n° 17515 | Fiche technique | 67246 caractères | 67246Temps de lecture estimé : 37 mn | 14/08/16 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Jeune ingénieur « qualité », j'ai proposé à la femme du patron de l'usine que je contrôle de passer un moment seul à seul avant son départ en vacances. C'est oui, avec un alibi « en béton »... et si personne ne peut s'en douter. | ||||
Critères: fh fplusag collègues travail voyage amour fsoumise jalousie cunnilingu pénétratio fdanus champagne humour | ||||
Auteur : Pierre Pesgraud, dit P2 (Erotisme en décor naturel) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Itinérances Chapitre 04 / 08 | Fin provisoire |
Universitaire de formation, j’ai aujourd’hui presque trente ans. Célibataire convaincu, je suis d’une taille assez grande, avec des cheveux châtains coupés court et des yeux bleus mêlés de traces de vert.
Dans la vie j’ai plusieurs grandes passions : les sciences, l’histoire, les voyages, les grandes balades à pied, sans oublier les discussions autours d’un verre où l’on peut facilement refaire le monde. Il faut bien sûr y ajouter les femmes, de tous types, de tous âges, de toutes origines, de toutes professions, de toutes confessions… pourvu qu’elles soient belles, sensuelles… et accessibles. D’une manière générale, je les préfère plutôt quadras, cultivées, décidées, et sur le plan physique avec un peu plus qu’un peu moins.
D’un point de vue professionnel, je travaille depuis presque cinq ans dans un grand groupe lié à l’aéronautique, en tant qu’ingénieur de contrôle « assurance-qualité » itinérant. Mon rôle consiste à débarquer quasiment à l’improviste dans un service ou chez un sous-traitant pour vérifier la conformité aux règles internes : des procédures, des documents et de la programmation.
Je vérifie dans les faits beaucoup plus les formes que le fond, dans des missions « flash » d’une durée de trois à quatre jours sur site… quand il n’y a pas de problèmes.
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Résumé des épisodes précédents :
Épisode n° 1 « La jeune agricultrice « Label Rouge » :
Le lundi 6 juillet 2009 au matin, le service qualité me demande de me tenir prêt à aller inspecter, dès le lendemain, un sous-traitant dont l’usine est à Castres. Faute de place dans les hôtels de la ville, je me retrouve à Castelnaudary, c’est-à-dire à plus d’une heure de voiture de mon lieu de travail.
Le soir un grand banquet a lieu dans mon hôtel. Les industriels locaux reçoivent certaines associations participant à la grande fête du cassoulet de Castelnaudary qui se tient à la fin du mois d’août. Je parviens à m’y faire inviter et j’y fais la connaissance de Mélanie, la fille d’un agriculteur produisant de l’ail rose de Lautrec, un ail « Label Rouge ». Cette fille, tout juste majeure, sérieuse, du type première de la classe vient d’avoir son bac pro agricole avec la mention très bien (à un dixième de point des félicitations).
Après un repas mouvementé, nous passons la fin de la nuit ensemble. Comme Mélanie habite à un quart d’heure en voiture de Castres, elle me propose de loger chez elle, dans une chambre que ses parents ont fait construire dans un grand hangar, au-dessus des tracteurs.
Elle souhaite en plus qu’on puisse passer le début du week-end ensemble en se rendant dans un château du pays cathare. Je lui propose Peyrepertuse qui est le plus haut et le plus beau, et je lui demande si c’est pour le visiter ou pour y faire des bêtises. Elle me répond sans hésitation : « Les deux, mais en faisant très attention au vide, car j’ai le vertige. »
Épisode n° 2 « La reine de Lautrec » :
Le mercredi 8 juillet 2009 à sept heures du matin, je quitte Castelnaudary pour Lautrec avec Mélanie. Pendant le trajet elle me confie qu’elle a eu deux copains et deux aventures de vacances.
Arrivés à Lautrec elle me présente à ses parents, à son chien, un magnifique berger belge Tervuren et me fait visiter sa chambre. À cette occasion, je lui demande de se caresser devant moi avant de partir à mon travail. Elle semble très mordue.
Arrivé à l’usine, le patron, puis ma direction me donnent leur accord pour régler in situ deux « manquements mineurs » que j’ai détectés sur des programmes informatiques. Cela me permettra de rester à Castres jusqu’au 16 juillet et de consacrer à Mélanie les deux premiers jours du long week-end du 14 juillet, pour une virée à Peyrepertuse.
À midi je déjeune à Castres avec Bernadette, la femme du patron. C’est une belle femme, très distinguée et très cultivée. Elle me fait visiter la place Jean Jaurès et les maisons des artisans sur l’Agout.
Le soir, Mélanie me donne rendez-vous à Lavaur pour visiter la cathédrale et faire un tour de ville. Dans le square, face à la cathédrale et dissimulés derrière un arbre, elle me fait une fellation du « feu de Dieu ». Plus tard, elle me fait voir son ancien lycée situé dans les faubourgs de Lavaur, à Flamarens. En guise d’adieu à sa vie de lycéenne, nous faisons l’amour en face, dans ma voiture.
De retour à Lautrec, après un repas bien arrosé, Mélanie me montre comment elle "tire un coup", un jeu qu’elle avait l’habitude de faire avec son ex-copain. Je fais semblant de très mal le prendre en lui précisant qu’elle mériterait une bonne fessée et qu’à mon âge avancé (trente ans), je préfère prendre mon temps. La fin de nuit très classique est « top » du « top ».
Épisode n° 3 « Peur et désir » :
Le téléphone arabe fonctionne admirablement. En moins de vingt-quatre heures Bernadette, la femme du patron de l’usine de sous-traitance que je contrôle, a été mise au courant de l’aventure quelque peu passionnée que j’ai avec Mélanie. À l’occasion du déjeuner, elle se livre à une véritable confession sur sa vie et m’avoue qu’elle aimerait bien prendre sa place.
Après ces propos, je lui pose la seule question qui vaille : « Bernadette, parlons peu, mais parlons bien : si je peux organiser une petite escapade à deux avant votre départ en vacances, avec un alibi en béton et dans la plus totale discrétion, vous êtes partante ? » Après un petit temps de réflexion, elle m’affirme sur un ton très résolu : « Si c’est sans aucun risque : oui ! »
J’insiste pour qu’on continue à se vouvoyer pour limiter les soupçons.
Sur le chemin du retour, Bernadette fait un détour par une petite route qui n’a pour seule issue qu’une vieille friche industrielle. Éloignés de tout regard et à l’abri de toute écoute, nous passons nos premiers chauds instants, mais sans faire l’amour.
Ayant taché son pantalon avec de la terre et de l’herbe, je suggère à Bernadette d’aller se changer et de mettre une jupe avec un chemisier, ce qui est plus pratique pour le fouineur que je suis.
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Philippe Housard : Jeune ingénieur « assurance-qualité » itinérant.
Jacques Mousset : Producteur d’ail rose « label rouge ». Père de Mélanie.
Odette Mousset : Femme de Jacques Mousset. Mère de Mélanie.
Mélanie Mousset : Fille unique de Jacques et Odette. Bachelière avec mention.
Georges Baudrin : Patron d’une usine de sous-traitance aéronautique
Bernadette Baudrin : Femme du patron, trois enfants.
Monique de Vigneroid : Belle-mère de Bernadette Baudrin
Maria Pelosa : Responsable de l’atelier de bobinage, deux enfants.
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Bernadette, qui a des taches d’herbe et de terre sur son pantalon, me dépose devant l’usine puis repart immédiatement chez elle pour se changer. Elle m’a promis de ne plus se mettre en pantalon, mais de porter une jupe et un chemisier. Je me dirige alors directement dans le bureau du patron qui m’accueille cordialement :
Je lui explique ce que j’ai constaté sur de petits bobinages. Je souligne que régler ce problème permettra d’augmenter le niveau de qualité sans dépenser le moindre centime.
Je suis surpris de sa réponse. Il ne me demande pas si elle s’est brûlée, si ce n’est pas trop grave, s’il n’y a pas eu des dégâts collatéraux ou autres, mais je me garderai bien de le lui faire remarquer.
En temps normal, ce serait un sacré manque de savoir-vivre. Il veut trinquer avec sa femme et avec sa maîtresse. Mais sa maîtresse va surtout fêter le départ de sa femme à Cadaqués. Pendant plus de quinze jours elle va pouvoir s’occuper seule de son patron adoré. Par contre, c’est une situation inespérée pour mon alibi.
Pour clore cette discussion, je lui déclare que je vais commencer par préparer le dossier, que j’irai voir après son épouse pour le compléter et que nous nous rendrons ensuite dans l’atelier, pour se rendre in fine demain matin à Albi chez son assembleur.
Georges, qui a certainement encore quelque chose à me dire, se montre soudain plus gêné :
En entendant ces paroles, Georges se met à sourire à pleines dents et me déclare :
C’est vraiment curieux, j’ai l’intime conviction qu’à chaque occasion il fait indirectement référence à sa liaison avec Maria Pelosa. Jamais un mot sympathique sur sa femme ou sur son environnement. Dans mon for intérieur, je suis ravi. Quant une femme trompée comme doit l’être Bernadette se lâche, les conséquences dépassent souvent de beaucoup les espérances.
Il ne me reste plus qu’à ajouter ma touche finale personnelle pour parfaire mon alibi en béton :
Pour moi, c’est le gros lot. Je vais pouvoir mettre face à face Mélanie, Georges, Bernadette, mais surtout Maria. Le téléphone arabe va fonctionner à 100%, et complètement à mon avantage. Qui pourrait être en mesure de découvrir que je monte toute cette histoire pour fournir à Bernadette l’alibi en béton dont elle a besoin pour que demain on passe ensemble quelques heures de folie ?
Je me rends dans mon bureau pour préparer mon travail. Une vingtaine de minutes plus tard, Bernadette me passe un petit coup de fil discret pour m’annoncer qu’elle est de retour à l’usine. Je me dirige vers son bureau qui se trouve à l’étage supérieur, je frappe à la porte et j’ouvre avant même qu’elle ne me dise d’entrer.
Bernadette est là devant moi. Elle m’attend, assise sur son bureau, les jambes croisées. Elle est en jupe ; ses cuisses sont parfaitement dessinées. Le dernier bouton de sa chemise est défait : ses seins n’en sont que plus arrogants. Un désir profond, mais peu réalisable, m’envahit : allonger cette femme sur son bureau et la baiser jusqu’à épuisement. Voyant mon émotion, elle me déclare sur un ton faussement innocent :
Bernadette me regarde droit dans les yeux en me faisant un énorme sourire pleins de sous-entendus, puis me déclare à voix très basse pour que je me rapproche le plus près possible d’elle :
Puis poursuit avant que je n’aie pu lui répondre :
Et rajoute enfin en sautant de son bureau pour se plaquer contre moi :
Je repousse légèrement Bernadette à bout de bras pour ne pas engager immédiatement les hostilités.
Bernadette est maintenant à un petit mètre de moi. Je la contemple, les yeux fixés sur sa poitrine que j’ai envie de dévorer. Je retrouve en moi suffisamment de force pour lui annoncer en quelques mots que tout se passe encore mieux que prévu :
Je me contente de hausser un peu les épaules, puis je poursuis en lui signalant que ce même grand manitou de mari l’a chargée de m’accompagner dans tous les ateliers : ici et chez le sous-traitant d’Albi. Je l’informe aussi que ce soir, vers quatre heures un quart, son mari nous convie dans son bureau à sabrer le champagne en compagnie de deux invités pas tout à fait surprise : Maria et Mélanie. Puis, une fois les coupes bues, nous irons tous ensemble faire un petit tour d’atelier. La soirée se terminera comme prévu par la visite du musée Jean Jaurès.
Mon court exposé terminé, Bernadette me fixe une fois de plus droit dans les yeux avant de se recoller à moi et de me chuchoter à l’oreille :
Elle prend alors l’initiative de m’embrasser avec encore plus de fougue et de violence que devant la vieille friche industrielle. Je passe ma main droite sous sa jupe, puis je baisse d’un cran sa petite culotte. Ma main peut alors parcourir librement le bas de son dos, ses fesses et ses cuisses, avant de remonter vers sa poitrine qui semble n’attendre que ça.
La situation me frustre. Je meurs d’envie de cette femme, qui meurt d’envie de moi, mais on ne peut rien faire… du moins pas faire l’amour… du moins pas quand quelqu’un est susceptible d’arriver à tout instant dans ce bureau… sauf si on peut bloquer la porte, mais on ne peut pas la fermer à clé, ce serait trop louche.
En s’appuyant contre la porte on pourrait résoudre partiellement le problème, mais ce serait trop risqué. Que faire et que dire si quelqu’un veut rentrer dans le bureau, ou pire fait une intrusion intempestive ?
En regardant plus en détail cette porte, je découvre qu’un gros crochet est situé juste au-dessus. J’en demande le pourquoi à Bernadette qui me répond sans aucune hésitation :
Le visage de Bernadette devient rayonnant.
Je fais un triple va-et-vient : deux dans le bureau du patron pour ramener le vidéoprojecteur et son écran, et un dans mon bureau pour ramener mon ordinateur portable. Le déménagement terminé, Bernadette, qui s’est rassise sur son bureau, me regarde préparer l’installation.
Alors que l’installation du vidéoprojecteur est terminée et que le store du bureau est abaissé – ce qui nous plonge dans une relative pénombre – je devine une montée d’anxiété certaine sur le visage de Bernadette.
Je projette sur l’écran le tableau des statistiques que j’ai faites sur les connecteurs, histoire de projeter quelque chose, puis je m’installe confortablement sur la chaise qui est à côté de mon micro, face à Bernadette et en tournant le dos à l’écran :
Bernadette n’avait visiblement pas envisagé ce scénario. Tout simplement peut-être parce qu’elle n’a jamais fait l’amour sur une chaise. La voyant plus détendue, je poursuis mes explications :
Bernadette se rapproche de moi et enlève sa petite culotte. Je lui demande avant d’abaisser mon pantalon si elle se satisfait d’avoir sur l’écran un tableur de statistiques ou si elle préférerait quelque chose qui soit plus en approche avec notre situation.
Sur mon micro, j’ai quelques dizaines de petites séquences un peu chaudes que m’ont refilé des copains amateurs de vidéos pornos. Je décide de choisir celles qui montrent des femmes se donnant un petit plaisir solitaire.
Bernadette s’assied sur mes genoux face à moi. Sa chatte est à quelques centimètres de mon engin qui n’a qu’une envie : la pénétrer. J’écarte légèrement mes jambes pour mettre ma main entre ses cuisses et voir dans quel état d’excitation elle se trouve. Il est visible qu’aucun préliminaire n’est à faire. Nous sommes tous les deux fin prêts à conclure.
Je prends les fesses et les cuisses de Bernadette à pleines mains. Un vrai régal. Elles sont à la fois douces et fermes. Je rapproche ma bouche de la sienne, et immédiatement elle se met à m’embrasser comme une furie ; sa langue ne sait plus où tournoyer. J’ai rarement vécu une telle situation passionnée.
Après quelques instants, je fais comprendre à Bernadette en tapotant sur ses fesses qu’il faut qu’elle se soulève un peu pour que je puisse trouver mon chemin. Aussitôt compris, aussitôt fait. Sans que j’aie à le lui suggérer de vive voix, elle se saisit de mon engin, le positionne à l’entrée de sa chatte, puis se laisse ensuite délicatement retomber.
Me voilà désormais prisonnier de son fourreau si chaud et si onctueux. Je ne pensais pas qu’une femme puisse mouiller autant. Une preuve de plus que son désir est sincère et puissant. Les mouvements de Bernadette sont lents et appuyés.
Je constate que les petites séquences érotiques ne laissent pas ma sensuelle complice indifférente, loin de là. Quand la femme qui est à l’écran est à la limite de jouir, Bernadette est prise de tremblements plus soutenus, plus forts… et se met à mouiller avec abondance ; en exagérant, je pourrais dire qu’elle coule comme une fontaine. J’ai pu constater à plusieurs reprises avec mes copines et d’autres femmes de tous âges, que voir ou entendre un orgasme féminin ne laisse personne indifférent, bien au contraire. Et l’on peut ajouter qu’il en est de même pour les hommes.
La femme à l’écran, que je peux apercevoir dans un reflet de la fenêtre qui est face à moi, vient de jouir violement. Cela ajoute à l’excitation de Bernadette. Je profite de ce moment pour passer ma main droite entre les fesses de ma complice pour lui masser sa petite rondelle avec douceur. Ne s’y attendant pas, ce geste la fait sursauter, mais quelques instants plus tard sa petite rondelle réagit avec subtilité. Quand j’appuie délicatement dessus par petites pressions, elle s’ouvre ; et quand je fais mine de sortir, elle se resserre sur mon doigt comme pour le maintenir bien au chaud.
Une fois mon doigt complètement introduit, je peux palper mon engin dur à point bien au chaud dans son intime fourreau, mais agréablement maltraité par les mouvements incessants du bas du ventre de Bernadette. Je vis un moment des plus excitants. Malheureusement, le bon temps passe beaucoup trop vite, et je sors de mon rêve éveillé quand Bernadette se penche sur mon oreille et trouve la force de m’y glisser :
Quelques secondes plus tard, je sens le corps de Bernadette qui se contracte très fort et son souffle qui devient très saccadé. À cet instant, je prends conscience qu’elle pourrait râler un peu trop fort et que le son de nos ébats puisse parvenir à l’étage du dessous, c’est-à-dire dans le bureau de son mari. C’est pourquoi, en saisissant fermement sa cuisse droite avec ma main disponible, je lui demande à voix très basse, mais avec insistance :
Bernadette s’effondre contre moi et me serre violement dans ses bras. Je pense que si quelqu’un arrivait à cet instant précis, tout le scénario préparé il y a une vingtaine de minutes tomberait immédiatement à l’eau. Nous n’aurions pas la vivacité de réagir, mais heureusement tel n’est pas le cas.
Alors que l’orgasme de Bernadette n’est pas encore tout à fait terminé, je lui écarte les cuisses au maximum pour tenter de la pénétrer encore un peu plus profond et lui lâcher enfin tout mon plaisir. Me sentant partir dans son ventre, Bernadette me dit :
Nous restons blottis de longues minutes l’un contre l’autre, puis reprenant mes esprits, je lui déclare sans trop réfléchir à mes propos :
Puis après quelques secondes d’une intense réflexion, Bernadette poursuit par :
Juste retour des choses. Je regarde ma montre : il est un peu moins de quatre heures. Il est grand temps de se rhabiller, de s’essuyer, de tout ranger et de se préparer à aller boire une coupe de champagne.
Quelques minutes plus tard et alors que nous venons tout juste de retrouver nos esprits, le téléphone fixe de Bernadette se met à sonner. Elle décroche, échange quelques propos sibyllins, puis raccroche au bout de quelques secondes.
Puis c’est au tour de mon iPhone de se mettre à sonner.
La voix de ma jeune agricultrice me ramène brutalement à la réalité. Mélanie vient d’arriver en scooter et se trouve devant l’usine. Bernadette intervient dans notre discussion et nous dit à voix haute :
Bernadette n’a pas oublié de me vouvoyer en public et a utilisé un ton de chef d’entreprise pour me parler. Surprenant ! Si l’amour donne des ailes à certaines personnes, peut-être donne-t-il à d’autres personnes des forces, de la vigueur, un caractère ferme, ou tout simplement du poil de la bête.
Je prends le vidéoprojecteur et me dirige vers le bureau du patron, qu’il s’apprêtait déjà à quitter.
En deux coups de cuillère à pot, tout est rangé. Georges me pose quelques questions sur mon rapport, puis en arrivant dans la cour nous voyons les trois femmes qui nous attendent. Mélanie porte un short blanc très court qui met parfaitement ses fesses en valeur et un tee-shirt à la gloire de l’ail rose « Label Rouge » de Lautrec. Georges est très impressionné.
Pour ajouter instantanément, mais avec beaucoup plus de force cette fois-ci :
Je m’attendais à ces petites pointes en direction de sa femme. Il la reconnaît dans de nombreux domaines, mais surtout pas comme une amante, une femme avec qui on peut baiser comme un fou.
Maria est aussi dans la cour et, de toute évidence, elle nous y attend pour nous conduire à l’atelier. Je pense à tort que Georges va me tenir quelques propos sur elle, mais calme plat. La discrétion semble de rigueur.
Une fois le groupe des trois femmes rejoint, Georges fait rapidement les présentations. D’entrée de jeu, Mélanie se met à tutoyer Bernadette qui, surprise, se met à la tutoyer elle aussi. Se rendant compte de la situation, Georges intervient à la volée :
Bernadette est radieuse : à la demande de son mari, elle va pouvoir désormais me tutoyer en public sans se poser de questions.
En se dirigeant vers l’atelier, Mélanie marche à côté de moi, très fière d’elle, la poitrine bien bombée en avant. Pendant ce temps j’observe Maria très en détail. Cette femme semble avoir quelques années de plus que Bernadette. Elle porte un pantalon de toile bien coupé et une chemise assez cintrée. Mince, d’allure féminine, elle a des petites fesses bien rondes et une poitrine du type ni trop, ni trop peu. Son visage a un air très décidé, mais un peu pincé. C’est une femme typée, elle a du chien, beaucoup de chien. Une maîtresse femme en quelque sorte.
Sa manière d’être et de parler montre que c’est une femme d’un milieu simple, mais d’une ambition débordante, le genre de femme à faire sortir un homme de sa coquille. En deux mots, c’est une femme qui sait y faire, comme le disait Bernadette au restaurant ce midi.
Rien ne ressemble plus à un atelier de petite électromécanique qu’un autre atelier. Mais celui-là à une particularité : il y fait particulièrement chaud. Bien que de nombreuses ouvrières disposent d’un ventilateur, la « clim » serait un plus. Maria m’emmène dans une grande pièce séparée où travaillent deux femmes qui paraissent d’une petite cinquantaine. Elles portent une blouse verte en tissu assez épais et un bonnet de coton pour les protéger des poussières de fer et de cuivre.
Les deux femmes apportent les pièces sur une grande table, et instantanément je constate que pour connecter le bobinage à un certain type de connecteur, il y a une spire accidentelle en plus. Pour moi, le problème est déjà réglé, et la visite que je dois faire demain avec Bernadette dans l’atelier de montage d’Albi ne durera pas bien longtemps : une heure tout au plus, toutes formules de politesse incluses. Une fois de plus, je trouve curieux qu’ils n’aient pas découvert eux-mêmes ce défaut, car gagner gratuitement un niveau supérieur de précision n’est pas des plus courants.
Elle ajoute quelques secondes après :
Et vlan ! Une autre petite pointe sur Bernadette. Et pourquoi pas une fessée, si elle ne retient pas la leçon ? Quelques instants après le départ de Maria, je m’adresse à la volée aux deux femmes de l’atelier :
Et d’un geste leste, cette femme ouvre le haut de sa blouse et me montre sa poitrine. Je suis quelque peu pris au dépourvu par le côté aussi direct de cette attaque, mais quelque peu admiratif aussi par le spectacle qu’elle m’offre. Si cette femme a le visage un peu marqué par la dureté conjuguée de la vie et de son métier, son corps et ses seins sont vraiment magnifiques.
Retrouvant mon sens de la répartie, je lui réponds du tac au tac :
Sa collègue ne perd pas une bribe de cet échange pour le moins inattendu, mais ne dit rien. Elle compte les coups. Je suis complètement au fait de ces attaques faites par des femmes dans le monde de la mécanique de précision et du petit bobinage. C’est à celle qui séduira en premier le jeune stagiaire, ou le jeune ingénieur d’études ou de fabrication. En racontant ensuite leurs aventures à leurs collègues d’une manière très détaillée et enjolivée, cela leur permet de les vivre deux fois, la deuxième étant souvent la meilleure.
Dans quelques rares cas, certaines femmes se vantent de choses qu’elles n’ont pas réussi à obtenir. Une surenchère, en quelque sorte. Je pense de plus que certains maris sont consentants à ce petit jeu : ils doivent être satisfaits – voire même excités – que leurs épouses parviennent à séduire de jeunes cadres de quinze à trente ans leurs cadets.
Il y a deux ans, j’ai connu beaucoup plus chaud, à la limite du harcèlement, à l’occasion d’un de mes contrôles dans un atelier fabricant des minuteurs de précision. Un groupe de femmes comparait ouvertement devant moi en qualité et en durée les différents « services » que leur prodiguait leur nouvel et jeune ingénieur de développement. J’ai très vite compris que quand il voulait faire certains essais délicats sur des prototypes en dehors des heures de travail, on lui demandait quelquefois d’avoir un « geste compréhensif », ce qui en termes plus directs et plus crus signifiait « passer à la casserole ». Mais comme les demandeuses avaient des arguments vraiment convaincants et que mon jeune collègue avait l’air d’y être sensible… cela semblait ne lui poser aucun problème.
Maria étant de retour avec Bernadette, Mélanie et le patron, le court échange coquin se termine par un :
J’adore ces phrases à double sens ; c’est pour moi quelque chose de particulièrement excitant. C’est la première fois de ma vie qu’on me fait au vu de tout le monde une proposition aussi directe, mais que je suis le seul à pouvoir comprendre (à l’exception de la collègue de cette femme, bien entendu).
Puis, se tournant vers moi, Maria ajoute :
Je jubile en entendant cette réponse de Maria qui ne connaît pas le contexte de départ de cette discussion, un vrai feu d’artifice de mots à double sens. Ma coquine interlocutrice arbore un petit sourire complice et approbateur qui m’en dit long sur ses intentions.
Dans d’autres circonstances, bien que ne connaissant rien sur cette personne, j’aurais fait bien volontiers un ou plusieurs « tests particuliers ». Comment ne pas faire confiance à une femme aux doigts de fée et au savoir-faire de précision reconnu par sa chef… et qui de plus parle avec un accent du Midi si chaud et si chantant.
Avant de quitter l’atelier, je demande à Maria et à Georges de penser à me fournir une tenue de travail pour mon inspection à Albi.
Maria part chercher le nécessaire, et à son retour je demande l’autorisation d’emprunter deux voltmètres de précision. Georges me l’accorde instantanément, bien qu’il soit absolument certain qu’ils ne me serviront à rien.
Mon « alibi en béton » est maintenant fin prêt.
Il est cinq heures moins le quart. Nous repartons tous dans le bureau du patron. Mélanie est la reine de l’évènement. Il est vrai qu’avec un tee-shirt diablement agressif et un short blanc particulièrement court, tous les regards se tournent sur elle. Celui du patron parce qu’il la trouve particulièrement à son goût. Celui de Maria parce que son patron et amant la fixe beaucoup trop. Et enfin celui de Bernadette, par jalousie par rapport à moi. Aurait-elle encore trop peur de passer pour une « nunuche » en amour par rapport à elle ? Tout cela est très irrationnel.
Et moi, je suis aux anges : mon alibi n’est pas en simple béton, il est en béton lourdement armé.
Après avoir bu deux coupes à la santé des connecteurs « mieux connectés », nous suivons Bernadette qui nous emmène en voiture au musée Jean Jaurès. Il est un peu moins de cinq heures, ce qui nous laisse une bonne heure pour nous rendre dans ce petit musée et le visiter.
Mélanie est très chatte, beaucoup trop aux yeux de Bernadette ; elle se colle à moi pendant une partie de la visite, ce qui rend visiblement Bernadette quelque peu jalouse. Cela ajoute un peu de piment à cette visite qui s’avère passionnante.
Bernadette nous parle de Jean Jaurès comme s’il était un de ses amis d’enfance. Elle connaît son histoire sur le bout des doigts et nous décrit cet homme avec des mots simples et émouvants. Il était le plus jeune député de France. Il a pris la défense du capitaine Dreyfus suite à la publication du fameux J’accuse de Zola dans le journal L’Aurore en 1898. En 1904, pour écrire des articles en toute liberté, il a fondé le quotidien L’Humanité. En 1905, il est parvenu à unifier les principaux courants socialistes en créant la SFIO (Section Française de l’Internationale Ouvrière), lointain ancêtre du Parti Socialiste. Cet anticolonialiste, qui était un partisan convaincu de la séparation de l’Église et de l’État, est mort assassiné au Café du Croissant à Paris, en juillet 1914.
Lors de cette visite, à plusieurs reprises je vois Bernadette et Mélanie côte à côte en train de discuter. Pour moi, ces deux femmes ne sont pas en concurrence, mais complémentaires. Si je pouvais baisser le short de l’une et remonter la jupe de l’autre pour prendre leurs fesses à pleines mains, cela serait pour moi un plaisir des plus raffinés. Mais ne fantasmons pas trop : ce n’est ni le lieu, ni le moment. Je peux même ajouter que dans les faits cela ne sera jamais le moment : il est impensable que je puisse avoir le plaisir d’en tenir une dans un bras et l’autre dans l’autre bras, et en étant franchement plus coquin, de les avoir toutes les deux dans le même lit.
Il est un peu moins de six heures et demie. Le musée ferme ses portes et ses salles ; la visite est terminée, il nous faut donc partir. Nous montons tous les trois dans la voiture de Bernadette pour retourner à l’usine.
De retour à l’usine, nous nous dirigeons vers le local à vélos dans lequel se trouve le scooter de Mélanie, qu’elle sort et met en marche.
Je m’attends à ce que Mélanie me fasse la bise et me demande à quelle heure je compte arriver à Lautrec, mais non. Mélanie met la béquille de son scooter et se dirige vers Bernadette pour lui faire la bise, comme deux amies de longue date. Bernadette se tourne alors vers moi pour me dire :
Mélanie une fois partie, Bernadette et moi nous dirigeons vers son bureau. C’est alors que je lui lance en montant l’escalier :
La Bernadette de ce matin et la Bernadette de maintenant n’ont vraiment plus rien à voir. Comme quoi une petite partie de jambes en l’air peut tout changer dans une relation.
De retour dans son bureau, je donne lui donne la claque sur les fesses que j’avais tant envie de lui donner et je lui demande, étonné :
Sans prendre le temps de faire tourner ma langue sept fois dans ma bouche, je rétorque à Bernadette sur un ton certainement beaucoup trop sec :
C’est alors que le regard de Bernadette change. Il mêle colère et agressivité.
Puis Bernadette se ressaisit :
Bernadette change de ton, et c’est tant mieux. Je vais bien sûr m’occuper d’elle, j’en ai plus qu’envie moi aussi. Mais avant, il faut qu’elle comprenne ce que je vais – ou plutôt ce que je peux – faire :
Et j’ajoute pour détendre l’atmosphère :
Bien que cela ne me regarde pas, une question me travaille :
Et c’est là que je pose la question qui tue :
Bernadette semble prendre son temps avant de me répondre par ce qui va s’avérer être une nouvelle confession :
Je ne m’attendais pas à ce que Bernadette me confie des choses aussi intimes que surprenantes. Je n’en connais pas encore assez pour bien la comprendre ; je maintiens donc la discussion :
Avec ce que je viens d’apprendre, une dernière question me démange :
Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai l’impression que Bernadette a oublié de me dire le principal sur cette fameuse Maria. Si le mari de Bernadette a pris Maria comme maîtresse dès la première grossesse de sa femme, il est fort possible que le fils aîné de Maria et sa fille soient aussi de lui. Cela permettrait d’expliquer le refus par Maria d’une pension alimentaire de son ex-mari, les enfants de son ex-femme n’étant pas de lui. Cela expliquerait aussi le fait que le mari de Bernadette soit le parrain des deux enfants et qu’il prenne en charge leur éducation, dans les mêmes établissements que les enfants qu’il a eus avec Bernadette.
Dans ce cas-là, le mari de Bernadette n’aurait pas une femme et une maîtresse, mais deux femmes, avec des rôles bien précis et des enfants des deux côtés. Bernadette serait l’épouse « enfants, éducation et culture » et Maria « amante et codirection de l’usine ». Mais là, je me hasarde beaucoup trop loin dans ce qui pourrait être un gros secret de famille.
J’aurais de plus aimé savoir si les deux enfants de Maria vont aussi en vacances à Cadaqués. Si tel était le cas, mon hypothèse serait la bonne ; mais là, c’est être trop indiscret. Je ne poserai donc pas la question aujourd’hui. Je le découvrirai certainement à une autre occasion.
Pour en revenir à des propos plus en rapport avec ma présence dans le bureau de Bernadette, je pose une dernière question qui me concerne quelque peu :
En deux mots, avant même d’avoir mis en action mon « alibi en béton », je viens de me faire mettre le grappin dessus par Bernadette. Mais la voir une fois par mois à Paris ne fait pas partie des choses désagréables ; je dirais même que cela fait partie des bonnes choses de la vie.
Maintenant, assez parlé. Il est temps de passer à des choses plus sérieuses avec cette femme que j’ai déjà fait jouir quatre fois et qui redemande un petit supplément. C’est pourquoi je lui lance avec une pointe d’autorité :
Avant d’ajouter immédiatement :
J’enlève la petite culotte de Bernadette, puis je prends son fauteuil à roulettes pour m’asseoir face à elle et deux chaises que je retourne pour qu’elle puisse poser ses pieds sur leur dossier. Une position de cabinet de gynéco, en quelque sorte. Je suis juste à la bonne hauteur de sa chatte, gonflée, onctueuse et brillante. Avec mes doigts je taquine ses petites lèvres en faisant de petits cercles. Cette phase préparatoire réalisée, je peux enfin poser ma bouche directement sur sa chatte pour la déguster. J’en lèche l’entrée goulûment sans toucher à son clito. Les plaisirs un peu plus forts seront pour plus tard. Par contre, avec ma langue je fais quelques incursions qui la font réagir en serrant ma tête entre ses cuisses.
La raie des fesses de Bernadette est trempée ; cela me permet de glisser un doigt dans son petit trou, puis un deuxième. Cette intrusion lui occasionne des spasmes forts sympathiques qui me prouvent sa grande réactivité. Passé plusieurs minutes, je dégage ma bouche de son sexe et j’enfonce mon pouce lentement au plus profond de sa chatte. Elle semblait n’attendre que cette pénétration. Mon pouce et mes deux autres doigts ne sont plus séparés que par une fine cloison.
Mon autre main est restée disponible ; je décide alors de lui donner de petites claques sur son clito, pas trop appuyées dans un premier temps, puis plus fermes, et pour terminer encore plus fermes. À chacune de ces petites claques, Bernadette se contracte, se met à râler, puis s’arrête. Quelques minutes plus tard son râle devient continu ; j’accentue alors le massage de l’intérieur de sa chatte.
Après quelque temps de ce délicieux régime, tout son corps se met à vibrer. Je constate que son petit trou n’a plus de petit que le nom, et j’en profite pour y glisser un troisième doigt. J’ai l’impression que tout son corps m’appartient. Sa chatte est maintenant grande ouverte ; elle s’est complètement abandonnée.
Tout à coup Bernadette pousse un cri rauque très fort, puis se détend. De petites contractions résiduelles surviennent. Bernadette vient de jouir. Elle a eu un bel orgasme, intense, mais qui ne me semble pas très long. J’arrête mes petites claques sur son clitoris que je remplace par un massage circulaire très appuyé à plusieurs doigts. J’en profite pour introduire mon deuxième pouce dans sa chatte. Le premier masse vers le bas, en liaison avec les trois autres doigts, et le second vers le haut, au plus près de son clitoris. Quelques minutes après, son corps se contracte à nouveau ; elle jouit une deuxième fois, une jouissance qui me paraît moins forte que la première, mais incroyablement plus longue.
Puis quelques instants plus tard :
Bernadette se redresse puis me regarde avec beaucoup de douceur :
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Albi
Albi, la Cité épiscopale, Patrimoine Mondial de l’Humanité (UNESCO)
Cathédrale Sainte-Cécile
La collégiale Saint-Salvi et son cloître
Le musée Toulouse-Lautrec
Le musée Lapérouse
Site officiel : http://www.albi.fr/
Office de tourisme : http://www.albi-tourisme.fr/
Castres
Place et musée Jean Jaurès
Musée Goya
Maisons sur l’Agout
Site officiel : http://www.ville-castres.fr
Office du tourisme : http://www.tourisme-castres.fr/
Lautrec
Appellation : « Les plus beaux villages de France »
Appellation : « Sites remarquables du goût »
Production d’ail rose « Label Rouge » (1966) et « IGP » (1996)
Site officiel : http://www.lautrec.fr/
Site de l’ail rose: http://www.ailrosedelautrec.com
81100 Castres – 81000 Albi : 43 km
81100 Castres – 11400 Castelnaudary : 47 km
81100 Castres – 81440 Lautrec : 15 km
81100 Castres – 31000 Toulouse : 71 km
81440 Lautrec – 81000 Albi : 30 km