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Temps de lecture estimé : 22 mn
20/02/16
corrigé 07/06/21
Résumé:  Un des collègues d'Anne est devenu son amant. Anne a confié à Éric ses secrets, et leur couple découvre une nouvelle dimension érotique qu'il explore un peu plus, tout en s'interrogeant sur les motivations de chacun.
Critères:  ff fhh inconnu voir entreseins fellation pénétratio double
Auteur : Tsylphe            Envoi mini-message

Série : Les subtilités de la comptabilité

Chapitre 04
Rencontre avec l'inconnu

Résumé des épisodes précédents :


Après une soirée où elle se retrouve – presque à sa surprise, mais avec plaisir – à faire l’amour avec un collègue (Anne s’étonne), Anne réalise qu’elle a mis son couple en danger. Des échanges avec Éric – son mari – la rassurent, et une nouvelle dimension érotique s’ouvre pour leur couple (Éric et Anne complices). Ils passent alors le cap du fantasme au réel, sans trop savoir où ils vont. Une collègue d’Éric entre en scène… ( Lit, bureau, voiture, rendez-vous et téléphone ).


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Rencontre avec l’inconnu



Installée en terrasse, Véronique voit arriver Anne au coin de la rue. Elle détourne son regard vers un article du magazine posé sur ses genoux. Elle a à peine lu le titre qu’elle l’a déjà oublié ; ses pensées sont ailleurs. Elle se demande comment va se passer cette rencontre. Après la lecture de l’enseigne du Café de Paris, Anne avise rapidement les quelques tables occupées. Elle repère immédiatement Véronique, dont l’image qu’elle en a saisie ce matin est restée vivace. Hésitante, elle s’approche de la terrasse. Elle regarde en coin Véronique qui est plongée dans une revue. Avançant entre les tables, elle s’approche d’elle et demande timidement :



Véronique lève son regard vers elle, et souriant répond :



Anne est déstabilisée, mais en même temps, elle préfère cette proposition à la continuation d’un simulacre qui la laissera insatisfaite.



Véronique raconte alors le repas avec Éric et comment elle a suivi les échanges de messages et de photos entre eux quand elle a fait l’amour au bureau avec Patrice. Ensuite, elle parle qu’elle a échangé l’info, d’où la rencontrer contre le récit de leurs ébats où elle était impliquée en pensée. Elle explique aussi qu’Éric avait sûrement besoin de se confier et qu’elle avait abusé de la situation. Anne écoute, un peu abasourdie, et dit d’un air inquiet :



Véronique pose sa main sur celle d’Anne :



Ces paroles et la chaleur de la peau de Véronique sur la sienne réconfortent Anne. Le temps fraîchissait, ce qui la fait frissonner. Véronique propose alors d’aller chez elle pour poursuivre leur discussion. Anne accepte.

Installées côte à côte dans le canapé, Véronique demande à Anne de lui raconter les débuts de cette aventure. Anne commence, et quand elle évoque les photos et les SMS, Véronique lui demande de les lui montrer en même temps. Anne hésite, puis pose une condition : que Véronique accepte qu’elle la prenne en photo. C’est au tour de Véronique d’hésiter avant de céder à son tour. Anne sort son téléphone pour illustrer son récit. Pour pouvoir bien voir l’écran, elles se rapprochent l’une de l’autre.

Véronique fait de réguliers éloges du corps d’Anne, de ses expressions. Elle commente le désir qui naît en elle, interroge Anne au sujet du sien, laquelle répond timidement qu’il est là aussi. Quand Anne termine son récit, Véronique pose une main sur son genou et lui dit :



Elle entraîne Anne dans sa chambre et lui demande si elle souhaite des poses en particulier. Anne lui dit de faire ce qui lui passe par la tête. Tour à tour debout, assise au bord du lit, allongée, Véronique prend des poses de pin-up, jouant avec l’objectif. Elle sent qu’Anne n’ose pas lui demander, alors elle propose des poses plus explicites. Anne acquiesce, mais Véronique pose sa condition : c’est Anne qui lui retirera elle-même les vêtements, et elle laissera Véronique la déshabiller au même degré.


Accepté, le jeu d’effeuillage commence. Les tops disparaissent, celui d’Anne plus lentement, les doigts de Véronique prenant soin de caresser la peau. Après une série de photos, c’est au tour des soutiens-gorge. Anne découvre des seins ronds ornés de grosses aréoles et de longs tétons. Voyant son regard s’attarder dessus, Véronique suggère à Anne de les toucher tandis qu’elle libère deux belles poires laiteuses qu’elle caresse avec envie. Anne détaille des doigts les tétons de Véronique avant de les prendre en photo. Véronique prend des poses où elle joue avec ses seins, allant jusqu’à les tenir haut pour pouvoir se lécher les pointes.


Les jupes sont retirées ; deux fessiers ronds, l’un plus que l’autre. Anne mitraille ce cul qui plaît tant à Éric. Quand le triangle du string est visible, une tache d’humidité le recouvre presque en entier. Elle se rend compte que le sien est dans le même état. Elle fait mettre Véronique sur le dos et prend plusieurs clichés de ses cuisses écartées et de son string avant de le retirer. Une toison entretenue surmonte le sexe. Véronique se rapproche d’Anne, fait glisser son string, puis l’attire avec elle sur le lit. Sans prévenir, elle l’embrasse. Anne se laisse faire et sent leurs corps plaqués l’un contre l’autre et mille caresses l’assaillir. Les mains de Véronique l’électrisent. Elle se voit dans le grand miroir de l’armoire, nue contre cette femme. Elle prend en photo le reflet. Les lèvres de Véronique glissent dans son cou, descendent vers ses seins. Les mains parcourent son ventre, ses cuisses, qu’elle écarte. Des doigts parcourent ses lèvres intimes luisantes.


Un, deux puis trois pénètrent en elle. Elle se sent comme baisée, elle pousse des petits cris. Elle n’a jamais été doigtée avec autant de vigueur et de douceur, son bassin se trémousse. Elle a perdu la notion du temps, elle vit au rythme des spasmes de son sexe. Ses tétons ne sont pas épargnés par la langue et les dents de Véronique qui les mordillent. Elle s’envole en un éclair de plaisir fulgurant.

Revenue à elle, Anne voit Véronique qui la prend en photo :



Des caresses tendres s’ensuivent. Se déplaçant, Véronique approche un téton de la bouche d’Anne et lui demande de goûter. Comme un petit sexe, le téton long durcit plus fort. Elle y prend goût et alterne les seins. Véronique lui prend une main et la glisse vers son entrejambe. Les doigts jouent avec la toison, caressent la fente brûlante et humide. Ils rencontrent un clitoris dont la taille les surprend. Anne veut le voir et approche son visage. Il est beaucoup plus gros que le sien, et le voir là, tout gonflé, lui donne envie de le sucer. Elle l’entoure de ses lèvres et sa langue l’explore. Elle sent le corps de Véronique se tendre. Anne poursuit sans relâche son exploration qui arrache des gémissements à sa bienheureuse victime et lentement la conduit à un plaisir terrassant. Elle s’allonge à côté de Véronique et lui demande innocemment :



Pour toute réponse, Véronique l’embrasse à pleine bouche, puis quelques minutes après dit :



Dans la voiture, elle retourne dans sa tête la question de Véronique sur Sylvie. Avant de partir, elle a envoyé un SMS à Éric pour le prévenir. Arrivée, elle le rejoint directement dans la chambre. Il l’attend avec plein de questions. Elle ne lui répond pas et découvre les draps. Il est en érection. Elle lui demande à quoi il a pensé. Il raconte qu’il s’est imaginé qu’elle et Véronique s’étaient livrées à des jeux saphiques.



Éric ne se fait pas prier, et se postant derrière elle glisse son vit entre les lèvres gonflées. Caressant des mains les fesses rondes, il coulisse lentement quand Anne poursuit :



Elle sent le sexe bondir, et continue :



Tandis qu’il la besogne, se penchant vers elle, il entend :



C’en est trop pour Éric ; il donne encore quelques coups de reins furieux avant de déverser sa liqueur en râlant. Le sexe encore fiché dans le voluptueux palais d’Anne baigné de sperme, il demande :



Anne s’allonge et demande à Éric de rester en elle et sur elle. Elle attrape son téléphone et fait défiler les photos. Avant même que n’apparaissent les seins de Véronique, elle sent le membre durcir un peu. Quand les tétons surgissent, il se gonfle encore plus. Avec la longue série de photos du fessier de Véronique, le sang bat à plein dans la verge. Sans se poser de questions, Éric se remet à posséder Anne, les yeux rivés sur les images. Il n’imagine même pas qu’il possède Véronique, mais qu’Anne ait fait ces photos pour lui l’excite encore plus. Ses mouvements de bassin sont rapides. Sa précédente jouissance lui donne plus d’endurance, et c’est Anne qui, avant lui, succombe à cet assaut vigoureux. Il sort son sexe et vient le glisser entre les globes charnus des fesses entre lesquelles il jouit à nouveau.


Anne s’est endormie dans ses bras. Il sent dans son cou le parfum de Véronique. Il essaie de visualiser les deux femmes ensemble et s’égare dans des rêves langoureux.


Le lendemain, en milieu de matinée, Anne rêvasse. Elle repense à sa soirée avec Véronique, et surtout à sa question. Quel est l’intérêt de Sylvie dans le jeu avec Patrice ? Cette tache d’ombre la perturbe, et bien que s’étant remise au travail, elle ne cesse d’y penser. Elle sait que, sans réponse, cette idée ne la quittera pas. Elle se décide, et sans réfléchir envoi un texto à Sylvie en lui demandant.

Déjà, elle peut se concentrer et avance dans ses dossiers. Sylvie lui répond en lui proposant de déjeuner ensemble. Elle accepte. Lorsqu’elle quitte le bureau pour s’y rendre, elle croise Patrice qui lui souhaite bon appétit en souriant. Elle hésite à lui demander les raisons de ce sourire, puis se dit qu’elle en aura sûrement la réponse d’ici peu.


Elles sont assises face à face. Une fois la commande passée, Sylvie explique à Anne qu’elle comprendra très vite. Il y a de nombreuses années, elle a constaté que Patrice était régulièrement attiré par d’autres femmes. Elle ne fut pas surprise et se posa juste la question du jusqu’où cela pourrait aller. Ce qui par contre la choqua, c’est de découvrir qu’il fantasmait en cachette sur le fait qu’elle ait des amants.


Elle ne savait quoi faire de cette idée quand un soir, après une soirée, un inconnu l’avait invitée à danser. En regardant Patrice, elle voyait un regard qu’elle ne lui connaissait pas. Son cavalier était habile, et très régulièrement ses mains l’effleuraient sans insister, mais assez pour qu’elle garde quelques instants l’empreinte de leur passage sur elle. Ces caresses l’avaient, le temps d’une danse, mise dans un état d’excitation auquel elle ne s’attendait pas. Elle retourna près de Patrice qui semblait aux anges. Elle buvait quand son cavalier demanda à son homme s’il pouvait la lui emprunter à nouveau. Sans lui demander son avis, Patrice répondit « avec plaisir ».


L’inconnu la prit par la taille et l’entraîna vers la piste. Elle n’en revenait pas qu’il ne lui ait pas demandé son avis. Les mains de l’homme s’attardaient plus sur elle, elle ne réalisa pas qu’il la guidait, au rythme de la musique, vers une partie de la piste moins éclairée. Elle s’en rendit compte quand elle chercha des yeux Patrice. L’inconnu se pencha vers son oreille, une main dans son dos la retenant, et lui dit qu’elle était très désirable. En la relâchant, la main se posa sur ses fesses et il lui demanda si elle avait envie elle aussi. Elle ne savait que répondre ; les caresses et cette approche plus que directe l’avaient mise dans un état de moiteur intense. Mais dans sa tête, elle s’insurgeait. Elle répondit qu’elle allait rejoindre son mari.



Elle rejoignit Patrice et lui demanda de partir tout de suite. Dans la voiture, elle lui demanda s’il avait bandé en la voyant danser.



En prononçant ces mots, elle avait posé sa main sur la braguette ; il s’était durci d’un coup. Elle lui demanda de s’arrêter dès qu’il le pourrait. Un petit chemin sur le bord de la route se présenta. Le moteur n’était pas encore coupé qu’elle lui demanda de la baiser. La portière arrière ouverte, ils firent l’amour violemment sur la banquette. Le retour se fit dans le silence.


Deux jours après, après avoir fait l’amour tendrement dans le lit, ils en reparlèrent. Patrice ne savait pas pourquoi, mais l’idée de Sylvie avec un autre homme lui plaisait. Sylvie admit aussi que l’homme l’avait très excitée. Patrice dit :



Ils retournèrent dans le même lieu quelques jours après. Dès qu’ils entrèrent, Patrice prit la même place que la dernière fois et commanda les mêmes boissons. Sylvie cherchait désespérément du regard l’inconnu. Sur le chemin de l’aller, elle s’était laissée à divaguer, et le désir commençait à couler en elle. L’homme arriva derrière eux. Il les salua. Sylvie eut un grand sourire. Patrice bandait déjà. L’homme entraîna Sylvie sur la piste. Il ne disait rien, mais ses yeux la couvaient du regard. Il prenait son temps. Elle attendait les caresses ; il les faisait discrètes. Puis, de morceau en morceau, elles s’attardaient. Les mains de Sylvie, elles, exprimaient leur désir en se tenant à lui plus que nécessaire. Il l’avait ramenée vers le coin obscur de la piste.


Elle l’avait laissé passer sous sa jupe. Elle avait oublié Patrice. Elle ne vivait plus que pour ces doigts qui avaient caressé la peau nue de ses cuisses, massé le triangle trempé de son string, écarté ce dernier. La tête sur l’épaule de l’homme, elle se faisait doigter sur une piste de danse au milieu d’inconnus. Puis elle avait entendu :



Elle avait obéi comme un automate. Elle avait à peine attendu en bas de l’escalier qu’il l’avait rejointe et entraînée dans une cabine. Debout, il l’avait embrassée en ouvrant son pantalon. Son sexe dur glissa vers la porte de velours. Elle savoura la lente progression du gland. Remplie de chaleur virile, elle lui obéit et lui donna ses seins. Il les téta, les caressa en la parcourant de va-et-vient. Elle n’eut pas besoin de longtemps pour succomber. Sans se hâter, il se livrait à des mouvements de hanches qui le comblèrent à son tour. Il lui fit un baiser en lui disant « Toi, au moins, tu ne fais pas semblant. » Rhabillé, il la laissa.


Elle mit plus de temps à remonter. Elle se laissa atterrir, essuya le sperme qui coulait le long de ses cuisses, se rafraîchit le visage, ajusta sa tenue. Revenu avec Patrice, elle lui dit « Il m’a baisée ; c’était bon. Je suis fatiguée. On y va, s’il te plaît ? »


Le serveur apportant les plats, Sylvie se tut avant de continuer. Elle avait aimé. Ils ont recommencé, puis évolué. Il arrive qu’il y ait plusieurs hommes. C’est Patrice qui les lui propose, et elle choisit. Un jour, Patrice lui a dit qu’il aimerait lui aussi faire l’amour à d’autres femmes. Elle ne pouvait pas le lui refuser, même si elle sentait la jalousie. Alors, elle est toujours impliquée, complice. Elle demande à Anne :



Se méfiant des propositions de Sylvie, Anne réfléchit avant de répondre :



Le soir même, dans leur lit, Anne raconte son déjeuner à Éric. Bien que vite tendu, il attend patiemment la fin du récit pour la dévorer de caresses. Anne se laisse faire. Quand il se présente face à elle pour lui faire l’offrande de son pieu, elle retient le sceptre dans sa main et lui demande :



Elle glisse elle-même le sexe en elle. Au fond, Éric s’immobilise et la regarde dans les yeux.



Elle referme ses jambes autour de sa taille. Il va-et-vient doucement en elle et se penche. Il lui dit à l’oreille :



Anne ne dit rien mais elle sent le membre grossir encore et la respiration d’Éric s’accélérer. Il la prend sauvagement à présent. Le rythme du piston leur procure à tous deux une montée du plaisir qui grimpe en flèche. Les mains d’Anne sont agrippées dans le dos d’Éric, ils s’embrassent en jouissant tous les deux.


Trois jours plus tard, Anne reçoit une invitation de Sylvie. Heureusement, ils peuvent faire garder les enfants ce soir-là. Elle prévient Éric et accepte. Le soir dit, ils se rendent chez Sylvie et Patrice, un peu tendus. Ils sont les premiers. Éric fait la découverte de ce couple, et ses premiers émois surviennent quand Patrice embrasse Anne en posant sa main sur le dos qu’il caresse négligemment en la félicitant pour sa tenue. Sylvie explique que les invités arriveront un peu plus tard et qu’Éric et Anne seront dans la chambre d’où ils pourront voir sans être vus.

Sylvie fait asseoir Éric dans un fauteuil et installe Anne et Patrice dans le canapé. Elle ramène des boissons puis, s’asseyant sur l’accoudoir du fauteuil d’Éric, lui glisse à l’oreille :



La sonnerie retentit. Sylvie mène Anne et Éric dans la chambre attenante. Ils s’attendent à la voir ressortir, mais en fait Sylvie referme la porte de l’intérieur et donne un tour de clé. D’autres sonneries et des voix masculines, très assourdies, retentissent dans la pièce d’à côté. Sylvie leur dit qu’ils vont comprendre. Elle retire ses vêtements et se retrouve en lingerie debout à côté d’eux qui sont assis au bord du lit et se tiennent la main. Ils entendent dans la pièce d’à côté un meuble que l’on pousse. Sylvie éteint la lumière principale, ne laissant qu’une lumière tamisée. Elle s’approche du mur mitoyen et déplace un portique à vêtements. Le mur est percé d’un trou rond d’une quinzaine de centimètres de diamètre.


Sylvie s’installe sur un fauteuil face au trou et glisse deux doigts joints dedans. Quand ils se retirent, une verge semi-bandée apparaît. En regardant Anne et Éric, elle s’en saisit et la caresse lentement. Son visage se rapproche jusqu’à ce que ses lèvres effleurent le gland, puis l’engloutissent avec une partie du manche de chair qui se dilate. D’une main, elle joue avec son clitoris, ses cuisses écartées en direction de ses invités, son string repoussé sur le côté. Éric ressert des boissons. D’un geste, il propose un verre à Sylvie qui, la bouche pleine et active, lui fait signe que oui. Se levant pour apporter le verre, il se retrouve à moins d’un mètre de Sylvie qui se met à lécher la verge bandée sur toute la longueur en le fixant dans les yeux. Il a posé le verre mais reste comme figé par le spectacle. Se ressaisissant, il rejoint Anne.

Branlant la bite raide, Sylvie boit puis demande :



Éric n’ose rien dire, mais Anne répond :



Se levant, Sylvie présente ses fesses à Éric et Anne, caressant ses lèvres intimes, penchée en avant pour sucer à nouveau. Éric se retient d’imaginer trop longtemps que son sexe est à moins de deux mètres de celui de Sylvie qui ne l’a sûrement pas orienté vers eux par hasard. Sylvie relève son buste et se place dos au mur. Le trou est à la hauteur de son sexe, et bientôt elle y glisse le résultat de sa fellation. Le plaisir se lit sur son visage au fur et à mesure de la pénétration. Sylvie prend appui sur le dossier du fauteuil et se livre aux coups de reins, qui bien qu’un peu limités de par l’orifice, demeurent efficaces. Anne prend les mains d’Éric pour les poser sur elle. Pour pouvoir bien voir tous les deux, Éric s’assied derrière Anne. Il la caresse sur les cuisses, les hanches, les épaules, les seins, au travers du tissu, l’embrassant dans le cou. Il s’enhardit à lui retirer son top tandis qu’en face d’eux Sylvie se livre à une danse autour du pal qui la fouille. Les regardant, elle dit :



Le reste de ses paroles est confus et entrecoupé d’onomatopées et de gémissements. Ils n’ont pas répondu, si ce n’est Éric qui a mis à nu les seins d’Anne qu’il caresse, les yeux rivés sur Sylvie qui bientôt s’agrippe au fauteuil et se fige. Le vit s’anime encore quelques instants avant de ressortir et de disparaître.

Sylvie a juste le temps de prendre un verre en main qu’un gland apparaît dans le trou. Elle prend le temps de boire, laissant ses doigts glisser en anneau le long de l’animal. Elle se lève et cale le vit entre ses fesses. Elle le masturbe ainsi entre ses globes arrière avant de venir le lécher de haut en bas, caressant les testicules. Branlant la base de la verge de ses doigts, elle engloutit la tête goulûment. Ce traitement est efficace, et bientôt on entend frapper quelques coups sur la cloison. Sylvie ne garde que le bout du gland entre ses lèvres. Des soubresauts s’emparent de la tige de chair, puis des petites coulées de semence s’échappent de ses lèvres tandis qu’elle regarde, victorieuse, Anne et Éric.

Un nouveau sexe a remplacé le précédent ; Sylvie le prend en main, puis elle s’adresse à Anne avec un sourire gentil :



Le motif est plausible, même si Anne doute des intentions de Sylvie. Elle se lève, et restant debout, caresse la chair chaude et dure. Sylvie passe à la salle de bain et revient vite. Anne s’apprête à faire un pas pour retourner auprès d’Éric, mais Sylvie la retient :



Éric et Anne échangent un regard ; ils se jettent à l’eau. Éric voit les lèvres d’Anne s’ouvrir pour se refermer autour du sexe d’un autre. Sensuellement, elle suce, fermant les yeux. À chaque fois que la queue ressort de sa bouche, Éric voit les traces humides de la salive laissées par la fellation. C’est encore plus flagrant quand Anne se met à lécher le sexe sous toutes ses coutures. Cette fois, elle garde les yeux ouverts et le regarde, même quand elle cajole les deux bourses pleines de sa langue. Quand elle reprend à sucer, Sylvie lui dit doucement :



Anne se redresse, humidifie abondamment la verge avant de la placer au creux de ses seins. Les tenant serrés, elle commence à y faire coulisser son prisonnier, qui s’anime de son côté pour profiter d’un si chaleureux paysage. Éric manque de jouir et se retient de force. Régulièrement, Anne libère le vit pour le réhumidifier dans sa bouche, puis le reloge entre ses doux atouts. Le traitement a l’air de grandement plaire au propriétaire qui accompagne vivement des hanches. Bientôt il tape à la cloison. Anne conserve le membre assez bas au creux de ses seins et sent contre sa peau jaillir le sperme chaud. Le sexe ne se sauve pas ; il reste là, un peu relâché et luisant. Anne le regarde, puis approche sa bouche. Elle entreprend de le nettoyer avec sa langue et ses lèvres. Elle prend son temps et s’applique. Le pieu reprend de sa vigueur, mais c’est à ce moment qu’il se retire.


Une main, puis un bras surgissent du trou, cherchant à tâtons. Du regard, Sylvie fait comprendre à Anne qu’elle peut se rapprocher. Les doigts entrent en contact avec son visage, le détaillant, glissant sur ses lèvres. Le pouce n’a pas besoin de forcer pour qu’elle lui entrouvre ses lèvres. Après plusieurs va-et-vient, il repart. Son cou est exploré ; la main descend et s’attarde longuement sur sa poitrine, évaluant la forme, soupesant chaque sein, détaillant les tétons, les serrant délicatement entre deux doigts.


Éric est contemplatif, stupéfait de voir Anne se laisser détailler ainsi. Elle se lève pour que le bas de son corps soit accessible. La main parcourt sa taille, ses hanches, ses cuisses. D’elle-même, Anne se retourne pour que ses fesses soient à portée des doigts qui les malaxent, en apprécient la consistance et la rondeur avant de glisser vers l’intérieur des cuisses. Anne écarte ses jambes et Éric peut voir des doigts fouiller la fente de velours d’Anne qui se laisse doigter. Elle a du mal à tenir debout et Éric se lève pour la soutenir. Il entend les clapotis des doigts dans la chatte trempée.


La main s’est retirée mais est immédiatement remplacée par une verge dure qui trouve facilement son chemin. Anne se penche en avant, appuyée contre Éric, et colle ses fesses à la cloison. Elle se sent soumise à cette bite, comme elle l’a été aux doigts dont elle sentait qu’ils la commandaient. Elle a oublié Éric, pourtant contre elle, et n’est plus que ce corps gouverné par un piston impérieux. Elle vit au rythme de cette machine qui la traverse, qui propulse dans tout son corps des ondes brûlantes. Éric sent qu’Anne n’est plus là ; il la tient, mais sent bien qu’elle est à un autre. Elle a son visage contre lui, et il ne peut le voir. Par contre, bientôt il sent la tension de son corps entend ses gémissements étouffés, puis des cris courts et violents. Pendant cinq minutes, alors que l’activité de l’homme menace l’intégrité de la cloison, Anne hurle des « oh ! », des « oui ! », des « ah… » chaque fois que la matraque touche au fond d’elle. L’homme ne frappe pas pour prévenir, mais son grognement est audible dans la chambre. Il reste planté en Anne quelques minutes encore avant de se retirer.


Éric porte Anne sur le lit. Elle est en sueur, décoiffée ; du sperme a séché sur sa poitrine, et d’autre, frais, coule entre ses cuisses. Il pose ses doigts dessus et l’étale. Elle est si belle ; elle était si belle aussi il y a quelques minutes… Il la caresse doucement. Anne revient à elle. Son visage est radieux. Elle lui sourit, lui aussi. Anne descend sa main vers la braguette d’Éric. La bosse ne s’est pas résorbée. Sylvie arrive avec des boissons fraîches et Anne lui demande :



Surprise, Sylvie marque un temps d’arrêt :



Quelques instants plus tard elle ouvre la porte de la chambre. Patrice entre, regardant longuement le spectacle qu’offre Anne. Il s’installe dans le fauteuil. Éric est toujours à côté d’Anne ; il lui caresse les cheveux tandis que Sylvie le rejoint. Elle lui déboutonne sa chemise et en écarte les pans. Ses mains se posent sur sa poitrine et son ventre. Sa langue vient lécher les tétons d’Éric, puis glisse sur sa peau en descendant. Elle embrasse la bosse qui gonfle la braguette en même temps que ses doigts défont la ceinture et le bouton du pantalon. Elle le regarde dans les yeux, et ses mains tirent le pantalon vers le bas. Le mât enfin libéré se dresse. Éric prend la main d’Anne dans la sienne. Sylvie embrasse le gland, écarte ses lèvres chaudes et le prend dans sa bouche. Elle monte et descend un peu en tournant. Elle fixe Anne qui en fait de même. Les mouvements sont très lents ; heureusement, car Éric ne sait pas combien de temps il va tenir.

Patrice s’est assis sur le bord du lit. Il a retiré son pantalon et caresse son sexe en regardant. Il demande à Anne :



Anne sourit et lui fait signe de s’approcher. Il monte sur le lit et Anne le prend par la queue pour l’amener vers elle. Éric manque de venir quand il la voit lécher les bourses de Patrice tout en le masturbant. Sylvie relâche la pression ; elle remonte au-dessus d’Éric et s’empale doucement sur son vit. Il lui caresse les seins tandis qu’Anne suce désormais Patrice, qui de son côté a ses mains qui la parcourent.



Patrice se libère d’Anne et se rapproche de Sylvie qui s’est allongée sur Éric. Patrice s’installe derrière Sylvie qui écarte ses fesses de ses mains et s’est immobilisée. Éric sent contre son sexe la progression d’un autre membre. Il ne réalise pas tout de suite qu’il est rejoint par Patrice dans le palais de velours de Sylvie. Mais quand Patrice commence à se mouvoir, il en est certain. Ses mouvements à lui sont très limités, mais le plaisir que semble prendre Sylvie au-dessus de lui est communicatif. Outre son bassin qui ondule selon les gestes de Patrice, elle pousse une multitude de petits cris ponctués d’onomatopées. Anne la regarde, sidérée et fascinée. Elle se caresse. Quand Éric s’en rend compte, c’en est trop : il pousse un râle et se répand en Sylvie, qui à son tour s’effondre sur lui. Patrice est encore en vie ; son sexe est sorti de sa femme qu’il caresse.

Sylvie se remet et s’allonge à côté d’Éric. Patrice invite Anne à se rapprocher d’Éric, puis la fait s’installer à quatre pattes au-dessus de son mari. Éric regarde sans tout comprendre. Sylvie dit à Anne :



Anne se penche vers Éric. Leur baiser devient plus intense quand le vit de Patrice glisse en Anne. Il s’immobilise d’abord puis commence à la prendre. Éric ressent les coups de boutoir au travers des seins d’Anne appuyés contre sa poitrine. Sylvie prend Anne par l’épaule et dit :



Anne se redresse et fait danser son bassin d’avant en arrière. Patrice savoure la vue et la sensation des fesses d’Anne qui viennent s’écraser contre lui et repartent, toujours animées de vie. Éric à juste au-dessus de lui les lourdes poires animées en tous sens dont le ballet l’enchante. Anne, elle, ne sait plus la cause de son plaisir : savoir qu’Éric la voit, le sexe de Patrice en elle, sa pleine participation à ce spectacle, ou encore le contrôle du rythme de la copulation. Éric ne peut se retenir de lui prendre les seins et de serrer ses tétons. Patrice, lui, a reposé ses mains sur ses hanches et la pilonne à un rythme effréné. Ils la conduisent vers une vague qui la traverse tandis que Patrice grogne en jouissant au fond d’elle. Anne s’effondre sur Éric.


Le soir suivant, Anne et Éric sont dans leur lit. Ils sont enlacés tendrement.