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L'annonce inattendue

Résumé :

Après s’être donné du plaisir mutuellement à tour de rôle (voir Un réveil inattendu) et Un moment très intime), le début de week-end de reprise en main a continué pour nos deux quinquagénaires avec le Jeu des souvenirs qui a fait remonter des souvenirs agréables.

À son retour, après un passage aux stands pour une vidange, elle me rejoint dans la cuisine. Aux bruits des craquements des planchers, je sais qu’elle n’a pas triché, elle n’est pas passée dans la chambre. Bisous, câlin, grand verre d’eau et elle me raconte rapidement sa journée pleine d’enthousiasme. Sa cliente veut lui confier un très gros projet, il va falloir qu’on discute de certains détails, car il ne va lui être facile de tout faire seul. Elle aimerait bien que je l’aide pour plusieurs trucs, mais ce sera pour plus tard.

On fait un tour dans le jardin, pour vérifier que tout va bien, on arrose les plants qui en ont besoin. Subitement elle me tend un morceau de papier sur lequel je peux lire :

Elle me regarde toute fière :

• — Je suis certaine que tu n’as pas respecté mes consignes pour faire ton choix. Tu pensais m’avoir en mélangeant les ensembles, mais je te connais, gros dégueulasse !
• — Tu n’as jamais dit que je n’avais pas le droit de panacher !
• — C’est ça, oui ! J’ai donc raison, la robe noire, bien que neuve, t’a certainement rappelé l’autre que nous avons tant utilisé dans nos jeux. Tu n’as pas pu résister, j’en suis certaine. Et pour le string fendu, vu de ce qu’il te provoque comme réaction phallique quand tu le découvres sur moi, tu auras du mal à me faire croire que tu ne l’as pas descendu avec la robe ! Allons voir alors, ce que tu as mis sur le lit.

On se précipite comme deux gamins dans la chambre, elle rentre la première, éclate de rire en voyant la robe.

• — J’le savais, j’ai gagné, tu vois la robe est bien là, me lance-t-elle triomphante
• — Euh non, désolé, Madame.

En regardant de plus près, elle se rend compte qu’il n’y a qu’un seul vêtement.

• — Tu as triché, tu devais descendre un ensemble. Je savais que tu ne respecterais pas mes consignes, mais pas que tu ruserais à ce point.
• — Donc j’ai gagné !
• — Tricheur, mais bon comme c’est ton anniversaire, je vais être bonne joueuse, j’accepte ta semi-victoire. Tu as donc le droit à un gage, mais pour autant, je me réserve le droit de refuser, car ta victoire n’est que partielle.

Surpris qu’elle lâche aussi facilement l’affaire, il ne me faut qu’une demi-seconde pour faire mon choix, car j’y ai pensé avant qu’elle ne rentre. J’ouvre notre tiroir magique et en sors une boîte. Ce sont des boules de geisha toutes nouvelles que j’avais commandées il y a quelque temps et que nous n’avons jamais utilisées. Je les avais juste désinfectées et chargé les batteries en cas de besoin. Les deux boules sont insérées dans un support en silicone avec une tige qui sert à mettre et retirer le jouet, mais aussi d’antenne pour le commander à distance. Je lui tends le jouet, mais je garde la télécommande.

• — Tu peux m’expliquer ce que c’est que ça ? me demanda-t-elle.

Je rentre donc dans quelques explications sur la provenance et surtout sur les détails du fonctionnement de l’engin de plaisirs. Elle tente bien de se sortir de ce piège, mais elle finit par abdiquer.

• — Tu triches, mais bon, je vais me rafraîchir et je le mets ton truc, gros bêta, par contre, je l’enlève dès que je veux. Mais, il me faut une culotte au cas où ce truc tombe. Je ne peux pas rester les fesses à l’air avec ça dans le ventre.

Très doucement je sors le brésilien que j’avais mis dans ma poche. Je vois ces yeux devenir tout brillant et même une petite larme lui coule sur la joue.

• — Tu t’en es souvenu ? T’es vraiment un mec extra !
• — Oui, je m’en souviens, comment veux-tu que j’oublie notre rencontre.
• — Mais au fait, as-tu réussi à refaire tous les couples ?
• — Oui, j’ai retrouvé facilement, les ensembles et les souvenirs qui vont avec, enfin je pense.

Je la prends dans mes bras avec le maximum de tendresse possible. Notre étreinte durera un bon moment. Elle finit par reprendre ses esprits, je sens son corps se relâcher petit à petit et sa respiration revenir à la normale. On se sépare par un tendre baiser. La salle de bain est pour elle, les préparatifs de notre apéro pour moi. J’installe le tout dans notre salon et je me pose dans mon fauteuil favori.

Elle arrive. Elle est resplendissante dans cette tenue. Oui, je sais, je ne suis pas partial, mais quand même. Elle prend mon verre et me le tend, prend le sien et nous trinquons. Après une gorgée, les verres retournent sur la table, elle prend quelques amandes et vient s’asseoir sur moi, les jambes croisées sur un accoudoir. Elle pose sa tête sur mon épaule opposée et me donne à manger en alternance avec elle. J’ai une main dans son dos et l’autre sur une cuisse.

Je commence un grand bal des mains. Je profite au maximum de sa peau accessible. Je la sens se détendre et j’entends les premiers soupirs. Ses jambes se décroisent et son corps se recale sur moi pour me donner plus d’accessibilités à ses zones intimes. Une fesse appuie maintenant sur mon sexe. Mes doigts profitent de l’espace libéré pour se promener franchement entre ses cuisses sous la robe. À l’opposé, j’attrape doucement ses cheveux et tire délicatement, mais fermement sa tête en arrière pour voir son visage. Elle se laisse faire et remonte même son genou encore plus vers moi pour m’offrir le maximum d’accès à ses trésors. J’arrive donc facilement au contact du tissu de ce fameux brésilien.

Je finis par toucher ce que j’espérai trouver. Agrippant la tige à travers le tissu, je commence un léger va-et-vient. Son corps se love encore plus contre le mien écrasant maintenant mon sexe qui commence à se remplir de sang. Elle ferme les yeux pour se concentrer, ouvre légèrement la bouche pour faciliter sa respiration. Je sens qu’elle prend du plaisir. Oh ! pas un truc énorme, mais plutôt quelque chose de délicat qui vient de très loin. J’arrive à attraper la télécommande et je mets en marche les vibrations au niveau le plus faible.

Elle est, bien entendu, surprise par ce qui se passe dans son ventre, mais elle me laisse faire. La culotte limite mon action sur les boules. Je la contourne. Je ne peux que constate la moiteur très présente et une forte chaleur. Je reprends l’antenne en main. Au fur et à mesure, j’augmente l’amplitude et la fréquence des mouvements Il ne me faudra pas beaucoup de temps pour arriver à la faire jouir fortement cette fois-ci. Elle serre les cuisses pour m’arrêter. Je stoppe les vibrations.

Après quelques minutes, j’ai le droit à un de ses baisers secrets puis un énorme câlin, un long moment de tendresse et d’amour. Subitement, elle se lève et prend sa place dans le grand canapé. La soirée reprend comme si de rien n’était. Pola m’explique en détail son projet professionnel et ce qu’elle espère obtenir de moi pour la réussite de l’opération. On grignote, on rigole, elle est intarissable sur l’avenir de sa petite entreprise, elle envisage, de s’agrandir. Elle aimerait embaucher sa dernière stagiaire avec qui le courant est très bien passé. Elle est très jeune, mais très mature et super motivée.

Discrètement je remets en route les vibrations, mais elle continue de jacasser comme si de rien n’était. Je passe la deuxième puis troisième vitesse, elle ne laisse rien paraître de son trouble, continuant de dévoiler ce qu’elle imagine pour la suite de ses affaires. Je finis par penser qu’elle a enlevé le sextoy sans même que je m’en rende compte ou qu’il est en panne, mais non, malgré tous ses efforts, elle n’arrive plus à se contrôler. Elle se vautre dans le canapé et libère son plaisir dans un grand gémissement, tout en plaquant ses mains sur son bas-ventre. Je coupe les vibrations.

• — Salaud, tu veux ma mort ou quoi ? Tu ne peux pas me laisser un peu de répits. Je sais bien qu’on est en manque, mais laisse faire le temps.
• — Oui, d’accord, mais c’était bon quand même ?
• — Oh oui, très bon, merci une nouvelle fois. Avant de continuer le repas, je voudrais qu’on aille dans la chambre jaune, voir les ensembles que tu as reconstitués. Il faut que je te dise quelque chose.
• — …

Je ne peux pas répondre, elle a profité de mon temps de surprise pour se lever et mettre sa main devant ma bouche.

• — Chut ! On y va.

Elle me prend par la main passe devant moi dans les escaliers. Bien entendu, ma main libre ne peut pas rester tranquille, ses courbes sont beaucoup trop tentantes. Elle ouvre la porte de la chambre, me lâche et tourne autour du lit, enfin, trois quarts de tour. Je m’appuie dos à un mur. J’ai l’impression qu’une grande émotion monte en elle. Un long silence envahit la pièce. Elle revient vers moi, s’appuie le dos contre ma poitrine, je la prends dans mes bras et j’attends qu’elle se décide.

• — Il y a un point commun entre toutes ses tenues, me dit-elle. Mais je suis certaine que tu ne l’as pas trouvé, de toute façon, tu ne peux pas, puisque tu n’es pas forcément au courant de tout.
• — Alors, si je ne peux pas trouver je t’écoute.
• — Ne m’interromps pas s’il te plaît autrement je ne vais pas y arriver. Tu te souviens de l’usine où on s’est rencontré. Je travaillais avec Nadine. Lorsque j’ai mis la robe noire la première fois le jour du barbecue, elle a passé la matinée à me faire du rentre-dedans. Le pantalon en cuir, tu as toujours dit que j’avais l’air « garçonne » là-dedans, le short, je ne t’en parle même pas, tu étais là et tu te rappelles obligatoirement puisqu’on parle souvent de cette voyeuse…
• — Et la longue robe rouge ?
• — Tu te souviens que j’ai mis cette robe lors de l’anniversaire de Polo. Il y avait un couple de lesbiennes très libre et qui assumait pleinement. Eh bien durant la journée, elles ont tout fait pour me mettre dans leur lit.
• — Qu’est-ce que tu veux me dire, au final ?
• — Tu sais bien, depuis très longtemps, je me fais occasionnellement draguer par des filles. Jusque-là, cela m’amusait beaucoup et j’en étais même assez fière. Je n’ai jamais été attirée par les femmes jusqu’à maintenant, mais depuis l’arrivée en janvier d’une femme dans ma salle de sports, je suis troublée.
• — Qu’est-ce qui se passe ? Sois plus précise !
• — Voilà, dès l’arrivée de Violaine, nous avons sympathisé. On passait de plus en plus de temps ensemble pendant les activités physiques sur les machines, ou les séances de fitness. Puis au jacuzzi, au sauna, dans les vestiaires et enfin sous la douche. Avec le temps, on a fini par se faire certaines confidences. Elle m’a rapidement avoué être exclusivement lesbienne. Elle n’a même jamais eu de rapports avec un homme. Seuls un ou deux baisers et mains baladeuses adolescentes.
• — Il faut tout me dire, maintenant.
• — J’y viens. De fils en aiguilles, on a beaucoup discuté et elle a fini par me dire que je l’attirais beaucoup. Je lui ai expliqué que même si je l’appréciais beaucoup, ce n’était pas réciproque, que je suis mariée, fidèle et hétéro. Elle n’a jamais insisté, mais je ne sais pas pourquoi, elle m’avait touché. Je ne la regardais plus avec les mêmes yeux et je peux t’avouer que je pense souvent à elle. Je veux même te dire que je me suis amusée gentiment à la provoquer sous la douche en insistant sur mes seins ou mes fesses. Je ne serais pas te dire pourquoi, mais j’en avais envie. Ce qui explique que j’étais distante avec toi ces derniers temps.
• — Euh, je peux te dire que je ne l’ai pas vu arrivé, celle-là !
• — Dis, mon coco, tu te souviens qu’on a parfois fantasmé sur une tierce personne dans notre lit, tu voulais une femme et moi je laissais planer le doute sur mon choix.
• — Hey ma cocotte, oui, j’aurais préféré une femme, mais pour qu’elle s’occupe de toi avec moi, pas pour moi ! Et on n’a jamais parlé d’un homme. Tu n’en as jamais proposé et surtout ce n’était qu’un jeu entre nous.
• — Mais oui, c’est ça, je n’ai jamais voulu d’un autre homme, seulement en rigolant peut-être et encore, mais revenons à Violaine… C’est … avec son accord, … c’est… c’est ton cadeau pour tes 50 ans !
• — Quoi ! Je manque de m’étouffer.
• — Laisse-moi t’expliquer ! Un soir sous la douche, elle m’a confessé avoir envie de goûter à un homme pour voir, mais qu’elle serait incapable de le faire sans la présence d’une femme avec elle pour la guider, l’accompagner et la rassurer. Tu voulais une femme dans notre lit, elle veut tester un homme et je ne dis plus non pour faire un essai avec une femme.
• — Je voulais, je voulais… c’était un délire !
• — Oui, je sais, je dis ça pour te taquiner, mais maintenant, je te propose d’accueillir une femme dans nos jeux érotiques dimanche. J’ai besoin de savoir ce que tu en penses, il est encore temps de tout arrêter.
• — Écoute, je suis extrêmement surpris par ta proposition. Je peux dire que je ne l’ai pas vue venir. Je ne sais pas quoi te répondre.
• — Eh bien, réponds quand même. Laisse parler ton cœur et tes envies, on verra le reste après !
• — Je n’arrive pas à dire non, mais j’ai peur de dire oui et que tu penses que tu ne me suffis plus.
• — Mais c’est moi qui te fais une proposition, pas toi, alors décide-toi.
• — Donc tu es en train de me demander si dimanche, je veux recevoir ta Violaine pour une partie de six jambes en l’air ?
• — Oui, c’est ça. Pas très poétique, mais c’est une bonne image. Par contre, il faudra me laisser faire. En aucun cas, je ne veux être brusquée, ou plutôt si, justement ! Oh ! je me perds dans mes explications.
• — Explique, je ne comprends plus rien.
• — Si j’ai sorti le jean en cuir, c’est que j’aime bien comment il agit sur ta libido. Quand je le porte, tu changes, tu deviens un peu dominateur, tu me bouscules un peu, tu t’imposes. Tu n’es plus mon gros nounours, mais tu te transformes en mâle dominant, juste ce qu’il faut. J’aime ça !
• — Pourquoi tu ne me l’as jamais dit ?
• — Je ne sais pas, j’aime énormément aussi quand tu es comme tu es généralement. C’est compliqué, car je suis certaine que si tu étais toujours macho, je ne le supporterais pas, mais parfois j’aime ça. J’en ai envie en ce moment, par exemple, c’est pourquoi j’ai ces boules dans le vagin. Mais j’aime aussi beaucoup quand c’est moi qui dirige comme ce matin, par exemple. Tu vois, c’est très compliqué en ce moment dans ma tête et dans mon corps. Ce n’est pas une excuse pour ces derniers mois, c’est juste une explication.
• — Attends, attends… Donc si je résume, tu as envie que je te bouscule un peu de temps en temps, mais tu veux parfois me dominer, le tout en faisant rentrer une femme dans notre couple pour un test, tout en restant l’homme que je suis habituellement.
• — Pour résumer, c’est complètement ça !
• — Je t’avoue que cela me fait un peu peur, mais en même temps, je te mentirais en disant que cela ne m’excite pas aussi. Alors, je veux bien faire un test, mais j’y mets une condition.
• — Laquelle ?
• — Dès que l’un ou l’autre est dérangé par quoi que ce soit, on arrête tout et on en parle. Il est hors de question de mettre notre couple en jeu.
• — Oh, oui, je suis entièrement d’accord, je ne savais pas comment t’en parler.

Durant toute la conversation, nous n’avons pas bougé, elle est toujours dos à moi. Je plonge la main sur la télécommande et lance les vibrations au maximum tout de suite. Elle fait un petit bond puis colle ses fesses contre mon sexe. Je malaxe ses seins avec plus de fermeté que d’habitude. Je vais jusqu’à pincer un peu fortement ses tétons. Normalement, elle ne supporte pas ça, mais là, elle gémit en posant ses mains sur les miennes, et m’incite à continuer en remuant du cul. Il me semble ressentir les vibrations mécaniques à travers son corps.

Après plusieurs minutes de « pelotage » en règle, je descends une main vers le bas de sa robe pour passer en dessous. Son corps s’écarte du mien juste le temps de laisser remonter le tissu. Ma main retrouve sa poitrine, mais directement en contact avec sa peau. Mon autre main en fait autant, mais s’arrête sur son ventre pour redescendre sur son sexe en passant sous l’étoffe de la culotte. J’arrive rapidement sur le clitoris qui était déjà sorti de sa grotte protectrice. Elle ne peut pas contenir un petit cri de jouissance.

Je m’amuse avec elle un moment, puis tout en gardant mon pouce sur son clitoris, je descends le reste de ma main attraper la tige des boules tout en maltraitant agréablement ses seins. Il ne me reste qu’à imprimer un mouvement d’avant en arrière sur la tige pendant quelques minutes pour déclencher un magnifique orgasme. Ses jambes flageolent, je la soutiens d’une main et je retire délicatement le jouet de l’autre. Elle se retourne et passe ses bras autour de mon cou. Il lui faut un moment pour revenir sur terre.

On redescend continuer notre repas, chacun sur notre assise. Elle me donne un maximum de détails sur sa copine. Elle m’affirme que jusqu’à maintenant, il ne s’est rien passé entre elles, à part des bises très près des lèvres. Violaine a dix ans de moins que nous, elle est institutrice ce qui explique qu’il lui est difficile de draguer ouvertement. Elle a toujours vécu seule, mais rarement sans une copine quelque part. Par contre, depuis la rentrée qu’elle a été nommée dans le coin, elle écume les salles de sports sans succès jusqu’à leur rencontre.

Depuis, elle flashe sur elle et étonnamment sur moi bien qu’elle ne me connaisse que par les dires de ma femme et trois ou quatre photos.

Elle n’a jamais fait l’amour avec un homme, mais pour une raison qu’elle ne s’explique pas, elle veut tenter l’expérience avec moi à condition que Pola soit présente et active. Donc elle voudrait faire l’amour avec NOUS, finalement.

Son récit ne me laisse pas insensible, je me jette à genoux entre ses jambes et m’empresse de lui retirer son brésilien. Je la tire au bord de l’assise écarte largement ses cuisses et je plonge ma langue directement dans son sexe. J’avale tout ce qui coule de son ventre. De ses mains sur mon crâne, elle me guide. Sa jouissance arrive de nouveau, mais je ne la laisse pas respirer, fermement, je la fais se mettre à genoux sur le canapé, les bras sur le dossier, je lève la robe et l’embroche d’un seul coup. Elle veut être un peu bousculée, elle va l’être. Bien que ce ne soit pas dans ma nature profonde, j’en suis parfois capable et ce soir, c’est du grand niveau. Je me contrôle et me maîtrise de très longues minutes. L’avantage de mon âge, quand on a déjà éjaculé une fois, c’est possible de faire durer le plaisir longtemps. Elle a joui plusieurs fois quand je commence à sentir qu’elle est à bout de forces. Bien accroché à ses hanches, je me déchaîne une dernière fois, puis j’éjacule violemment sur ses fesses.

La journée a été très longue et pleine d’émotions. Elle me demande de l’aider à enlever sa robe pour éviter de la tacher avec les éclaboussures sur son cul. Elle vient avec moi, me donner un coup de main pour débarrasser, le cul à l’air maculé de sperme qui coule. On file sous la douche se laver mutuellement puis au lit tendrement enlacé sous la couette. Elle s’endort rapidement, j’ai plus de mal. Où cela va-t-il nous mener ?

Un fantasme, c’est une chose, la réalité c’est autre chose !

À suivre.