Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 18937Fiche technique44608 caractères44608
Temps de lecture estimé : 25 mn
07/04/19
corrigé 06/06/21
Résumé:  Pour fêter son anniversaire et la fin de son pacte moral avec son époux décédé, ma belle-mère m'invite avec un couple d'amis au restaurant... sans savoir qu'il s'agit d'un lieu libertin... Et là, la soirée évolue...
Critères:  f fh fhh fhhh fplusag alliance voir fmast fellation cunnilingu fdanus -bellemère
Auteur : Eric Jakin      

Série : Ma belle-mère aime les massages

Chapitre 05 / 05
Ma belle-mère va enfin au fond des choses... !

Ma belle-mère va enfin au fond des choses… !



Résumé général :


1 : Ma belle-mère aime les massages – 2 : Une belle-mère attentionnée – 3 : Une belle-mère fine bouche… – 4 : Une belle-mère épanouie.


Veuve à cinquante-deux ans, ma belle-mère, Louise, avait promis à son mari sur son lit de mort une période de cinq années d’abstinence. Vers la fin de sa quatrième année, je lui ai fait découvrir l’art du massage, ce qui lui a permis de contourner cette promesse. Car pour elle, un massage, même érotique et sensuel, restait quand même un massage… Elle avait alors cinquante-six ans et moi, son gendre, trente-cinq ans.


La journée décrite ci-après est importante : c’est son anniversaire, et c’est le premier jour où Louise n’est plus liée par son contrat moral de chasteté…



Remarque : Ce cinquième épisode est (pour le moment ?) le dernier de cette saga qui concerne le début de ma liaison avec ma belle-mère. Je voudrais remercier les lectrices et les lecteurs qui m’ont suivi depuis le début et qui m’ont encouragé à aller plus loin dans mes récits.




************




Le lendemain, au petit déjeuner Louise me dit que la soirée serait un peu différente des autres, et qu’elle me donnait rendez-vous le soir à 19 h, sans en dire plus.


Puis elle aborda cependant un point important dont m’avait parlé déjà ma femme, Sophie :



Elle me proposa alors tout de go de prendre le poste d’adjoint au DRH de son groupe, poste laissé vacant par le départ récent à la retraite de son titulaire. Et elle me vanta tous les avantages liés à la fonction.



En fait cela faisait quelques semaines que j’y réfléchissais, car ma femme m’en avait déjà parlé, elle-même voyant d’un bon œil cette éventualité :



Effectivement Sophie avait raison. C’était un virage intéressant dans ma carrière, et j’imaginais être utile tant au personnel qu’à la direction, et au final, à l’entreprise familiale du côté de ma femme. Je n’étais pour autant pas complètement dupe de la position de Sophie : nous avions discuté ensemble de la relation épistolaire que ma femme avait reprise avec son ancien amant, relation que j’avais tolérée cependant, mais après une discussion houleuse. Et donc si j’avais à l’avenir quelques soirées par mois de libres, elle aussi…



Et elle m’embrassa en me roulant une de ses pelles d’enfer dont elle a le secret, baiser qui nous laissa scotchés, le temps de ma réflexion…


En la repoussant doucement, je lui dis :



Folle de joie, elle me serra dans ses bras en ajoutant :





* * *




À 19 h, je sonnai chez Louise qui m’ouvrit aussitôt en m’embrassant furtivement sur les lèvres et en m’amenant dans le salon où m’attendaient deux personnes.



Et pour l’occasion, elle nous avait invités au restaurant pour fêter cette journée importante pour elle à trois niveaux : son anniversaire récent, mon acceptation d’entrer prochaine dans son entreprise et la fin de son contrat moral avec son ex-mari.


Anne et Alex étaient un couple reconstitué, vivant ensemble depuis plusieurs années. Et, chose assez troublante, ils avaient un décalage d’âge comme moi avec Louise : alors qu’Alex avait environ cinquante-cinq ans, Anne devait avoir autour de soixante-dix ans, voire même un peu plus. Elle pourrait être la mère de Louise.


Bel homme, mince et sportif, je devais découvrir par la suite qu’Alex était cultivé et très ouvert d’esprit. Et il était très amoureux d’Anne, une très jolie femme qui ne faisait pas son âge, car particulièrement bien conservée avec des cheveux longs, certes poivre et sel, mais avec un corps qu’auraient envié nombre de jeunes femmes. Même ses petites rides, à peine distinguables, lui donnaient un air très attachant. En fait, elle était complètement dans le style « Jane Fonda ».


Nous sympathisâmes tout de suite et Louise nous amena dans le restaurant qu’elle avait choisi, situé à quelques centaines de mètres de nos appartements. C’était un établissement sur réservation, uniquement pour des soirées privées associatives en semaine, et pour des clubs services, genre Rotary-club, les samedis et dimanches. Comme nous étions en semaine, une association avait réservé pour la soirée, mais le patron qu’elle connaissait avait reçu l’accord pour que nous puissions nous joindre à eux.



Et si Alex et moi étions dans des tenues assez classiques, ces dames s’étaient faites belles. Louise avait une petite robe noire, mi-cuisses, s’ouvrant tout du long sur le devant par des gros boutons, et comme elle en avait détaché deux en haut et en bas, elle était plutôt sexy. Anne n’était pas de reste avec une très courte jupette d’été à ras-le-minou et un haut moulant ses petits seins sans soutien-gorge… dont on distinguait nettement les mamelons qui dardaient en permanence.


La soirée s’annonçait belle, et nous rejoignîmes à pied le restaurant, Louise et moi nous tenant par la main en nous arrêtant de temps en temps pour nous embrasser comme des amoureux…


Le patron nous accueillit fort sympathiquement et nous installa dans la salle du restaurant où étaient déjà arrivées une bonne trentaine de personnes réparties par tables de deux ou de quatre.



Tout le monde nous salua, nous nous sentîmes à l’aise de suite. Et nous avons commandé, en prenant pour l’occasion une bonne bouteille de champagne en apéritif.


Avant que le premier plat arrive, je me suis levé pour aller me laver les mains. Et là, dans les toilettes qui côtoyaient étrangement des douches, il y avait sur l’évier un carton marqué « mercredi ». Comme nous étions mercredi, curieux, je me suis penché et quelle ne fut pas ma surprise de voir qu’il s’agissait d’un stock de préservatifs et de lubrifiants, visiblement à disposition… Et sur les murs, aux portemanteaux, étaient accrochés des peignoirs. Je commençais à me douter alors de la teneur de la deuxième partie de la soirée…


En souriant, je revins à table où la discussion allait bon train, et où je constatais que Louise et Anne étaient très liées, malgré le fait que l’une aurait pu être la mère de l’autre.


Au milieu de repas, je décidai de leur parler de ma découverte :



Tous les trois regardèrent discrètement les autres tables, et reconnurent qu’effectivement cela était bien le cas. Alors, je leur parlais de ma découverte dans les toilettes…


Il y eut un moment de silence entre nous. Après avoir à nouveau regardé les autres tables, nous nous regardâmes un peu interloqués… Puis Louise dit :



Pour en être sûre quand même, Anne se pencha vers la table voisine où dînait en amoureux un couple de quinquas.



Pas de doute, nous étions bien tombés dans une soirée très coquine.


Voyant qu’Anne et Alex ne semblaient pas choqués ou gênés ni moi non plus d’ailleurs, Louise reprit :



Après un petit silence, je repris :



Alors Alex ajouta :



Louise me regarda. Je lui pris la main et la serra fort.



Ma réponse dut lui plaire. Nous avons alors changé de sujet pour nous concentrer sur les langoustes flambées que nous apportait le jeune serveur d’à peine vingt ans… qui avait les yeux fixés sur le décolleté plongeant de Louise et sur la culotte d’Anne que laissait voir de temps en temps, son subtil jeu de jambes.


Et, cerise sur le gâteau, le patron nous apporta au dessert une bouteille de champagne « cadeau ».



La tête nous tournait un peu après avoir bu pas mal d’alcool, et je me doutais bien que cette dernière bouteille offerte par le patron était un cadeau bien calculé de sa part. Utile sans doute pour lever nos dernières inhibitions…


À la fin du repas, Louise se rendit aux toilettes. Quand elle revint, elle avait déboutonné en haut et en bas deux autres boutons de sa robe, laissant ainsi largement voir son soutien-gorge et ses seins, ainsi que, quand elle marchait, sa petite culotte.



Anne et Alex étaient ravis, et nous nous sommes levés pour nous diriger vers la grande salle de danse attenante où nous avions vu des couples entrer et quelques hommes seuls arriver après le repas.


Tout le monde dansait, et c’était un régal des yeux que de voir toutes ces belles femmes, de tous âges, se déhanchant sur des rythmes cubains ou latinos. Et vu les sourires amicaux que nous adressaient les uns et des autres, tous semblaient visiblement contents de notre participation à leur soirée. Cela dura un bon quart d’heure, puis Ève, la belle animatrice blonde de la soirée, nous dit dans le micro :



Rires dans la salle, je suppose que cela devait dire que nous étions un peu profanes…



Sous des cris de satisfaction, tout le monde se dirigea vers la porte du fond… Nous nous regardâmes tous les quatre, et nous suivîmes la troupe pour entrer dans une pièce plus petite, où la musique était composée de slow langoureux. La lumière y était très tamisée, on voyait à peine son voisin.



Nous réussîmes à nous caler ensemble Louise et moi, Anne et Alex étant tout près de nous. La promiscuité avec les autres était forte, mais c’était bien sûr, le but recherché.


Je pris Louise dans mes bras et je la serrai contre moi pour danser lentement sur cette musique très sensuelle. Elle m’embrassait comme elle aimait le faire, en fourrant dans ma bouche sa longue langue veloutée que j’adorais. Et mon corps se lova contre le sien… le bonheur ! Et si nos amis faisaient de même à côté de nous, je sentais parfois le corps d’Anne me frôler… délice exquis !


Tout à coup, je sentis Louise se crisper un peu. Deux mains venaient de lui passer sur le côté des seins, un homme venant se mettre derrière elle. Tout en laissant mes hanches collées contre les siennes, je décollai mon torse pour que l’homme puisse la caresser plus facilement, ce dont il ne se priva pas. Ses mains avaient fait sauter un autre bouton de la robe, pour pouvoir accéder directement au soutien-gorge. Et là, elles se glissèrent à l’intérieur et commencèrent à palper les seins de Louise, avec application et délicatesse… Elle se lâcha petit à petit, se laissa faire en m’embrassant, troublée par mon sexe qu’elle sentait bandé contre elle et par les mains de l’homme derrière elle.


Un nouvel homme vint se positionner derrière elle. Et je sentis que ses mains écartaient les jambes de Louise, remontaient sa robe sur ses hanches, et venaient s’introduire dans sa culotte… Louise était tétanisée, deux mains dans son soutien-gorge, deux mains dans sa culotte, et moi qui l’embrassait…



Alors elle se cambra, puis déposa sa tête en arrière sur l’épaule de l’inconnu collé à son dos. Et il l’embrassa à pleine bouche pendant que ses mains pinçaient durement ses tétons dressés. Ce qui la fit tressauter de douleur et de plaisir, surtout que je sentais qu’une main de l’autre homme était en train de caresser sa chatte…


Par les pressions que ses mains faisaient sur mes bras, je savais qu’elle voulait me remercier du plaisir qu’elle recevait… Je la sentais prête à jouir…


Mais c’était sans compter sans l’animatrice, Ève qui reprit la parole en annonçant :



Les deux hommes la lâchèrent pour aller vers d’autres destinations, et elle vint se serrer contre moi visiblement ravie…



Je n’entendis pas la suite, un grand mouvement de jeux de corps qui bougent nous éloigna un peu l’un de l’autre, et je me suis trouvé alors collé de face à Anne. Vu qu’Alex s’était lui aussi trouvé poussé contre Louise, j’entendis Anne glisser à Louise :



Et elles pouffèrent de rire, avant que nous soyons éloignés les uns des autres par les mouvements de recomposition des couples.


Je me retrouvai donc pressé contre Anne, mes mains l’enlaçant pour que nous ne tombions pas sous la poussée de la foule. Et je bandais toujours, ce qu’elle ne pouvait ignorer vu que mon bassin était collé contre sa jupette. Dans la position où j’étais, je ne pus que poser mon visage contre le sien. Et me laissant emporter par un mouvement des couples proches de nous, mes lèvres se posèrent sur les siennes comme par inadvertance, nous restèrent ainsi un instant, avant d’ouvrir nos bouches pour nous embrasser tendrement… Quel délice, ma langue la pénétra et nous échangeâmes un long baiser suave…


Dans ma tête, je me disais alors que c’était assez incroyable. Moi, trentenaire j’étais en train d’embrasser une femme de plus de soixante-dix ans, tout en commençant des petits mouvements de va-et-vient avec mon sexe dressé contre sa chatte… c’était très bon, et je dois même dire que cela m’excitait terriblement. Sa peau était douce et tendre, son corps se collait contre le mien, un véritable régal.


Je descendis alors mes mains dans son dos pour arriver sur le haut de ses fesses. Et là, je sentis deux mains qui prenaient les miennes et qui, ayant relevé la jupe d’Anne sur ses hanches, les forcèrent à entrer dans sa culotte… C’était Ève qui « s’occupait des petits nouveaux ». Alors que j’embrassais toujours Anne, elle poussa fort une de mes mains pour qu’elle vienne se caler entre ses cuisses, sur son sexe très humide… Et là, doucement, sans m’en rendre vraiment compte, tellement cela me semblait normal, je me mis à caresser ce sexe très doux, que je sentais palpiter sous mes doigts baladeurs… Anne soupirait doucement, je la sentais se coller de plus en plus fort contre moi… Et cela dura plusieurs minutes, ma bouche scotchée à la sienne, mon sexe collé à son ventre, ma main caressant sa chatte… Elle commença doucement à feuler à mon oreille… Mais la voix d’Ève dans le micro nous fit redescendre sur terre :



Autour de nous, toutes les femmes se mirent à genoux. Alors que nous nous regardions sans savoir trop quoi faire, Ève vint poser sa main sur la tête d’Anne, et en appuyant dessus lui fit comprendre qu’elle devait elle aussi s’agenouiller. Elle résista un peu pour la forme, puis finalement descendit contre mon corps et se mit à genoux face à moi… Et là, les mains d’Ève défirent lentement ma ceinture, baissèrent mon jean et mon slip, mon sexe jaillissant pratiquement face au visage d’Anne. Avec ses doigts, elle força Anne à ouvrir la bouche, approcha sa tête de ma bite, puis enlevant rapidement ses doigts, elle appuya sur sa nuque pour que ma bite entre dans sa bouche. Puis la main d’Ève poussa la tête d’Anne pour la faire aller et venir… Délice exquis, Anne me suçait… Et vu qu’elle y mettait du cœur, Ève s’éclipsa… Je suppose pour aller « s’occuper » de Louise et Alex…


Quelle merveille, Anne, la meilleure amie de Louise me suçait… et elle savait faire ! Elle suçait doucement, puis de plus en plus vite, de plus en plus profond, et quand elle sentait mon sexe palpiter, elle retirait sa bouche pour lécher lentement mes couilles en les prenant dans sa bouche. Puis elle revenait vers ma queue, la léchait avec application et gourmandise, la caressait avec ses doigts agiles, puis se remettait à la sucer très lentement, se l’enfonçant progressivement pour bien la caler au fond de sa gorge… c’était comme si le temps s’arrêtait. Une grande experte…


Et là je me dis qu’en l’espace d’à peine deux jours, je m’étais fait sucer par trois générations de femmes. D’abord Sophie, ma femme, le matin de mon départ, trentenaire qui suce plutôt rapidement dans une logique de préliminaire pour bien se faire prendre ensuite et avoir son orgasme. Puis Louise, sa mère, qui m’a sucé la veille avec application, dégustant longuement mon sucre d’orge en se l’enfournant au fond de la gorge, instants magiques précédents sa jouissance fortement cérébrale. Enfin Anne, qui pourrait être ma grand-mère et qui à ce moment-là me suçait avec délicatesse, lentement, avec des lèchements et des prises en bouche raffinés, tout en me branlant avec une main en me caressant les fesses de l’autre. La grande classe… Trois générations de femmes, trois expertes à leur manière…


Et la voix d’Ève se fit entendre dans le micro :



Tout le monde bougea dans la pénombre, se rajustant en rigolant, de manière décontractée. Alors Anne se leva, me sourit, remonta mon slip et mon jean, puis referma ma ceinture en me regardant dans les yeux avec malice. Nous nous dirigeâmes vers la pièce d’à côté, une immense chambre avec plein d’alcôves et une sorte de scène centrale avec un lit en forme de cœur et un canapé recouvert d’une grosse couverture. Louise et Alex s’y tenaient déjà. Nos femmes se rapprochèrent et se dirent des choses à l’oreille… ce qui les fit éclater de rire ! Alors Alex et moi, ne voulant pas être de reste, nous nous tapâmes dans les mains en signe de complicité !


Alors que les coins câlins commençaient à se remplir de couples, Ève se tourna vers Louise et moi et nous demanda de nous déshabiller. Ce que je fis rapidement sans me faire prier. Et tandis que Louise enlevait rapidement sa robe et sa petite culotte, son soutien-gorge ayant bizarrement déjà disparu (!), on entendit notre public glousser… Il faut dire que si ses seins étaient encore plus magnifiés par la lumière tamisée, j’avais de mon côté le sexe en pleine érection. Visiblement, si nous ne savions pas ce qui allait arriver, le public, lui, le savait. Toujours souriante, notre animatrice me demanda à moi de me mettre debout derrière le canapé, et à Louise de se mettre à genoux dessus sur les coussins, face à moi, sa tête à quelques centimètres de ma bite tendue.


Et là, elle approcha une bouteille de champagne qu’elle avait près d’elle et en fit couler un peu sur mon sexe en disant dans son micro !



Éclatant de rire en regardant tout le monde, ma belle-mère prit ma bite en main en la branlant doucement. Sans façon elle approcha ensuite son visage et commença à la lécher avec gourmandise, en s’arrêtant de temps en temps pour qu’Ève puisse l’arroser avec sa bouteille. Et se tournant parfois vers son public, Louise ouvrait alors largement la bouche pour montrer à tous sa récolte de champagne, avant d’avaler en se léchant consciencieusement les lèvres. Il était clair qu’elle se régalait de cette bite au champagne visiblement délicieuse.


Puis Ève fit couler du champagne sur les seins de Louise, ainsi que le long de son dos jusqu’aux fesses. Je compris pourquoi le canapé avait cette grosse couverture qui permettait ainsi tous les arrosages possibles. Et elle dit aux trois hommes seuls qui nous entouraient ayant répondant à son appel :



Ce fut magique. Alors que Louise se remettait à me sucer en continuant par une gorge profonde au champagne, les deux hommes s’assirent dans le canapé de part et d’autre d’elle, et tous deux se mirent à lui lécher le sein le plus proche, se régalant eux aussi de déguster un si merveilleux sein au champagne, léchant lentement, puis mordillant fermement les pointes érigées devenues très tendues. Et notre jeune animatrice continuait à arroser Louise avec une nouvelle bouteille que le jeune serveur, les yeux écarquillés par le spectacle, avait apporté… Quel show !


Alors qu’Ève demandait à l’un des deux hommes de se soulever un peu pour qu’elle fasse glisser son pantalon et son slip aux chevilles, elle prit la main de Louise et la posa sur un sexe de beau calibre. Message que perçut, bien sûr, Louise qui commença à le branler lentement. Et notre animatrice fit de même avec l’autre homme, ce qui fit que Louise avait ma bite dans sa bouche et qu’elle branlait en même temps deux hommes avec application…


Enfin le dernier homme se mit à lui lécher le dos d’abord, puis à descendre doucement en fourrant sa langue dans sa raie culière, écartant ses fesses avec ses mains pour se délecter du champagne qui y coulait telle une source magique et secrète, tout en passant sa main entre ses cuisses pour remonter vers son clito qu’il commença lentement à caresser… Et Ève continuait à déverser le champagne abondamment, c’était d’un érotisme torride.


Je regardais Louise fixement dans les yeux, elle était comme transie. Jamais elle n’avait connu pareil plaisir, ma bite dans sa bouche, deux hommes lui léchant les seins pendant qu’elle les branlait, et un dernier qui s’abreuvait avec application du champagne qui jaillissait entre ses fesses tout en la branlant d’une main très expérimentée… Tout à coup, pendant qu’Ève continuait à l’arroser avec une troisième bouteille et que son corps luisait intensément, la musique s’arrêta, tout le monde reprenant alors en chœur :



C’est alors que les deux hommes qui s’occupaient de ses seins se mirent à saisir entre leurs doigts ses mamelons et à les écraser fermement tout en les tirant très fort, le troisième lui pinça le clito tout en enfonçant sa langue au plus profond de sa raie… Je l’ai sentie vibrer, tressauter, avant qu’elle ne lâche ma bite pour pousser un long feulement de jouissance alors que tout le monde l’applaudissait autour de nous.


Les applaudissements durèrent autant que les déflagrations qui secouaient son corps tétanisé par la puissance de son orgasme et qui durèrent au moins une bonne minute. Spectacle live incroyable, la jouissance à l’état pur en direct, le tout arrosé de champagne. Un grand moment d’anthologie…


Comme terrassée, elle s’affala sur le lit, alors que je me couchai près d’elle et la pris tendrement dans mes bras. Anne s’approcha alors de nous, me regarda fixement avant de donner une petite tape taquine sur ma queue toujours dressée…



Lui adressant un clin d’œil, je me mis doucement à embrasser ma belle-mère en l’allongeant sur le dos, puis me collai contre elle… Et je lui ouvris les jambes avec les miennes, et vins me positionner face à elle. Écartant largement les cuisses, elle me regarda fixement, et me dit :



Doucement je commençai à la pénétrer, mon sexe s’enfonçant dans sa chatte merveilleuse, moment que nous attendions tous les deux depuis longtemps, moment d’amour très fort. Quel plaisir de la pénétrer, de commencer à aller et venir en elle, dans un océan de velours, très doux, très chaud, très bon…


Et là, je me suis dit qu’enfin, je baisais ma belle-mère… Je la baisai d’abord doucement, en pénétrant et en me retirant presque complètement, puis à grand coup de reins, la labourant bien à fond pendant qu’elle me griffait les épaules tellement le plaisir était fort pour elle. Nous nous regardions droit dans les yeux, nos sexes s’accordant à merveille, elle remuant ses hanches pour que je vienne au plus profond d’elle-même.


Elle me dit à l’oreille :



Ces mots crus étaient très forts, mais je ne voulais pas jouir tout de suite, je ne voulais pas gâcher son plaisir trop rapidement. Toujours en elle, je me mis sur le dos, elle étant à cheval sur moi.


Ce fut elle qui me chevaucha, montant et descendant sur ma bite. Elle s’arrêtait parfois, se cambrait un peu en arrière pour remuer ses hanches et sentir mon sexe au fond de sa chatte comblée, en faisant de petites rotations pour bien le ressentir. Puis elle se penchait vers moi en reprenant sa chevauchée sauvage, et recommençait à aller et venir sur mon mandrin, en secouant son corps au rythme du plaisir qui montait en elle.


Tout le monde regardait, les yeux fixés sur ses fesses écartées qui montaient et descendaient sur ma queue tendue au maximum, sa croupe de déesse coulissant au rythme de ses déhanchements… Alors, pour leur en donner plus, je pris ses fesses entre mes mains et les écartaient au maximum pour que son trou du cul exquis apparaisse à la vue de tous, superbe fleur froncée admirablement bien dessinée qui donnait encore plus de cachet à ce moment artistique magique !


Le jeune serveur vint alors près de nous et demanda à Louise :



Surprise, elle s’arrêta quelques instants, le regarda, regarda ensuite sa main aux beaux et longs doigts effilés qui tenaient un sachet de lubrifiant, puis se tourna vers moi avec un petit sourire quêtant ma réponse… Et je ne dis rien, je lui souris simplement…



Et pendant qu’elle recommençait à faire aller et venir sa croupe sur ma bite, le jeune commença à descendre sa main entre ses fesses. Et plus sa main descendait et s’approchait de son merveilleux trou de cul, plus Louise commençait à sentir le plaisir monter en elle… et plus moi, je sentais que je n’allais pas pouvoir me retenir encore très longtemps…


À travers cette communion intime, je sentis que le jeune avait posé son doigt bien lubrifié sur la rosette magique, et qu’il commençait à pousser… sa première phalange entra alors facilement. Louise écarquilla alors les yeux et ne bougea plus attendant la suite. Je sentis que le doigt s’enfonçait plus profondément, encore plus, puis complètement et bien au fond, comme Louise lui avait demandé.


Alors, elle recommença sa chevauchée, le jeune accompagnant ses mouvements en faisant aller et venir son doigt dans son cul, de plus en plus fort, de plus en plus loin… Baisée par ma bite et enculée par le jeune, Louise se mit à secouer sa tête dans tous les sens en commençant à émettre d’abord des râlements.


Puis le jeune se déchaîna en faisant aller et venir son doigt pour l’enculer le mieux possible, en lui claquant les fesses de son autre main. Et plus il allait vite, plus il lui claquait les fesses fortement, et plus je soulevais mes hanches pour la baiser bien profondément en même temps… Et elle me dit à l’oreille :



Rapidement, le plaisir la saisit à nouveau… Alors qu’elle hurlait de bonheur complètement tétanisée, tremblante, comme électrocutée de plaisir, je pris ses seins lourds dans mes mains en les écrasant, en les griffant, et je lâchai tout. Et je jouis bien au fond de sa chatte en déversant de longues et belles salves de sperme, ce qui l’a fit hurler encore plus fort.


L’extase… moment de pur bonheur !


Puis elle s’abattit sur moi, scotcha son sexe au mien sans bouger, juste pour le plaisir de le sentir encore en elle, le plus longtemps possible. Et pendant que le jeune retirait doucement son doigt, elle se pencha vers moi et me dit :



Et elle m’embrassa sous les regards des couples complices qui nous regardaient, les hommes s’étant mis à l’aise, les femmes les suçant et les branlant avec délicatesse. Après le spectacle que nous leur avions offert, le moment était désormais venu pour eux aussi d’entrer « dans le vif du sujet » avec leurs complices !


Je proposais à Louise de rentrer à l’appartement, en laissant Anne et Alex terminer la soirée comme ils le voudraient. Nous nous dirigeâmes vers les sanitaires, et après une douche, nous nous rhabillâmes en nous embrassant comme des amoureux que nous étions. Puis nous allâmes saluer Ève et le patron, celui-ci nous disant :



Visiblement, nous étions admis dans le club.


Nous nous approchâmes du lit central, désormais occupé par Anne, mais qui n’y était pas seule. Le jeune serveur était en train de la prendre en levrette en la défonçant à grands coups de reins, pendant qu’elle suçait l’homme du couple qui nous avait proposé de nous servir de guide durant le repas. Et Anne était comme huilée, cadencée, lubrifiée, les deux hommes s’accordant pour faire aller et venir leurs sexes en elle, comme une merveilleuse mécanique humaine. Debout derrière le jeune, deux hommes attendaient tranquillement leur tour pour baiser Anne, en se caressant tout en matant le spectacle.


Dans le canapé Alex qui se faisait sucer par la femme du couple nous dit :



Nous nous éclipsâmes discrètement, et regagnâmes l’appartement.




* * *




Louise m’amena directement dans sa chambre. Et elle me dit :



Elle m’expliqua alors qu’elle ne s’était jamais fait sodomiser, son mari étant trop « gros » pour cela, et elle craignait d’être déchirée. Mais mon gabarit étant d’après elle, plus « raisonnable », elle souhaitait se donner à moi ainsi, ce soir. Elle n’y allait pas par quatre chemins, mais finalement cela me convenait parfaitement.


Nous nous déshabillâmes, et après quelques préliminaires où elle me remit au garde-à-vous sans difficulté, elle se retourna, me tendit ses fesses en me donnant un petit flacon de lubrifiant qu’elle avait préparé à l’avance.



Avant toute chose, je l’honorai d’un délicieux massage « feuille de rose », léchant tendrement son si merveilleux trou du cul. Je tournais autour, l’embrassais, le titillais, le salivais, puis le pénétrais doucement avec ma langue. Je l’entendais soupirer de plaisir…



Puis je mis un peu de lubrifiant sur deux doigts, les posais sur sa rondelle d’amour, et lentement, après la petite résistance bien connue, je commençais à la pénétrer d’abord du bout des doigts, puis à demi, enfin complètement. Mes deux doigts enfoncés complètement jusqu’à la garde, je pris possession de son corps alors qu’elle se cambrait en râlant doucement…



Et je tournais doucement mes doigts en elle, les faisant aller et venir, lui massant ses muscles internes si merveilleux pour les habituer et transformer la petite douleur initiale en plaisir exquis.



Alors, approchant mon sexe de ses fesses, d’un seul coup je retirai mes doigts pour les remplacer immédiatement par ma bite, en poussant certes un peu quand même pour que ça rentre, et que mon gland soit complètement « avalé » par son cul. Elle poussa un petit cri… Je ne bougeai plus, fiché en elle, ma bite serrée merveilleusement par son trou du cul.



De la main, elle me fit signe d’attendre un peu. Puis, au bout de quelques secondes, elle répondit :



Lentement, je poussai ma queue entre ses fesses, par des petits mouvements d’abord, puis de plus en plus loin, très profondément, jusqu’à être complètement en elle.


Elle se cambrait pour mieux me ressentir, et je commençais doucement à faire des mouvements d’avant en arrière en la tenant par les hanches… Je coulissais très bien en elle, son anneau me serrant bien à la base, ma bite très à l’aise à l’intérieur de son cul. C’était magique.


Et là, je me suis dit que je venais de passer avec mon amante un cap fantastique. Ma belle-mère, cette femme si hautaine dans le passé, distante et parfois même méprisante, j’étais en train de l’enculer en la labourant de grands coups de reins qui la faisaient tressauter à chaque fois, et elle ne boudait pas son plaisir.



D’elle-même, elle se faisait coulisser sur ma queue, tout en posant une main sur sa chatte pour se caresser en même temps…


Alors, je me mis à lui claquer les fesses, d’abord doucement, puis de plus en plus fort. Visiblement elle aimait ça, car ses feulements de plaisir que je commençais désormais à bien connaître annonçaient son plaisir imminent…



Et là, je ne puis plus me retenir, et je m’enfonçai complètement au fond de ses entrailles pour y lâcher mon sperme chaud le plus loin possible pendant qu’elle tressautait, son cul me comprimant la queue à plusieurs reprises au rythme des secousses dévastatrices qui la traversaient…


Cet acte d’amour était pure merveille. Pour sa première fois « par derrière », Louise et moi avions partagé ensemble un orgasme magique, en étant complètement soudés, unis de la manière la plus belle dont un amant et une amante peuvent l’être. Un moment fort qui restera inoubliable dans notre histoire.


Et nous restâmes ainsi l’un dans l’autre, laissant la vague repartir lentement, très lentement. Moment précieux que cette extase partagée entre un homme et une femme qui s’aiment.



Elle ne dit rien, mais s’allongea sur le lit, en faisant en sorte de me garder en elle.