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Temps de lecture estimé : 16 mn
02/11/15
corrigé 07/06/21
Résumé:  Jean-Gab, un "ami" d'Alban passe voir Alex un soir; ils partent tous les deux dans un délire de travesti. Ils sortent en ville. Jean-Gab supplie Alex de le sodomiser, ce qu'il fait contre le bar : son premier petit blanc et moi mon premier petit noir
Critères:  hh couleurs exhib hféminisé travesti hgode hsodo
Auteur : Bantou            Envoi mini-message

Série : Mundele

Chapitre 04 / 15
Sortie en travesti avec Jean-Gab

Résumé des épisodes précédents :


Je fais la connaissance d’Alban. Cet homme m’impressionne et me plaît, La Paillote, Pointe-Noire, RPC.


Alban m’a invité à une sortie en mer. J’ai découvert son corps sublime et sa belle queue. Il a envie de me prendre comme une femelle et je n’attends que cela, Sortie en mer.


Après la soirée très, très hot avec les très spéciaux amis d’Alban j’ai passé la nuit entière avec lui. Je suis maintenant Alexandra sa femelle. Alban dépêche Jean-Gab pour me distraire pendant qu’il est en mer, Soirée chez Alban, je deviens Alexandra.



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Sortie en travesti avec Jean-Gab




La soirée et la nuit passée chez Alban le week-end dernier ont laissé des traces.


Le lundi matin en me préparant pour aller au bureau je m’asperge d’eau de toilette tellement j’ai l’impression de sentir le foutre d’Africain à plein nez. J’ai encore le goût dans la bouche. À la banque, Arthur, un collaborateur local, me fait la remarque :



Je me demande à ce moment-là ce qu’il sent vraiment, le foutre de ses congénères ou l’eau de toilette ?


Il aura fallu deux jours pour que je puisse m’asseoir normalement tellement mon anus me rappelle régulièrement les assauts de la grosse queue d’Alban. Au bureau je me dandinais d’une fesse à l’autre sur mon siège. Cela n’a pas dû passer inaperçu.


J’ai eu aussi le temps de me remémorer ces deux dernières semaines. J’étais seul, je rencontre Alban et tout s’enchaîne vite, la balade en mer puis la soirée chez Alban où pour la première fois je suçais à fond un Africain, me délectant de son foutre. De surcroît je me fais enculer pour la première fois par un Africain : Alban m’a pris plusieurs fois le cul.


Ce qui me surprend le plus c’est d’aimer cette situation, car Alban m’avait fait révéler ma véritable nature : celle d’une femelle et pas n’importe laquelle : une femelle à Black !


L’éducation très spéciale reçue de mon amant Jean, il y a plus de dix années, me revenait comme si c’était hier, mais là c’est une expérience exceptionnelle.


Si à l’époque j’avais parlé à Diane de mon expérience avec Jean, là je ne lui ai encore rien dit. J’ai juste fait mention que je commençais à avoir quelques connaissances principalement au travail.


C’est maintenant mercredi et j’ai déjà hâte de revoir Alban. Il est 19 h 30, on frappe à la porte.



J’allai ouvrir. Effectivement Jean-Gab est là tout souriant.



Jean-Gab entre en tirant un gros sac de voyage et me claque deux grosses bises sur les joues.



Je me demande bien ce qu’il veut dire par là ?


On s’installe sur le canapé oubliant que je ne porte qu’une chemise.



Cette question me gêne, car la réponse m‘amènera à parler du passé et de Jean, mon amant et initiateur. D’un autre côté je me sens tranquille en parlant de mon homosexualité naissante de l’époque et de la prise de conscience récente de celle-ci.



Je me lève ignorant résolument ma tenue et me dirige vers la commode de ma chambre. Jean-Gab me suit. J’ouvre le tiroir et lui montre les culottes en dentelle que Diane m’a offertes.



J’enfile la petite culotte blanche que je portais samedi dernier.



J’enlève la chemise et reste quasiment nu devant Jean-Gab, la lopette préférée d’Alban. Mes tétons durcissent. L’alarme est donnée : le plaisir est là.



Je fais deux ou trois tours sur moi-même pour m’exposer au regard de Jean-Gab.



Nous retournons dans le salon. Jean-Gab ouvre son sac et sort pêle-mêle culottes, nuisettes, bas, porte-jarretelles, bustiers et même jupes et robes et pose tout cela sur le canapé. Je suis là mi-nu à le regarder, impressionné par tous ces vêtements féminins.



Sitôt décidé, il entreprend de se déshabiller entièrement. Il est bien foutu Jean-Gab, peu musclé, mais pas un poil de graisse. Pas de poils du tout d’ailleurs ! Encore un qui est entièrement épilé. Il a aussi de jolies fesses bien rebondies et un joli sexe de taille moyenne et tout luisant comme de la soie noire. Il met le bustier aux bonnets rembourrés, le serre généreusement puis enfile sa petite culotte et ses bas. Le résultat est assez surprenant, je le trouve presque beau et très sexy.



Il replonge dans son sac et en ressort une paire d’escarpins noirs et les enfile. Il se plante devant moi en prenant une posture de danseuse classique et me demande :



Il se met à marcher autour de moi comme pour un défilé de mode. Il marche parfaitement avec des chaussures à talons.



Il plonge dans le tas de vêtements et en sort un serre-taille noir, un porte-jarretelles noir, des bas noirs très fins, un string rouge et un soutien-gorge, rouge lui aussi. Il ajoute une paire de chaussures à talons.



J’obtempère, j’enlève ma culotte et mets les dessous super coquins qu’il m’a choisis. Il m’aide à mettre le serre-taille et le soutien-gorge et les ajuste à ma taille. Lui aussi est rembourré. À ce contact mes tétons durcissent une fois de plus. Le plaisir est encore là et me dit que j’aime me travestir.

Il m’aide aussi à passer les bas et à les attacher aux jarretières. Ses mains glissent sur le fin nylon. J’en frissonne tellement le contact est agréable.

Le devant de mon string se tend, le devant de la culotte de Jean-Gab aussi.



J’enfile les chaussures à talons, elles me vont bien. Je tente quelques pas et retrouve l’équilibre acquis il y a quelques années avec des talons aussi hauts.



L’image que me renvoie la glace me séduit tout de suite. Je marche encore quelques pas pour dompter définitivement l’équilibre. Jean-Gab me prend la main et nous marchons ensemble côte à côte. En repassant devant la glace, je vois que la culotte de ma copine de défilé est très tendue. Ma bite n’a rien à lui envier, je suis très excité et troublé par ce travestissement.



Je sors une bouteille de whisky et sers deux verres bien dosés et nous nous asseyons côte à côte sur le canapé. Quel spectacle nous devons offrir tous deux, en dessous féminins et coquins.

Jean-Gab semble avoir lu dans mes pensées et sort de son sac un appareil photo qu’il pose devant nous sur la table basse. Il enclenche le retardateur et reprend sa place pour être sur la photo. Clic. C’est fait : nous regardons le résultat, nous avons l’air de deux lopettes en pleine exhibition. C’est un peu le cas.

Nous sirotons notre verre qui finit par nous chauffer les oreilles.

Jean-Gab me regarde et fait :



Il avait déjà sorti une trousse à maquillage de son sac.



Vingt minutes et un autre whisky plus tard, il avait terminé et le résultat était surprenant. Effectivement mon visage est plus beau ainsi. Il retourne à son sac – d’Ali Baba – et sort une perruque blonde à cheveux mi-longs de belle qualité.



La différence est saisissante. Je ne me reconnais plus du tout. Les cheveux tombent naturellement et encadrent mon visage pour le coup grandement adouci. Pendant que je m’admirais, Jean-Gab avait lui aussi posé sur sa tête une perruque noire. Là encore le résultat est surprenant : il est méconnaissable.



Il me tend un chemisier fluide de couleur rouge et une jupe ample jaune pâle toute simple et fluide elle aussi. Je passe les vêtements et termine par une large ceinture élastiquée que je pose autour de ma taille déjà ceinte du serre-taille. Jean-Gab me tire jusqu’à la glace.



J’en convenais, j’ai le reflet d’une belle jeune femme élégante au physique agréable à regarder, légèrement maquillée portant une perruque qui ne devrait pas permettre de la reconnaître.


Je suis à deux doigts d’être convaincue qu’une ballade en ville pourrait me procurer un grand plaisir, mais ce qui m’interpelle le plus est que Jean-Gab m’a appelé « Alexandra ». Seul Alban m’a donné ce prénom en présence de Zoé et d’Oscar. Est-ce un signe, Jean-Gab tourne dans la sphère d’Alban ? Si c’est le cas, ce devrait être plutôt rassurant. Je verrai cela plus tard.



Jean-Gab se change aussi, il garde le soutien-gorge et troque la culotte rouge contre un string qui a du mal à contenir sa queue. Il enfile une mini robe fourreau noire très moulante et nous partons.


En montant dans la voiture, je ne me souviens plus que je porte une jupe malgré la fraîcheur nocturne ressentie sur mes fesses nues, elle déborde à l’extérieur alors je ressors et remonte dans l’auto en adoptant le geste féminin consistant à accompagner la jupe de ma main sous les fesses pendant que je m’assois.

Jean-Gab monte, sa mini robe aussi … à ras les bonbons. Nous roulons en direction de l’avenue du Général de Gaulle. Arrivés Jean-Gab gare la voiture et m’invite à descendre.



Il y a effectivement un peu de monde, je me concentre sur ma démarche pour éviter un faux pas et me retrouver les jambes en l’air en public. J’oublie peu à peu mes escarpins, la robe, le soutien-gorge et le string qui reste visible au moindre coup de vent, car ma robe est assez ample, en tous cas assez pour qu’elle puisse se retrousser sur ma tête. Jean-Gab me prend la main.



Jean-Gab m’entraîne vers la terrasse d’un café où nous nous asseyons. Je choisis une place pour avoir le dos à la rue. Je m’assieds en prenant garde de ne pas froisser ma jupe. Mon chemisier est ouvert et l’on voit le début de mon soutien-gorge. Je me sens excitante.



Je me rends compte que nous parlons un peu fort et qu’un couple de la table à côté prête l’oreille à notre conversation. Cela m’indiffère, mais nous parlons plus bas maintenant. Il est vrai qu’ici il faut faire très attention aux propos que l’on tient dans les endroits publics.

Les propos de Jean-Gab me rassurent, mais m’étonnent aussi. Lui aussi est passé entre les mains de Zoé qui l’a éduqué, c’est à dire dressé sûrement comme Nestor rencontré samedi soir.


Discrètement, Jean-Gab, assis en face de moi, a retiré ses escarpins et tendu une jambe dont le pied vient me caresser la jambe puis la cuisse. Il me regarde avec un grand sourire pendant qu’il se penche vers moi et avance encore son pied entre mes jambes. Il me fait signe de me rapprocher. Près de mon oreille, il me glisse :



Jean-Gab n’en a cure et continue à me caresser du pied. Je bande, tellement c’est excitant. Il me susurre :



Nous quittons le café et nous continuons notre déambulation sur le trottoir de l’avenue. Jean-Gab me met la main aux fesses de temps en temps de façon, certes discrète, mais qui peut être remarquée. À l’angle d’une petite rue, il me pousse et nous fait entrer sur le chantier d’une villa en fin de construction. Il doit connaître l’endroit, car il va directement vers la terrasse qui domine de quelques mètres l’avenue.


Il me plaque contre un mur et très rapidement se met à genoux, se glisse sous ma jupe et se précipite sur ma queue qu’il a tôt fait d’extraire du string l’abritant de façon précaire. Je n’ai pas eu le temps de réagir qu’il est déjà à l’œuvre. Un regard circulaire. Ouf ! Il n’y a personne.

Jean-Gab sait y faire et me fait bander rapidement. Vu l’état de mon excitation, c’est facile. Il me pompe maintenant avec application avalant ma queue jusqu’au bout, je le sens, car son nez vient en butée contre mon pubis.


La sensation et la vision que j’ai sont au plus haut point érotiques. Au premier plan mon regard porte sur ma pseudo poitrine contenue dans un joli soutien-gorge. Dessous je vois une forme s’agiter frénétiquement sur ma bite faisant se gonfler et dégonfler ma jupe. Cette vision m’excite au plus haut point. Je vois les voitures passer dans l’avenue à une vingtaine de mètres au risque d’être découvert par un passant un peu curieux de ce morceau de tissu qui abrite une forme humaine à genoux.

Je n’en peux plus, j’attrape la forme sous ma jupe à deux mains, m’enfonce en elle et lui décharge une bonne dose de sperme. Jean-Gab sort de dessous la tente improvisée, l’œil brillant de bonheur et la bouche pleine du foutre d’un blanc qu’il suce pour la première fois.

Quelle aventure !



Il avait bien l’air d’être prêt à n’importe quoi pour ça. Pourquoi n’en profiterais-je pas ? Finissons cette soirée haute en érotisme en farcissant Jean-Gab. Je n’ai jamais enculé un homme, c’est l’occasion et puis Jean-Gab est une lopette, une serpillière-à-foutre, un presse-burne.

Zut ! J’ai une tache de foutre sur le devant de ma jupe.


Nous retrouvons la voiture et rentrons chez moi.

Qui aurait pu croire que je me promènerais sur une avenue d’une ville africaine en vêtement et sous-vêtements féminins !


Arrivés à la case, Jean-Gab se jette sur moi.



Jean-Gab s’exécute, se doigte le cul avec du gel et se met même un plug blanc dans le cul, puis se tourne vers moi la queue déjà dressée et commence à se branler. Il m’excite le salaud. Ma bite qui a depuis longtemps quitté le refuge du string, se dresse sous ma jupe que j’ai gardée ainsi que le reste. J’attrape l’appareil photo de Jean-Gab et prends plusieurs photos de cette lopette exhibitionniste qui s’astique devant moi, en dentelles roses.

Il a vu la bosse sous ma jupe, il s’astique plus fort jusqu’au moment où, tel un geyser, le jet de foutre jaillit de sa bite traçant un arc de cercle blanc pointillé de quatre puissantes saccades.



Il se met à quatre pattes et commence à laper son jus. Je m’agenouille derrière lui, relève ma jupe, arrache la culotte et le plug et l’encule d’un coup sec.

Le coup est si brusque et violent qu’il tombe la tête en avant dans son foutre. Le cul en l’air, il me facilite la baise que je mène de façon énergique.

Je le relève, le positionne contre le bar (lui son premier petit blanc et moi mon premier petit noir !) et continue à lui tarauder la turbine à chocolat.


La première fois que j’encule un homme ! De surcroît un black en dentelle rose, alors que je suis travesti en femme. Quel plaisir ! Quelle soirée !


Jean-Gab crie :



Elle m’excite fort la salope. Je lui pilonne le cul violemment les deux mains serrées et verrouillées sur ses hanches de lopette en chaleur. Je sens que je vais jouir, le plaisir monte et enfin éclate au fond de son boyau de plusieurs jets dont la puissance m’étonne.

Jean-Gab est aux anges, il remue son cul autour de ma bite qui ramollit progressivement. Il se tourne et la prend en bouche pour la nettoyer et profiter des dernières gouttes de sperme.



Jean-Gab termine le nettoyage de ma queue et de mes couilles en grognant de plaisir puis essuie son cul trempé.



Il range toutes ses affaires dans son sac.



Jean-Gab enfile sa robe fourreau sur sa guêpière et ses bas roses. Quel tableau ! Il ne doit pas se rendre compte qu’il fait très « pute » habillé comme ça.

Son sac fermé, il me fait une bise sur les lèvres et disparaît.


J’ai soif, je me sers une « col blanc » et m’installe sur la terrasse. Le soutien-gorge me gêne, je l’enlève, mais conserve le chemisier. Mes tétons enfin libres s’expriment pleinement au contact du tissu fin du chemisier. Je suis toujours en jupe maquillé et « perruqué ». Je me plais comme ça.



ÉROTISME : voilà le mot qui préside à tout ce qui m’environne en ce moment, les gens, les situations et les expériences nouvelles ou anciennes redécouvertes.

Je cherche le centre de gravité de cette ambiance érotique parfois très débridée. Est-ce Alban ou Zoé ? Je pense que c’est Alban, le Maître du jeu.



[à suivre]