n° 18724 | Fiche technique | 44160 caractères | 44160Temps de lecture estimé : 24 mn | 14/12/18 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Christian, en vacances au Pays de Galles, est amené par Patricia, la fille de sa logeuse à la fête d'anniversaire de Vic. Il se retrouve seul en face de trois demoiselles bien délurées. | ||||
Critères: fffh jeunes anniversai miroir rasage cunnilingu champagne aliments humour -aliments | ||||
Auteur : LastCars |
Épisode précédent | Série : B&B Chapitre 05 / 06 | Fin provisoire |
Résumé des épisodes précédents :
Christian, en vacances au Pays de Galles, prend pension à la campagne dans un « Bed and Breakfeast. Il visite les principaux lieux touristiques en se remémorant différents épisodes de sa courte vie amoureuse. Son attention est attirée par Patricia, la blonde petite-fille de sa vieille logeuse et ce d’autant plus qu’un trou de serrure lui a permis de la surprendre à sa toilette, et même bien plus ! Il doit maintenant l’accompagner à la fête d’anniversaire d’une amie, Vicky. Au cours de la fête, les filles se déguisent en écolières et le jeune homme devient le professeur qui doit faire preuve de sévérité
— x X x —
Vicky partit dans la cuisine avec les deux autres filles et Christian, après avoir retiré la toge et le chapeau, alla s’effondrer dans un fauteuil pour se remettre de ses émotions.
Son pantalon neuf le serrait de la manière la plus désagréable possible et il dut faire de gros efforts pour arriver à diminuer un peu la formidable érection résultant du traitement subi précédemment.
Il pensait avec nostalgie aux vastes slips kangourou d’autrefois et aux pantalons suffisamment évasés pour éviter d’afficher ainsi, au vu et au su des autres convives, l’état d’échauffement de sa libido.
Il entendait les filles rire de plus en plus fort au fur et à mesure que Vicky leur parlait, mais il n’arrivait pas à saisir le sens des paroles.
Enfin il entendit des pas s’approcher.
Les trois filles entrèrent à la suite l’une de l’autre, portant des plateaux de nourriture. Vicky avait à la main la seconde bouteille de champagne. Les sourires affichés sur les lèvres des trois donzelles et leurs yeux qui brillaient d’un éclat un peu trop vif mirent Christian en état d’alerte. Il avait l’impression d’avoir le profil idéal de la victime sacrificielle d’une fête païenne dont Vicky serait la grande prêtresse… Et maintenant, il était sûr que Patricia, un peu pompette ne l’aiderait pas beaucoup.
Les plateaux étant déposés sur une desserte, les trois filles se mirent en ligne devant le jeune homme. Vicky prit la parole :
Glenda pouffa bruyamment pendant que Patricia arborait un sourire de diablesse qui rappela instantanément bien des souvenirs à Christian. Il pensa que ses pires craintes risquaient de se situer encore en dessous du niveau de ce qui se préparait.
Patricia prit le premier plateau et alla le poser sur une petite table située à côté d’un fauteuil faisant face au jeune homme. En plongeant son regard dans le sien, elle retira lentement sa cravate, puis déboutonna lentement son corsage avant de le jeter derrière elle. Elle ne portait pas de soutien-gorge et se retrouva donc nue jusqu’à la taille. Elle s’assit dans le fauteuil, prit sur le plateau un petit bol de mayonnaise et, avec une cuillère, en disposa un peu sur la pointe de chacun de ses seins. Ensuite, elle disposa quelques queues de crevettes sur son ventre ainsi que des petits morceaux de pain. Elle jeta un coup d’œil à Vicky pour guetter son approbation.
Puis revenant à l’anglais, elle lui signifia qu’il lui était dorénavant strictement interdit de se servir de ses mains !
Il était piégé certes, mais en regardant le corps de Patricia, il se dit qu’après tout, beaucoup d’hommes auraient bien aimé se trouver à sa place. De plus, il avait diablement faim… Et après tout…
Patricia avait écarté largement les jambes pour lui permettre de s’approcher suffisamment d’elle… Il constata qu’elle n’avait pas remis sa petite culotte. Il s’avança donc jusqu’à se trouver entre les jambes de la jeune fille et attrapa du bout des dents la première crevette. Il la mangea puis il se pencha vers le sein gauche pour prendre d’un coup de langue un peu de mayonnaise. Patricia ferma les yeux en émettant un petit soupir. La fois suivante, lorsqu’il revint sur la pointe érigée du sein, il la prit carrément en bouche comme pour la nettoyer de la plus ultime parcelle de sauce.
Il releva la tête. Les deux autres filles s’étaient chacune approprié un fauteuil et l’attendaient maintenant avec diverses victuailles disposées sur leur corps.
Pendant qu’il était occupé avec Patricia, elles s’étaient déshabillées complètement et le garçon ne put s’empêcher d’admirer un court instant le spectacle somptueux qui lui était ainsi offert.
Il papillonna un bon moment de fille en fille, rendant notamment à ces jeunes poitrines palpitant sous ses coups de langue un hommage appuyé.
À un moment, se retournant vers Vicky, il eut la surprise de la voir saisir une flûte de champagne et lui faire signe de s’agenouiller devant elle.
Quand il fut en position, elle commença à verser le précieux liquide tout doucement sur le haut de son sexe glabre et Christian commença à faire courir sa langue le long des grandes lèvres pour laper le précieux liquide. Le silence n’était plus troublé dans la pièce que par les soupirs de Vicky.
Quand il se releva pour aller grappiller quelques nourritures du côté de Patricia, il découvrit que celle-ci avait disposé deux queues de crevettes entre ses grandes lèvres. Une cuillérée de mayonnaise était étalée sur le mont de Vénus. À genoux, il entreprit d’attraper avec ses dents les deux crustacés avant de consciencieusement lécher la sauce pendant que Patricia commençait à gémir doucement. Il faut dire que le jeune homme avait pris tout son temps et que le joli coquillage s’était maintenant entrouvert et délivrait son propre liquide plus épicé et plus original que la fade mayonnaise industrielle qu’il avait goûtée auparavant ! Il s’attarda plus que nécessaire, pour bien nettoyer de toute trace de sauce, sur le haut du petit capuchon que l’on voyait poindre maintenant.
Il fallait bien qu’il finisse par se relever, faute de quoi, il risquait de passer pour un goujat auprès des deux autres filles qui attendaient son passage avec impatience ; bien que, dans l’intervalle, elles en profitaient aussi pour se servir et même pour se caresser un peu !
Il se tourna alors vers Glenda qui avait artistiquement déposé des lamelles d’un délicieux jambon d’York sur sa poitrine avec des petits amas de Picallily sauce sur la pointe de ses seins. Mais surtout, imitant Patricia, elle avait planté un cornichon de belle taille au milieu de quelques feuilles de cresson dans la fente délicate qui séparait deux petites forêts parées aux couleurs de l’automne. L’effet artistique était étonnant, mais Christian n’osa pas demander à Vicky de prendre une photo.
Il se pencha sur la poitrine de la jeune fille et attrapa une première lanière de jambon, puis immédiatement s’agenouilla pour croquer un morceau du cornichon en s’arrangeant pour le faire d’abord un peu bouger dans le précieux étui qui le maintenait. Il recommença plusieurs fois son petit manège allant enfin, avec la langue, déloger les feuilles de cresson… qui n’avaient plus besoin de vinaigrette.
Quand il abandonna la pulpeuse rousse pour aller laper un peu de champagne dans la conque entrouverte de la maîtresse de maison, Glenda ne put s’empêcher de prendre avec son doigt le relais de la langue du jeune homme et ses soupirs allèrent crescendo.
À ce même moment, Vicky n’était plus en position de réagir, car Christian, qui s’était bien pris au jeu, s’appliquait particulièrement de la langue pour être sûr de ne laisser échapper aucune goutte du précieux liquide !
C’est Patricia qui l’accueillit pour le fromage. Des lamelles de Cheddar et des crackers avaient été disposés en éventail à un endroit que l’auteur de ce texte vous laisse deviner, chère lectrice et cher lecteur… (remarque en passant : ce n’est pas encore le moment de déguster le Stilton, car là, ce serait un peu plus compliqué !).
Certes certains crackers avaient perdu de leur croquant dans leur partie inférieure, néanmoins, le jeune homme n’émit aucune protestation ! Et quand il crut avoir terminé et qu’il releva la tête, la jeune fille lui dit d’une voix un peu sourde qu’elle était sûre qu’il avait oublié quelque chose…
Plus à l’intérieur…
Les grains de raisin !
Il est vrai que dans les bonnes maisons, en Grande-Bretagne, on sert ainsi le fromage accompagné de quelques fruits de la vigne. Christian écarta délicatement les grandes lèvres avec ses doigts et découvrit en effet la partie supérieure d’un premier grain de raisin niché dans le plus joli des réceptacles que l’on puisse imaginer. Un par un, du doigt et de la langue, il retira délicatement trois billes juteuses avant de vérifier longuement qu’il n’en restait plus, provoquant à chaque fois des réactions de plaisir intense chez sa chère Patricia.
Vicky avait retrouvé son sang-froid et considérait maintenant la scène avec un dangereux sourire sur ses lèvres.
Elle frappa dans ses mains en criant :
Christian s’était relevé et se trouvait entouré maintenant par les trois jeunes filles qui arboraient en le détaillant des sourires concupiscents. Vicky attrapa un bandeau noir qu’elle avait dissimulé sous un des plateaux de nourriture et s’approcha du jeune homme.
Aussitôt dit, aussitôt fait.
Christian sentit aussitôt trois paires de mains qui s’attaquaient à ses vêtements. Une grande gêne l‘envahit en pensant à la formidable érection qui gonflait son boxer.
Il n’eut pas longtemps à attendre. Deux petites menottes s’attaquèrent résolument au dernier rempart et il entendit tout aussitôt des applaudissements et des cris de joie. Il sentit des mains qui, timidement d’abord, puis très vite, avec une certaine assurance, s’emparaient de son membre ainsi dressé orgueilleusement.
Qu’avait-elle encore inventé, pensa le garçon point trop rassuré comme vous l’imaginez.
On le fit s’étendre sur le sol, préalablement recouvert de quelque chose que le garçon pensa être un sac de couchage déplié sur des coussins. Il entendit des va-et-vient entre la cuisine et le salon, puis sentit deux présences à ses côtés.
Une petite sensation de fraîcheur sur son estomac lui indiqua que l’on venait de poser quelques petites choses légères sur sa peau à cet endroit. Il discerna le parfum caractéristique des fraises. Il entendit un bruit inconnu sur le côté gauche. On secouait quelque chose, puis ce fut un chuintement suivi d’une impression de fraîcheur sur son sexe. Les filles applaudirent et Vicky s’écria :
Christian vit une ombre passer devant son bandeau et presque aussitôt, il sentit les lèvres fraîches de la jeune fille passer fugitivement sur son ventre et retirer ce qu’il supposait être une fraise.
Et d’un seul coup, il comprit !
Vicky avait enduit son membre de crème chantilly et les filles, tour à tour, allaient venir se servir… Directement.
Et Patricia venait de donner le premier coup de langue sur le sommet du gland, visant délibérément l’endroit le plus sensible, à savoir le petit frein qui retient le prépuce. De surprise, le garçon poussa un cri, auquel répondirent immédiatement des rires de gamines effrontées.
Christian identifia la suivante comme étant probablement Glenda, compte tenu des gloussements continuels qu’elle ne pouvait s’empêcher d’émettre et… de la gloutonnerie dont elle fit preuve en s’acharnant longuement à lécher la hampe fièrement dressée devant elle. D’ailleurs, on dut remettre après son passage une nouvelle couche de crème.
Puis ce fut le tour de Vicky qui, elle, opéra une longue remontée, agaçant d’abord les testicules du bout de la langue avant de suçoter la hampe et de terminer là où Patricia avait commencé. Le garçon se demanda combien de temps il pourrait tenir à un tel régime sans exploser, d’autant que son imagination lui jouait aussi des tours et que la tension de son sexe était maintenant maximale et pour tout dire presque douloureuse !
Patricia s’attarda à nouveau longuement à son tour.
Mais alors qu’il croyait qu’elle s’était éloignée pour laisser la place, il eut la surprise de sentir son souffle léger sur sa figure et presque aussitôt ses lèvres fraîches sur sa bouche. Elle avait pensé à lui apporter ainsi une fraise et un peu de chantilly. Il apprécia ce baiser d’un genre un peu particulier alors qu’au même moment, Glenda était à nouveau à l’œuvre sur son membre… Et qu’une autre bouche se promenait sur son abdomen.
Heureux homme quand même !
Subitement, la porte du salon s’ouvrit à la volée.
Christian n’avait pas été assez rapide pour cacher de ses deux mains son sexe recouvert de restes de chantilly.
Trop tard, pensa-t-il en rougissant de se trouver dans cette position pour le moins humiliante devant une inconnue… À laquelle il n’avait même pas été présenté.
Il se redressa péniblement et retira son bandeau pour découvrir à deux pas de lui une jeune femme très brune, d’un type « métisse, Fleur des Isles » assez étonnant dans un tel contexte. Elle le contemplait d’un air résolu. Plus exactement, elle gardait les yeux fixés avec insistance sur le sexe dressé et décoré de quelques lambeaux blancs de crème.
C’était Vicky qui la première avait réagi, demandant à sa demi-sœur puisqu’il s’agissait bien d’elle, où était passé son fiancé supposé l’accompagner durant ce week-end.
[NOTE DE L’AUTEUR : Comme vous l’aurez déjà certainement noté, l’auteur se refuse ici à traduire ce genre de propos malheureusement fréquents aujourd’hui dans la charmante bouche de bien trop de jeunes filles, y compris celles issues des meilleurs milieux.
À l’attention de ceux qui ont opté pour le hongrois en première langue et l’ourdou en seconde, je dirai seulement pour ce qui concerne la dernière expression qu’il y est question d’une part de descendance approximative mettant en cause l‘honorabilité de la mère de l’individu visé et d’autre part d’une approche sexuelle contrevenant à la plupart des principes enseignés par les religions monothéistes.
En bref, évitez d’utiliser cette expression lorsque le révérend local vous a invité à prendre le thé au presbytère à cinq heures.
Pour ce qui est de la première parole prononcée à l’entrée de ce nouveau personnage, nous dirons simplement qu’elle exprimait ainsi son admiration devant l’étendard de la masculinité fièrement déployé par le jeune homme.]
Reprenons le récit.
Ladite Samantha, se lança dans une explication ponctuée d’un remarquable échantillon de jurons qui eussent pu faire rougir le dernier des charretiers (mais la profession est malheureusement en voie de disparition), explication d’où il résultait que le match avait aussi détourné le nommé Tom du chemin tout tracé par la belle vers des félicités suprêmes et qu’il était probablement à la même heure, fin saoul étendu dans la sciure du sol d’un pub de la station de bord de mer où le couple avait projeté de passer une fin de semaine en amoureux… OUF !
La confusion de ses esprits était particulièrement visible à ce moment-là, le baromètre étant à la baisse, au grand dam de ces demoiselles.
Constatant la chaleur qui régnait dans la pièce (Vicky avait probablement poussé à fond le chauffage électrique !) ainsi que la tenue des autres personnes présentes, la nouvelle arrivée commença sans façon à se déshabiller.
Elle retira d’abord son manteau (normal !), puis elle continua en faisant passer par-dessus sa tête un élégant petit top dévoilant ainsi un soutien-gorge de dentelle blanche pigeonnant particulièrement esthétique sur sa peau brune. Christian pensa immédiatement à ces superbes photos faites pour la publicité AUBADE. Elle fit glisser sa jupe, dévoilant un porte-jarretelles et un string assortis au soutien-gorge. Des bas fumés complétaient le tableau.
Le jeune homme, la bouche ouverte, contemplait ce nouveau spectacle qui s’offrait à lui. Et les quatre filles purent constater illico l’effet produit : l’aiguille du baromètre remontait rapidement vers le beau temps.
Vicky entreprit d’expliquer brièvement à sa sœur ce qui se passait ici. Elle insista notamment sur le fait que Christian avait accompagné Patricia, et que celle-ci avait accepté de partager son cavalier pour quelques jeux… innocents… avec ses amies.
Pendant ce discours, Christian sentit dans son dos le corps tiède de Patricia qui venait se coller contre lui et bientôt deux bras ceinturèrent doucement sa poitrine pendant que des lèvres fraîches exploraient son cou.
La coquine marquait son territoire !
Et Christian affichait de nouveau une forme plus que satisfaisante (entre grand beau temps et canicule), compte tenu de la douce pression de ce corps nu sur sa peau. Sam, qui avait compris l’avertissement de sa sœur, proposa simplement de se joindre aux agapes.
Pour commencer, elle demanda à Glenda, toute rougissante, de lui faire les honneurs des plats précédents. Christian vit alors passer sur la figure de Vicky un sourire un peu amer.
Pendant que Glenda se remettait en position sur le fauteuil, disposant artistement sur son corps les reliefs des plats froids, sans oublier de barbouiller de sauce les emplacements… stratégiques, Patricia aida Christian à se recoucher sur le sol pendant que Vicky restait debout, hésitante, au milieu de la pièce. La blonde jeune fille, sans façon, s’était à nouveau saisie de la bombe de chantilly et, assise à croupetons sur le torse du jeune homme, elle en avait remis une belle giclée sur le membre bien dressé. Elle commença à enlever la crème à petits coups de langue, pendant que les mains de Christian exploraient sans façon ce corps gracile. Vicky finalement se joignit à elle.
Le garçon était aux anges, mais néanmoins, il regrettait un peu de ne pas avoir remis le bandeau qui tout à l’heure, en lui ôtant la vue, avait provoqué un décuplement de ses sensations.
La vue des très jolies fesses de Patricia et le souvenir de la dégustation des grains de raisin firent qu’il ne put résister à l’envie de saisir fermement les hanches de la jeune fille, la faisant reculer de manière à amener à sa portée un joli coquillage dont il entreprit aussitôt d’explorer à nouveau le moindre recoin accessible avec sa langue. Patricia avait relevé la tête et haletait si bien que Vicky se trouvait maintenant seule en possession du membre dressé.
La chantilly avait été entièrement prélevée par les deux langues gourmandes et la jeune fille en profita pour attraper d’une main ferme la colonne avant de gober le gland et de lui faire subir un traitement particulièrement efficace tout en faisant coulisser sa main de plus en plus vite. Christian, la bouche pleine, ne pouvait exprimer que par des bruits de gorge sa satisfaction devant un tel acharnement.
Patricia, les yeux fermés, commençait elle aussi à clamer de plus en plus bruyamment son plaisir, d’autant qu’une langue coquine venait de trouver le chemin du petit capuchon…
En écho, répondait maintenant le doux gazouillis de Glenda qui découvrait les charmes d’une feuille de rose dispensée par une Sam déchaînée et soucieuse semblait-il, d’apporter à ces gamines un peu d’une expérience qu’on devinait assez vaste.
Christian sentit qu’il ne pourrait plus se retenir bien longtemps.
Il aurait voulu avertir Vicky, mais Patricia l’encourageait au même moment à ne pas interrompre ce qui était bien en train.
Dilemme cornélien !
Il ne pouvait pas laisser Patricia en si bon chemin !
Vicky fut surprise de sentir tout à coup dans sa gorge le jet puissant de la liqueur séminale.
Elle se recula brusquement et reçut les derniers jets sur son visage.
Une pensée baroque traversa alors son esprit : un dessert bien français !
Le fou rire qui la gagna alors la fit s’étrangler, puis tousser alors que Christian, tout penaud, lâchait enfin Patricia qui venait d’être secouée par un superbe orgasme.
Elle roula sur la moquette à côté de lui, un sourire de félicité aux lèvres…
Pour toute réponse, Vicky se pencha sur lui et l’embrassa à pleine bouche pour partager avec lui les restes du précieux liquide. Les gazouillis avaient fait place à des halètements et des cris du côté de Glenda et la conclusion semblait proche, d’autant que Sam mettait réellement du cœur à l’ouvrage, utilisant doigts et langue à un rythme soutenu.
Un grand cri : le corps de Glenda s’arc-bouta une dernière fois avant de s’effondrer au fond du fauteuil. Sam se releva tranquillement, sourire aux lèvres, et commença à se verser un reste de champagne avant de se tourner vers Vicky :
Disant cela, elle cligna de l’œil en direction de Christian. Lequel rougit instantanément, d’autant que Sam avait surpris le regard qu’il avait posé sur elle lorsqu’elle les avait rejoints.
À la décharge du garçon (?), le spectacle offert par Sam dans sa semi-nudité était somptueux.
Le visage aux traits fins, encadré de longs cheveux noirs, les yeux en amande soulignés par un maquillage savant, et plus bas des seins dont les pointes semblaient vouloir percer le fin tissu du soutien-gorge… Et que dire de ce sexe dont on pouvait deviner les lèvres gonflées à travers le fragile voile du string. Et encore, de cette peau sombre aux reflets satinés qui semblait appeler baisers et caresses ! Christian ne pouvait s’empêcher de détailler ce corps presque trop parfait, et Sam n’était pas insensible à ce regard.
Elle s’adressa à sa jeune sœur.
De la langue, elle cueillit quelques gouttes de sperme qui étaient restées sur la joue de la jeune fille et elle les avala avec force mimiques avant de se tourner vers le jeune homme en se passant la langue sur les lèvres :
Pour autant, Christian n’était pas en état de répondre immédiatement à une telle demande !
Vicky ramena de la cuisine une bouteille de mousseux.
Elle la confia à Christian pour qu’il fasse partir le bouchon puis remplisse une nouvelle fois les flûtes. Tout en s’exécutant, il jeta un œil méfiant à l’étiquette, se promettant de freiner sa consommation pour le reste de la soirée. À proximité des deux bouteilles déjà vidées, on pouvait voir, intactes, celles qui contenaient les boissons non alcoolisées, jus de fruits et coca.
Glenda, effondrée dans son fauteuil jambes largement ouvertes dévoilait à tous un sexe aux lèvres gonflées et luisantes de secrétions, lèvres encadrées par une luxuriante forêt aux nuances cuivrées dans laquelle on pouvait identifier divers reliefs des agapes récentes.
C’était Vicky qui venait de parler d’une voix incertaine qui trahissait une incontestable imbibition alcoolique.
[NOTE DE L’AUTEUR : à l’attention de celles et de ceux qui ont choisi le swahili en première langue et le Parsi en seconde, le terme pussy désigne habituellement dans les bonnes maisons britanniques, la femelle de l’espèce commune d’un petit félidé domestique et, par extension dans le langage familier… la même chose qu’en France. Le terme disgusting est proche du terme français, mais il a une force supérieure.]
Reprenons notre narration.
Un fou rire général secoua l’assistance, puis Vicky ajouta quand les rires se furent calmés :
À son tour, Sam prit la parole d’une voix, elle aussi, passablement avinée (ce qui laissa à penser à Christian qu’elle n’avait dû abandonner le nommé Tom qu’après avoir partagé avec lui les premières libations…) :
Un fou rire général secoua à nouveau les jeunes gens.
Samantha se souleva légèrement de son siège et écarta son string. Comme l’avait suggéré la finesse du tissu, son sexe était totalement glabre.
La créature des Isles ajouta qu’elle l’avait soigneusement rasé le matin même en prévision de son week-end amoureux avec « this fucking bastard » de Tom.
À ce moment, Christian n’était pas loin de penser que ce Tom ne savait pas ce qu’il avait perdu. Le spectacle offert commençait d’ailleurs à produire ses premiers effets sur son anatomie, mais les filles avaient à ce moment l’esprit trop occupé par la question en débat pour s’en rendre compte. Sam s’était levée pour inviter Glenda à éprouver de ses doigts le velouté de sa peau tout autour de ses lèvres intimes. Cette dernière ne se fit pas prier et fit un peu durer la chose, laissant même, comme par inadvertance, un doigt parcourir lentement la fente qui commençait à s’entrouvrir.
Patricia se leva, un sourire malicieux à la bouche et après avoir fait un clin d’œil à Vicky, elle demanda au garçon s’il avait amené sa trousse de toilette dans son sac.
Il l’avait amenée.
Aussitôt Patricia alla la chercher.
Quand elle fut redescendue avec la trousse, Vicky interpella Glenda en lui disant que tout était prêt pour le rasage. Sam s’éloigna de la jeune fille qui n’osait plus s’opposer à ce qu’on lui proposait. Vicky alla chercher des ciseaux, et une grande serviette pendant que Sam allait remplir d’eau brûlante une cuvette dans la cuisine.
En deux temps trois mouvements, tout fut prêt et Vic commença à officier avec les ciseaux pendant que Patricia secouait énergiquement la bombe à raser. Après application de la mousse, à genoux devant Glenda qui, jambes écartées, lui présentait son sexe en une étrange offrande, Vic maniait avec dextérité le rasoir dans les reliefs qui entouraient les grandes lèvres. Debout derrière elle se tenait Christian flanqué des deux autres filles, tous trois fascinés par le spectacle.
Soudain, le jeune homme sentit une petite main fraîche qui s’emparait doucement de son membre à nouveau dressé… Puis presque aussitôt une autre main qui, elle, trouvait la position déjà occupée.
Samantha n’avait pas été assez rapide. Les deux filles éclatèrent de rire, bientôt rejointes par leur « victime » alors que Vic se retournait pour leur envoyer un regard courroucé.
Elle venait de terminer le rasage. Samantha lui tendit un produit apaisant qu’elle était allée chercher à l’étage. Vic commença à en enduire le mont de Vénus avant de descendre pour suivre les contours des grandes lèvres. L’assemblée resta étrangement silencieuse pendant cette opération, comme s’il s’était agi d’une cérémonie initiatique. Glenda s’était soulevée sur ses coudes et contemplait le résultat du travail sans trop savoir encore si elle devait afficher sa satisfaction devant le tableau qu’elle découvrait ou son dépit d’avoir perdu sa toison.
Sam s’exclama alors :
Christian comprit le message et complimenta lui aussi Glenda lui faisant part de son désir d’aller tester la douceur de cet endroit maintenant dévoilé. Vic s’écarta et, à tour de rôle, les trois autres jeunes gens vinrent caresser les chairs fraîchement dénudées, déposant au passage quelques petits bisous du bout des lèvres. Maintenant Glenda rayonnait en recevant tous ces hommages.
Elle ajouta après quelques secondes de réflexion :
[NOTE DE L’AUTEUR enfin, si l’on peut appeler auteur le tâcheron qui noircit sa page quotidienne en essayant de décoincer un petit sourire à la commissure des lèvres de ses lecteurs.
Amateur de coquineries, saute à pieds joints sur ce qui suit :
Le triffle est un monument de la gastronomie britannique, injustement méconnu en France.
Nous avons été envahis par le tiramisu de nos amis transalpins, alors que le triffle ne réussissait pas à franchir la Manche, contrairement aux crumbles et autres muffins… Et c’est bien dommage !
Le tiramisu laisse une impression agréable aux papilles, le triffle laisse une impression inoubliable à l’œil. Il n’y a pas plus kitch dans le monde entier !
Continuons la comparaison :
À la base du tiramisu (première couche), on trouve un délicieux biscuit délicatement humecté d’un café fort et d’une liqueur italienne bien parfumée.
La première couche du triffle est constituée par une éponge (« sponge » in english), mauvais biscuit directement sorti de sa boîte et imprégné d’une gelée dont la couleur ne peut en aucun cas faire ignorer l’origine industrielle.
Ensuite, sur le tiramisu, on répand avec les précautions d’usage, un fort goûteux mélange de mascarpone fouetté avec des jaunes d’œuf et de la chantilly, le tout parfumé avec un peu de la liqueur précédemment citée.
La seconde couche du triffle est uniquement composée d’une crème d’un jaune pisseux appelée « custard », avatar industriel ultime de ce que nous appellerions crème anglaise en France (note au lecteur : que de la même manière, les capotes anglaises deviennent condoms en traversant la Manche, la crème anglaise devient custard. Reste à espérer que la perte de qualité n’est pas de la même importance dans le premier cas !)
Pour terminer le tiramisu, on recouvre la surface d’un peu de poudre de cacao, ce qui donne un aspect particulièrement appétissant à l’ensemble.
Le triffle reçoit lui une crème fouettée (lait additionné d’un produit chimique la plupart du temps) puis, « cherry on the cake », une décoration à base de granulés de couleurs vives qui en général déteignent sur la crème, laissant des auréoles douteuses.
Et que dire du résultat dans votre assiette quand la gelée visqueuse et son éponge prisonnière surnagent sur l’improbable mélange de la custard jaunâtre et de flocons blancs avec ses pointes de couleur vive !
Je n’ai pas parlé du goût, et pour cause… Je vous laisse imaginer le cocktail de toutes ces saveurs…
Bon appétit bien sûr !]
Vicky donc avait une idée. Elle alla dans la cuisine et quand elle revint, elle portait triomphalement un grand saladier de triffle.
Sam applaudit frénétiquement à la suggestion de sa sœur, suivie par Glenda alors que Patricia restait un peu sur la réserve. Les regards des quatre filles étaient tournés vers Christian…
Le garçon était un peu gêné de se trouver ainsi l’objet unique de l’intérêt des participantes et… d’exposer à leurs yeux brillant de convoitise, une splendide érection, résultat des bons soins de la petite main magique de Patricia qui venait seulement de cesser ses caresses. Il rougit, mais ne trouva rien à dire.
Vic reprit la parole :
Sam intervint alors :
Cette suggestion recueillit l’approbation des autres filles. Christian en resta coi, étonné par l’imagination déployée par les deux sœurs. Vicky lui remit le bandeau et l’aida à se coucher sur le duvet étendu par terre et il entendit que l’on secouait à nouveau la bombe de Chantilly.
[NOTE DE L’AUTEUR : non, je ne traduirai pas ! Na !]
Vicky désigna silencieusement à tour de rôle chacune des filles, donnant ainsi l’ordre de passage, puis elle alla chercher un bibelot décoratif qui dormait sur une étagère proche.
La bombe chuinta sa crème sur le sexe en érection et presque aussitôt retentit un coup de gong.
Moment solennel !
Christian sentit une main se saisir fermement de son membre et une langue entrer en action autour de son gland.
Ce n’était certainement pas la main de Patricia, ni probablement celle de Glenda, mais il en était bien moins sûr.
Peut-être Vic ?
À moins qu’il ne s’agisse de Sam ?
Une bouche enfourna subitement le gland puis dans un mouvement continu, avala la plus grande partie de la tige jusqu’à l’amener à buter au fond de la gorge. Pour afficher un tel appétit et un tel savoir-faire, c’est probablement Samantha se dit Christian.
Coup de gong ! La bouche quitta sa proie bien à regret, regret partagé par le jeune homme qui commençait juste à apprécier la situation.
Chuintement de la bombe, nouveau coup de gong.
La petite main fraîche qui le caressa d’abord avant qu’une langue un peu râpeuse comme celle d’un petit chat n’entreprenne de nettoyer la petite vallée à la base du gland ne pouvait appartenir qu’à Patricia et le jeune homme se détendit pour profiter à fond des soins qu’elle lui prodiguait.
Le gong retentit bien trop tôt cette fois encore.
Pour les deux dernières, il ne fut pas en mesure de formuler un pronostic d’autant que leurs prestations furent en tous points semblables.
Et maintenant, les yeux toujours bandés, il attendait la seconde partie de l’épreuve alors que ces demoiselles étaient en train de se préparer avec force fou-rires.
Samantha proposa que la durée de la seconde épreuve soit portée à une minute pour chaque fille.
Proposition adoptée à l’unanimité.
On prit la main de Christian pour qu’il se mette à quatre pattes et qu’il s’avance jusqu’à sentir contre sa joue la cuisse de la première de ces demoiselles, couchée jambes écartées devant lui. Il déposa ses lèvres sur cette chair tout en essayant d’apprécier le grain de la peau et le suave parfum qui s’en dégageait.
Vanille ! Cette peau particulièrement douce sous ses lèvres sentait un peu la vanille.
Tout à l’heure, lorsqu’il avait « goûté » Patricia, Vic et Glenda, il n’avait pas respiré de tels effluves. Il était maintenant quasiment sûr que Samantha était le numéro un.
Ses lèvres suivirent la cuisse jusqu’aux grandes lèvres généreusement garnies de triffle.
De sa langue, il écarta la crème, n’en mangeant qu’un minimum de manière à pouvoir atteindre plus rapidement cette vulve magnifique qu’il avait entrevue tout à l’heure. En même temps que sa langue se faisait de plus en plus inquisitrice, de son nez, il agaçait le petit capuchon comme Armande lui avait un jour appris à faire. Le gong malheureusement l’interrompit en pleine action alors que sa « victime » commençait à pousser des soupirs encourageants. Il se releva donc à regret pendant qu’une autre jeune fille se mettait en position devant lui.
Des rires vite étouffés furent la seule réponse, puis on l’invita de la main à se pencher à nouveau.
Là encore, ce fut facile. Confirmant ainsi l’impression ressentie précédemment, il reconnut presque instantanément sous ses lèvres la peau de Patricia qu’il avait longuement goûtée déjà tout à l’heure. De sa langue, il retrouva les contours de ce sexe, mais surtout, il reconnut immédiatement le goût caractéristique des sécrétions intimes derrière celui de la custard.
Tempête sous un crâne : devait-il donner la bonne réponse… Ou faire semblant de se tromper pour découvrir le gage qu’elle lui destinait ?
Le gong résonna alors qu’il n’avait pas encore tranché.
Après une ultime hésitation, il donna le nom de Patricia comme numéro deux.
Lorsqu’il prit position pour la troisième fois, il trouva sous sa langue un morceau de gelée qui lui donna un haut-le-cœur.
Ça commençait mal. Il ne reconnaissait rien. Peut-être s’agissait-il de Glenda. La peau autour des lèvres intimes étant parfaitement lisse, comme juste rasée, mais il pouvait tout aussi bien s’agir de Vic qui avait sans doute bénéficié d’une épilation récente à en juger par ce qu’il avait pu caresser tout à l’heure en buvant son champagne. Il s’attaqua au clitoris, l’emprisonnant de ses lèvres dans l’espoir d’entendre un son sortir de la bouche de la jeune fille, mais le gong vint l’interrompre avant qu’il n’ait eu le temps de parfaire sa caresse.
Il fallait maintenant donner un nom.
N’ayant pas reconnu le parfum musqué de Glenda, il se décida pour nommer Vic, mais sans conviction, pensant que lors du rasage, les flagrances initiales de la rousse galloise avaient pu disparaître.
Presque aussitôt, il dut se remettre en position.
Décidément, ça n’allait pas mieux. Pas d’indice probant là non plus.
Après le coup de gong, il donna le nom de Glenda par défaut.
Chistian ôta rapidement son bandeau pour découvrir quelle était la dernière de ces charmantes hôtesses à accueillir ses appétits.
Perdu !
C’était Vic qui était en face de lui, occupée maintenant à nettoyer son bas-ventre avec un mouchoir jetable (pas de publicité ici, monsieur Kleenex… ne m’envoyez donc pas une palette d’échantillons…)
Derrière elle se tenait Patricia souriante, le regard brillant.
Puis elle désigna dans l’ordre Samantha, elle-même, Glenda et Vic.
Vic se releva et aussitôt reprit son rôle d’animatrice.