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Temps de lecture estimé : 13 mn
29/01/19
corrigé 06/06/21
Résumé:  Le massage à quatre mains fait découvrir à ma belle-mère de nouveaux plaisirs...
Critères:  f ff ffh fplusag alliance voir massage intermast fellation cunnilingu -bellemere
Auteur : Eric Jakin      

Série : Ma belle-mère aime les massages

Chapitre 04 / 05
Une belle-mère épanouie

Une belle-mère épanouie




Résumé général :


1 : Ma belle-mère aime les massages – 2 : Une belle-mère attentionnée – 3 : Une belle-mère fine bouche….


Veuve à 52 ans, ma belle-mère Louise avait promis à son mari sur son lit de mort une période de cinq années d’abstinence. Vers la fin de sa quatrième année, je lui ai fait découvrir l’art du massage, ce qui lui a permis de contourner cette promesse. Car pour elle un massage, même érotique et sensuel, restait quand même un massage… Elle avait alors 56 ans et moi, son gendre, 35 ans.




************




Durant le mois de juin, nous nous sommes peu croisés, ma belle-mère et moi. Ma femme Sophie me dit un jour que sa mère Louise lui avait parlé longuement de moi, et en bien. Intéressé, je lui demandai à quel sujet :



Effectivement, Sophie avait raison, c’était peut-être un virage intéressant dans ma carrière, et j’imaginais être utile tant au personnel qu’à la direction, et au final à l’entreprise familiale du côté de ma femme. Et par ailleurs, cela nous permettrait à Louise et à moi de nous retrouver quelques soirées ensemble sur Paris…


Je signalai à mon épouse que si ma belle-mère me parlait de cela, j’étudierais la question avec intérêt. Elle fut visiblement satisfaite de ma réponse. Je ne suis pour autant pas complètement dupe de cela : nous avions discuté ensemble de la relation épistolaire qu’elle avait reprise avec son ancien amant, relation que j’avais tolérée après une discussion houleuse. Et donc, si j’avais à l’avenir quelques soirées de libres par mois, elle aussi…


Début juillet, Sophie me signala que pour me faire bien voir par sa mère je devrais lui envoyer un petit texto le mardi de son anniversaire, jour où je serai sur Paris, anniversaire que nous devions lui souhaiter le dimanche suivant tous ensemble en famille.


Début juillet, juste avant de prendre mon TGV, je reçus un texto de Louise : À demain 19 h comme convenu.




************




Le lendemain, un gros bouquet de roses rouges en main, je sonnai chez Louise à 19 h.


Elle m’ouvrit aussitôt et je la vis presque défaillir à la vue du bouquet que je lui tendis en lui souhaitant un « Bon anniversaire à ma masseuse préférée ! »


Elle ne savait quoi dire, prit le bouquet et le posa sur la petite table de l’entrée. Et elle se jeta sur moi pour me rouler une pelle d’enfer dont elle avait la spécialité. Un baiser long où sa langue prenait complètement possession de ma bouche, nos lèvres scotchées ensemble comme nous aimions tant. Elle me serrait dans ses bras très fort. C’était un moment fort qui est inscrit en moi à jamais, comme la soirée qui a suivi…


Avec le bouquet, j’avais préparé une enveloppe que je lui glissai dans la main. Elle se décolla de moi, et l’ouvrit… Dedans j’avais écrit sur une carte d’anniversaire :


Bon pour un massage quatre-mains.


Elle me regarda, un peu interloquée…



Et durant le repas, je lui ai expliqué que, en stage avec moi, Mélia est la fille d’un gros armateur grec dont elle est la DRH. Souvent ensemble dans les groupes de travail, nous avons sympathisé et nous nous sommes confiés sur divers sujets, dont les massages dont nous étions amateurs tous deux. Ceci, bien sûr, discrètement vis-à-vis des autres stagiaires.



Très vite elle me posa la question de savoir si nous pourrions pratiquer avec Mélia nos échanges de massages, après le quatre-mains.



En fait, j’avais expliqué à Mélia la relation spéciale que j’entretenais avec ma belle-mère. De plus, de ce que j’ai vu durant nos sessions de formation, je la sentais plutôt plus attirée par les femmes que par les hommes, même si un mariage éclair lui avait donné un garçon de dix ans dont elle était très fière.


À 20 h pile, coup de sonnette, c’était Mélia.

Belle femme aux cheveux noirs mi-courts, de taille moyenne et d’allure sportive, elle avait le regard franc et direct des personnes qui ne laissent pas indifférent. Pas trop de seins certes, mais une cambrure de hanches dont elle savait jouer et qui attirait les regards.



Louise fut conquise d’entrée. Elles se firent la bise et se serrèrent dans les bras à la méditerranéenne. Si ma belle-mère avait ce soir-là une jupe courte et un léger corsage transparent qui la rendait très féminine, Mélia avait un jean moulant et un tee-shirt cintré qui lui donnait plutôt un air androgyne. Ma belle-mère la prit par la taille et l’amena au salon pour faire connaissance autour d’un thé à la menthe. Et le feeling passa immédiatement entre elles.


Le massage à quatre mains fut parfait. Même si nous n’avions jamais pratiqué ensemble Mélia et moi, nous en avions parlé bien sûr à l’avance et nous sommes bien accordés. Ou nous massions en parallèle chacun d’un côté du dos par exemple, ou nous faisions l’un le haut quand l’autre faisait le bas. Ceci avec une grande complicité. Et nous entendions Louise émettre des petits soupirs de satisfaction.


J’avais quand même expliqué à Mélia que mes massages allaient parfois un peu « loin », ce qui ne semblait pas la gêner a priori. Elle me dit qu’elle attendrait de voir comment je pratiquais pour pouvoir s’adapter ensuite.


Au milieu du massage du dos, alors que Louise faisait la nuque, le cou et les épaules, je m’orientai vers les fessiers. Après avoir délicatement écarté les jambes et les cuisses de ma belle-mère, je commençai à pénétrer à l’intérieur du sillon magique, en descendant dans sa raie culière, sachant qu’elle appréciait cela beaucoup. Puis je massai de haut en bas cet endroit magique, en regardant dans les yeux Mélia qui souriait. Et je descendis le long de son sexe jusqu’à le tenir complètement dans ma main, avant de revenir en arrière en glissant bien le long des lèvres tout en remontant sur les fessiers. Mélia souriait toujours…


Puis alors que mes mains remontaient sur le dos de Louise, Mélia qui avait bien compris ma manœuvre descendit à son tour sur le haut des fesses. Et ses mains plongèrent entre les fesses de Louise, massèrent dans un premier temps, puis s’infiltrèrent dans le sillon… Et là je vis qu’elle laissait un doigt sur l’anneau magique et que de l’autre main elle remontait le long du sexe, en massant doucement les lèvres, les étirant, les pinçant. Puis ses doigts se posèrent sur le clito de Louise, et elle ne bougea plus.


Louise, qui avait compris qui faisait quoi à ce moment-là, gémit doucement de plaisir, en ondulant légèrement du bassin pour faire comprendre à Mélia ce qu’elle voulait… Et désormais le massage continua ainsi avec une entente tacite entre nous. Plus de tabous, Louise nous appartenait totalement, nos mains massèrent toutes les parties de son corps, ceci avec une attention particulière pour les plus intimes. Ce qui fut largement du goût de ma belle-mère, vu ses petits soupirs réguliers durant ce « quatre-mains ». Pour autant, même s’il y eut une grande sensualité dans ce massage, nous avions fait en sorte de rester sur une composante tantrique douce, sans réelle pénétration. Ce fut magique pour tous les trois.


En fin de massage, nous nous sommes assis à genoux sur le sol, le temps que Louise émerge tout doucement. Nous avions conscience alors d’avoir créé entre nous un formidable anneau d’énergie positive.


Louise se releva au bout de cinq bonnes minutes.



Ravie, mais sans trop savoir ce qui l’attendait, Louise amena Mélia prendre une douche de son côté, et moi j’en fis de même du mien.




************




Dix minutes plus tard, nous nous retrouvâmes dans la pièce centrale située entre les deux appartements.


Si Louise et moi avions gardé notre peignoir de bain, Mélia, très à l’aise, était en soutien-gorge et tanga noir. Nous nous installâmes tous les trois dans le grand lit constitué par les deux petits lits rapprochés, Louise étant au milieu de nous deux.


Tout de suite, Mélia lui dit que pour le massage qui l’attendait, il serait mieux qu’elle se mette nue. Ce qu’elle fit immédiatement. Et pour qu’elle soit plus à l’aise, je me poussai le plus possible sur le côté, après, moi aussi, avoir enlevé mon peignoir, ne gardant que mon slip. Vu nos contraintes horaires, nous avions convenus Mélia et moi que le massage final de Louise ne porterait que sur le devant du corps.


Mélia, à genoux, commença à la masser par de grands mouvements enveloppant de haut en bas, puis par des « touchers » rapides, en descendant puis en remontant progressivement. Ma belle-mère, les yeux fermés, se lâchait complètement sous ses mains expertes.


C’était pour moi magique d’assister à un tel spectacle. Mélia, superbe trentenaire, brune au corps mat en petit tanga et soutif, massant ma belle-mère nue, femme mûre au corps voluptueux. Deux femmes belles et sensuelles en parfaite harmonie. J’avoue que cela ne me laissait pas insensible, et comme j’étais en slip, je croisais les jambes pour que cela ne se voie pas trop…


Mélia, loin d’être innocente, tourna la tête vers moi. Après avoir baissé les yeux et vu la bosse qui apparaissait chez moi, elle me regarda avec un petit sourire en coin… Et même si je levai les mains pour lui signaler que je n’y pouvais rien, je sentis un rien de provocation chez elle. Surtout que, toujours en me fixant, elle posa ses mains sur les seins de Louise et commença à les masser et à les palper, tout en prenant leurs pointes dressées entre ses doigts. Et Mélia sourit encore plus quand elle constata que la bosse dans mon slip devenait une barre et que j’avais l’air plutôt penaud. C’était comme un peep-show, sauf que là j’étais dans le spectacle !


Tout à son affaire, Mélia descendit le long du corps de Louise et lui écarta doucement les cuisses pour venir se mettre à genoux entre elles… Et là, elle commença à lui masser le ventre par des mouvements tournants, puis descendit sur son mont de Vénus, avant de carrément se mettre à lui masser le sexe dans toute sa longueur. Ses doigts passaient le long des lèvres, descendaient dans la raie des fesses, s’y perdaient quelques instants, puis revenaient, passaient sur le clito, le titillaient, puis repartaient sur les lèvres… ce qui provoquait de longs soupirs chez Louise qui soulevait ses hanches pour mieux ressentir et profiter de ce « massage » intime…


Alors, Mélia approcha son visage de la chatte de Louise, puis doucement commença à l’embrasser, avant de la lécher longuement, visiblement avec plaisir. Et comme elle entendait les feulements devenir de plus en plus forts, elle enfouit complètement son visage entre les cuisses qui n’attendaient que cela…


Et là, dans cette parfaite communion, le plaisir monta telle une marée faite de flux et de reflux, de vagues exquises… Louise commença à râler de plus en plus fort… Et cela monta si haut qu’à un moment donné elle se cambra en mettant ses mains sur la tête de Mélia, se laissant emporter par une jouissance extrême qui la fit tressauter plusieurs fois longuement. Et elle cria longuement sa jouissance en appuyant sur la tête qui continuait à la lécher avec application. Jusqu’à ce qu’après les derniers soubresauts, son corps se relâche doucement. Spectacle divin !


Écartant les cuisses qui l’enserraient, le visage inondé d’un nectar du plus intime, Mélia remonta vers le haut de son corps de Louise. Et là, le regard brillant et pétillant, elle l’embrassa à pleine bouche, longuement, sensuellement, avec application, avec délectation.


Et pendant qu’elles s’embrassaient, je sentis la main de ma belle-mère venir se poser sur le haut de ma cuisse, puis doucement commencer à remonter sur la barre qui menaçait de sortir de mon slip à tout instant. Faisant un clin d’œil à Mélia qui suivait la progression, Louise dégagea ma bite qui jaillit d’un seul coup comme un diable hors de sa boîte. Ce qui fit rire les deux femmes !


En experte, elle commença à me branler doucement, puis de plus en plus vite, montant et descendant en tournant en spirale. Voyant Mélia qui regardait avec intérêt ma verge tendue et dressée, Louise lui fit un petit signe complice de la main pour qu’elle s’approche de cet appétissant sucre d’orge que, visiblement, elles convoitaient toutes les deux. Et là, elles me prodiguèrent un « massage » de première classe.


Leurs bouches et leurs lèvres se posèrent en parallèle sur le côté de ma bite pour créer une sorte d’anneau, et ensemble elles s’accordaient pour descendre et monter tout du long. Et quand elles arrivaient sur le gland et que leurs lèvres se retrouvaient, elles se roulaient une pelle d’enfer alternant les échanges de langues et le léchage de mon gland qui n’attendait que cela… Hmmm… Voir leurs lèvres très sensuelles qui massaient comme des petits rouleaux ma bite tendue… Whaouu… Super bon ! Et elles montaient, et elles descendaient, et elles prenaient ma bite en main pour la branler, pour la sucer, puis pour la tendre à l’autre qui se la fourrait dans la bouche et la pompait avidement. Et elles reformaient de leurs lèvres l’anneau magique pour monter et descendre le long de ma queue… Humm… le vrai bonheur !


Profitant d’un moment où Mélia me suçait gloutonnement en me serrant les couilles, Louise se mit un peu en arrière puis écarta les cuisses de sa partenaire. Elle se pencha alors et elle commença à lui lécher le sexe, ce que visiblement la belle Grecque apprécia. Alors Louise mit ses deux mains sous les fesses de Mélia et colla sa bouche à sa vulve.


Et là, ne pouvant dire un mot parce qu’elle avait la bouche pleine, je vis les yeux de la belle Grecque s’écarquiller largement de surprise. Et je savais pourquoi. Je savais que la longue et belle langue de Louise venait d’entrer en elle, qu’elle commençait à la fouiller et à la remplir… Et plus la langue de Louise s’agitait, plus Mélia commençait à perdre le contrôle d’elle-même. Alors qu’elle se faisait littéralement baiser par la langue de Louise qui la ramonait bien à fond, ses yeux semblaient sortir de leurs orbites tant la sensation était visiblement forte et exquise !


Et devant cette sensation très jouissive, elle lâcha ma queue pour passer ses mains dans les cheveux de Louise, l’encourageant ainsi par de fortes pressions à aller le plus loin possible avec sa langue dans son vagin, la jouissance montant d’un seul coup très fort en elle… Jusqu’à ce qu’à un moment donné Mélia hurle de plaisir en serrant très fort ses cuisses emprisonnant la tête de Louise en se tordant de tous les côtés sous l’effet de plusieurs déflagrations successives… Heureusement que ma belle-mère était sportive et pratiquait l’apnée, car elle resta ainsi presque une minute, la bouche collée à la chatte chaude et trempée, le temps que les soubresauts diminuent d’intensité et que le corps de Mélia se détente doucement…


Louise se releva alors, et, se léchant les lèvres, se blottit dans mes bras.


Après quelques minutes, Mélia s’installa assise face à nous. Et tandis qu’elle nous regardait avec un regard fixe, elle remonta ses cuisses et les ouvrit largement, ce qui nous permit de contempler son sexe complètement épilé et visiblement très humide. Superbe abricot bien dessiné, joliment fendu, qui ne demandait qu’à être dégusté tel un fruit mûr.


Et tandis que Louise s’approchait de moi et m’enlevait mon slip, Mélia nous regardait en descendant sa main sur sa chatte en se caressant doucement. Moment fort que de la voir se branler devant nous, les cuisses très ouvertes, alors que ma belle-mère prenait ma bite et commençait à la lécher à nouveau puis à la sucer. Et plus Louise me suçait fort, plus Mélia se pénétrait avec les doigts d’une main pendant que l’autre tournait autour de son clito.


Et là, mes yeux dans les yeux de Mélia, je ne pus me retenir plus longtemps et je jouis en criant tout en inondant de sperme chaud la gorge accueillante de Louise qui avalait tout. Et je giclai longuement en elle de belles salves qui parfois lui coulaient sur les joues et le menton. Délice exquis…


Alors, après avoir dégluti, Louise se retourna doucement vers Mélia, s’approcha d’elle et l’embrassa à pleine bouche, partageant avec elle le sperme qui coulait encore sur ses lèvres. Ce qui déclencha un nouvel et puissant orgasme chez Mélia qui se tordit à nouveau de plaisir en prononçant des mots grecs incompréhensibles pour nous, ses hanches se soulevant par saccades, elle était comme possédée. L’extase la plus profonde pour elle, mais aussi pour nous…


Ce fut un grand moment, une belle soirée. Et, repus et comblés, nous nous retrouvâmes serrés ensemble, à nous embrasser sans trop savoir qui embrassait qui… Le bonheur parfait.




************




Juste avant de rentrer chez elle à son appartement parisien, Mélia dit à ma belle-mère :



Heureuse, Louise accepta avec plaisir et elles décidèrent de se recontacter plus tard. En partant, elles échangèrent un long baiser passionné.


Après le départ de Mélia, Louise me prit longuement dans ses bras.



Et en m’embrassant, elle ajouta :



Ce soir-là, je m’endormis plutôt satisfait…



(La suite bientôt…)