n° 16490 | Fiche technique | 25557 caractères | 25557 3950 Temps de lecture estimé : 14 mn |
30/10/14 corrigé 10/06/21 |
Résumé: Sandra et Delphine vivent une relation passionnée, mais connaissent leur première crise. | ||||
Critères: ff -lesbos | ||||
Auteur : Love Doctor (Homme 50 ans coquin) |
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Résumé du premier épisode : Sandra rencontre une jolie remplaçante
Sandra consulte son médecin pour un certificat médical mais celui-ci est remplacé par Delphine, une jolie blonde. Sous le charme, les deux jeunes femmes se revoient pour un footing, un repas puis partagent un moment sensuel. Mais Delphine ne donne plus de ses nouvelles ensuite…
Résumé du deuxième épisode : Delphine sonne chez Sandra
Après une période de silence Delphine passe à l’improviste chez Sandra et découvre son lit…
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Delphine et moi emménageâmes au bout de quelques semaines, officialisant ainsi notre relation qui provoqua des réactions variées dans notre entourage. Les amis de ma chérie ne furent pas surpris a priori tandis que les miens tombèrent un peu sur le cul de savoir que moi, la croqueuse de mâles, j’allais devenir une bouffeuse de minous !
Léa, la responsable de la boutique, fut même carrément furibarde de savoir que j’avais repoussé ses avances de lesbienne notoire pour succomber au charme de Delphine. Elle me fit même la gueule quelques jours avant de retrouver la joie de vivre dans les bras d’une jolie étudiante métisse.
La vie s’écoulait tranquillement, bercée par notre complicité sur tous les plans : sportif, culturel et sexuel !
Nous explorions toutes les facettes de notre sensualité avec une gourmandise propre aux couples récents et je découvrais avec délice que ma chérie était prête à tout nouveau jeu que je lui proposais. La jolie médecin timide était en fait une coquine affirmée !
Bref, tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes… jusqu’à ce mardi maudit où, prise d’une migraine tenace, je décidai de faire un saut à l’appartement pour prendre mon antalgique fétiche.
Delphine remplaçait cette semaine-là à l’hôpital et ses horaires étaient variables. Je ne fus donc pas surprise de voir son sac dans l’entrée, mais le fus davantage de voir ses vêtements traîner sur un fauteuil accompagnés d’effets féminins qui, a priori, ne lui appartenaient pas. En un instant je compris. Et avant même d’ouvrir la porte de la chambre d’où provenaient des sons assourdis, je savais ce que j’allais découvrir derrière.
Sans faire de bruit, je poussai le battant et découvris un spectacle répugnant : Delphine nue sur NOTRE lit embrassait une jeune brune aux cheveux courts et au corps parfait. En un coup d’œil je reconnus Anne, une jeune infirmière rencontrée chez des amis communs, dont Delphine me parlait régulièrement depuis des semaines.
Trop sûre de notre couple, je n’avais vu poindre le danger et retombai brutalement sur terre.
Les deux amantes sentirent ma présence et tournèrent la tête dans un même mouvement. Delphine paniqua d’un coup et poussa un petit cri tandis qu’Anne tentait maladroitement de cacher sa nudité avec le drap. Tétanisée et abasourdie, je n’eus qu’un mot :
Je tournai les talons, sourde aux explications vaines de ma future ex et quittai l’appartement sans prendre le cachet que j’étais venue chercher.
Les jours suivants, Delphine tenta en vain de me joindre, m’inondant de messages et de textos auxquels je restai sourde. De mon côté, je passais mon temps libre à pleurer et à ressasser mon malheur, ne sortant que pour aller travailler à grand peine, ne pouvant évidemment pas taire mon chagrin à Léa.
Je faisais en sorte que mon travail n’en souffrît point et me concentrais sur les clientes qui désiraient plaire à leurs maris, amants, femmes ou maîtresses.
J’avais parfois envie de leur raconter mes malheurs afin de les prévenir de la possible duplicité de leur conjoint(e) !
Au bout d’un mois, je repris peu à peu pied et organisai ma nouvelle vie dans mon appartement, que j’avais eu le nez de garder encore quelques mois en emménageant avec Delphine, dont je n’avais enfin plus de nouvelles.
Léa prenait un certain plaisir à m’inviter régulièrement à sortir avec elle et sa chérie, mais je refusais systématiquement, ne voulant ni tenir la chandelle ni finir dans leur lit, connaissant l’attirance qu’avait ma collègue pour moi.
Ce fut pourtant elle qui changea ma vie !
Il faisait encore beau ce vendredi soir lorsque nous quittâmes la boutique, laissant la fermeture à notre collègue. Marchant côte à côte dans la rue, Léa me prit le bras.
Je souris, amusée par son entrée en matière.
Je souris, tout de même un peu vexée par cette dernière remarque.
Arrivée chez elle, je découvris un superbe appartement dans les tons clairs et aux décorations sobres.
Je posai mes fesses sur un grand canapé de cuir clair, tentant d’éviter à ma minijupe de révéler trop de choses à cette lesbienne gourmande ! Léa revenait de la cuisine un plateau à la main, et je pus l’admirer en contre-jour. Brune aux cheveux courts, la peau mate, le corps svelte, elle portait bien sa quarantaine débutante, et sa robe claire la mettait encore en valeur. Son sourire était magnifique et elle paraissait heureuse de me voir chez elle.
Le plateau posé, elle prit place près de moi (enfin, pas trop près tout de même…) et me sourit.
Elle me regardait avec un sourire tendre.
Elle tenta de me faire sourire.
Elle se fit énigmatique.
Je ris et lui donnai une tape sur le genou pour la punir et pris une voix de petite fille.
Elle me sourit, gourmande.
Troublée par sa voix, je ne repoussai pas de suite sa main qui se posa sur mon genou. Les yeux dans les siens, je sentais mon souffle s’accélérer et ma peau frémir à ce contact. Frustrée par des semaines de célibat, je me sentais à fleur de peau et étais consciente que je jouais un jeu dangereux si je ne m’écartais pas de suite. Rusée, Léa ne profita pas de son ascendant sur moi, ne voulant pas brusquer les choses. Sa main était immobile et douce à la fois.
Je fermai les yeux un instant et elle prit cela pour une invite. Elle remonta lentement à l’intérieur de ma cuisse, déclenchant en moi des frissons bienvenus. Pour la forme, je tentai de repousser ses avances mais elle me fit taire en m’embrassant. Je gémis sous l’assaut sensuel et ouvris aussitôt les lèvres pour un baiser langoureux.
« Mon Dieu, que c’est bon ! »
Léa embrassait divinement bien et sa main progressait lentement sous ma minijupe, vite repoussée aux hanches. Ses doigts coquins faisaient frémir l’intérieur de mes cuisses, me faisant gémir pour vite atteindre le tissu moite de mon string. La belle savait y faire en frôlant, caressant, agaçant mes lèvres et mon clitoris à travers la dentelle. Je devenais folle de désir sous ses caresses et ses baisers, et mes gémissements assourdis par sa bouche étaient de plus en plus rauques.
Léa plaqua sa main sur mon sexe et me caressa à travers le tissu en appuyant plus fortement sur mes chairs. Ses doigts experts trouvèrent vite le rythme qui me rendait folle ; je me tordais sous ses attentions. Je sentais mon sexe s’ouvrir, et lorsqu’elle glissa sa main sous l’élastique et frôla mon clitoris, je ne fus pas longue à rendre les armes, jouissant dans un cri prolongé, la bouche libérée de son baiser, laissant libre cours à mon plaisir.
En sueur, la jupe retroussée, les cuisses écartées, je reprenais difficilement pied sous les yeux attendris de ma maîtresse d’un soir qui léchait sa main souillée avec un plaisir non feint.
Je souris amusée.
J’éclatai de rire et la laissai finir son effeuillage. Après tout, je lui devais ma première jouissance depuis des semaines !
En soutien-gorge et string, ma jupe me semblant de trop, je me laissai admirer par Léa qui en avait les yeux qui brillaient. Elle me couvait du regard, et ma poitrine semblait l’hypnotiser ! Je tentai de faire baisser la tension érotique qui régnait dans son salon en la taquinant.
Reprenant ses esprits, elle me sourit et se leva. Quittant ses talons, elle dézippa sa robe qui glissa le long de son corps de sportive. Ses petits seins étaient cachés par un soutien-gorge de tulle noir assorti à son string qui laissait deviner une toison entretenue.
« Quelle belle femme ! », me dis-je.
Sa main tendue vers moi me fit lever et Léa m’enlaça aussitôt, se collant à moi pour un baiser torride. Ses doigts experts ôtèrent vite mon haut, libérant ainsi mes seins, qui manifestement la faisaient rêver !
Ne voulant pas être de reste, je l’imitai pour admirer sa petite poitrine aux bouts proéminents et sensibles au contact de mes lourdes poires. Léa gémissait et devenait fébrile en m’embrassant. Avec des gestes sûrs, elle m’entraîna vers une porte que j’imaginais donner sur sa chambre.
Tombant sur le lit, Léa grimpa sur moi pour mieux me dominer. La belle voulait me dévorer depuis des mois et pouvait enfin donner libre cours à ses envies. Elle caressait mes seins avec délicatesse, me faisait gémir à nouveau si peu de temps après ma première jouissance.
Elle recula un peu son visage et prit un air grave.
Surprise par cette question je répondis :
En un geste, elle m’attacha les poignets à une paire menotte liées au lit. Décontenancée par ce jeu nouveau, je l’interrogeai du regard.
Apaisée, je lui souris.
Je lui offris mon plus beau sourire et me détendis, prête à cette nouvelle expérience.
À genoux sur le lit, Léa frôla d’abord mes hanches, me faisant frissonner. Lentement, elle remonta vers mes seins lourds dont les pointes trahirent aussitôt mon trouble. Je gémis lorsque son index effleura un téton dressé et vis son trouble au rose de ses joues.
Je souris, touchée par cette remarque, et la laissai explorer ma poitrine. Ses doigts survolaient ma peau avec une légèreté affolante, puis ses caresses se firent plus précises, centrées sur mes mamelons. Je lâchai un petit cri lorsqu’elle pinça légèrement un bout sensible puis gémis lorsqu’elle atténua la sensation en le léchant doucement. Sa main droite empauma mon sein gauche tandis que sa bouche se délectait de mon mamelon droit. Mes jambes étaient agitées de mouvements incontrôlés, comme si je voulais échapper à cette délicieuse torture.
Léa aspirait maintenant goulûment mon mamelon, sa langue jouant avec ma pointe granuleuse. Sa bouche dégustait mon sein avec passion et dévotion. Je retrouvais dans ses gestes l’ardeur que mettait Delphine à me lécher la poitrine. Je chassai vite la vision de la « traîtresse » pour profiter de Léa.
De petits cris s’échappaient de ma bouche fermée, mais bientôt je ne pus plus retenir mon plaisir. Dans des paroles quasi inintelligibles, je lui demandai de me faire jouir encore. Machiavélique, elle ralentit le rythme pour mieux me contrôler : j‘étais à elle, et elle voulait en profiter !
Sa main libéra mon sein pour se glisser lentement entre mes cuisses. Je l’emprisonnai un instant en la bloquant avec mes muscles, mais elle imposa de me laisser faire. Léa fit glisser mon string trempé, découvrant avec plaisir mon sexe lisse et brillant. Sa bouche relâcha mon téton et elle m’admira nue pour la première fois. Les yeux fous de désir, je cherchais à lire ses envies dans son regard.
Je gémis et écartai les cuisses dans une invite sans équivoque. Léa se glissa au niveau de mon pubis et approcha sa bouche de mon sexe humide. Elle ferma les yeux, huma mon odeur, et lentement approcha sa langue de mes lèvres. Je criai lorsqu’elle commença à me lécher lentement, immobilisant mon bassin avec ses longues mains. La belle prenait son temps pour me boire, frôler mes lèvres, effleurer mon clitoris puis revenir plus bas. Je me cambrai pour mieux profiter de l’expérience de cette lesbienne gourmande.
La bouche ouverte, je me laissais manger comme si c’était la première fois. Je dégoulinais sur son menton et l’entendais laper mon jus comme une chatte. Le bassin agité de spasmes, j’étais passive, déjà résignée à jouir encore une fois entre les mains de cette experte.
Son index coquin fut le catalyseur de mon plaisir et lorsqu’il pénétra doucement mon vagin tandis que sa langue aspirait mon clitoris. Un flot de jouissance explosa en moi et je hurlai mon plaisir, le corps tendu comme un arc puis agité de ruades échevelées.
Léa ne lâcha pas mon sexe tout au long de mon orgasme et me laissa récupérer avant de s’allonger contre moi. Ouvrant les yeux, je vis son beau visage maculé de mon plaisir et la remerciai d’un sourire.
Elle sourit, carnassière.
Sans me laisser le temps de répondre, Léa se déplaça vers la tête de son lit et enjamba mon visage. D’un geste parfaitement obscène, elle écarta son string pour m’offrir la vue de son sexe brillant de désir.
Je gémis, et ma bouche apprivoisa rapidement cette chatte au goût nouveau pour moi. Ma langue se faufilait entre ses lèvres pour lécher son vagin tandis que ma bouche pinçait parfois son clitoris aussi long que le bout de ses seins.
Léa appréciait mes caresses et les magnifiait en câlinant ses petits seins, maltraitant ses longues pointes. Son bassin agité de mouvements rythmés, elle tenait une cadence régulière qui bientôt fut plus désordonnée, la déséquilibrant, si bien qu’elle se laissa tomber en avant à l’aplomb de mon sexe dans un 69 torride qui me surprit.
Je grognai de plaisir quand Léa reprit mon clitoris entre ses lèvres tandis je tentais de faire de même, dans une position moins aisée. Elle écarta la ficelle de son string pour m’offrir la vue de son sexe gonflé, et ma langue se faufila pour la faire feuler telle une chatte en chaleur. Je la dévorai avec suffisamment de maîtrise pour que ma maîtresse d’un soir jouisse en enserrant mon visage entre ses cuisses musclées.
La chambre redevint silencieuse, seulement marquée par le bruit de nos respirations haletantes.
Léa se dégagea et, collée contre moi, m’embrassa langoureusement, mêlant ainsi son goût au mien. Avec doigté, elle libéra mes poignets et nous pûmes ainsi poursuivre nos découvertes respectives tout le reste de la soirée.
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La situation fut de suite claire entre nous : ce moment devait rester unique car elle avait sa vie avec Mélissa et je devais reconstruire la mienne. Aucune ambiguïté entre nous et nous pûmes travailler ensemble sans souci, voire même avec une complicité renforcée par notre secret.
Mélissa passait la voir régulièrement au magasin et je pensais être naturelle malgré cette soirée de folie que nous avions passée.
Ainsi je fus surprise lorsqu’un jour Léa me fit un cadeau sans aucun motif particulier avec pour seule consigne de ne l’ouvrir que chez moi, un soir où je serais seule et de la prévenir le jour prévu.
Intriguée, je lui fis remarquer que j’étais seule TOUS les soirs et que je l’ouvrirai donc en rentrant du travail ce jour même. Énigmatique, elle me dit que c’était donc parfait.
Amusée et émoustillée, j’étais donc pressée de découvrir ma surprise et, à peine chez moi, j’ouvris fébrilement le paquet. Je souris en découvrant une paire de menottes et un petit mot :
Attache-toi nue sur ton lit. Laisse ta porte ouverte. RDV à 20 h.
Troublée et légèrement excitée, je me dis que la coquine avait de la suite dans les idées et décidai de jouer le jeu. Un repas rapide, une douche troublante, et à 20 heures j’étais offerte sur mon lit, nue comme au premier jour. Anxieuse tout de même, j’étais à l’affût de tout bruit suspect ; à 20 heures, j’entendis des pas, puis la porte d’entrée qui claquait. Rassurée par la démarche féminine, je me détendis un peu.
La porte de ma chambre s’ouvrit et… Delphine apparut, un sourire timide sur son beau visage qui me manquait tant. Abasourdie par cette apparition, je restai silencieuse. Mon ex en profita pour prendre la parole :
Je sentais les larmes me monter aux yeux. Delphine le vit et me sourit, émue.
Je ris, amusée par le côté machiavélique de ma collègue. Delphine sortit la clé de sa poche et s’approcha pour me libérer les poignets. Je ne fis aucun mouvement vers elle et elle reprit sa position debout en face du lit.
Avec un sourire gourmand, elle fit passer son pull par-dessus tête, me laissant découvrir sa poitrine minuscule, libre de toute entrave. Sensuellement, elle fit glisser son jean puis son string pour me donner l’occasion de retrouver sa toison blonde bien épilée.
Delphine me rejoignit sur le lit, et après quelques secondes d’observation nos envies prirent le dessus et un baiser torride renoua notre relation. On se dévorait la bouche littéralement, comme des affamées. Ma jolie blonde roula sur moi et, ses petits seins collés à mes poires, m’offrit son joli petit cul à caresser. Delphine gémit lorsque mon index frôla son anus, et je pus constater avec plaisir qu’il était toujours aussi lisse. Notre baiser était rythmé par nos caresses et son petit cul m’attirait tandis que Delphine s’occupait de mes seins lourds qu’elle m’enviait depuis notre première rencontre.
Excitée et avide de nouvelles sensations, je profitai de cette position pour lui donner une tape sur les fesses.
Loin de protester, ma chérie gémit, me laissant comprendre que cette nouveauté était bienvenue. Sa réaction me transcenda et je la fessai plus fort pour son plus grand plaisir.
Ses gémissements de plus en plus rauques trahissaient son trouble ; je glissai mon autre main entre nos corps pour vérifier à la source que ma belle prenait son pied. Elle était trempée ! Ses yeux brillants confirmaient son trouble et je m’appliquai à la fesser tandis que mon autre main caressait son clitoris érigé. Ma chérie criait de plaisir à chaque coup, et les mouvements de son bassin me laissaient à penser que sa jouissance n’était pas loin.
Un cri plus fort que les autres confirma mon impression et Delphine jouit, agitée de spasmes incontrôlés, le corps luisant de sueur et les fesses rougies.
Retombée sur moi, elle mit du temps à reprendre ses esprits ; elle me sourit au bout de quelques instants.
On rit à nouveau, complices, et nous roulâmes sur le lit comme deux ados insouciantes. Mais Delphine voulait se faire pardonner absolument et prit les choses en main pour me donner le plaisir que je méritais à ses yeux.
Connaissant mes goûts, elle m’installa dans la position qui me rendait dingue. En levrette, le cul offert à la gourmandise de ma maîtresse ; je gémis en prenant position et, les fesses écartées, attendis l’offrande de sa bouche. Elle caressa d’abord mes fesses rondes, me faisant gémir d’impatience. Elle ne se fit plus attendre, et bientôt une langue coquine butinait mon anus lisse tandis que ses mains exploratrices empaumaient mes seins, pendants dans cette position.
Mes poires sensibles me faisaient vibrer de désir tandis que mon cul semblait trembler avant un séisme imminent. Je gémissais sans retenue, pressée de jouir avec ma chérie pour sceller notre réconciliation qui ne faisait aucun doute.
Je sentais mon anneau céder sous l’assaut de sa bouche ; et loin de dégoûter ma partenaire, cela semblait lui donner du cœur à l’ouvrage et lui ouvrir l’appétit. Mon sexe abandonné pour le moment était gonflé et dégoulinant, laissant sourdre une odeur entêtante et affolante.
Je ruai pour m’offrir davantage et, pressée de jouir, je fis comprendre à Delphine mon envie du moment. Complice, elle capta le message et abandonna mes seins, me pénétra sans ménagement de trois doigts. Comblée par cet assaut qui emplissait mon vagin humide, je grognai mon assentiment et ma satisfaction lorsque ma partenaire entama une sarabande effrénée avec ses doigts. Le bruit caractéristique d’un sexe pilonné résonnait et ajoutait à la teneur bestiale de notre accouplement.
Delphine n’avait rien perdu de son doigté ; ses mouvements parfaitement synchrones me firent perdre pied, déclenchant mon orgasme dans un cri libérateur.
Offerte telle une chienne, je criai ma joie de retrouver mon amoureuse.
L’heure des explications pouvait attendre ! Nous avions tant de passion à rattraper !