les réserves financières que j’ai pu faire partent dans les premières séries, la publicité… il faudra que ça marche.
Et c’est la soirée de lancement. On a raconté beaucoup de bobards à ce sujet, je voudrais raconter ce qui s’est réellement passé.
La suite (et fin) dans : Une vie de conquête (s) 5. Carmen, le lancement