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n° 17058Fiche technique28743 caractères28743
Temps de lecture estimé : 17 mn
08/10/15
corrigé 07/06/21
Résumé:  Anne et Eric passent le cap du fantasme au réel, sans trop savoir où ils vont. Une collègue d'Eric entre en scène...
Critères:  couple collègues travail telnet voir photofilm fmast fellation pénétratio
Auteur : Tsylphe            Envoi mini-message

Série : Les subtilités de la comptabilité

Chapitre 03
Lit, bureau, voiture, rendez-vous et téléphone

Résumé des épisodes précédents :


Après une soirée où elle se retrouve – presque à sa surprise, mais avec plaisir – à faire l’amour avec un collègue (Anne s’étonne), Anne réalise qu’elle a mis son couple en danger. Des échanges avec Éric – son mari – la rassurent, et une nouvelle dimension érotique s’ouvre pour leur couple (Éric et Anne complices).


__________________________




Lit, bureau, voiture, rendez-vous et téléphone



Anne arrive au bureau. Elle fait le tour de ses collègues, puis pour finir, entre dans le bureau de Patrice. Elle lui dit fièrement :



Il pose délicatement ses mains sur les joues d’Anne. Il lui caresse le visage, le cou, la nuque. Elle ferme les yeux et se sent comme flottant dans l’air. Un baiser de Patrice sur ses lèvres la ramène sur terre.



La consigne n’est pas précise, mais à un moment, elle sent que c’est l’heure. Peut-être pas en fait, Patrice ne semble pas l’attendre. Elle avance vers son bureau, monte dessus et s’y pose, à quatre pattes. Impassible, Patrice finit son travail. D’un coup, il tourne la tête vers elle, se lève.


D’abord, une main se pose sur son épaule droite, puis l’autre sur son sein gauche. Bientôt, les mains glissent en tout sens sur ses habits, du haut de son dos à ses chevilles ; elle est parcourue de caresses. Les mains de Patrice semblent s’être démultipliées. Elle croit les sentir en même temps sur ses chevilles, ses poignets, ses mollets, son dos, ses épaules, ses avant-bras, son ventre, ses cuisses, ses fesses, ses seins. Elle est comme habillée de ses mains.


Puis les caresses enveloppantes laissent place à plus d’insistance. Ses tétons roulent entre des doigts, ses lèvres en sucent deux. Son clitoris est assailli, et son abricot déjà détrempé de plaisir est exploré. Trois doigts la pénètrent avec art. Elle roule des hanches, elle gémit, elle crie. Le bruit n’est pas passé inaperçu. Elle réalise que depuis la porte du bureau, on la regarde. Il y a Éric et aussi d’autres hommes. Elle plonge ses yeux dans ceux d’Éric et succombe aux doigts d’or qui l’assaillent.


Elle veut remettre ses habits en place pour retourner à son bureau, mais les tissus qu’elle touche ne sont pas les bons. Elle se retourne, cherche, avant de réaliser qu’elle est dans son lit. Éric dort à ses côtés ; pas un bruit dans la maison. Par contre, son sexe poisseux témoigne de la puissance de son rêve.


Elle prend son téléphone pour regarder l’heure – 3 h 56 – et ne peut résister à l’envie de regarder ses messages. Pas de nouveaux. Elle veut revoir les trois derniers reçus, dont celui qu’elle a embrassé ; elle ne les retrouve pas. Tout devient trop compliqué, elle se recouche.


Quand elle se réveille, Éric dort encore. Elle prend son téléphone : 6 h. Trop tôt, mais elle sait qu’elle ne se rendormira pas. Elle repousse délicatement la couette ; Éric ne bronche pas. Il est sur le dos. Elle descend dans le lit et approche sa tête du serpent alangui au bas de son ventre. Elle a envie d’un petit déjeuner. Très lentement, sa langue parcourt sa proie sur toute sa longueur. L’animal n’est pas vif, mais de passage en passage, elle le sent se gonfler. Ses lèvres épousent la tige, déposant sa salive du gland à la base. Elle sent désormais le sang qui vibre sous la peau toute tendue.


Éric ne bouge toujours pas ; peut-être rêve-t-il des lèvres de Véronique, ou d’autres encore… Elle se dit qu’elle doit encore lui demander quelles autres l’excitent. Elle ouvre à présent les lèvres et fait glisser le gland dans sa bouche. Elle tient son téléphone au bout du bras et se prend en photo. Le flash l’éblouit un peu, mais toujours pas de réaction d’Éric. Elle continue à sucer, allant et venant jusqu’à la moitié de la hampe tout en tapotant sur son téléphone. Elle envoie un MMS à Patrice et Sylvie avec ce message : « Tu aimerais, Patrice ? »

Elle sent sur ses fesses les mains d’Éric ; il la caresse et lui demande :



Elle lui tend l’appareil. Il voit le message et lui dit :



Elle interrompt un instant ces caresses buccales :



Elle le caresse à deux mains et dit :



Anne arrive au bureau. Elle fait le tour de ses collègues, puis pour finir, entre dans le bureau de Patrice. Elle lui dit fièrement :



Il pose délicatement ses mains sur les joues d’Anne. Il lui caresse le visage, le cou, la nuque. Elle ferme les yeux et se sent comme flottant dans l’air. Un baiser de Patrice sur ses lèvres la ramène sur terre.



La consigne n’est pas précise, mais à un moment, elle sent que c’est l’heure. Peut-être pas en fait, Patrice ne semble pas l’attendre. Elle avance vers son bureau, monte dessus et s’y pose, à quatre pattes. Impassible, Patrice finit son travail. D’un coup, il tourne la tête vers elle, se lève.


D’abord, une main se pose sur son épaule droite, puis l’autre sur son sein gauche. Bientôt, les mains glissent en tout sens sur ses habits, du haut de son dos à ses chevilles, elle est parcourue de caresses. Les mains de Patrice semblent s’être démultipliées. Elle croit les sentir en même temps sur ses chevilles, ses poignets, ses mollets, son dos, ses épaules, ses avant-bras, son ventre, ses cuisses, ses fesses, ses seins. Elle est comme habillée de ses mains.


Puis, les caresses enveloppantes laissent place à plus d’insistance. Ses tétons roulent entre des doigts, ses lèvres en sucent deux. Son clitoris est assailli et son abricot déjà détrempé de plaisir est exploré. Trois doigts la pénètrent avec art. Elle roule des hanches, elle gémit, elle crie. Le bruit n’est pas passé inaperçu. Elle réalise que depuis la porte du bureau, on la regarde. Il y a Éric et aussi d’autres hommes. Elle plonge ses yeux dans ceux d’Éric et succombe aux doigts d’or qui l’assaillent.


Elle veut remettre ses habits en place pour retourner à son bureau, mais les tissus qu’elle touche ne sont pas les bons. Elle se retourne, cherche avant de réaliser qu’elle est dans son lit. Éric dort à ses côtés, pas un bruit dans la maison. Par contre, son sexe poisseux témoigne de la puissance de son rêve.


Elle prend son téléphone pour regarder l’heure, 3 h 56, et ne peut résister à l’envie de regarder ses messages. Pas de nouveau. Elle veut revoir les trois derniers reçus, dont celui qu’elle a embrassé, elle ne les retrouve pas. Tout devient trop compliqué, elle se recouche.


Quand elle se réveille, Éric dort encore, elle prend son téléphone, 6 h. Trop tôt, mais, elle sait qu’elle ne se rendormira pas. Elle repousse délicatement la couette, Éric ne bronche pas. Il est sur le dos, elle descend dans le lit et approche sa tête du serpent alangui au bas de son ventre. Elle a envie d’un petit déjeuner. Très lentement, sa langue parcourt sa proie sur toute sa longueur. L’animal n’est pas vif, mais de passage en passage, elle le sent se gonfler. Ses lèvres épousent la tige, déposant sa salive du gland à la base. Elle sent désormais le sang qui vibre sous la peau toute tendue.


Éric ne bouge toujours pas, peut-être rêve-t-il des lèvres de Véronique, ou d’autres encore. Elle se dit qu’elle doit encore lui demander quelles autres l’excitent. Elle ouvre à présent les lèvres et fait glisser le gland dans sa bouche. Elle tient son téléphone au bout du bras et se prend en photo. Le f éblouit un peu, mais toujours pas de réaction d’Éric. Elle continue à sucer, allant et venant jusqu’à la moitié de la hampe tout en tapotant sur son téléphone. Elle envoie un MMS à Patrice et Sylvie avec ce message : tu aimerais Patrice ?

Elle sent sur ses fesses les mains d’Éric, il la caresse et lui demande :



Elle lui tend l’appareil. Il voit le message et lui dit :



Elle interrompt un instant ces caresses buccales :



Elle le caresse à deux mains et dit :



Anne a repris le vigoureux vit en bouche et écrit un message à Patrice et Sylvie, racontant le fantasme d’Éric. Le SMS parti, elle dit à Éric de se mettre debout. Elle vient à genoux devant lui, lui tend le téléphone. Elle le regarde dans les yeux et fait aller et venir ses lèvres autour du mât de chair tendu. Éric la prend en photo. Tenant droite la hampe entre ses doigts, elle la lèche amoureusement, fait tourner sa langue autour du gland. Éric ne rate aucun cliché. Au fur et à mesure, il envoie des MMS.

D’un coup, le téléphone sonne : c’est Sylvie. Éric hésite, mais le regard d’Anne le convainc de répondre :



Le téléphone change de main. Branlant Éric, Anne écoute Sylvie.



Anne se pose à quatre pattes sur le lit et met le haut-parleur du téléphone, qu’elle pose juste sous elle. Éric vient derrière elle et s’enfonce dans la grotte humide et brûlante. Elle pousse un soupir. Sylvie dit :



Les réponses d’Anne sont à présent plus gémissantes, d’autant qu’Éric imite ce que dit Sylvie :



La réponse d’Éric à cette évocation est un puissant râle et un jaillissement liquide qui inonde Anna pendant que Sylvie dit :



Anne à son tour s’enfonce dans le plaisir en gémissant « Patrice…» Par le haut-parleur, ils entendent une voix lointaine d’homme agonisant un :



Après un « bonne journée », ils raccrochent. Éric prend le téléphone et se met face à Anne en lui demandant :



Il enclenche la vidéo, cadrant assez large. Anne est visible de la tête au sexe. Remuant pour faire bouger ses seins, elle déclame d’une voix langoureuse :



Pendant qu’Éric envoie la vidéo, elle se retourne et, à quatre pattes, fesses face caméra, elle passe une main entre ses jambes et se caresse. Elle dit à Éric :



Il ne se fait pas prier et immortalise ce délicieux spectacle qui s’éternise. Anne ne fait pas que semblant : elle s’est lancée et ne compte pas s’arrêter. Sans cesser de se masturber, elle dit :



Anne s’effondre sur le lit. Éric se déplace, la filmant en partant de ses cuisses, en remontant jusqu’à son cou, puis son visage marqué par un sourire béat. Quand il arrête la vidéo, il réalise qu’il est passé 6 h 30. Il embrasse Anne dans le cou et file préparer du café.

Anne le rejoint après avoir pris sa douche. Elle s’est habillée avec une jupe à mi-cuisses et un chemisier. Elle demande à Éric :



Ils éclatent de rire. Les enfants arrivent. Éric file se préparer. Anne se souvient alors qu’elle voulait déposer Éric à son travail pour voir Véronique, la collègue de son homme qui le fait fantasmer. Ils partent aussi vite que possible, déposent les enfants et, miracle, arrivent devant l’entrée avant l’arrivée du personnel. Garés face à l’entrée, ils attendent jusqu’à ce qu’Éric fasse un signe. Une brune, très féminine, à la démarche dansante traverse. Anne cherche à voir son visage, qui lui paraît séduisant. Effectivement, elle à un fessier généreux.



Ils s’embrassent. Elle pose sa main sur son entrejambe ; il bande. Elle retire sa main et le pousse. Il descend et elle se rend à son boulot. Arrivée, elle fait le tour des bureaux et passe en coup de vent chez Patrice. Installée face à son ordinateur, elle se plonge dans le travail jusqu’à 13 heures.


Éric, lui, n’a qu’une idée en tête : obtenir l’information que lui a demandée Anne. Il ne sait pas où elle veut en venir, mais rien que l’idée que les deux femmes se connaissent l’excite terriblement. Dès qu’il en a l’occasion, il va voir Véronique et, prétextant réparer son impolitesse de la veille, l’invite à déjeuner. Véronique sourit et lui répond :



Il rougit, puis propose de passer la prendre à la pause.


Plus tard, installés en terrasse de la brasserie voisine, ils commandent. Éric ne sait pas comment s’y prendre, et c’est Véronique qui prend les devants :



Éric ne répond pas. Le serveur arrive. Ils mangent. Véronique se rapproche d’Éric et dit tout bas :



Éric bande. Que Véronique lui demande des confidences, ce n’était pas prévu ; il aimerait se taire, mais l’idée de provoquer quelques émois à cette femme en face de lui le fait céder :



Le serveur arrive avec les desserts.

En mangeant, Véronique dit :



Le téléphone d’Éric vibre. Il consulte, et Véronique voit son visage ahuri. Sur l’écran, une photo du visage d’Anne, prise de dessus avec les lèvres refermées sur le bout d’une queue. Le message indique « Tu veux d’autres photos ? » En tentant de cacher l’écran, il répond :



Véronique l’observe, mine de rien. Quand il va pour ranger son téléphone dans sa veste, elle lui demande :



Éric hésite, puis sort son téléphone, ouvre le message et le glisse discrètement à Véronique. Elle est surprise à son tour. Elle allait parler quand une seconde photo arrive. Anne tient le sexe d’une main, et de sa langue le lèche. Véronique repasse le téléphone à Éric puis dit :



Éric range le téléphone et va régler. En retrouvant Véronique dehors, il lui dit :



Il la suit, et arrivés à la voiture ils montent sur la banquette arrière. Éric sort le téléphone. De nouvelles photos arrivent, avec des variations sur la partie immergée de la verge. Véronique dit :



Éric s’enhardit :



Éric écrit un SMS. La réponse arrive en photo : trois doigts masculins luisants ressortent presque complètement du sexe d’Anne. Véronique dit :



Éric écrit le message. La réponse imagée arrive : Anne est assise à son fauteuil, son chemisier presque complètement déboutonné. Passés par-dessus le soutien-gorge, ses seins resplendissent. Elle en caresse un d’une main. L’autre est sur son sexe. Elle a les cuisses écartées qui reposent sur les accoudoirs. Sa jupe est roulée autour de sa taille.



Elle continue en chuchotant à l’oreille d’Éric :



Éric écrit un SMS en redisant en positif les paroles de Véronique. Plusieurs photos suivent, montrant la progression du sexe qui remplit Anne. Une autre prise de plus haut permet d’admirer en plus la poitrine et le visage d’Anne. Encore d’autres, prises par Anne, captent les mains de Patrice sur elle, la tenant par la taille, caressant ses seins. Éric envoie un message : « Chérie, je t’aime ; tu es magnifique ! » La réponse est une photo, légèrement floue, de son visage et de ses seins dont les tétons roulent entre les doigts de Patrice.



Il le fait. La réponse arrive : « J’adore, suis toute à lui, pleine de sa queue, possédée par ses mains. » Elle est accompagnée d’une vue qui dévoile les deux visages de profil s’embrassant. Éric est au bord de l’explosion.

Véronique lui tend un tee-shirt à elle qui traîne sur la banquette et lui dit :



Sans réfléchir, Éric ouvre son pantalon, et en quelques secondes son sperme gicle dans le tee-shirt. Véronique le regarde, bienveillante, puis lui dit :



Sans réagir, Éric obéit et quitte la voiture, les jambes en coton. Véronique envoie un SMS :



La réponse est tardive : « On vient de jouir, toujours en moi. »

« Montre-moi ton visage. »

Un visage rayonnant apparaît ; les yeux bleus d’Anne pétillent, elle a un sourire béat.

« Qu’il prenne une photo où tu te caresses les seins. » ; « Embrassez-vous encore. » ; « Caresse son sexe dans ta main. » Les images succèdent à chaque demande, puis Véronique clôture par un « Je t’aime » auquel répond Anne. Fermant les yeux, les images défilant sous ses paupières, Véronique a retiré son string trempé et se caresse jusqu’à la jouissance.


Elle attend d’être remise, puis, sans culotte, retourne au travail. Elle passe par le bureau d’Éric et lui rend l’appareil. Se penchant vers lui, elle chuchote :



Plus tard dans l’après-midi, Éric réalise qu’il n’a obtenu aucune information sur Véronique. Il hésite, puis se lance. Prenant un dossier au hasard, il traverse les couloirs d’un air affairé jusqu’au bureau de Véronique. Heureusement, elle est seule. Il demande assez fort :



Souriante, elle répond :



Assis face à elle, il lui dit tout bas :



Éric rougit.



Véronique réfléchit un instant, puis :



Éric retourne à son ordinateur. Scrupuleusement, il retrace la scène de la fellation, de la jouissance dans sa bouche, puis la prise en levrette avec ses mains caressant les fesses, les seins. Il omet cependant d’évoquer le gros cul de Véronique pour ne pas la vexer. Il raconte aussi qu’elle l’a vue ce matin. Il envoie le mail.

La réponse de Véronique arrive trente minutes après : « C’est malin ; j’ai dû aller me caresser aux toilettes… Pour ta femme, tu peux lui dire que le soir je prends un verre en terrasse du Café de Paris vers 19 heures. J’y vais à partir de ce soir ; tu m’offriras les consommations. »


Il appelle Véronique et la remercie. Elle lui répond qu’elle sera ravie de rencontrer Anne. Il envoie un SMS à Anne en lui disant qu’il s’occupe des enfants si elle veut y aller dès ce soir.