n° 18536 | Fiche technique | 31552 caractères | 31552Temps de lecture estimé : 19 mn | 31/08/18 |
Résumé: Rien n'était prévu, une occasion se présente, elle initie l'approche. | ||||
Critères: fh hplusag collègues uniforme taille fdomine facial fellation cunnilingu québec -totalsexe | ||||
Auteur : MarkTen Envoi mini-message |
7 h 30, Marc se dirige vers la cafétéria du palais de justice. Ce matin il doit rendre témoignage sur l’arrestation d’un homme qui a causé la mort d’une personne en ayant les facultés affaiblies par l’alcool lors d’un accident de la circulation. Il doit rencontrer le procureur de la poursuite vers 8 h afin de s’assurer que lors de son témoignage, la preuve sera bien présentée. C’est la première journée du procès et plusieurs témoins sont appelés, il est assigné aujourd’hui et demain. Il a terminé son quart de nuit ce matin à 7 h, la journée risque d’être longue, car il aura à combattre le sommeil.
En entrant à la cafétéria, il voit Mimi assise à une table. Elle aussi témoigne dans cette cause comme technicienne ivressomètre, il la rejoint après avoir acheté un café.
La secrétaire du procureur les informe qu’il y a actuellement discussion entre la défense et la poursuite afin d’en arriver à un accord sur un plaidoyer de culpabilité. Ne reste plus qu’à attendre, ils s’installent sur un banc dans le couloir. Marc regarde les gens qui circulent, Mimi de son côté lutte contre le sommeil. Tournant son regard vers la droite, il remarque que sa consœur a les yeux fermés et tente de garder la tête droite. Cela lui rappela lorsqu’elle est arrivée sur l’équipe, comme nouvelle policière, elle sortait directement de l’école de police. Elle a remplacé le partenaire de Marc deux nuits. Comme ce matin, elle avait beaucoup de difficulté à rester éveillée après trois heures du matin. À ce moment-là, elle ne savait pas encore qu’elle serait rejetée par les autres membres du groupe.
Fille dynamique, jolie, très joviale, elle avait tout pour être acceptée par les autres. Son problème est son physique. Pour une policière, à 146 cm et 38 kilos, elle est très petite. Chacun trouvait un motif plus ou moins farfelu afin de ne pas faire équipe avec elle. Les autres filles et la majorité des gars craignaient une intervention musclée en sa compagnie. Marc se souvient d’être intervenu auprès des autres concernant les quolibets utilisés afin de la désigner. Lorsqu’il a su que certains la surnommaient « minus », il a menacé de divulguer aux officiers le nom du prochain qui utiliserait une insulte pour la désigner.
Intelligente, Mimi n’a pas été longue à comprendre pourquoi elle bouchait les trous et se retrouvait souvent à travailler seule. Un jour, la trouvant très déprimée, Marc a eu une longue conversation avec elle. Il lui a fait la nomenclature de toutes les fonctions disponibles au sein du service de police. La possibilité de faire une belle carrière était là, il fallait juste trouver comment combler ses désirs. Son choix s’est arrêté sur technicienne ivressomètre, cela lui permettait de se sentir dans l’action et de rester sur l’équipe. Ironie de l’affaire, elle doit aussi s’occuper des détenus au poste et jusqu’à maintenant gros ou petit, aucun prisonnier n’a osé lever le ton devant elle. Elle réussit à calmer un récalcitrant ou un excité en peu de temps.
Marc constate qu’elle ne pourra pas retourner chez elle dans son état. Il est hors de question qu’il la laisse partir. Si elle a un accident, il s’en voudra toujours. L’arrivée du procureur sort Marc de sa réflexion. Une entente a été conclue, ils sont libérés. Bien qu’il n’aime pas ces situations où on négocie une sentence pour un plaidoyer de culpabilité, cela lui permettra d’aller se reposer chez lui. Marchant vers la sortie, il s’adresse à Mimi.
Il ne répond pas, mais la saisit sous le bras afin de la guider. Voyant qu’ils se dirigent vers le Vieux-Montréal, elle questionne :
Ils arrivent à l’arrière d’un immeuble de deux étages. Marc ouvre la porte de service et fait entrer Mimi. Elle se trouve dans un grand garage, à gauche deux véhicules stationnés, sur le mur du fond de grandes boîtes et un appareil. Dans l’ouverture sur la droite, il y a un véhicule de livraison. Il l’incite à avancer dans cette direction. Dépassant le camion, elle remarque un grand atelier sur sa gauche, ils arrivent devant une porte que Marc ouvre devant elle. La pièce est un bureau d’entreprise où trois personnes travaillent. La réceptionniste salue Marc avec un grand sourire, il sourit à son tour. Celui-ci dirige Mimi sur la droite, une autre porte et ils sont devant un ascenseur. Tandis qu’ils montent à l’étage, elle questionne :
Au second étage, sortant de l’élévateur, elle se retrouve face à un escalier, à gauche la cuisine, un peu plus loin un salon et, entre les deux, un couloir. Il la dirige vers le couloir, en y pénétrant elle constate qu’il y a trois portes de chaque côté. Il lui décrit l’endroit :
Sans répondre, elle s’avance dans le couloir tandis qu’il va dans la section cuisine. Il branche la bouilloire afin de faire du café. Puis se dirige vers sa chambre, en trente secondes, il est en boxer et se dirige vers la salle de bain afin de prendre une douche. À peine trois minutes plus tard, il sort, une serviette autour de la taille, et va dans sa chambre mettre un pyjama. Mimi a rapidement constaté qu’il y a deux chambres d’enfant au fond et celle en face de la sienne est régulièrement occupée par une femme. Toutes les chambres possèdent les mêmes meubles. Logique d’homme, se dit-elle en souriant. De retour dans la cuisine, elle constate qu’il a préparé le café.
Sur ces paroles, elle se dirige vers la chambre de bain. Quelques minutes plus tard, Marc va dans sa chambre. Il a un sourire lorsqu’il constate que comme lui, elle n’a pas l’habitude de fermer les portes puisqu’ils vivent seuls. Le pyjama se retrouve sur la commode tandis qu’il se glisse sous les draps. Plus tard, assoupi, il a conscience que quelqu’un se couche à côté de lui sur sa droite. Il reprend pleinement conscience lorsque Mimi lui soulève le bras afin de se lover au creux de son aisselle, tout en posant sa tête sur son pectoral. Instinctivement, il ramène son bras le long du dos celle-ci, puisque Mimi est petite, il se retrouve avec une paire de fesses dans la main.
Elle sait qu’elle l’a surpris. Elle-même est surprise d’avoir eu l’audace de faire cela. L’occasion était trop belle et elle ne peut passer à côté. Elle sait qu’elle l’aurait amèrement regretté. Depuis quelque temps, elle fantasme sur ce colosse dont elle connaît les habiletés sexuelles par son amante Marion qui est aussi partenaire sexuelle de Marc, mais celui-ci ignore la relation entre les deux femmes. Ce qu’elle a vu depuis qu’elle est entrée dans cet édifice change toute la perception qu’elle avait de lui. Si deux enfants et une femme sont suffisamment importants pour avoir une chambre ici, que cache-t-il d’autre ? est-il divorcé ? Marion ne lui a jamais parlé de la vie de Marc.
Tandis que chacun réfléchit à la situation, parlons d’eux. Mimi, physiquement décrite au début de l’histoire est un petit bout de femme, blonde aux yeux bleus. Contrairement aux croyances de Marc, elle n’est pas homosexuelle. Elle s’est tournée vers la bisexualité suite à de mauvaises aventures avec des hommes plus attirés par la pédophilie que par elle-même. Ceci s’explique par son physique ressemblant à une jeune fille de douze ans, car elle n’a pas de seins. Plusieurs de ces pédérastes voulaient qu’elle se rase la chatte afin de ressembler encore plus à une enfant et elle garde ses cheveux très courts, ainsi elle ne peut avoir de nattes ou tresses. Devenir policière est un pied de nez à ses parents qui l’ont toujours considérée comme une poupée délicate, une petite princesse.
Marc est un gars simple, mais ne passe pas inaperçu à 187 cm et près de cent kilos. Il n’est pas bavard sur sa vie personnelle et est indépendant financièrement. Il est reconnu comme excellent policier et est toujours prêt à venir en aide à un confrère ou une consœur. Plusieurs histoires circulent à son sujet, cela s’explique parce qu’il a vécu plusieurs situations à haut risque et traumatisantes. À tort, on le croit célibataire et il a la réputation de sortir avec les plus belles policières du Service. Pour expliquer cette situation, faisons un résumé simple. Premièrement il est le père du garçon de Paule* et de la fille de Sonia*, ceux-ci conçus lors d’une soirée à trois. Deuxièmement, il était marié à Lola**, sa partenaire, décédée d’un accident de travail. Finalement, Marion*** partage son lit régulièrement et il semble que Mimi va allonger la liste, car toutes ces femmes sont des policières. Actuellement seulement Paule et Sonia, couple lesbien, connaissent toute l’histoire de Marc.
Il sait qu’il ne trouvera pas le sommeil avec cette jeune femme nue collée à lui.
En dépliant son bras, sa main quitte les petites fesses joufflues et son majeur s’insère dans la fente blondinette qui trahit son émoi charnel par son humidité. Elle tressaille lorsqu’il cajole son bouton. Prolongeant la caresse, il poursuit la conversation.
Surpris par la rapidité de son orgasme, il l’est encore plus lorsqu’il constate qu’elle s’est endormie presque immédiatement. C’est bien la première fois qu’une fille lui fait ce coup-là. Connaissant son état de fatigue, il la laisse dormir. Il reprend possession des petites fesses en replaçant sa main sur celles-ci. Attendant que son excitation retombe afin de s’endormir, il se demande ce qui a poussé Mimi à venir dans son lit. Il n’était pas prévu qu’elle vienne dormir chez lui, jamais elle ou lui n’ont laissé entrevoir une possibilité de rapprochement entre eux. Il l’apprécie comme consœur, qui est toujours de bonne humeur et fait un excellent travail. Bien qu’il ait maintenant l’intention de baiser avec elle, il n’est pas attiré physiquement par elle. Trop petite comparé à sa stature à lui, il n’arrive pas à imaginer un soixante-neuf avec elle.
En ouvrant les yeux, Mimi constate qu’elle est toujours dans le lit de Marc et qu’elle n’a pas rêvé. Un coup d’œil sur le réveil lui révèle qu’elle a dormi cinq heures. Curieuse, elle soulève la couverture afin de découvrir le corps de Marc qui dort profondément. Déjà hier, elle a pu admirer son torse et ses bras musclés lorsqu’il buvait son café, chaque mouvement démontrait la puissance de sa musculature, elle s’est sentie toute petite devant ce géant.
À genoux à côté de lui, elle repousse la couverture jusqu’aux chevilles. Selon son habitude, elle est méthodique dans ses observations. De la main, elle caresse ce poitrail sans aucun poil, s’attarde sur le sein plus volumineux que le sien. Le ventre est plat, l’érection qui se présente à elle lui fait un peu peur, c’est du format extra-large. Elle note qu’encore une fois, qu’aucune pilosité ne cache les détails. Elle sourit à l’idée qu’il se rase, qu’il s’entretient comme elle le fait. En passant ses doigts sur cette chair nue, elle ne constate aucune rugosité. Caressant la cuisse, là aussi le muscle est dur et montre sa forme sous la peau. Inévitablement, elle revient à ce pénis dont son index suit la longueur. Afin d’apprécier la grosseur, elle le prend à pleine main. Voulant l’observer de près, elle s’étend sur le côté et pose sa tête sur le ventre du mâle à seulement quelques centimètres de cette colonne de chair déjà décalottée. Lentement, elle fait coulisser le prépuce, couvrant et découvrant le gland. Presque aussitôt un filet de liquide pré séminal s’écoule, lubrifiant entièrement la tête du membre viril. L’idée de goûter est vite remplacée par une autre, plus audacieuse.
Un coup d’œil sur la figure de Marc lui indique qu’il dort toujours. Elle se relève et s’installe un pied de chaque côté du bassin et s’accroupit afin d’insérer cette longue queue en elle. Bien que la pointe lubrifiée passe très bien l’entrée de son orifice vaginal, elle fait une pause afin de s’adapter à l’épaisseur puis reprend son manège.
Marc est réveillé depuis un bon moment. Il se maîtrise, non sans peine, lorsqu’elle caresse son corps. Entre ses cils, il l’observe. Cette jolie petite blonde l’intrigue, il la connaît volontaire et réservée, mais en ce moment sa retenue se tait. Son regard est plus sombre que de coutume, il a envie de cette bouche aux lèvres fines. Les seins apparaissent ou disparaissent selon le mouvement qu’elle fait, en fait à part les tétins érigés, une petite courbure occasionnelle apparaît sous et sur le côté extérieur marquant la présence du nichon. Aussi petite soit-elle, la main a un effet surprenant en le masturbant.
Maintenant qu’elle est couchée dos à lui, il peut admirer tout à son aise ce petit cul qu’il a tenu dans sa main plus tôt. Elle tourne la tête, il ferme les yeux, la sentant bouger, il reprend son manège afin de l’observer. Sur le coup, il n’a pas compris, tout est devenu clair sur ses intentions lorsqu’elle s’est accroupie. Il observe sa bite s’insérer dans cette petite chatte aux poils blonds très courts. Il scrute chacune de ses expressions faciales, ici une crispation du front, un sourcil qui se soulève, morsure de la lèvre inférieure, les lèvres qui s’arrondissent avec une grande inspiration.
L’intromission de l’engin arrive à sa conclusion, plus que trois ou quatre centimètres, les parois vaginales sont étirées à leur maximum. Elle sait que son équilibre est précaire, elle doit déplacer ses pieds afin de pouvoir descendre encore. Lui ressent toute la pression des nymphes qui semblent vouloir l’écraser. Soudain elle perd l’équilibre, par réflexe il lève les bras pour la saisir, ce geste fait retrousser les jambes de la belle qui retombent sur le thorax de l’amant tandis que les deux pubis s’entrechoquent. Elle pousse un cri qui devient hachuré lorsqu’il se met à donner des coups de bassin, tentant ainsi de libérer la pression sur sa bite. Finalement il l’attrape à l’épaule la tirant vers lui et d’un puissant coup de bassin il la fait tomber sur le côté, il ne la lâche pas et poursuit le mouvement. Elle se retrouve sous lui les jambes relevées et les talons sur les épaules de Marc. D’instinct, elle a placé ses mains sur les seins du colosse au-dessus d’elle afin de se protéger.
Il a commencé de longs et lents coups de reins. À chaque charge, il étire au maximum les parois de la chatte de son amante. Bloquée, elle ne peut que bouger les bras et les mains. Afin de donner le change, elle se met à lui pétrir les mamelons. Lui met plus d’ardeur à la tâche, provoquant une série d’onomatopées gazouillées par la jeune fille. Écoutant son ego mâle, il veut la capitulation par l’orgasme féminin. Il mène l’offensive finale avec une telle fougue qu’elle s’écrie :
Puis plus rien, ramollie, elle gît sous lui les yeux clos. Inquiet, immobile, il l’observe un instant. Il veut se retirer, la libérer du poids qu’elle supporte. Dès qu’il amorce un recul, elle plante ses griffes dans les seins de Marc et le menace verbalement.
Déterminé à la soulager, il dégage chacune de ses jambes puis il roule sur le côté l’entraînant avec lui. Maintenant il est dessous tout en étant toujours à l’intérieur d’elle. Après un moment de récupération, elle s’installe à califourchon sur lui. Ondulant du bassin, elle caresse les pectoraux de son galant homme qui a fermé les yeux afin de mieux apprécier la caresse. La voilà qui se met à lui suçoter les mamelons qui sont érigés depuis longtemps, détail peu noté chez le mâle. Il a placé ses mains sur l’arrière des cuisses et pousse doucement sur le fessier, la forçant à remonter vers le haut. Du fait de sa petitesse, avant d’atteindre le cou qu’elle bécote, le membre viril s’est retrouvé à l’air libre. Elle prend ses lèvres pour lui donner un long baiser. Tandis qu’ils échangent salive et langue de bouche, il se laisse conquérir. C’est elle qui mène la bataille buccale, lui grogne son consentement. L’embrassade s’éternise jusqu’à ce que la crispation des mâchoires de chacun les oblige à cesser la joute.
Il assaille le cou de la belle à coups de lèvres, de dents et de langue. Imperceptiblement, il la fait ramper sur lui. Il continue son manège jusqu’à ce que les tétins de la jeune fille soient juste devant sa bouche. Il suce, tète inlassablement. À quatre pattes au-dessus de lui, elle déplace son torse afin de lui présenter alternativement le droit et le gauche. Il l’incite toujours à poursuivre son avancée, sa langue mouille le nombril, le ventre plat et les premiers poils pubiens. Une dernière manœuvre, elle a les deux mains en appui sur le mur et est assise sur la bouche du mec qui exécute un léchage sans vergogne et provoque chez la blondinette des interjections sonores. Emportée par le débordement de son excitation, elle danse sur la figure de Marc. Son bassin s’agite dans tous les sens. Le summum atteint, elle bascule à la renverse cherchant à reprendre son souffle. Juste au-dessus de la toison d’or, il regarde la poitrine battre la mesure de sa respiration. Attiré par ce coquillage entrouvert, il tend la main, il est arrêté net lorsqu’elle déclare :
Aussitôt elle se relève d’un bond et court vers la salle de bain. Il n’a pu que constater son agilité de gazelle, lui aussi ressent le même besoin qui normalement est comblé au réveil, il la rejoint. Il entre et s’assoit sur le rebord du bain attendant qu’elle termine sa besogne. Non habituée à une situation semblable, elle rouspète contre sa présence. Sans un mot, il se lève et vient s’asseoir sur ses cuisses face à elle, lui plantant son pénis toujours en érection dans le nombril. Déconcertée, elle n’ose pas bouger.
Saisissant le manche, elle le dirige vers le fond de la cuvette et le maintien ainsi. Tandis qu’il se vide, elle s’exclame.
Jamais elle n’aurait cru possible qu’elle fasse une chose semblable, avec lui tout est facile, si naturel. Elle ne doutera plus de son amie Marion, son amante, qui lui raconte parfois ses ébats avec Marc. Entre ses doigts, le membre viril s’amollit lentement au fur et à mesure de l’écoulement. Fascinée, elle contemple la métamorphose. Sans gêne, au point où elle en est, sur sa main elle enroule quelques tours de papier, imbibe la goutte finale et s’essuie l’entrecuisse. Il déclenche la chasse d’eau, se relève, la prend dans ses bras. À son contact, la tumescence du mâle renaît et n’échappe pas à l’attention de la belle.
Il vient de lui couper la parole d’un baiser qui prend fin lorsqu’il la dépose debout sur une chaise de la cuisine. Elle saute au sol et dit :
Avec le sourire aux lèvres, elle fouille afin de trouver ce qu’il lui faut. Tout en préparant la nourriture, elle dresse la table se permettant au passage de le toucher un peu partout, mais lui interdisant de faire de même. Durant le repas, elle ne cesse ses attouchements et lui tape les doigts dès qu’il tente un geste vers elle. À la fin du repas, elle lui saisit la bite toujours bien droite et rigide et le tire vers la chambre à coucher. Ce petit bout de femme qui mène le colosse par la queue a quelque chose d’invraisemblable.
Elle lui indique de s’étendre sur le lit, lui fait placer les mains derrière la tête et lui interdit de changer de position. Comme au réveil, elle s’installe à genoux à côté de lui et commence à le caresser. Elle veut vérifier les dires de Marion, savoir s’il va réagir de la même façon avec elle. Elle s’étend sur lui et l’embrasse à la base du cou, mordille le bord de la mâchoire inférieure, arrive près de son oreille et plante la pointe de sa langue à l’intérieur. Aussitôt il gémit, son corps se tord, mais sa tête ne bouge pas d’un poil. Elle expire doucement juste à côté du pavillon, cette fois ses membres battent l’air, le crâne se renverse. Elle joue entre mouiller et souffler dans le conduit auditif, lui n’est plus tenable, il bouge et gesticule tellement qu’elle risque de recevoir un coup involontaire. Sans hésiter, elle mord son trapèze, instantanément il tombe inerte, la respiration coupée. Dès qu’elle lâche le muscle, il inspire profondément et lance.
Une nouvelle morsure et il est incapable de bouger, cette fois elle note qu’il a allongé le cou et tourné légèrement la tête, ainsi il se rend encore plus vulnérable. Elle passe délicatement sa langue sur cette longueur mise à découvert pour elle. Lui, bouche ouverte, laisse échapper un grondement qui semble infini. Aussi longtemps la caresse dure, aussi longtemps il gronde. Tout ce que sa copine lui a raconté sur Marc est vrai, par contre elle se demande comment se sortir de ce guêpier, il a deviné immédiatement. Elle lève la tête et guette sa réaction. Yeux fermés, respiration lente, il ne bouge pas. Elle tente un autre petit coup de langue, il sursaute et atterrit les bras en pleine extension à la hauteur des épaules et les deux jambes largement écartées. Il murmure :
Elle décide qu’il vaut mieux passer à autre chose. D’un seul élan elle tourne de cent quatre-vingts degrés sur son thorax, elle se dit que parfois ne pas avoir de seins est commode. Elle profite du fait qu’il a l’attitude du vaincu pour prendre son temps. À plusieurs reprises elle a remarqué qu’il y a toujours un filet de liquide qui s’échappe de son pénis. Un petit coup de langue, elle goûte, apprécie puis avale une bonne partie de la queue. Elle est un peu trop épaisse, elle a de la difficulté à la conserver en bouche longtemps. Elle se met à jouer avec cette colonne de chair en utilisant uniquement sa bouche, les deux mains bien en appui sur les cuisses du mâle. Elle réussit à le masturber en plaçant sa bouche de côté. C’est au tour de l’homme de laisser échapper une série d’onomatopées en plus de bouger de plus en plus le bassin.
Elle découvre un endroit ultrasensible, à chaque fois qu’elle passe la langue de la base jusqu’au frein du pénis, il réagit fortement, elle s’amuse à le sentir se contracter sous elle. Il lui crie qu’il a le cerveau descendu dans le gland, qu’il n’en peut plus. Elle ignore l’avertissement, trop occupée à jouir de son pouvoir sur lui. Une minute ou deux plus tard, elle est saisie par les chevilles, avant de comprendre ce qui lui arrive, elle se retrouve suspendue tête en bas, dos au mur. Elle a les yeux à la hauteur du nombril de Marc qui l’injure :
Apeurée, elle se rend compte qu’elle est en mauvaise posture, il semble avoir perdu son sang-froid. Elle tente de désamorcer la situation en le masturbant à deux mains. Il semble insensible au branlage qu’il subit. Il est concentré sur un léchage, voir lavage complet de la chatte blondinette. Il y va du bouton jusqu’à la petite rondelle, parfois il mâchouille le coquillage complet en l’aspirant dans sa bouche. Rien ne semble pouvoir l’arrêter dans sa besogne. Le colosse peut la tenir très longtemps dans cette position avant de faiblir. Mimi n’est plus capable de faire quoi que ce soit, même si elle crie, il ne l’entend pas, cela dure depuis quelques minutes. Elle jouit, mais il ne s’arrête pas, après trois ou quatre orgasmes, elle croit que sa tête va exploser par le trop-plein d’excitation. Une idée surgie dans son cerveau. À deux mains elle empoigne les couilles du salopard, elle n’arrive pas à les serrer avec force, car ces boules lui échappent continuellement. Finalement, elle en tient une dans chaque main, elle les comprime avec toute la force dont elle est capable.
Il commence à céder, sur un son de souffrance, il descend lentement la jeune fille. Lorsqu’elle arrive en face de cette foutue queue qui refuse de mourir, elle décide qu’elle va cracher tout ce qu’elle a. Logiquement elle devrait se défaire de l’étreinte de Marc, mais comme lui, elle semble ne plus fonctionner de façon logique. Tenant à deux mains cette bite, bouche en rond, elle se met à l’entrer et sortir de plus en plus rapidement. Il n’est pas long à annoncer l’éjaculation. Elle redouble d’ardeur et enfin il gicle. Elle ne cesse sa caresse buccale que lorsqu’il n’y a plus rien qui en sort.
Il la retourne, toute la semence qu’elle avait au palais, par la force de gravité, cherche maintenant à s’écouler dans sa gorge, elle avale avec un sourire de satisfaction, car elle a dompté la bête. Marc la regarde éberlué, l’installe devant le miroir, elle se voit, elle a du foutre partout sur la figure, qui d’ailleurs se met à couler vers le bas. Il se penche sur elle et l’embrasse longuement.
Installés dans la baignoire à relaxer, chacun est perdu dans ses pensées. Lui réfléchit au fait que Marion ait raconté ses expériences avec lui. Une chose est certaine, Mimi couche avec Marion, car c’est le seul temps où elle a la langue bien pendue. Il sait qu’il a malmené la blonde qu’il tient dans ses bras, il a perdu son self-control. Elle s’inquiète au sujet de son amie Marion, va-t-il lui faire des reproches qui risquent de briser les liens qui les unissent. Elle se croit fautive d’avoir provoqué la perte de contrôle de Marc. Sans le savoir, ils pensent exactement la même chose ; la baise entre eux ne sera jamais ennuyeuse et il faut qu’ils récidivent. D’ailleurs, le bain n’est qu’un moment de repos, car chacun sait qu’il ne s’agit que du premier round de la journée.
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* Voir : « Géniteur ! ».
** Voir : « Une nuit calme ».
*** Voir : « Journée spéciale ».