n° 16978 | Fiche technique | 18104 caractères | 18104Temps de lecture estimé : 11 mn | 28/08/15 corrigé 07/06/21 |
Résumé: Marie est sur le point de changer radicalement de vie. | ||||
Critères: ff fist double fsodo init | ||||
Auteur : Nooz Envoi mini-message |
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Résumé des épisodes précédents :
« La rentrée »
Marie, une femme mariée proche de la quarantaine, s’ennuie : son mari, Marc, la délaisse. Un soir de déprime, elle se réfugie sur Internet.
Attirée par un établissement libertin, Marie se lance dans l’inconnu. Elle rencontre un couple charmant qui l’initie.
Après une relation décevante avec un collègue et une mise au point avec son époux, Marie se confie à une personne qu’elle connaît peu.
« Le choix »
Marc essaie de reconquérir sa femme.
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Le rendu des notes et des appréciations de fin de semestre, et les sempiternelles explications qu’elle doit donner à certains étudiants lui prennent une grande partie de la journée. Ce matin, elle a préparé sa valise, dit au revoir à ses enfants et embrassé Marc.
Le taxi pénètre dans la grande allée, la porte du bâtiment est ouverte, et Katie attend sous le pignon. Elle pose ses lèvres sur celle de Marie, la saisit par la main.
Suit ensuite une déambulation dans un nombre incalculable de pièces, toutes plus belles et richement équipées. Marie, au début éblouie, se lasse de cet étalage : les fesses de son hôtesse visiblement libres sous sa jupe attirent plus son regard concupiscent. Elle pose une main sur sa hanche.
Elle l’embrasse et glisse une langue agile.
Le repas est un supplice pour Marie ; Katie parle beaucoup, elles sont séparées par une longue table et elle picore les mets, au demeurant délicieux. À 21 heures, elle a appelé Marc comme d’habitude quand elle est en déplacement. Sa voix est chevrotante ; est-ce à cause de la supercherie ou du désir qui bouillonne en son ventre ?
22 heures. Katie, sans un mot maintenant, déshabille Marie ; elle tremble quand sa culotte glisse sur ses cuisses. Sa future amante l’observe nue, et déboutonne sa robe qui tombe à ses pieds. Comme l’a subodoré Marie, elle est totalement nue en dessous. Elle se rapproche, les pointes de seins s’effleurent et enflent. Katie passe sa main sur les fesses de sa compagne.
Elle la couche sur le lit.
Marie se réveille ; elle est imbriquée dans le dos de Katie endormie, ses bras entourent encore la femme qui vient de s’accaparer sa virginité lesbienne. Tout doucement, pour ne pas la réveiller, elle se sépare, et le corps de Katie dans un soupir tombe sur le dos. Elle détaille le corps alangui qu’elle lui offre : elle ne peut croire que cette femme approche des 55 ans, avec ses petits seins qui pointent vers le plafond, et son ventre rond et lisse d’une tonicité étonnante.
La nuit a été un feu d’artifice de plaisir.
Katie grogne et écarte ses jambes ; son ventre est maintenant offert à Marie. La vulve est ouverte, les grandes lèvres charnues ne cachent que partiellement le rose nacré de son intimité, sage actuellement, mais elle se souvient du jus qui ruisselait sur sa langue et que sa bouche absorbait avec délice.
Le lit est un champ de bataille dévasté ; les couvertures sont au sol, et de multiples taches parsèment les draps. Au pied du lit, bloqué par le montant inférieur, elle aperçoit l’olisbos qu’elle a partagé, et surtout elle reconnaît le double dildo sur lequel elles se sont empalées toutes les deux jusqu’à ce que leurs clitoris se frottent. Le souvenir de la jouissance obtenue par l’intermédiaire de cet objet déclenche un frisson.
Katie ouvre un œil, s’étire et se retourne en direction de son amante. Marie approche son visage et leurs langues se rencontrent et s’effleurent. Elle rompt le charme.
Les corps se rapprochent et les bouches se soudent, les corps s’imbriquent dans un instant de douceur. Enlacées, le souffle court, les deux femmes se calment. Katie caresse les cheveux de son amante.
Elle acquiesce d’un hochement de tête.
Elle s’arrête un instant de parler et caresse les seins de sa compagne, puis reprend :
La main de Marie frotte le mont de Vénus de Katie.
La voix de Katie s’est modifiée sur les dernières phrases ; l’index qui tourne autour de ses grandes lèvres et la langue qui saute d’un téton à l’autre ne sont pas étrangers à son émoi. Marie ne laisse aucun centimètre de sa peau sans un baiser ou un coup de langue. Les doigts ne sont pas inactifs non plus : ils fouillent son intimité, pénètrent profondément dans son ventre, ou effleurent puis pincent le clitoris à la limite de la douleur. Katie souffle, se tord, geint. Marie se replace entre les jambes et sa bouche recueille le fruit de son travail, puis elle change de stratégie et calme son amante en ne posant que des petits baisers sur l’intérieur des cuisses. La respiration de Katie revient à la normale, mais elle sait que Marie a orchestré cette descente pour mieux l’emmener vers des hauts cieux.
Elle n’attend pas longtemps : un souffle chaud atteint ses muqueuses, et les lèvres de Marie aspirent la peau soyeuse de ses chairs. Elle laisse échapper un petit cri de surprise quand soudain son amante étire la peau délicate ; elle trouve la caresse délicieuse et le lui exprime en mots crus. Elle réitère la même action sur l’autre grande lèvre. Son délicieux bourreau remarque les mouvements non contrôlés des muscles intimes et l’énorme quantité de liquide qui s’écoule en direction du périnée et de l’anus.
Marie joint trois doigts de sa main droite en forme de triangle et force le sillon fessier pour se positionner contre les sphincters. Elle reste ainsi, relève son visage à la recherche des yeux de son amante et, les trouvant, appuie sur les chairs humidifiées par son plaisir vaginal et pénètre d’une seule poussée rectiligne. Katie se contracte mais ne peut résister plus, et exhale fortement. Le pouce se pose sur le clitoris et déclenche un orgasme violent. Elle se débat, augmentant la pénétration, et par la même occasion prolonge son plaisir.
Couchée sur le dos, elle reprend son souffle, le ventre encore secoué de spasmes. Marie la regarde, fière de son résultat.
Elle se rue sur le corps de son amante dans une violence contenue ; elle masse, empoigne, pince. Devant l’assaut en règle, Marie commence à prendre plaisir à sentir ces mains qui ne l’avaient jamais touchée ainsi. Ses seins empaumés si fortement réagissent en gonflant. Quand les doigts de Katie prennent possession de son ventre, ils pénètrent sans difficulté ; la main finit même par pénétrer intégralement, lui arrachant un cri mêlant la surprise et le plaisir.
« Mon Dieu ! Elle a raison : jamais je n’ai été aussi ouverte. Si elle continue à me fouiller comme ça… Oh ! Il faut que je résiste, ne pas jouir maintenant, non, je ne veux pas ! »
Elle ferme les yeux et se concentre. Katie ressort lentement sa main. Son attitude change : la furie du début devient une chatte douce et légère. Par petites impulsions, elle force Marie à se coucher sur le ventre.
« Ouf, c’était moins une ! Quelle douceur, soudain… Et ses petits tétons qui frôlent mon dos, un vrai délice. Oui, chérie, continue comme ça… Ta chatte est brûlante, elle mouille mes fesses ; et tes baisers qui descendent sur ma colonne, qu’est-ce que c’est bon !… C’est terrible ; tu me caresses les fesses, et ta langue qui suit ma raie… S’il te plaît, je n’en peux plus : vas-y, écarte mes fesses, glisse ta langue dans ma chatte, s’il te plaît, allez, j’ai trop envie, ne me fais plus languir, fais-moi crier, fais- moi jouir… Enfin tu m’écartes. Tiens : je me positionne comme tu aimes et je me cambre. Tu vois dans quel état tu m’as mise ? Mange mon fruit, suce mon clito, enfonce ta langue… Mais, qu’est-ce que tu fais ? Non, pas ça, pas maintenant ! Tu m’as rendue folle avec tes caresses, et tu me laisses comme ça ? Où es-tu passée ? Tu m’as posé la tête sur les coussins et le cul en l’air, et tu m’abandonnes ? Reviens vite, fait de moi ce que tu veux ! Oh, cette langue sur ma raie… Oui, d’accord, je te le donne : prends mon petit trou. Oui, ta langue… elle est bonne ; tu m’ouvres. Oui enfonce ton pouce, comme ça, branle-moi… Quelle sensation, je n’ai jamais connu cela, c’est agréable ! Continue. Pourquoi tu… Ah, tu essaies d’introduire trois doigts, comme je te l’ai fait… Doucement, chérie… Oui, tu me défonces le cul ! »
« Katie a raison : je deviens une vraie salope ; voilà que ma chatte mouille de nouveau, ô Katie ! Mais qu’est-ce que tu es en train de faire de moi ? Oui, le gode, dans mon ventre, bien profond, je le sens bien, il touche tes doigts, c’est bon, tu me remplis par les deux trous. Continue comme ça ; plus fort, tu vas me faire jouir… »
« S’il te plaît, ne me fais plus languir, je me rends. Tes mains sur mes hanches, cette bite en caoutchouc dont tu viens de t’équiper, mon anus que tu forces doucement, tout doucement, et ce gode que ta as laissé dans ma chatte… Ouch ! C’est un peu douloureux, mais le gland vient de passer. Quand je pense que Marc n’est jamais arrivé à m’enculer, et que toi tu t’enfonces dans mes entrailles et que j’aime ça… Ton ventre est sur mes fesses ; je n’arrive pas à le croire : tu es complètement en moi ! Reste un peu sans bouger, oui. Mon Dieu… Tu me branles la chatte maintenant que tu me sodomises… Les deux queues se touchent presque ; c’est divin ! Si tu continues, je ne vais pas tenir… »
« Tu me rends folle… Tu me martèles les fesses, je crie, tu m’invectives, tu sors de mon cul et tu rentres sans difficulté… Je n’en peux plus, je jouis, oui, ça y est, je jouis, par le cul, par la chatte, je ne sais pas, mais je jouis et c’est bon ! »
Enlacée par les bras de Katie, Marie récupère et calque son souffle et son cœur sur celui de son amante. Elle l’embrasse dans les cheveux.
Marie regarde les deux objets luisants de ses sécrétions intimes : le petit sexe encore attaché sur son harnais est plus gros et plus long que celui de son mari, et pourtant elle l’a accepté sans grandes difficultés. Un frisson envahit tout son corps.
Elle pose sa main sur son abdomen, termine de la calmer ; elle s’endort lentement, la tête pleine d’images agréables.
—ooOoo—
Marie regarde l’afficheur digital de sa montre : 13 heures. Katie, dans un peignoir en soie, pose sur le lit un immense plateau puis s’assoit à côté d’elle.
Elles dévorent toutes les deux l’intégralité du plateau. Marie glisse sa main sous les draps et caresse l’intérieur des cuisses de sa compagne.
Sa main vient d’atteindre le ventre.
Tout se précipite : deux heures dans le plus huppé des salons de la ville, massage aux huiles essentielles, épilation totale, il ne lui reste plus un seul poil sur tout le corps ; jamais elle ne s’est sentie si nue et si reposée. Dans le magasin spécialisé, elle essaie une multitude de tenues. Toutes sont excitantes, de la guêpière soulignant sa poitrine à la robe ne cachant que le strict nécessaire ; Marie ne sait pas quoi choisir. Toutes sont magnifiques, et très chères. Elle finit par choisir la plus sage, une robe moulante s’arrêtant juste sous les fesses, sous laquelle on ne peut rien mettre. Elle est si fine que même ses aréoles se dessinent sur le tissu. Elle s’exhibe devant Katie, montée sur des talons aiguilles qui augmentent la cambrure de ses reins.
Marie l’embrasse ; son ventre s’embrase d’un coup. « Mais qu’est-ce qu’il m’arrive ? C’est insensé ! »
Les pneus de la Mercedes SLK crissent sur le gravier de l’allée. Marie, les bras chargés de paquets, monte les marches du perron. Georges, dans l’entrée, la déleste de ses bagages.
Il pose un baiser dans le cou de Marie. Katie sourit, posant sa main sur les fesses de son mari.