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Temps de lecture estimé : 16 mn
03/12/18
corrigé 06/06/21
Résumé:  Christian accompagne Patricia à la fête d'anniversaire de Vicky. les filles se déguisent en écolières et le jeune homme devient le professeur qui doit faire preuve de sévérité.
Critères:  fffh profélève fête jeu champagne humour
Auteur : LastCars

Série : B&B

Chapitre 04 / 06
La leçon de français

Résumé des épisodes précédents : « B&B, les premiers jours », « Chester ? Huuum ! » et « Par le trou de la serrure »


Christian, en vacances au Pays de Galles, prend pension à la campagne dans un « Bed and Breakfeast. Il visite les principaux lieux touristiques en se remémorant différents épisodes de sa courte vie amoureuse. Son attention est attirée par Patricia, la blonde petite-fille de sa vieille logeuse et ce d’autant plus qu’un trou de serrure lui a permis de la surprendre à sa toilette, et même bien plus ! Il doit maintenant l’accompagner à la fête d’anniversaire d’une de ses amies.




— x X x —




La leçon de français



Le samedi matin, la jeune fille occupa peu de temps la salle de bain avant de descendre rejoindre sa grand-mère.

Dans son lit, attendant son tour pour passer dans la pièce d’à côté, Christian se posait d’ultimes questions quant à ce qui allait se passer à la petite fête prévue l’après-midi.

Son imagination s’emballait un peu en repensant à ces spectacles pas du tout improvisés que Patricia lui avait offerts ces derniers soirs.

N’était-ce pas à lui maintenant de faire le pas suivant ? Comment saisir la première occasion qui se présenterait sûrement au cours de la soirée ? Ou sur le chemin de retour ?


Il se leva, quitta son pyjama et entra, nu, dans la salle de bain. Après avoir utilisé les w.c., sa main glissa sous son sexe et ses bourses. Des poils courts et durs rendaient le contact assez désagréable. Le dernier rasage datait un peu maintenant. Et une fois de plus l’image d’Armande revint hanter le jeune homme.


C’était au tout début de leur relation. Un soir tard, au début de leur liaison, elle l’avait entraîné dans les toilettes de l’entreprise déserte à cette heure, après l’avoir rejoint dans son bureau. À la grande surprise du jeune homme, pour ne pas dire, à son immense confusion, elle lui avait enjoint de se déshabiller avant de sortir de son sac une paire de ciseaux, une bombe à raser et un rasoir jetable.


En découvrant le regard de Christian proche de la panique, elle avait éclaté de rire avant d’expliquer qu’il s’agissait d’un acte somme toute d’hygiène ordinaire. Et qu’il était normal qu’un homme s’y soumette aussi bien que la plupart des femmes qui engraissent les salons d’esthétique. Elle ajouta pour conclure :



Parlait-elle de l’action elle-même ou du résultat ? En tout cas, Christian, lui, gardait de ce moment un souvenir émerveillé. Son amante avait là aussi fait preuve d’un savoir-faire exceptionnel, passé le premier stade du débroussaillage aux ciseaux.

En étalant sensuellement une belle quantité de mousse à raser sur le bas-ventre du jeune homme, elle était déjà arrivée à faire disparaître son appréhension. Le signe le plus évident du changement qui s’était opéré était une superbe érection qu’elle entretenait maintenant en caressant la hampe bien raide et droite tout en finissant de répartir le nuage blanc sorti de la bombe. Elle en profita même pour déposer un petit baiser sur le sommet du gland qui venait de faire son apparition. Après avoir présenté la tête du rasoir sous l’eau brûlante, Armande commença à opérer sur le ventre, juste au-dessus du sexe qu’elle écartait de son autre main, recommençant ensuite l’opération après avoir d’un doigt léger vérifié qu’il ne restait aucun poil après le dernier passage.


Profitant de la belle roideur du membre, elle s’attaqua à la base même et aux contours, avec une extrême attention, prenant soin de choisir le sens du passage du rasoir en fonction de l’implantation des follicules. Du travail de précision ! Enfin, elle remit une couche de mousse sur les bourses et les débarrassa de toute pilosité en procédant avec toute la prudence requise.


Après nettoyage général à l’eau tiède pour débarrasser la peau de toute trace blanche, elle invita Christian à se mettre debout face à la glace pour admirer le travail.

Effectivement, le tableau qu’il découvrit était inédit et pour tout dire assez plaisant.

Il ne résista pas à l’envie de passer sa main sur ce sexe imberbe et sous les bourses, et ressentit alors une sensation très agréable.


Mais Armande ne lui laissa guère le temps de se contempler dans la glace. Elle le fit se retourner et, s’accroupissant devant lui, elle se jeta sur cette friandise qu’elle venait d’apprêter. Elle fit preuve d’un vigoureux appétit, réussissant à obtenir deux fois du jeune homme le don d’une bonne ration de sa semence !


Christian restait là, songeur. D’Armande la gourmande à Patricia la Lolita, la distance était considérable ! Il avait un peu peur de ce qui allait se produire ce soir. Il était certain qu’elle n’était plus vierge, l’épisode de la brosse à cheveux en était la preuve, mais elle semblait si jeune, même si d’après ses calculs, elle aurait bientôt vingt ans.

Et ne s’emballait-il pas en prenant ses rêves pour la réalité alors qu’il n’était peut-être qu’en présence d’une petite allumeuse ?


Il commença par se raser la barbe, puis après une dernière hésitation, il reprit sa bombe et étala une importante couche de mousse sur son bas-ventre et sur la base de son membre qui avait repris une belle roideur au souvenir du traitement subi avec Armande. L’entreprise de rasage prit quelques longues minutes, le jeune homme reprenant la tâche à chaque fois qu’il détectait quelques poils follets ayant échappés à un premier passage du rasoir. Il constatait à nouveau que cette opération lui procurait un plaisir étrange et en conclut qu’il devrait peut-être y procéder plus souvent.


Tout à son action, il n’avait pas prêté attention aux bruits de la maison et fut très surpris lorsqu’il entendit la grand-mère appeler sa petite fille dans l’escalier.

Ainsi, Patricia se trouvait-elle depuis un certain temps dans sa chambre… Et donc, par le trou de la serrure, elle avait dû profiter du spectacle qu’offrait Christian de profil dans son champ direct de vision… Il se tourna face à la porte et crut entendre un rire étouffé avant que la jeune fille ne sorte sur le palier et ne dévale les marches pour rejoindre sa grand-mère.


Pour le jeune homme, le temps se traîna lamentablement toute la matinée. Il était parti faire quelques courses et notamment acheter deux bouteilles de champagne et des fleurs pour ne pas arriver les mains vides chez Vicky.

Il alla ensuite dans une librairie pour se procurer quelques livres « en langue originale », essentiellement pour son amie Juliette.

Mais rapidement il se retrouva à tourner en rond dans le centre de cette petite ville qui ne présentait guère d’intérêt en attendant l’heure du lunch.


À 16 h, il était de retour. Patricia était prête et l’attendait. Elle avait prévenu sa grand-mère qu’ils ne rentreraient probablement que le lendemain dans l’après-midi, car il fallait éviter à un retour de nuit en voiture, d’autant qu’on ne pouvait pas demander à Christian de rester sobre en une telle occasion. Elle s’était munie d’un vaste sac de voyage et elle précisa que Vicky pouvait les héberger pour la nuit dans la vaste maison de ses parents.


Le jeune homme avait fébrilement amassé dans son sac à dos quelques affaires sans trop réfléchir. Il se rendit compte d’ailleurs, une fois parti, qu’il n’avait pas pris de pyjama… Mais qu’il avait emporté son eau de toilette : le syndrome de Maryline ?


Il portait les vêtements qu’il avait achetés à Chester et il avait eu du mal à ne pas afficher son désappointement en voyant apparaître Patricia en jean et sweater au moment du départ. Était-ce ainsi que les jeunes filles se rendaient à une soirée d’anniversaire dans cette contrée ?


Pendant le voyage ils parlèrent peu. Christian surtout était gêné et ne savait trop quoi dire hésitant à aborder des sujets susceptibles de l’exposer à des dérapages verbaux.

Patricia expliqua seulement que les parents de Vicky seraient absents de la maison ainsi probablement que Samantha, la demi-sœur plus âgée qui devrait logiquement être partie pour le week-end avec son copain, au bord de la mer. Elle lui apprit aussi que Vicky et Glenda avaient invité quelques garçons de leur bande ainsi qu’une autre fille et qu’ils devraient être six à huit personnes en tout.


Vicky habitait dans une très grande maison isolée entourée d’un magnifique jardin.

Elle vint au-devant de Patricia et de Christian, la mine renfrognée. Pas plus que Patricia, elle ne semblait avoir fait d’efforts vestimentaires et portait un jean et un simple T-shirt.



Après d’horribles jurons (que l’auteur de ce texte ne traduira par égard pour les chastes oreilles des personnes qui constituent certainement l’essentiel des lectrices et lecteurs de ce petit récit) la jeune fille expliqua que les autres invités (des garçons et la sœur de l’un d’eux) venaient de lui téléphoner pour lui annoncer qu’ils ne viendraient pas, car un match important avait lieu ce soir-là. Ces messieurs s’étaient défilés au dernier moment au profit d’une soirée « entre hommes » dans un pub où le match était retransmis sur grand écran, Soirée qui promettait d’être bien arrosée de surcroît…

Christian, à ce moment, sortit du coffre les deux bouteilles de champagne qu’il avait achetées le matin même, ce qui ramena instantanément le sourire sur les lèvres de Vicky qui déclara aussitôt :



En fait, ils n’étaient que quatre puisque seule Glenda les attendait dans la maison.

Il sembla alors à Christian que Patricia, elle, ne semblait pas tout à fait goûter l’étrangeté de la situation. Il pensa que lui aussi aurait sans doute préféré rester son cavalier alors que les autres filles se seraient partagé les autres garçons, mais visiblement le sort en avait décidé autrement.

Il offrit le bouquet de fleurs à Vicky en lui souhaitant un bon anniversaire et elle le remercia aussitôt par une bise très appuyée.

Quand ils entrèrent dans la maison, Patricia lui glissa à l’oreille :



Elle partit immédiatement à l’étage, son sac de voyage à la main pendant que Vicky faisait à Christian les honneurs du rez-de-chaussée, rejoignant Glenda qui les attendait dans une immense véranda encore éclairée par les derniers rayons de soleil de la journée. Le champagne mis au frais, les trois jeunes gens prirent place dans de profonds et confortables fauteuils face au magnifique jardin qui s’étendait derrière la maison jusqu’à une rivière masquée par une haie vive.


Les feuillages de ce début d’automne étaient magnifiques, jouant sur toute la gamme de couleurs allant du vert tendre au rouge sombre et au brun. On entendit maintenant les pas de Patricia descendant l’escalier. Christian se retourna juste à temps pour voir la jeune fille arriver dans la pièce, les joues toutes roses et toujours ce sourire mutin sur le visage.


Elle avait revêtu l’uniforme mythique des écolières britanniques avec bien entendu la petite jupette qui semblait danser bien au-dessus de ses genoux le strict corsage blanc fermé au col par une cravate et les socquettes blanches. De plus elle avait fait deux petites couettes avec ses beaux cheveux blonds.



Les trois jeunes gens applaudirent en riant tant l’effet était saisissant. Vicky, après avoir réfléchi un court instant, se tourna vers Glenda :



Elles partirent en riant encore de l’idée de Patricia. En attendant le retour de ses amies, Patricia s’était assise, genoux bien serrés dans un fauteuil profond qui faisait presque face à celui dans lequel avait pris place Christian… Il la dévorait des yeux. Et elle semblait beaucoup s’amuser de la situation.



C’était Vicky qui l’appelait. Dans le mouvement qu’elle fit en se levant du fauteuil, Christian crut entrevoir pendant une milliseconde la petite tache blanche d’une culotte de coton. Décidément, Patricia n’avait omis aucun détail ! Maintenant, les trois filles étaient à l’étage et riaient très fort. Christian se demandait ce qu’elles avaient encore pu inventer.


Quand elles descendirent, il ne put cacher sa surprise. Vicky portait une micro jupe écossaise du genre mini kilt qui mettait en valeur de longues jambes qui avaient gardé depuis l’été leur belle teinte de pain grillé. Son corsage était négligemment noué sous sa poitrine laissant à nu une vaste portion de peau aussi hâlée que celle des jambes…

Décidément, pensa Christian, en voilà une qui n’a pas froid aux yeux… Ni ailleurs probablement compte tenu de la température d’aujourd’hui !


Glenda, elle, avait passé une jupette assez semblable à celle de Patricia, mais d’une taille nettement insuffisante si l’on en jugeait par le fait que la fermeture Éclair n’avait pu être remontée complètement. De la même manière, son opulente poitrine était difficilement contenue dans un corsage qu’elle n’avait pu boutonner complètement laissant apparaître dans un décolleté improvisé deux jolis arrondis de chair blanche séparés par une énigmatique vallée.


Contraste amusant que celui présenté par ces trois jeunes filles debout au milieu du salon d’été, quêtant le regard du jeune homme. Il les complimenta et, en souriant, les remercia longuement d’avoir ainsi satisfait à un de ses fantasmes les plus secrets.

La volcanique Vicky réfléchissait en le regardant. Tout à coup elle s’écria :



Et aussitôt elle entraîna à nouveau ses deux amies à l’étage. Christian entendit de grands rires et des portes de placards qui claquaient. Enfin, elles redescendirent l’escalier, toujours riant aux éclats, et revinrent vers lui, Vic tenait un grand sac de vêtements à la main. Elle en extirpa une espèce de longue robe noire et un couvre-chef que Christian reconnut instantanément.

Mon Dieu ! pensa-t-il, la tenue traditionnelle des enseignants que portaient encore les professeurs au début du XXe siècle dans certaines écoles.

Nous allons rejouer « Good-by Mister Chips » ?



Elles firent se lever le jeune homme qui passa l’espèce de toge, puis elles ajustèrent la coiffe noire sur sa tête. On l’amena devant une glace. L’effet était saisissant ! Mais Vicky semblait encore réfléchir : il manquait encore quelque chose… Grand sourire ! Elle avait trouvé.

Elle fila dans le jardin, entra dans la cabane du jardinier et en ressortit avec à la main une longue et fine tige de bambou ordinairement utilisée comme tuteur pour les massifs floraux. Les autres filles applaudirent à cette initiative.


C’est encore Vicky, décidément débordante d’imagination qui proposa de jouer à l’école en disposant des chaises et le tableau de papier de son père qu’elle alla chercher au sous-sol. Elle avait certainement une idée derrière la tête et Christian n’était qu’à moitié rassuré devant cet ouragan en minijupe !


Maintenant, la badine à la main, il se tenait devant nos trois jouvencelles qui s’étaient assises les genoux bien serrés, sur des chaises.

Vicky, reprit la parole :



Patricia, visiblement aux anges, lui adressait son plus beau sourire. Il n’avait plus qu’à s’exécuter ! Il réfléchit quelques secondes puis écrivit rapidement quelques mots au tableau.


Lesson 1

– Bonjour Mademoiselle.

– Bonjour.

– Vous êtes très jolie. Êtes-vous en vacances ici ?

– Oui, je suis arrivée hier.

– C’est pour cela que je ne vous avais pas encore vue sur la plage sinon je vous aurais certainement remarquée.

– Et d’où venez-vous avec un si charmant accent ?

– Je viens du Pays de Galles.



Avec la baguette, Christian montrait au tableau les phrases, puis quand elles eurent été suffisamment vues, il retourna le tableau et demanda à chaque fille de lui répéter chacune des petites phrases. Toutes y arrivèrent sans trop de peine.

Vicky demanda cérémonieusement à Christian l’autorisation de sortir et revint aussitôt avec… la première bouteille de champagne et quatre flûtes. Le jeune homme déboucha la bouteille et versa le précieux liquide dans les flûtes. On porta un toast un peu solennel à l’amitié franco-britannique puis chacun retrouva sa place.


Christian, prenant décidément son rôle très au sérieux, écrivit une nouvelle série de phrases plus complexes dans lesquelles il était question notamment de repas au restaurant, de sorties en boîte de nuit et de trajet de retour en voiture. Très appliquées, les filles répétaient les phrases après lui, mais, lorsqu’il fallut les retrouver après qu’il eut retourné le tableau, Glenda hésita, cafouilla puis avoua ne pas avoir retenu la phrase en question.


La jeune fille se leva de sa chaise pour aussitôt s’y coucher en travers, relevant sa jupette et montrant à l’assemblée son large postérieur difficilement contenu dans une culotte de coton blanc probablement « empruntée » à une adulte de la maison.

Christian, un peu pris au dépourvu regardait tour à tour Patricia et Vicky.

C’est bien entendu encore cette dernière qui lui expliqua qu’il devait faire preuve d’autorité avec cette mauvaise élève et que la baguette était là pour ça. Il s’approcha donc de Glenda et donna deux coups de baguette, pas trop fort sur l’opulent fessier.

Glenda se remit en place en jouant la comédie de la honte.


Petite pause pour finir la bouteille de champagne avant de passer à la troisième leçon.

Christian croisa le regard de Patricia qui lui sembla un peu trouble.

Vicky quant à elle affichait maintenant une forme olympique et retourna s’asseoir en croisant les jambes de manière particulièrement provocante en face du Professeur.

Il constata de visu qu’elle aussi avait opté pour une sage petite culotte de coton blanche.

Bizarrement, à ce moment, Christian se demanda alors ce qui se passerait s’il était amené à devoir lui infliger quelques coups de baguette sur son joli petit postérieur compte tenu de l’étroitesse de la mini-jupe. Pour chasser cette pensée, il entama la troisième leçon. Il en écrivit d’abord le titre sur le tableau : le baiser.

Il entendit un bruit derrière lui. Se retournant vers les trois filles, il vit que Patricia avait levé le doigt, suivie immédiatement par Vicky.



D’une toute petite voix, la jeune fille lui demanda s’il n’était pas possible d’envisager des travaux pratiques à ce stade du cours, suscitant un gloussement sonore de Glenda qui se trémoussait sur sa chaise. Christian foudroya d’un regard sévère cette dernière qui baissa la tête aussitôt. Il se tourna vers Patricia :



Il donna ensuite la parole à Vicky d’un signe de tête.



Le jeune homme était pris complètement au dépourvu, n’ayant pas voulu penser à ce qui pouvait se passer dans de si jolies têtes. Il hésita quelques secondes et réussit à trouver une réponse… convenable.



Puis après une courte hésitation, il ajouta :



La jeune fille se leva, se retourna, présentant son dos au jeune homme, descendit une fermeture éclair sur le côté de la mini-jupe puis, l’attrapant à deux mains, la baissa vivement entraînant dans le même mouvement sa petite culotte et présentant à Christian, ébahi, deux fesses magnifiques aussi bronzées que ses jambes. Sans attendre, elle se coucha sur la chaise. Dans un silence impressionnant, le jeune homme laissa une première fois tomber la baguette. Et, stupéfait, il entendit alors la voix de Vicky qui lui soufflait :



Terriblement excité par la situation, il ne se le fit pas dire deux fois : les deux derniers coups laissèrent des marques rouges sur leur ravissante cible. Vicky se remit debout comme si de rien n’était et sans un mot, remonta prestement jupe et culotte avant de se rasseoir. Les yeux de Patricia lançaient des éclairs. Christian essaya de se concentrer sur la suite de la leçon.

Il s’apprêtait à écrire à nouveau au tableau quand il reçut sur la nuque une boulette de papier. Se retournant prestement, il surprit Patricia, le bras encore déplié vers l’avant.



Elle baissa les yeux en opinant de la tête.



Elle leva vers Christian un visage implorant et dit d’une toute petite voix :



À ces mots, elle se leva et vint vers le jeune homme qui, sans réfléchir (mais était-il encore en état de le faire ?), s’assit sur la première chaise venue.

Patricia, debout devant lui les yeux dans les yeux, leva sa jupette et attrapant la petite culotte en coton elle la fit descendre, puis, carrément la retira avant de se coucher sur les genoux du maître.


Christian avait déjà sérieusement commencé depuis un moment à ressentir physiologiquement les effets résultant du spectacle que lui donnaient les trois jeunes filles, mais jusqu’à présent, la longue toge noire lui avait permis de n’en rien laisser paraître.


Maintenant, le problème était bien différent et ce n’était pas la vue du ravissant fessier que Patricia, relevant bien haut sa jupette, venait de lui mettre sous le nez qui arrangeait les choses.


La jeune fille ne pouvait pas ignorer les heureuses dispositions du jeune homme

Il leva la main et l’abaissa sur l’adorable paire de fesses qui l’avait tant fait fantasmer ces derniers jours.


Il ne la releva pas immédiatement. La peau en cet endroit précis était d’une si grande douceur qu’il ne put se retenir de dispenser une caresse discrète. Glenda et Vicky regardaient attentivement la scène et Christian se crut donc obligé de donner plusieurs coups, bien à contrecœur. Le dernier ressembla bien plus à une caresse qu’à une claque.

Au moment où, avec une lenteur calculée, Patricia commençait à se soulever pour quitter les genoux du garçon, Glenda s’écria soudain :



Vicky approuva aussitôt et partit chercher son téléphone portable pendant que Patricia se recouchait sur les genoux de Christian après avoir remonté à nouveau bien haut sa jupette… Est-il utile de préciser qu’en attendant le retour de Vicky, la main du garçon reprit possession des trésors qu’on lui présentait… et que la jeune fille n’émit aucune protestation.



À son retour après une absence pourtant brève, Vicky découvrait une scène étonnante, même si, ce qui avait précédé pouvait laisser deviner les développements probables.

D’abord Patricia : elle était toujours couchée sur les genoux de Christian, mais absolument plus rien dans son attitude ne pouvait laisser penser qu’elle subissait un traitement douloureux : les yeux fermés, elle émettait des petits cris de fond de gorge tandis que Christian caressait maintenant d’une main qui se voulait légère son joli postérieur, l’autre main partant à la recherche de nouveaux terrains de jeux entre les cuisses maintenant écartées de la jeune fille.


Glenda n’avait pu résister elle à la vue de ce spectacle : sa main droite s’agitait sous sa jupette pendant que la gauche triturait le bout de ses seins au travers de son corsage qui menaçait maintenant sérieusement d’exploser à en juger par la tension visible à l’endroit des boutons. Vicky, femme de décision, mit en batterie immédiatement l’appareil photo et le flash crépita, ce qui eut pour effet de faire immédiatement réagir Patricia :



Christian amorçait lui aussi un atterrissage en procédure d’urgence, retirant la main la plus aventureuse aussi vivement que si elle avait rencontré un fer rouge.

Glenda, la figure écarlate laissait éclater sa colère contre sa copine.



La photographe était visiblement contente de son coup.



En bon stratège, elle étudia rapidement le champ de bataille, puis les ordres fusèrent :



Maintenant, écarte un peu les jambes. Glenda, last but not least, tu te mets à quatre pattes et tu vas cacher ta tête sous la toge. Je n’ai pas besoin de t’expliquer, j’espère.


Le jeune homme vit s’avancer vers son entrejambe une Glenda qui passait sa langue sur ses lèvres et il commença à se demander avec une certaine angoisse quelles seraient les limites du jeu. Mais il ne pouvait plus bouger avec Patricia sur ses genoux. La tête de Glenda était hors de sa vue et il ne pouvait qu’apercevoir la jupette remontée sur le dos et la culotte recouvrant avec difficulté les fesses de la callipyge rouquine.

Il sursauta : une main était en train de caresser la bosse trop évidente de son pantalon !

Vicky avait cherché le meilleur angle et prenait plusieurs photos.


Vicky appela les filles pour choisir la photo à envoyer et Christian put enfin souffler un peu. Il était temps de manger.