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Temps de lecture estimé : 71 mn
28/01/18
corrigé 06/06/21
Résumé:  Comment organiser sa vie quand celle-ci devient impossible lorsqu'on met des femmes enceintes ?
Critères:  #fantastique fh hplusag collègues enceinte humilié(e) cunnilingu 69 fist pénétratio fdanus fouetfesse
Auteur : Bernard Nadette      Envoi mini-message

Série : Archéologie

Chapitre 03 / 04
S'organiser

Résumé des épisodes précédents : « Découverte » et « Retour à Paris »


Bernard a trouvé un dérivatif à son divorce d’avec Cécile : la recherche d’un temple dont il a trouvé la mention dans un vieux parchemin écrit par des moines, plus d’un millénaire auparavant. Avec l’aide de son ami archéologue Patrick Général, ils découvrent le site. Après déclaration, ils entreprennent des fouilles. Les trouvailles se révèlent si importantes que Florence Marpied une archéologue des services régionaux d’archéologie intervient. Bernard et son ami découvrent une crypte. En touchant une statue, Bernard tombe en syncope. Il se réveille à l’hôpital après plusieurs jours de coma. Il y a avec deux infirmières à quelques heures d’intervalle des rapports presque homériques. Il lui apparaît les personnages de la statue qu’il a touchée : Rosmerta, Déesse de la fertilité et de la prospérité et Cernunnos, Dieu de la régénération de la vie et de la virilité.


Ils lui apprennent qu’il est le nouvel Élu et que toute femme qu’il touche sera irrésistiblement attirée par lui et enceinte. Il avertit une des deux infirmières, Béatrice. Celle-ci est sceptique. Jusque-là fidèle à son mari, sa conduite avec Bernard la rend perplexe. Elle est stérile. Pour elle, une grossesse est impossible. Si ce que lui dit Bernard se réalise, ce sera un miracle et la preuve de la véracité de ses dires invraisemblables. De fait, quelques semaines plus tard, elle lui annonce qu’elle est enceinte.


Deux jours plus tard, Bernard, anormalement nerveux, touche Florence l’archéologue, qui le sermonnait pour avoir touché la statue. Il s’ensuit une partie de baise dans la crypte, égale à celles de l’hôpital.


De retour à Paris, après avoir résisté plusieurs jours, il touche Anne Ladigo la directrice, avec les mêmes conséquences. Ayant constaté que lorsqu’il n’a pas de rapport avec une femme, sa vie devient infernale, il pense à celles qui lui ont pourri la vie. Il commence par son ancienne femme, poursuit avec la femme qui, avec l’aide de ses filles, a failli pousser sa sœur au suicide pour la faire divorcer.


Ce qu’il n’avait pas envisagé, c’est que Marion, la sœur de Patrick, avec laquelle le liait une longue amitié qui tendait vers plus, viendrait un soir et malgré l’aveu de sa « particularité » l’embrasserait en lui disant qu’elle l’aime suffisamment pour l’épouser.



**********



Bien que Bernard fasse très régulièrement l’amour avec Marion, le besoin irrépressible d’engrosser des femmes se fait de plus en plus fort. Il devient de plus en plus nerveux. Sa chérie ne manque pas de s’en apercevoir.



Elle réfléchit un moment :



Bernard est assez estomaqué du quasi-détachement avec lequel Marion parle de ses besoins sexuels et de la manière dont elle considère ses futures infidélités. Elle s’en aperçoit et poursuit :



Pour ponctuer sa tirade, elle l’embrasse. Il répond à son baiser, se disant que l’amour qu’elle lui porte doit avoir une puissance qu’il ne soupçonnait pas. Il en est à la fois honoré et presque effrayé, le mérite-t-il ? Après un tendre câlin, il a du mal à trouver le sommeil. Il regarde amoureusement Marion qui n’a eu, elle, aucun mal à s’endormir. Le lendemain, au moment de se séparer pour rejoindre leur travail respectif, après un ultime baiser, Marion lui dit en pointant le doigt :



Elle a tourné les talons avant qu’il ne puisse répliquer. Malgré son attitude désinvolte, Marion n’est pas aussi sereine qu’elle s’efforce de le montrer. La confession de Bernard l’a profondément troublée. Au début, elle a cru que cette histoire abracadabrante était pour l’éloigner, mais elle s’est vite rendu compte qu’il ne mentait pas. Elle n’a pas tout de suite pigé ce que cela impliquait. Elle a malgré cela eu l’impulsion d’embrasser Bernard.


Quand elle eut enfin assimilé toutes les conséquences que ça entraînait, elle fut prise de vertige. Le lendemain de leur première nuit, quand elle était retournée chez elle, elle était indécise quant à sa conduite. Elle fut tentée de fuir, mais l’amour qu’elle portait à Bernard l’emporta. Cette décision fut renforcée par le fait qu’elle ne doutait pas de la véracité du récit et qu’elle devait bien être enceinte.

Aujourd’hui, elle vient de franchir un nouveau cap : elle vient de conseiller à son chéri d’aller se taper une autre femme et même plus que conseiller, ordonner. Ça la perturbe, c’est une chose qu’elle n’aurait jamais pu imaginer.



**********



En arrivant au travail, Bernard est malgré tout hésitant, mais au milieu de l’après-midi, la pression allant croissante, il se décide. Il trouve sans difficulté un prétexte pour se rendre au secrétariat. Il pensait depuis quelque temps à un réaménagement d’une réserve. Certes, il n’a pas besoin de l’aval directorial pour l’entreprendre, mais il peut avertir.


Une fois entré, il explique ce qu’il envisage et étale un plan qu’il a établi. Pour le commenter, il contourne le bureau se plaçant contre la chaise de la secrétaire. En faisant des gestes pour indiquer sur le plan ce dont il parle, il la touche à plusieurs reprises. Il sent la décharge que ces contacts impliquent. De fait, il sent la jeune femme devenir de plus en plus nerveuse. Il attend et laisse venir, ne faisant rien d’équivoque. Elle finit par craquer, après avoir résisté plus longtemps que son amie. Alors qu’il est debout à côté d’elle à récupérer ses documents, elle se lève lentement, le regard trouble et l’embrasse goulûment. Quand leurs lèvres se séparent, assez perfidement, sachant qu’elle ne pourra s’en offusquer de crainte de rester insatisfaite, il dit :



Oubliant toute pudeur et les critiques, mêlées d’un peu de mépris, qu’elle avait pensé quant à la conduite de la directrice et néanmoins amie, lorsque celle-ci s’était fait sauter :



Tandis que la secrétaire obéit avec promptitude, il se déshabille. Lorsqu’elle le rejoint, il ne lui laisse pas le temps de l’imiter, il la courbe sur le bureau, relève sa jupe, écarte son slip et plonge sa queue dans la chatte impatiente. Elle émet un râle de contentement de se sentir ainsi envahie. Bien vite son slip est déchiré et ses vêtements souillés se retrouvent éparpillés sur le sol. Le foutre lui dégouline le long des cuisses et lui macule des cheveux à la poitrine. Et elle en redemande. Ils sont en action depuis bientôt deux heures quand la porte s’ouvre sur la directrice qui se fige, médusée. Valériane à quatre pattes, bien cambrée se faisant labourer le con n’en a cure, mais Bernard la salue :



Mécaniquement elle répond :



Reprenant le tutoiement, les circonstances s’y prêtent :



Elle ne bouge pas pour autant et continue de regarder son amie se faire tringler vigoureusement avec visiblement beaucoup de plaisir. La voyant ne pas s’éloigner, Bernard reprend sur le ton de la conversation :



Anne reste figée, comme fascinée par le spectacle. Elle répond machinalement, sans même penser à ce qu’elle dit :



Et de fermer la porte. Bernard est étonné par sa réaction ou plutôt son manque de réaction. Il décide d’en rajouter une couche par provocation :



Toujours mécaniquement, elle obéit, le regard toujours rivé sur le couple. Voyant que rien ne fait réagir sa directrice, il décide de passer à la secrétaire. Il lui assène une claque sur les fesses :



Bernard, qui avait quelque peu ralenti la cadence en discutant, repart de plus belle. Puisque Valériane est fort bien disposée, on va donner du spectacle à madame la Directrice. Il se demande alors : s’il cherche à enculer la donzelle, comme par cette voie-là il n’y a pas possibilité d’engrosser une femme, est-ce que cela marchera, à moins que cette pratique ne rompe le « charme ». La jeune femme est déjà fécondée, il compte qu’il n’y aura donc pas de soucis, il ne s’y risquerait pas pour une première pénétration. Le meilleur moyen de savoir pense-t-il est de tester la chose. Il laboure encore le sillon normal quelque temps avant de se retirer, il s’ajuste quelques centimètres plus haut et pousse doucement. Il a la réponse : la dame ne proteste pas, au contraire elle tend les fesses. Il avance donc plus avant, jusqu’à disparaître entièrement dans le cul. À partir de là, il ramone consciencieusement l’étroit conduit.


Il se rend compte alors qu’Anne, où elle est, n’a pas dû se rendre compte du changement de trou. Il faut y remédier. Il se retire pour s’allonger et entraîne Valériane sur lui bien dans l’axe pour offrir le meilleur point de vue à la directrice. Docilement la secrétaire vient pour s’enconner, mais il pointe sa queue vers l’autre orifice et l’attire fermement. Elle obtempère à l’invite et s’assoit sur le mandrin. Jouant du bassin recommence à la queuter hardiment. Il recommande :



L’idée doit lui convenir, car elle met sa main en action avec conviction. La sarabande ne dure pas loin de vingt minutes devant Anne, toujours comme tétanisée, qui regarde sa secrétaire se faire matraquer la rondelle. Une idée saugrenue lui vient à l’idée devant le spectacle : après ça, elle va avoir le cul comme un « chou-fleur ». L’image des fesses de Valériane transformées en ce légume la fait éclater de rire. Cette soudaine gaîté ne perturbe pas cette dernière qui continue imperturbablement à se faire enculer en se masturbant. Bernard qui ne voit que le dos de la secrétaire est intrigué :



Anne, toujours pliée en deux est incapable de répondre. Bernard répète sa question, sans plus de réponse. Il n’insiste pas, comprenant que tant qu’elle ne sera pas calmée de son fou rire, elle sera incapable de prononcer une parole. Tout cela ne l’empêche pas de continuer de s’occuper de Valériane qui, à plusieurs reprises, prend son plaisir. Il finit par se dégager et ordonne à sa directrice qui a repris son sérieux :



Sans se formaliser du ton familier et comminatoire, elle obtempère. Ne voulant pas laisser Valériane inoccupée, il la pousse à quatre pattes et la réencule. D’un geste instinctif, elle tend les fesses. Quand Anne revient, se souvenant de sa propre expérience, elle n’est pas étonnée de voir le couple en pleine action. À son entrée, il quitte le pourtant si accueillant fourreau pour boire à longues rasades. En prenant la bouteille, il s’arrange pour toucher Anne, mais rien ne se produit. Ce qui lui confirme qu’elle a bien un polichinelle dans le tiroir. Dommage, il l’aurait bien sodomisée un bon coup, elle aussi. Il donne ensuite une grande claque sur les fesses toujours offertes de la secrétaire et lui présente sa queue :



Sans manifester hésitation et répugnance, elle le suce et lèche consciencieusement du ventre aux cuisses. Tandis qu’elle œuvre, il demande à Anne :



Elle éclate de nouveau de rire, mais se calme rapidement. L’heure de la sortie largement dépassée, il dit à la dirlo :



Il prend ses vêtements et ordonne à Valériane :



Elle obéit, récupère ses habits, sans même prêter attention à leur triste état. La petite troupe se met en marche menée par la directrice qui s’assure que la voie est dégagée. Arrivée à destination, elle dit :



Elle réussit à acheter, de justesse, une robe dans la dernière boutique qu’elle trouve encore ouverte. Quand elle revient une demi-heure plus tard, c’est encore pour trouver le couple en pleine copulation, sa secrétaire à quatre pattes se faisant ramoner la chatte, Bernard étant revenu aux voies naturelles. Le retour de sa patronne le fait dé-conner. Il ordonne de nouveau à Valériane de lui nettoyer la queue. Cela fait, il prend une douche rapide, s’essuie et se rhabille. Il se penche vers la secrétaire toujours agenouillée, l’embrasse sur le front :



Après son départ, la jeune femme émerge lentement de l’état second dans lequel elle était plongée et revient aux réalités. Elle se douche. Une fois vêtue, elle balbutie :



D’entendre parler de son mari et de ses résolutions, Valériane se met à pleurer doucement :



Valériane regarde son amie bouche bée, mais ne proteste pas. L’autre enchaîne :



D’en parler, amène Valériane à porter son attention sur cette partie de son anatomie :



Visiblement l’idée a fait son chemin, car Valériane ne se récrie pas. Elle se contente de répondre :




**********



Marion ne pose aucune question quand Bernard rentre à la maison. Celui-ci, aucunement fatigué par ses exercices de la journée, honore sa compagne une fois au lit. Malgré le plaisir qu’elle prend à la joute, elle ne peut complètement chasser de son esprit que peu auparavant c’est une autre qu’il baisait. Cela ne l’empêche pas quelques jours plus tard, voyant Bernard devenir plus nerveux, de l’emmener à un brunch chez Caroline, une « amie » après lui avoir dit que ce serait bien qu’il s’occupe d’elle un bon coup, son mari étant en voyage d’affaires, mais qu’elle le laisse juger. Ladite Caroline est une jeune femme d’une trentaine d’années qui est jolie et qui le sait. 1,75 m, des cheveux auburn tirant un peu sur le roux ; un visage à l’ovale parfait éclairé par de grands yeux verts. Quant à son anatomie, elle ferait se retourner un saint.


Il s’arrange pour rester à portée d’oreille pour écouter la conversation qu’elle a avec ses amies, puis vient parler avec elle. Il comprend rapidement le pourquoi de l’antipathie de sa chérie. La donzelle est insupportable. Elle sait tout, a tout vu, est méprisante et médisante, capricieuse aussi. Elle casse du sucre sur le dos de son mari qui a osé lui refuser un tailleur « absolument chou qui ne coûtait que 10 000 euros ! ». Elle parle de sa coiffure « absolument géniale » de Gérard et ses auditrices de s’extasier. Bref une tête à claques. Le problème, durant la soirée, est d’éviter tout contact avec la gent féminine. Heureusement, il commence à avoir une certaine pratique.


Comme le raout s’achève, au moment de prendre congé, Bernard remercie chaleureusement l’hôtesse et lui fait un baisemain. Il sort et laisse passer plus de deux heures, jusqu’à ce que les extras partent. Il remonte alors, prétextant avoir oublié son blouson. Caroline se jette quasiment sur lui et l’entraîne vers la chambre. Il rafle au passage deux bouteilles d’eau minérale. Il la baise et l’encule dans toutes les positions et comme intermède se fait sucer aussi. Bref, il ne la ménage pas. La « merveilleuse » coiffure de Gérard disparaît remplacée par un amas de cheveux gluants de foutre.


À 10 h, il est toqué à la porte qui s’ouvre dans la foulée sur une bonne portant un plateau avec le petit déjeuner. À la vue du spectacle de sa patronne se faisant sauter en levrette, elle manque de le laisser tomber. Fort poliment, Bernard dit :



La jeune femme met quelques secondes avant de poser son fardeau et de répondre :



Elle tourne les talons et sort. L’air toujours un peu égaré, elle réapparaît une minute plus tard et tend à Bernard presque craintivement ce qu’il avait demandé :



Puis s’adressant à Caroline qui ondule de la croupe :



Il ponctue ses paroles d’une claque sur le fessier tumultueux. Il se tourne ensuite de nouveau vers la bonne qui contemple la scène, abasourdie :



Sur le coup de midi, il se fait sucer une dernière fois en disant :



Quand il sort de la douche, elle dort profondément. Les douze heures de baise l’ont complètement vidée pour ce qui concerne l’énergie, car pour le foutre elle en plutôt remplie, tant le con et le cul que l’estomac. D’ailleurs du foutre, il y en a partout, le lit en est inondé de même que les descentes de lit, même les tables de nuit ont été éclaboussées. Quant à Caroline, elle en est couverte de la pointe des cheveux quasi aux pieds. En traversant la pièce, Bernard ne résiste pas et prend quelques photos et même une petite vidéo, allant même jusqu’à, sans qu’elle réagisse, lui écarter un peu plus les cuisses pour avoir une meilleure vue sur son entrejambe. En partant, il croise la bonne et la salue :



Sitôt qu’il est sorti, elle s’y rend et découvre le spectacle de sa patronne endormie, les bras en croix et cuisses largement ouvertes en travers du lit dévasté. En s’approchant, elle manque de glisser sur du foutre. Elle regarde le spectacle, incrédule. Ses yeux se portent sur la chatte congestionnée et béante et sur le trou du cul qui ne l’est pas moins. Après être restée un long moment, sidérée à contempler le tableau, elle va pour sortir. Alors, la même idée que Bernard a eue lui vient à l’esprit, elle sort son téléphone portable pour prendre une photo, puis voyant que le clic n’a pas fait réagir l’endormie quelques autres suivent, avant qu’elle ne quitte la chambre.


Cette histoire va lui donner la vedette parmi ses collègues pendant un certain temps. Il ne faudra pas qu’elle raconte tout d’un coup, mais qu’elle fasse durer et même qu’elle se fasse prier. Les photos ne venant, pour quelques privilégiées de confiance, que comme une sorte de point d’orgue.


La sonnerie du téléphone réveille Caroline. Le temps d’émerger, elle ne peut décrocher. L’esprit embrumé, elle se lève. Sa chatte et surtout son cul, fort sensibles, la ramènent à la réalité. Elle écoute son portable, c’est son mari qui vient de l’appeler pour lui dire qu’il vient d’atterrir à Roissy. Cela achève de lui remettre les idées en place. En se voyant dans la glace et en voyant l’état du lit, elle est effarée. Elle se remémore la folle nuit. Comment a-t-elle pu se conduire comme elle l’a fait avec un homme que l’on venait à peine de lui présenter ? Cela est incompréhensible ! Elle a dû devenir folle, alors qu’elle doit faire attention avec son mari jaloux. S’il demande le divorce, adieu la vie facile. Elle devra se remettre à travailler, alors qu’elle avait, non sans pas mal de manœuvres, réussi à décrocher le gros lot en se faisant épouser par le PDG de sa boîte.


Elle avance d’un pas précautionneux vers la salle de bain, bien qu’elle doive s’activer pour non seulement se rendre présentable, mais aussi que la chambre le soit aussi. Cela lui fait penser à Josiane, la bonne. Elle lui avait demandé de lui apporter le petit déjeuner à 10 h et il lui revient qu’elle est venue et l’a vue en pleine action et que même son entrée ne l’avait pas arrêtée, ni même ralentie dans sa frénésie. Elle avait continué à se faire tringler avec ardeur. Elle est atterrée. Au point où elle en est, elle peut sans problème lui demander de venir l’aider à remettre la chambre en état et laver la literie. En donnant ses instructions, Caroline a beaucoup perdu de sa superbe. Elle se sent mal à l’aise devant sa bonne.



**********



Quand Bernard rentre chez lui, Marion l’accueille d’un baiser :



Bien qu’elle se soit juré de ne pas demander de précisions sur ce qui se passait quand son chéri devait se soulager avec une autre femme, elle ne peut s’empêcher de demander :



Bernard, après un moment d’hésitation, obtempère et termine en montrant les prises de vue de l’endormie. Marion pouffe et conclut :



Malgré cette nuit mémorable, Bernard est inquiet, car le nombre des dames avec lesquelles Marion et lui peuvent avoir un contentieux est limité. Qu’adviendra-t-il quand la liste sera épuisée ?


La semaine suivante, il se rend sur le site du temple. Au passage, ayant appris que son époux s’est rendu à un salon dans une autre région, il rend visite à la fermière, une jeune femme bien charpentée aux cheveux noirs et qui ne manque pas d’un charme rustique certain. Il s’occupe d’elle depuis seulement trois heures quand, comme pour son ex, il sent le retour du mari. Il quitte donc la dame.


Dans le train pour Paris, il se demande si elle aura suffisamment retrouvé ses esprits pour se rendre présentable quand son mari arrivera. Il préférerait malgré tout qu’il n’y ait pas de drame. Il est exaucé. En effet, quand elle revient à la réalité, elle a la présence d’esprit de mettre les affaires dans la machine avant même de se laver elle-même. Comme toutes les autres, elle se demande ce qui a bien pu lui prendre de se jeter dans les bras de Lemua, surtout sachant le retour de son mari proche. Malgré cela elle ne regrette pas cet intermède, car ce fut vraiment bon. Il est doué le bonhomme, à le voir elle ne s’en doutait pas. Si l’occasion se représentait… elle ne dirait pas non.


Le mardi suivant, c’est le branle-bas de combat aux archives : la ministre de la Culture vient en visite. C’est probablement pour parler des décisions concernant l’institution, que le personnel a apprises par la presse. En effet, la grogne règne, tant parmi les personnels que parmi les utilisateurs. Non seulement les mesures apparaissent pour le moins contestables tant du point de vue humain que technique, mais en plus, elles ont étés prises sans concertation aucune ou alors seulement avec la direction qui n’en a soufflé mot. Elle va probablement expliquer qu’il n’y a rien de décidé, que ce qui a fuité dans la presse ce sont simplement des pistes. Bref, le discours habituel. De grands noms ont pris la plume ou la parole pour faire part de leur réprobation, ou, dans le meilleur des cas, de leur étonnement. Cela a dû motiver le déplacement.


Comme c’était prévisible, la ministre s’emploie à désamorcer la bombe qu’elle a elle-même allumée avec des déclarations prématurées. Bernard n’attend pas la fin de la réunion pour discrètement s’éclipser. Il en a assez entendu, il aurait été capable de faire le discours à la place de la ministre tant il était prévisible. Accompagné d’un magasinier, il fait une évaluation de la conservation de documents en vue de restauration, quand la directrice l’interpelle. Il se retourne pour se trouver face à la ministre enthousiaste :



Avant qu’il ait pu dire un mot, elle le prend familièrement par le bras en poursuivant :



Bernard est atterré. Comme madame la Ministre lui prenait le bras, il a senti la petite décharge annonciatrice que le « charme » a opéré. Que doit-il faire ? Il ne peut planter la ministre et se sauver, cela risquerait de la rendre enragée. Une fois arrivé dans son bureau, il sort le parchemin et le montre à la ministre devenue nerveuse. Il faut qu’il réussisse à l’entraîner hors d’ici, avant qu’elle ne perde son contrôle. Heureusement il n’a pas à se creuser la cervelle pour trouver, c’est elle qui s’en charge :



Tous deux plantent là la directrice après de rapides salutations. Une fois dans le véhicule, Bernard entreprend de donner les explications demandées, mais Flora Azetti n’écoute que d’une oreille distraite. Brusquement elle l’interrompt pour lancer au chauffeur :



Et se tournant vers Bernard :



Ils débarquent. Elle renvoie la voiture en précisant qu’elle n’en a plus besoin. Ils montent dans l’appartement où il continue ses explications. Il observe sa ministre de tutelle. C’est la première fois qu’il la voit d’aussi près. Elle n’a pas tout à fait quarante ans, pas très grande, les cheveux noirs mi-longs, le visage allongé en triangle, les yeux noirs brillants… Il se demande si cela est dû aux circonstances ou si c’est habituel. Elle est plutôt jolie, avec une poitrine avantageuse et de belles jambes. On sent en elle de l’énergie à revendre. Il sait d’autre part qu’elle a une solide ambition, la réputation d’être froide, calculatrice et d’avoir une volonté de fer. D’ailleurs aucune autre de ses « conquêtes » n’a résisté aussi longtemps. Cela fait près d’un quart d’heure qu’il est chez elle et plus de vingt-cinq minutes qu’elle l’a touché. Un autre facteur entre peut-être en jeu, pense-t-il : le contact a eu lieu à travers les vêtements, pas sur la peau directement. Cela a peut-être eu aussi une influence. In fine, madame la Ministre finit par succomber.


Elle commence par quitter son fauteuil pour venir s’asseoir sur le canapé à côté de Bernard, comme pour mieux voir le document enfermé dans la pochette neutre. Elle se serre quasi contre lui. À un moment, il s’interrompt pour lever la tête du parchemin. Elle aussi. Le temps semble suspendu quelques secondes et elle approche son visage et l’embrasse. Dès ce moment les choses s’accélèrent et madame la Ministre perd sa réserve et même toute pudeur, comme si elle voulait rattraper le temps perdu. La belle Flora fait montre d’un solide coup de reins. Elle n’hésite pas à demander :



De bonne grâce, il s’exécute, surtout que dans le dernier cas il n’en a nulle intention. Il monte et même démonte madame la Ministre depuis plus d’une heure quand il sent la soif poindre. Il se retire de la si hospitalière chatte et ordonne fort peu protocolairement :



Flora se fige presque et reste à quatre pattes, fesses tendues, tandis qu’il se met en quête de la cuisine. Après deux essais infructueux, il finit par la trouver. Il boit une bonne rasade et prend la bouteille d’eau avec lui. Il aperçoit alors un téléphone et pense à téléphoner à Marion pour ne pas qu’elle s’inquiète. Il lui explique :



Elle comprend à demi-mot ce que son chéri veut dire :



Quand elle raccroche, Marion espère qu’il va soigner Flora Azetti, comme son « amie » Caroline, car elle la trouve insupportable comme ministre de la Culture. Ce mot doit d’ailleurs lui être étranger. Elle aurait été probablement plus à sa place aux Finances.


Quand revient avec son eau, Flora n’a pas bougé. Il se fait d’abord sucer une nouvelle fois avant de réinvestir son intimité. Un peu plus tard, comme il est allongé sur elle a lui pilonner le con, il songe qu’il n’a pas encore visité l’autre porte. C’est une omission qu’il lui faut réparer. Enculer une ministre n’est pas pour lui déplaire. Un retour des choses en quelque sorte, car eux ne s’en privent pas, métaphoriquement bien sûr. Il se lève et ordonne :



Elle obéit prestement. Il entreprend d’investir l’étroit conduit :



Il poursuit donc et entre dans le cul offert qui vient à la rencontre de l’envahisseur. Pourtant la ministre continue de dire des « non » entrecoupés de râles de contentement. Bernard sourit de la contradiction entre les paroles et les gestes. Peut-être une déformation professionnelle. Il décide de faire s’accorder les deux :



Si Flora arrête ses protestations, elle ne veut pas convenir de la chose. Il insiste :



Ce disant, il ralentit le rythme et se recule un peu. La réaction est immédiate, elle lance ses fesses en arrière et clame :



Il se déchaîne et travaille la rondelle de la dame sans ménagement. Elle ne s’en plaint aucunement et vient au-devant du pieu qui la fouaille fort rudement, réclamant :



Seuls quelques gémissements de plaisirs interrompent la litanie. À neuf heures du soir, cela fait cinq heures qu’il s’occupe de madame la Ministre. À plusieurs reprises, le téléphone de celle-ci a sonné, elle n’en a eu cure et a poursuivi la joute. C’est maintenant à sa porte que l’on sonne sans que cela l’émeuve plus, mais cela inquiète un peu Bernard, qui voyant qu’on insiste, et de crainte que l’on finisse par entrer lui commande :



Elle saute sur ses pieds et part au galop vers la porte. Elle demande :



Bernard ne comprend la réponse. Flora répond :



Sans s’inquiéter de l’autre qui insiste, elle revient vers Bernard :



Et c’est reparti, et cela dure. Après lui avoir fait un fist vaginal et un autre anal qui n’ont suscité pas plus de protestation que le reste, au contraire, la dame a manifesté son contentement. Un peu après sept heures du matin, Bernard songe qu’il va devoir bientôt songer à retourner au travail. Et quitter Flora. Il pense alors que c’est elle qui a fait nommer Anne Ladigo, la directrice et que cela mérite bien un châtiment pour lui avoir empoisonné la vie. Ce qui lui vient à l’esprit, c’est une fessée. Il fait relever la ministre et s’assoit. Il la laisse debout devant lui et la gourmande comme à une gamine mal élevée :



Il l’attire sur mes genoux. Elle ne dit mot et se laisse aller. Même lorsque les claques commencent à résonner, elle ne se rebiffe pas. Après une longue fessée, Bernard cesse, non parce que Flora proteste, elle a même l’air d’apprécier, mais parce que sa main le chauffe. Le postérieur de la dame a pris une belle couleur carmin. Bien qu’il ait arrêté la punition, elle reste allongée sur ses genoux fesses offertes. Elle semble attendre la suite pense-t-il. Eh bien, ne la décevons pas. Il la courbe sur l’accoudoir du canapé, prend sa ceinture lui cingle le cul une trois fois. Brusquement, il se rend compte de ce qu’il fait. Il devient fou ou quoi et l’autre qui ne proteste pas ni même tente de se relever. Il contemple l’arrière-train maintenant zébré de marques violacées. Il pense à s’excuser, mais préfère renoncer. Par contre, pour éviter toute complication ultérieure, il décide de pendre discrètement quelques photos de madame la Ministre et de son cul. Là-dessus il rejoint la salle de bain, s’habille et va pour rejoindre son bureau. Au moment de sortir, il va secouer Flora toujours affalée. Il faut avouer que plus de quinze heures à sucer, baiser, se faire enculer, fister, le tout couronné par une solide raclée, a de quoi vous mettre sur le flanc :



Pas de réaction.



Elle émerge, l’air un peu hagard. Il la prend par le bras et la conduit sous la douche et sans plus s’attarder va vers le métro. L’eau réveille complètement Flora, elle grimace. Elle a l’impression qu’on l’a passée à la moulinette. Ses mâchoires sont ankylosées, ses seins turgescents, sa chatte congestionnée, son anus la chauffe, mais le pire ce sont ses fesses qui la cuisent. Tout lui revient, elle regarde son postérieur et constate son état. Elle se demande comment elle a pu se conduire comme elle l’a fait et accepter ce qu’elle a accepté. Ce n’est pas sa seule source d’étonnement. Comment un homme peut-il rester en action près de seize heures ? Mais elle doit bien s’avouer qu’elle a pris son pied comme rarement, même à son étonnement quand elle s’est fait tanner les fesses. Jamais elle n’avait ainsi perdu le contrôle des opérations, ni s’être laissé dominer. Elle ne maîtrisait plus ses actes, et était asservie à ses instincts les plus triviaux. Cela la perturbe grandement. Elle doit se secouer pour chasser ces idées déstabilisantes et la fatigue qui l’accable. La voiture va bientôt arriver pour la conduire au Conseil, elle doit se presser.


Elle est prête quand le chauffeur l’appelle à l’interphone. Quand elle s’assoit sur le siège, elle sursaute et se redresse. Son cul est fort endolori et la position assise n’est pas des plus confortables. Elle songe alors avec appréhension au Conseil où elle va devoir rester assise. Elle prie le ciel pour qu’il ne soit pas trop long.


De son côté, Bernard arrive aux archives frais comme un gardon. C’est plutôt pratique de pouvoir baiser toute la nuit et d’être en forme le lendemain comme s’il avait passé sa nuit à dormir du sommeil du juste. Il a une pensée pour la ministre qui a Conseil et qui elle, n’a pas cette chance, sans parler de son popotin qui doit se rappeler à son bon souvenir.


Le soir, de retour chez lui, Marion est assez curieuse de savoir comment s’est comportée cette si arrogante Flora Azetti en cette occasion. Comme Bernard n’a pas l’air d’aborder le sujet, elle l’interroge. Il aurait préféré éviter de parler de ses aventures avec sa chérie, car cela le gêne, mais devant son insistance… Il narre donc la rencontre hors la fin. Marion s’exclame de temps à autre :



Quand il finit son récit, elle insiste :



Avant qu’il ait pu répondre, elle prend le téléphone qu’il a posé sur la table et voyant qu’il tente de le récupérer se sauve derrière le canapé. Elle l’ouvre en riant et reste bouche bée :



Pas très à l’aise, il répond :



Le téléphone sonne. Bernard n’en est pas mécontent, cela lui évite la poursuite de cette discussion qu’il juge oiseuse. C’est Isabelle, l’infirmière :



Il la sent embarrassée :



Avant qu’il puisse dire quoi ou qu’est-ce, après un court silence une nouvelle voix parle dans l’appareil :



Elle laisse sa phrase en suspens, brusquement gênée de ce qu’elle demande à cet inconnu : ni plus ni moins que la sauter. Bernard complète :



Il lui explose alors son problème quand il ne met pas de femme enceinte.



Rendez-vous est pris. Le samedi soir après le départ des séminaristes, pour éviter les cancans, il rejoint l’hôtel où Amandine l’attend en peignoir. Elle approche la quarantaine. Elle est plutôt petite, bien en chair, ses cheveux châtain coiffés à Jeanne d’Arc, ses yeux marron sont cachés par des lunettes. Elle a un certain charme :



Il la sent nerveuse et pour abréger l’attente, il lui fait la bise pour la saluer. De fait, il ne lui faut pas une minute pour qu’elle soit nue et l’aide à se dévêtir. Les trois heures suivantes se passent de la plus agréable des manières. Il se dispense de toutefois des fantaisies qu’il avait pratiquées avec Caroline et la ministre. Ils vont de concert prendre une douche. Une fois habillés, elle l’invite à prendre un verre :



Il reste silencieux quelques secondes :



Nouveau silence méditatif de Bernard. Effectivement, pense-t-il, Amandine ne peut m’amener qu’un nombre limité de femmes. Pas de quoi tenir six ans. Avec d’autres médecins dans le circuit, les possibilités sont multipliées. Ce qui lui éviterait d’avoir à prendre des femmes au hasard, ce qu’il redoute par-dessus tout. Il donne son accord.


Le jeudi suivant, elle lui téléphone pour annoncer que deux de ses patientes se sont déclarées prêtes à suivre ce qu’elle appelle : « Le traitement spécifique ». Le lendemain soir, Bernard prend le train. Les jeunes femmes viennent le retrouver à son hôtel successivement. Il passe deux heures à mettre en route les futurs héritiers. Ce que la seconde de ces dames apprécie fort. Elle lui glisse même :



Avant de repartir, Bernard fait une petite visite au temple. Comme il va pour repartir, il croise la fermière, qui nullement gênée par leur précédente rencontre, s’approche et lui susurre à l’oreille :



Et elle l’embrasse à pleine bouche. Contrairement à ce qu’il croyait, il ressent le déclic. Il se rappelle alors des paroles de Rosmerta qui lui avait dit qu’une femme dont la grossesse est récente pouvait être touchée par le don, avec comme conséquence des naissances multiples. Il ne se dérobe pas et suit Pascale à la ferme. Voyant les bonnes dispositions de madame Lantier, Bernard prend au cours de l’entrevue la liberté de prendre la porte étroite de la donzelle, sans que cela ralentisse les ardeurs de celle-ci. Il demeure trois bonnes heures à la baiser et l’enculer à la grande satisfaction de Pascale. Devant tant de bonne volonté, il serait volontiers resté plus longtemps, mais il doit prendre son train.


Le mardi suivant, Amandine téléphone. Deux nouvelles candidates sont volontaires pour la thérapie. Elles font voiture commune pour monter à Paris. Le rencontre a lieu dans l’appartement du frère de l’une qui est en mission à l’étranger. Tandis qu’il s’occupe de l’une l’autre attend sagement son tour dans le salon, mais malgré tout avec une impatience grandissante, en entendant sa consœur manifester son bonheur à se faire baiser. Quand son tour vient enfin, elle est chaude comme une braise, elle passe à l’action avant même que Bernard ne la touche. Une autre vient à la fin de la semaine.


Deux jours plus tard, la gynéco lui annonce qu’elle a eu l’occasion de discuter avec des collègues de son cas, et plusieurs femmes veulent tenter l’expérience. Plusieurs semaines sans trop d’angoisse se profilent avec deux ou trois rencontres par semaine. Parfois des situations inattendues surviennent. Un jour, deux dames sont montées à Paris en voiture, de concert, et préfèrent continuer à rester ensemble sur place. C’est donc un trio qui s’ébat ce jour-là jusqu’à une heure avancée de la nuit. Les deux complices sont ravies de leur soirée, Bernard aussi d’ailleurs, car les jeunes femmes s’entraînent l’une l’autre et surenchérissent dans le dévergondage. Une autre fois, il doit retrouver une certaine Carole dans un pavillon de banlieue. Une charmante blonde lui ouvre :



Ce disant, il l’embrasse :



La foudre serait tombée aux pieds de Bernard qu’il n’aurait été plus pétrifié. Résultat, Astrid est restée avec sa sœur et a également profité des services de Bernard, bien que n’ayant pas de problème de fertilité, car déjà mère de trois bambins. Elle ne se plaignit aucunement du quiproquo, car elle trouva l’après-midi des plus plaisantes et qu’elle n’avait rien contre un quatrième enfant. Soit dit en passant, Bernard ne trouve Carole aucunement réservée et même beaucoup plus entreprenante qu’Astrid aux jeux de l’amour.


Les semaines passent et les résultats de ses interventions étant avérés et se répandant, les demandes se multiplient. Heureusement qu’après avoir œuvré, il ne ressent aucune fatigue. C’est comme s’il avait dormi du sommeil du juste. Le problème n’est plus le manque de partenaire, mais leur nombre. Il doit poser des limites, pour garder du temps pour Marion, mais aussi pour son travail. Il refuse donc toute « intervention » bien sûr durant les heures de service, mais aussi du lundi soir au jeudi soir et au moins une fin de semaine par mois pour demeurer avec sa femme. Celle-ci réussit à faire abstraction de la situation et à ne pas se mettre martel en tête lors des absences de Bernard.


Bientôt les demandes viennent aussi d’au-delà des frontières. Une fois, des Belges ont affrété un autocar pour venir à Paris. Lorsque ces dames ne se déplacent pas pour venir, elles se cotisent pour le défrayer de ses frais de transport et éventuellement d’hébergement. Lorsqu’il n’est pas à l’hôtel, il est accueilli chez des particuliers et parfois même dans des cliniques.


Il a décidé également de ne jamais passer moins d’une demi-heure avec chaque femme, car il ne veut point bâcler en les sautant à la chaîne, afin qu’elles y prennent plaisir. Cela ne l’empêche pas, certaines fins de semaine, d’honorer plus de cent femmes. Un autre bon côté de la multiplication des rencontres est qu’il ne connaît plus de problème de manque et qu’il arrive à contrôler son don et ne plus redouter de toucher fortuitement une femme.


Et puis un jour tombe la nouvelle : Isabelle Talmade, l’infirmière, vient d’accoucher d’un garçon et elle lui demande d’être le parrain. Sa consœur Béatrice donne naissance à une fille le lendemain. Puis les nouvelles d’arrivées de bébés se succèdent ; Florence Marpied l’archéologue une fille ; Anne Ladigo la directrice de deux garçons ; Cécile, son ex, que son époux a reprise après quelques semaines chez le grand-père, une fille ; Rosmonde Lamiral et ses deux filles, toutes trois un garçon. Vient enfin le tour de sa femme Marion qui donne le jour à une magnifique petite fille qu’ils prénomment Julie.


Les parents sont fous de joie. Valériane Pérégrin, la secrétaire accouche d’un garçon ; Caroline « l’amie » de Marion d’une fille, ce qui bouscule encore un peu plus sa vie, car depuis la nuit mémorable où elle fut mise enceinte, sa bonne n’en fait plus qu’à sa tête lorsque le mari n’est pas là et n’hésite pas à l’envoyer promener ; Pascale Lantier, la fermière a des jumelles ; quant à Flora Azetti, la Ministre, c’est un garçon dont la venue perturbe l’emploi du temps.


Un jour, Bernard reçoit un appel, c’est Isabelle qui lui demande presque timidement s’il n’accepterait pas de l’engrosser de nouveau. Le rendez-vous est pris dans la foulée. C’est Georges, le mari, qui y conduit sa femme. Marion, à sa demande, car il peut maintenant se contrôler, est-elle aussi à nouveau enceinte.


Bernard ne rencontre plus désormais que des femmes qui sont là en toute connaissance de cause. Il fait toutefois une exception avec la directrice Anne Ladigo. La période durant laquelle elle a été en congé de maternité a été si tranquille et son retour si pénible, qu’il n’a pas résisté à s’occuper de nouveau d’elle. Cela s’est passé un jeudi après-midi. Il a exceptionnellement fait une entorse à sa règle de réserver ce jour-là à Marion et à Julie, car l’occasion s’est présentée. Elle a tendance à l’éviter, se sentant mal à l’aise en sa présence, mais ce jour-là, il y a réunion de direction dans le bureau directorial. Il s’arrange pour la toucher. Après le contact, il sent le malaise de sa chère directrice s’installer. Elle en abrège même la réunion. Il part avec les autres participants. Il laisse passer un bon quart d’heure avant de revenir chercher un dossier qu’il a « oublié ». Avant d’entrer, il branche un enregistreur :



Elle tremble d’effort à se contenir. Il prend les documents :



Il la prend par le bras et la faisant s’asseoir :



Ce disant, elle s’accroche à son cou pour l’embrasser. Il murmure à son oreille :



Anne et lui se retrouvent rapidement dévêtus. Par la porte qu’il a pris soin de laisser entrebâillée, la secrétaire n’en perd pas une miette. Il la prend d’abord sur son bureau, bousculant quelque peu les dossiers, puis en levrette sur le tapis. La gardant à quatre pattes, il entreprend ensuite de l’enculer. Elle ne manifeste aucune réticence. Elle y met même une franche bonne volonté écartant ses fesses à deux mains et les tendant avec fougue. Bernard repense alors à Valériane. Il faut qu’elle voie que, comme elle, sa patronne le prend dans le cul. Il sort de l’accueillant fourreau, s’allonge sur le sol en s’arrangeant à être bien dans l’axe de la porte, l’attire à genoux au-dessus de lui et s’ajuste à la porte étroite. Elle fait montre du même zèle en s’aidant des mains pour s’ouvrir et se laisse aller sur le pieu tendu. Il l’encourage :



Elle trouve l’idée bonne et obéit avec diligence. Trois heures durant, jusqu’à six heures, il la besogne. Voulant poursuivre jusqu’au lendemain et pour ce, ne pouvant rester sur place, à cause du personnel de ménage, il donne une petite claque sur le postérieur de sa directrice en disant :



Oubliant compagnon et enfants, elle se rhabille prestement. Ils sortent de concert. En passant devant Valériane, il suggère :



La secrétaire se précipite, pour aller chercher éponge et chiffons pour remettre de l’ordre dans la pièce. Heureusement cette fois-ci, elle n’est pas trop souillée de foutre, mais tous les papiers qui étaient sur le bureau ont été dispersés. Tout en œuvrant elle est perplexe, après les discussions qu’elle a eues avec Anne au sujet de leur coup de folie avec Lemua, comment sa patronne peut-elle recommencer, alors qu’elle avait juré ses grands dieux que l’on ne l’y prendrait plus ? Elle n’aurait jamais cru cela possible. C’est un mystère.


Pendant ce temps, Bernard et la directrice arrivent à l’hôtel et demandent une chambre. La réceptionniste la regarde avec un drôle d’air. Il faut dire qu’Anne s’est habillée un peu vite dans sa hâte de reprendre la partie de jambes en l’air et a oublié le sperme dans ses cheveux. L’air entendu en remettant la clef :



Et ajoute d’un air entendu :



Sitôt la porte fermée, Anne se déshabille à vitesse grand V et va aider Bernard qui ne le fait pas assez rapidement à son goût. Avant de reprendre, il l’emmène dans la salle de bain, dévisse le pommeau de douche et lui enfile le tuyau dans le troufignon :



Par trois fois il récidive et à chaque fois elle tend les fesses. Toute la nuit, il la baise, l’encule et se fait sucer dans toutes les positions. Sur le coup de sept heures du matin, il décide de passer à d’autres amusements. Il commence par lui enfiler la main, puis le poing dans la chatte. Voyant que l’absorption se fait sans problème. Il se fait un peu sucer, puis la sodomise et lui remet la main dans le con jusqu’au poignet. Si elle gémit, c’est de plaisir :



Il fait mine de s’arrêter et se retirer.



Il pense qu’une inversion serait une bonne idée. Après le sexe, c’est le cul qu’il lui fiste. Il se fait de nouveau sucer, la baise et fait disparaître sa main dans la rondelle. Il est 8 h. Il va bientôt falloir cesser et regagner le bureau, mais avant… Tour en gardant le poing bien calé dans le cul de sa patronne :



Il ne la laisse pas répondre, il retire sa main qui sort avec un slurp sonore. Il l’attire sur ses genoux :



Commence alors une fessée mémorable. Quand se main droite fatigue, il se sert de la gauche et réciproquement. Lorsqu’il cesse, les fesses ont pris une teinte carmin foncé. Il la dépose sur le lit où elle reste inerte. Un petit diablotin lui souffle alors une nouvelle idée. Il prend une bouteille de verre et lui enfonce dans le cul jusqu’à ce qu’il n’y ait plus que le goulot qui dépasse. Dès qu’elle a senti le contact, elle a tendu les fesses. Elle absorbe ainsi plus de vingt centimètres avec dans les dix centimètres au plus large. Il bouge un peu l’engin avant de dire :



Il va se laver et s’habiller, mais sans rompre la jonction. Avant de partir, puisqu’elle a donné son accord, il prend d’ultimes photos et s’en va d’un pas allègre vers son bureau, la laissant dans les bras de Morphée.

Sur le coup de 9 h 30 Valériane l’appelle :



Elle raccroche et part au trot. Heureusement ce n’est pas loin. La porte n’est pas fermée et il n’y a même pas le panneau « ne pas déranger » à la poignée pour en interdire l’accès. Pourtant ce n’aurait pas été inutile. Quand elle entre dans la pièce, elle est prise pas l’odeur, mais ce n’est pas cela qui l’effare. C’est le spectacle ; le lit dévasté et vautrée dessus à plat ventre, sa patronne et amie qu’une bouteille enfoncée dans le cul n’empêche nullement de dormir.

Elle s’approche et secoue l’endormie qui a bien du mal à émerger. Elle l’aide à se lever en faisant attention à ne pas se tacher du foutre dont l’autre est tartinée :



Anne fait deux pas et outre que ça la chauffe, se sent gênée du côté de son fondement. Elle y porte la main et sent le goulot. Elle essaie de retirer l’intruse. Ça ne vient pas :



Elle se retient d’ajouter : « tu dois avoir de la pratique ». Anne obtempère, s’agenouille et écarte ses fesses à deux mains bien que ça la cuise. Précautionneusement Valériane et tire doucement, sans grand résultat, le sphincter s’étant resserré. Elle tire plus fort



Valériane tire alors plus vigoureusement. Sous la pression, le trou de balle s’ouvre et libère la bouteille. Elle est surprise de la taille de l’objet.



Elle ajoute malicieuse :



Anne pince les lèvres et ne répond pas. Elle se dirige vers la salle de bain. Une fois habillée. Elle rejoint sa secrétaire et elles partent vers le devoir qui les appelle. En sortant de l’hôtel, elle se tourne vers Valériane :



Ne pas garder ça pour elle, c’est un peu une manière d’exorciser ces dernières heures :



L’arrivée à la porte met un terme à leur conversation. Madame la directrice se rend dans son bureau et reçoit son rendez-vous… debout, la position assise s’avérant délicate. Elle se demande d’ailleurs comment elle va gérer ça, de retour chez elle. Valériane lui suggère de prétexter une chute dans un escalier pour expliquer la couleur de son fessier.


De son côté, Bernard qui avait averti Marion de son escapade entre sa sortie et son retour du bureau de la directrice, lui téléphone pour de nouveau s’excuser pour la veille de na pas avoir respecté la pause du jeudi et demandé des nouvelles de la petite puce. Sa femme l’excuse de grand cœur. Il se met au travail en se disant qu’heureusement ce soir il n’y a rien de prévu. Cela compensera.


Quand il revient de déjeuner, il découvre un courriel, adressé à l’ensemble du personnel, contenant une note de service. Sa lecture le laisse pantois. Hors du fait qu’aucune concertation n’a eu lieu, certaines des préconisations frisent, à son idée, le ridicule ou sont presque inapplicables ou alourdissent inutilement les procédures. L’impression qui s’en dégage essentiellement est que l’on veut tout surveiller et contrôler au plus près. Il contacte quelques collègues, tous ont le même sentiment que lui. Il propose d’écrire une réponse, ce qui est accepté. Il passe plus d’une heure à la rédiger, pointant les incohérences, les inconvénients, parfois avec humour, mais soulignant aussi les quelques bons points qui s’y trouvent.


Il envoie à ses collègues pour relecture. Tous s’accordent pour dire que ce qu’il a écrit est juste, mais certains jugent qu’il y va peut-être un peu fort avec son humour qui tutoie fort l’ironie. Il précise qu’il va l’envoyer en son nom et que chacun pourra commenter. Après son envoi, les courriels se succèdent.


Une heure plus tard, il est convoqué à la direction. En arrivant, il trouve madame la Directrice l’air un peu fatigué. Il se dit que la nuit ne doit pas y être étrangère. Elle le reçoit debout, ce qui le fait sourire intérieurement.

Elle lui passe presque un savon en lui disant que ce qui s’était passé ne l’autorisait pas à envoyer un message à tout le personnel, sans lui avoir fait d’abord parvenir. Il répond qu’il croyait que, comme il n’y avait pas eu de concertation, c’était le nouveau mode de fonctionnement. Elle répond de manière acerbe. Sentant la moutarde lui monter au nez, il préfère rompre pour éviter la tentation :



Il tourne les talons. Anne n’entend pas être plantée ainsi. Elle ordonne :



Elle le rattrape par le bras d’une main ferme. Au point qu’elle le déséquilibre et qu’il trébuche pour s’en aller heurter la secrétaire qui assistait à l’entretien. Il se retourne :



Elle se lance dans un discours sur le respect des formes qu’il écoute à bout de patience. Elle finit par se taire, il la resalue et quitte la pièce, rageur. Arrivé dans son bureau, il met un moment à retrouver son calme. C’est seulement là qu’il se rend compte des picotements qui l’agitent. Il ne comprend pas, puis réalise qu’il a été touché par la directrice, quand elle lui a saisi le bras et a heurté la secrétaire. Il était alors si contrarié qu’il ne pensait pas à contrôler son « don » et donc que celui-ci avait fonctionné à plein. Les deux jeunes femmes n’allaient pas tarder, si ce n’était déjà fait à en ressentir les effets.


Et merde ! pense-t-il, c’est justement pour éviter la tentation que je voulais partir. C’est d’ailleurs ce que je vais faire. Mes rendez-vous de demain devraient dissiper les effets. Il va pour prendre son blouson, quand ce que lui ont dit Rosmerta et Cernunnos lui revient : « Toute femme que tu touches doit devenir enceinte, sinon sa vie deviendra un enfer ». Bon pour la dirlo ça devrait s’arranger, puisqu’elle est déjà enceinte, mais pour la secrétaire… Si elle prend une contraception, ça va être la merde. Bon je ne peux pas la lâcher dans la nature ainsi.

Il téléphone à Marion pour lui expliquer la situation. Elle lui suggère :



Somme toute, il ne trouve pas le conseil stupide, mais hésite. Il rédige une vague note et se prépare à partir vers les quartiers directoriaux pour la soumettre, quand on frappe à la porte. Il a à peine le temps de dire « Entrez » qu’entrent Anne et Valériane. Il avait oublié que les Dieux lui avaient dit que les femmes élues seraient attirées vers lui si elles se trouvaient dans un rayon proche. Il les sent nerveuses, lui aussi l’est, d’ailleurs.


La directrice recommence à lui parler de son courriel, en faisant une analyse, mais elle n’est pas très claire et s’embrouille. Elle finit par s’arrêter. Il lui soumet alors sa note. Elle la prend et entreprend de la lire. Elle a visiblement du mal à se concentrer. Durant ce temps, la secrétaire danse d’un pied sur l’autre. Comme la situation s’éternise, il décide de brusquer les choses :



Anne, à regret, se dirige vers la porte et sort. Il pense qu’avoir un polichinelle dans le tiroir en route lui permet de ne pas succomber, cela le soulage plutôt. La secrétaire quant à elle reste comme statufiée. Elle va pour parler, hésite, lui pose la main sur l’épaule et l’embrasse. Il se recule :



Elle ignore complètement l’interruption et se cramponne. Sans que l’on ait frappé, la porte s’ouvre. Anne entre le regard trouble, elle tremble :



Il la suit et Valériane emboîte le pas. Arrivée dans le bureau, la directrice ferme la porte derrière Bernard et elle. De nouveau, elle tient un discours peu clair en arpentant la pièce, finit s’approcher de lui, hésite un moment et l’embrasse à pleine bouche. Quand il peut parler, il joue les offusqués :



Elle lui met la main entre les cuisses :



Elle l’embrasse de nouveau fougueusement. La porte s’ouvre alors sur Valériane fébrile. En voyant la scène, elle devient encore plus agitée.



Il s’ensuit un vif échange entre les deux dames. Elles en viennent presque aux mains dans leur désir de s’accaparer le mâle dont elles ressentent l’appel. Bernard intervient :



Elles se calment un peu. La discussion reprend, mais rapidement elle prend de nouveau une tournure âpre. Il s’interpose de nouveau :



Nullement outrées par cette proposition de plan à trois, ces dames ne se perdent pas en discussions. D’un même mouvement, elles y vont. Oubliant leurs bisbilles, elles se mettent d’accord, chacune téléphonant au mari de l’autre pour avertir qu’elles sont retenues.

Malgré leur impatience, ils passent prendre un en-cas et faire quelques emplettes. À l’hôtel, c’est la même réceptionniste que la veille qui les accueille, tout sourire elle leur souhaite une bonne nuit plein de sous-entendus.

Tous passent par la case salle de bain. Ablutions finies Bernard songe à enfiler le flexible de douche à ces dames qui acceptent de fort bon gré cette intromission dans leur anus. En sortant Bernard entraîne Valériane. Anne qui a pourtant déjà eu une séance fait grise mine :



Elle est déjà sur le lit, cuisses ouvertes, avant même d’avoir fini de dire :



Valériane tend la croupe et quand il la pénètre, elle émet un grognement de satisfaction, se penche et se met à l’ouvrage, commençant par lécher la fente de son amie, avant d’introduire sa langue entre les lèvres, puis alternant. Curieux Bernard :



C’est Anne qui répond, la secrétaire ne pouvant parler :



Val s’interrompt :



C’est Anne qui répond, sa copine ne le pouvant, car elle a appuyé sur sa tête pour la remettre à l’ouvrage, jugeant que sa langue est plus utile sur sa chatte qu’à causer.



Sur ces paroles, la conversation retombe et le silence n’est plus interrompu que des gémissements et des bruits de succion.

Après s’être plusieurs fois vidé dans Valériane, il s’occupe de la patronne qui reste allongée au bord du lit. C’est sa copine qui vient s’accroupir au-dessus de sa figure pour se faire brouter son minou qui ruisselle de foutre. Ce détail ne la rebute nullement, elle lui rend la politesse avec fougue. Sur le coup de 11 h, après avoir baisé et enculé ces dames d’abondance, il s’interrompt :



Elles font un peu grise mine, mais obtempèrent. Après tout, l’idée n’est pas mauvaise. Comme elle commence à s’habiller, il les arrête :



Visiblement cette perspective ne leur déplaît pas. Elles avaient oublié leur passage par le sex-shop. Il sort du sac des boules de geishas et les introduit une dans l’anus et deux dans le sexe des jeunes femmes. Il sort ensuite deux plugs « arbre de Noël », qu’il leur enfile dans le cul. Bien qu’ils soient de bonne taille et qu’ils poussent la boule qui s’y trouve déjà, l’opération se déroule sans anicroche :



Elles finissent de se vêtir, sauf les slips qu’il a confisqués en déclarant que c’était inutile. La visite dure plus d’une heure et demie. Pour dire vrai, la directrice et son assistante la font un peu comme des zombies. Les vibrations des boules de geishas à chaque pas les mettent presque en transe. Bernard abrège la visite, car avec le temps, lui aussi a bien du mal à se concentrer sur autre chose qu’à les sauter. Le personnel de garde a dû les trouver un tantinet bizarres.


De retour dans la chambre, la fiesta recommence illico. Ce n’est qu’à la nuit finissante que Bernard décide de pimenter les choses et voir si la secrétaire a les mêmes capacités d’absorption que sa patronne. Alors qu’il la baise, tandis qu’elle fait un cunnilingus à son amie, il demande à cette dernière de bien lui tenir les jambes ouvertes. Il se retire et entreprend de lui introduire trois doigts dans le con, puis quatre, puis la main entière. Elle frémit à peine et continue de lécher le con d’Anne consciencieusement, même lorsque tout a disparu jusqu’au poignet. Il sort doucement sa main et la rentre de nouveau et recommence, à chaque fois plus facilement et plus rapidement. Et cela plaît à la dame.

Après avoir regardé une bonne dizaine de minutes, Anne lance :



Elle n’a pas besoin de répéter pour qu’il se lance ; mais les choses ne vont pas comme espérées. Si au début sous la sollicitation l’endroit de dilate et les doigts commencent à disparaître, ensuite cela coince et Valériane se tortille et proteste. Il se garde bien d’insister et replonge sa main là où elle est accueillie avec entrain. En vérité, la plus déçue de cet échec est Anne et non Bernard. Après avoir été à la manœuvre un bon moment, il demande à ces dames d’inverser les rôles. Après avoir baisé et sodomisé Anne un temps, il lui met le poing dans le con, mais, connaissant ses aptitudes, il se montre beaucoup plus direct. Quand il entreprend la même opération avec la porte étroite, qui en l’occurrence ne l’est pas tant que ça, il ne rencontre cette fois pas de protestation. Valériane regarde la scène visiblement intéressée et admirative. Il demande :



Elles obéissent.



Quand elles ont pris la pose, il introduit une main dans chaque chatte offerte :



Ce qu’elles font sans se faire prier. Après quelque temps, Bernard sur le ton de la conversation :



L’interpellée ne répond pas, il insiste. Entre deux gémissements elle lâche un « Oui » rauque. Il retire ses mains de leur fourreau gluant.



Elle a une fraction de seconde d’hésitation avant d’abattre sa main sur les fesses de sa patronne. Si la première claque est presque timide, les suivantes vont crescendo, et bientôt elles crépitent. Après cinq bonnes minutes, il l’arrête et aide Anne à se relever :



Anne est tout à fait de cet avis. Elle attrape illico elle-même Valériane pour la coucher sur ses genoux et lui rendre la monnaie de sa pièce avec conviction, mais cela n’a pas l’air de déplaire à Valériane non plus de se faire tanner le cul au point qu’il doit les arrêter, car elles semblent parties pour continuer la matinée :



Les deux postérieurs ont une couleur rouge assez soutenue. Celui d’Anne un peu plus. Une fois tous lavés, avant qu’elles ne se rhabillent :



Il leur place les trois boules dans le cul, avant d’y enfoncer le plug. Et tous sortent de l’hôtel de concert.

Bernard qui n’a pas encore rompu le contact « divin » est pris d’une inspiration en passant devant une boutique. Il y entraîne les deux jeunes femmes en disant :



Elles le regardent interrogatives. Il précise :



Elles le suivent. Ils entrent.



Ni Anne, ni Valériane ne protestent. Après le choix du matériel à poser, auquel elles participent, le vendeur propose :



Elles s’assoient et discutent de ce que penseront leurs maris de ces ornements. Elles arrivent à la conclusion que cela devrait leur plaire. L’arrivée de l’associée met un terme à leurs suppositions. Les deux jeunes femmes mettent les pieds dans les étriers comme chez le gynéco. Pierre et Carole se regardent, mais ne pipent mot. Le spectacle qu’ils ont les étonne. Jamais en plusieurs années de carrière, ils n’ont rien vu de tel. Les sexes congestionnés de leurs clientes ne laissant aucun doute sur le fait qu’elles viennent de baiser, ça ils ont déjà vu. Les fesses rouges aussi, quoique plus rarement, mais le plug dans le cul, c’est une première. Ils se mettent au travail. Anne et Valériane grimacent un peu au moment du percement. L’opération finie, l’homme de l’art donne les explications quant aux soins à faire, aux précautions à prendre et à la durée de cicatrisation. Pour parachever, Bernard pose un cadenas sur les anneaux et fait faire un paquet cadeau avec les clefs. Il tend ensuite ceux à ces dames en précisant :



Leurs clientes sorties, Carole lance :



Ils s’embrassent et seraient volontiers allés plus loin s’ils n’avaient été appelés en boutique.


À la sortie de la boutique, le trio se disperse, chacun retournant dans ses foyers.

Sur le chemin du retour, ces dames retrouvent peu à peu leurs esprits :



Elles papotent encore un moment avant de se séparer.

La première chose qu’elles font en arrivant chez elles, est de se précipiter aux toilettes pour retirer de leur fondement ce qui l’occupe et le dissimuler. Il sera toujours temps de le faire réapparaître plus tard. Toutes deux se déclarent fatiguées, vont se coucher et s’endorment comme des souches jusqu’au dimanche matin.

En se réveillant un peu courbatues. Elles songent alors que c’est le moment de se décadenasser.


Anne après avoir embrassé son mari, lui donne le paquet cadeau. De son côté Valériane est plus hésitante, mais finit par se décider le donner. De toute manière avec les piercings, le cadenas ne change pas grand-chose à la donne.

Antonin et Donatien les ouvrent et regardent le contenu interrogateur, ne comprenant pas trop de quoi il retourne et ce que peuvent ouvrir ces petites clefs. Ces dames remontent leur chemise de nuit et montrent à leur époux leur intimité parée de bijoux. Tous deux en reste interdits quelques instants.

Antonin émet un sifflement admiratif et embrasse sa femme en lui murmurant :



C’est aussi son avis.

De son côté, Donatien est plus perplexe :



Il s’aperçoit qu’elle a l’air déçu de sa réaction. Il se reprend :



Valériane retire sa chemise nuit et va pour s’installer sur un fauteuil.



Donatien est dubitatif, mais ne dit rien. Il met la clef et… ne réussit pas à ouvrir le cadenas. Il s’escrime sans résultat :



Valériane cogite un instant et s’exclame :



La même scène se déroule pratiquement au même moment chez Anne et Antonin. Elle prend son téléphone et appelle son amie. Celle-ci allait le prendre le sien quand il sonne. C’est dames se mettent d’accord pour se retrouver pour un petit déjeuner chez Donatien et Valériane pour procéder à l’échange. Sitôt Anne, son mari et les jumeaux habillés, tout ce joli monde va rejoindre l’autre couple. La présence des aînés de Valériane empêche la conversation.

Une fois ceux-ci partis jouer :



Anne se rappelle heureusement la suggestion de son amie la veille :



Ils procèdent à l’échange des clefs. Chaque couple se retire dans la chambre pour procéder au déverrouillage. La conversation reprend. Les deux couples déjeunent et restent la journée ensemble. Il y a des choses qui les rapprochent visiblement. Il n’est point besoin de chanter des berceuses à ces dames pour qu’elles rejoignent Morphée, après une toilette intime minutieuse. Avant de s’endormir, Anne se fait enculer par un Antonin fort excité, mais elle trop lasse pour goûter pleinement la chose.




Quand Bernard arrive chez lui, Marion l’embrasse. Heureusement que maintenant il peut se contrôler avec elle, même en faisant l’amour, sinon elle serait déjà de nouveau en cloque. Son don par contre, même lorsqu’il n’est pas agissant, lui permet d’avoir une résistance appréciable… et appréciée.


Après avoir résisté un moment à la curiosité, elle lui demande comment ça s’est passé et de lui montrer les photos. Il s’exécute. Elle commente et en voyant les piercings, ne peut s’empêcher de s’exclamer. Bernard la sent émoustillée. Il l’entraîne vers le lit où les choses se passent le mieux du monde.

Après le dîner, il se rend à un rendez-vous avec un groupe d’une dizaine de Bordelaises. Le lendemain ce sont des Anglaises qui bénéficient de ses services l’après-midi, et le soir des Parisiennes.


La semaine suivante, Marion part en déplacement professionnel pour plus d’un mois. Lorsqu’elle revient un jeudi, il est déçu, car elle prend sa fille et descend voir sa mère à Orléans. Lui qui s’était arrangé pour avoir congé et ne pas prendre de rendez-vous jusqu’au lundi. Heureusement, elle revient le lendemain. Il va la chercher à la gare d’Austerlitz. Elle lui annonce qu’elle a laissé Julie chez sa mère pour la fin de semaine. Arrivée à la maison, elle déclare avoir une petite faim, ils dînent donc. La dernière bouchée avalée, elle sort de sa valise plusieurs cadeaux souvenirs de son séjour outre-Atlantique. Quand il a fini de les ouvrir, elle s’exclame :



Et de lui donner un dernier paquet qu’il entreprend d’ouvrir. Il y trouve du papier de remplissage et une autre boîte et ainsi cinq fois. Dans le dernier étui, il trouve une clef. Il lève la tête et découvre sa femme nue, cuisses largement ouvertes, portant les mêmes piercings que ceux qu’il a fait poser à la directrice et la secrétaire. Il en reste sans voix :



Il la regarde étonné. Elle précise en riant :



Il rit lui aussi :



Il l’enlace. Et c’est parti instantanément. Il faut dire qu’elle était déjà chaude avant. Après s’être fait copieusement baiser dans de nombreuses positions et l’avoir non moins copieusement sucé, elle lui demande de l’enculer. C’est une première, car jusque-là, elle s’y était toujours refusée. Elle se rend dans la salle de bain, dévisse la pomme de douche et se met le flexible dans le trou de balle et à plusieurs reprises ouvrent les vannes en disant à Bernard qu’ainsi la place sera nette. Et pour un coup d’essai, ce fut un coup de maître. Elle se met à quatre pattes, bien cambrée. Rapidement la bite de son mari est complètement avalée, sans difficulté notable. Après qu’il ait commencé à la ramoner en douceur, c’est elle qui réclame :



En bon époux, il répond aux désirs de sa chérie. Il ne la ménage pas, et c’est ce qu’elle désire. Il l’encule à grands coups de rein et elle tend les fesses. Elle lui demande de s’allonger et vient s’empaler sur le pieu dressé. Elle met beaucoup d’ardeur à se pilonner la porte étroite.

Les heures passent alternant baise, pipes, enculage et l’après-midi du samedi touche à sa fin. Cela fait 24 h qu’ils sont en action. Marion qui vient d’achever de pomper Bernard se lève et s’étire :



Il ne s’attendait nullement à ce genre de suggestion :



Elle l’entraîne vers la salle de bain où ils ablutionnent. Ils s’habillent. Alors qu’il se prépare à sortir, elle l’arrête :



Il referme la porte, tandis qu’elle replonge dans ses affaires, elle en sort un sac qu’elle tend à son mari. Il l’ouvre et y découvre un plug et des boules de geisha. Pendant ce temps, elle s’est assise sur un fauteuil, a mis ses jambes sur les accoudoirs et relevé sa jupe pour dévoiler son absence de sous-vêtement :



Il n’a pas besoin d’explications pour savoir ce qu’il doit faire. Après les avoir ointes, il commence par introduire trois boules dans la chatte, puis une quatrième dans l’anus. Il prend ensuite le plug « arbre de Noël ». Il le regarde, sa chérie n’a pas mégoté sur la taille. Il ne doit pas faire loin de dix centimètres de diamètre. Il le positionne là où il a inséré la dernière boule et pousse doucement. Le muscle se détend et le cul absorbe lentement le « suppositoire ». Il faut ne que quelques secondes pour que la partie la plus large franchisse la porte qui se referme sur le manche. L’engin bien calé, Marion serre les fesses. Elle arrête de nouveau Bernard qui allait se relever pour lui tendre un cadenas en lui précisant :



Pour dire vrai, la précision était inutile, car il s’en serait douté tout seul. Il pose, elle se lève et rabat sa robe :



Il la suit, se disant que décidément sa chérie a tout prévu. Au restaurant, leur table se trouve à l’extrémité de la salle dans une stalle. Une fois assise, elle se tortille sur sa chaise, boules et plug ne l’aidant pas à rester sagement assise, surtout combinés à l’emprise émanant de Rosmerta et Cernunnos. Après avoir parlé de son séjour, la conversation devient assez licencieuse et parfois même carrément paillarde. Elle y parle sans retenue de ses désirs charnels. Après le plat, elle n’y tient plus et entraîne Bernard vers les toilettes, bien décidée à s’y faire baiser. Hélas un contretemps survient : ils n’ont pas emporté la clef. Qu’à cela ne tienne, elle lui murmure s’une voix rauque :



Il est un peu hésitant, car lui avec le temps et la pratique régulière a appris à se maîtriser. Elle insiste. Il capitule. Elle se penche et relève sa robe. Il tire sur le plug.



Il enfile sa queue dans le croupion de sa belle. Cela lui fait un curieux effet de sentir la boule. Il la ramone pendant quasi dix minutes, durant lesquelles elle a bien de mal à retenir ses gémissements. Jugeant alors qu’il serait temps de retourner à leur place avant que l’on s’inquiète et que cela jase dans la salle, il se retire, au grand désappointement de Marion qui eût bien volontiers continué. Elle fait contre mauvaise fortune bon cœur :



Il réinstalle l’objet et ils regagnent leur place sous le regard égrillard de la serveuse. Le dessert avalé, ils regagnent au plus vite leur appartement. Sitôt la clef retrouvée, la bacchanale reprend. Midi est déjà passé depuis un moment quand elle demande :



Elle s’allonge sur le lit et, genoux fléchis, écarte les cuisses au maximum. Il s’agenouille devant le compas ouvert. Il se met un peu de lubrifiant sur les doigts, mais cela était presque inutile tant l’endroit est naturellement lubrifié. Il met sa main en cône et se positionne à l’entrée de l’intimité. Il introduit le bout de ses doigts et appuie délicatement. Il regarde comme envoûté les chairs s’écarter et ses phalanges disparaître les unes après les autres, jusqu’à l’empattement. D’une dernière poussée, ce cap est franchi et la main se retrouve bien au chaud dans les profondeurs de la grotte d’amour. Marion a la bouche ouverte et la respiration courte. Les yeux écarquillés, elle contemple fascinée ce bras qui est comme une excroissance de sa féminité. Lentement la main réapparaît avant d’être de nouveau absorbée, et l’opération de se répéter. À un moment Bernard ferme le poing et l’enfonce en vrillant. Elle en a le souffle coupé, mais quelques minutes suffisent pour qu’une onde de jouissance la fasse longuement frissonner, tandis qu’il la pistonne.

Quand elle a repris ses esprits, elle réclame :



Il s’attelle à la tâche, mais là les choses ne se vont pas comme espéré. Elle grimace et ce n’est pas de plaisir. Il s’en rend compte et n’insiste pas et elle ne persiste pas dans sa demande. Pourtant sa main n’est guère plus épaisse que le gode qu’elle avait choisi et absorbé pour aller au restaurant. Cette différence suffit, à laquelle il faut peut-être ajouter que sa main n’est pas régulière, pour que Marion ne puisse l’accueillir dans son fondement comme elle l’espérait.

Ils reviennent à des choses plus classiques. L’après-midi tire à sa fin quand elle lui susurre :



Il met quelques instants à réaliser ce que sous-entendent la question et la réponse qu’elle appelle. Il n’est d’ailleurs pas sûr de bien l’interpréter. C’est presque en hésitant qu’il dit :



Elle acquiesce d’un hochement de tête. Il n’en revient pas. Décidément sa chérie veut aller au bout de ses fantasmes. C’est comme si elle se défoulait et voulait goûter à tout ce qu’elle n’a jamais évoqué jusque-là.


Il hésite un bref moment, mais après tout si c’est ce qu’elle désire et qu’elle veut faire l’expérience… Il l’attrape par le bras et l’entraîne sur ses genoux. Elle s’y allonge complaisamment. Il regarde le fessier rebondi qu’il caresse tendrement, avant d’asséner une première claque sonore. Les fesses tressautent, mais Marion ne proteste, ni fait mine de se soustraire. Une seconde suit. Puis elles s’abattent tantôt lentes et vigoureuses, tantôt rapides et plus légères, parfois se transformant en cajoleries. Les minutes passent et les fesses se colorent. Quand il fait mine d’arrêter, Marion l’adjure de continuer. La « punition » se poursuit donc. Bernard ne cesse que quand ses mains crient grâce. Il dépose Marion sur le lit et lui enfonce deux boules dans le derrière, suivies par le plug et complète par trois dans la chatte. Il rompt alors le lien. L’énergie qu’il lui insufflait disparaissant, elle reste allongée sans bouger et s’endort quasi instantanément, épuisée par quarante-huit heures de baise presque ininterrompue. Pour sa part, il en a maintenant l’habitude, il n’est pas plus fatigué que s’il avait eu une fin de semaine normale, seule la soif l’atteint dans ces cas-là.


Il va se prélasser dans un bain. Lorsqu’il en sort, sa chérie dort toujours, il n’a pas le cœur de la réveiller. Il va se préparer une omelette à l’avocat avec de la salade. Le journal de France 2 étant fini, il va jeter un œil sur France Info, pour voir si le monde ne s’en pas écroulé pendant leurs joutes. Bon, il n’y a rien de spécial. Il regagne la chambre, sa chérie dort toujours. Il la couvre d’un plaid et se couche. Le lendemain matin, quand il se lève à 7 h, sa dulcinée est toujours dans les bras de Morphée. Il prend son petit déjeuner et décide de rester jusqu’à ce qu’elle s’éveille. Il téléphone aux archives pour avertir de son arrivée tardive, nettoie discrètement la chambre et va s’occuper de sa collection de monnaie qu’il néglige quelque peu depuis qu’il est l’Élu. Être l’Élu prend du temps, et être père n’a pas arrangé les choses.


Ce n’est que vers midi que Marion émerge, après près de quinze heures de sommeil. Le démarrage est laborieux, sa démarche ressemble à celle d’un canard, ses fesses la cuisent et elle a l’impression d’être passée non pas simplement sous son mari chéri, mais sous un bus. Elle embrasse Bernard et va dans la salle de bain, car fort barbouillée de foutre. Elle ablutionne sans retirer ce qu’il a introduit dans ses conduits intimes. Durant ce temps, il change la literie qui a souffert de leurs ébats. En revenant de la douche, elle se suspend à son cou et ils se murmurent des mots tendres, avant qu’elle ne le laisser partir au travail.