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Temps de lecture estimé : 15 mn
27/11/15
corrigé 07/06/21
Résumé:  Maîtresse Zoé m'introduit dans le monde très spécial de la soumission. Diane, ma compagne, me confie que nos amis de Lyon veulent se soumettre à elle : bizarre conjonction de situation. Ma voisine me drague devant son mari.
Critères:  extraoffre fépilée hsoumis exhib nopéné
Auteur : Bantou            Envoi mini-message

Série : Mundele

Chapitre 06 / 15
Alexandra la soumise

Résumé des épisodes précédents :


Je fais la connaissance d’Alban. Cet homme m’impressionne et me plaît, (La Paillote, Pointe-Noire, RPC).


Alban m’a invité à une sortie en mer. J’ai découvert son corps sublime et sa belle queue. Il a envie de me prendre comme une femelle et je n’attends que cela (Sortie en mer).


Après la soirée très, très hot avec les très spéciaux amis d’Alban, j’ai passé la nuit entière avec lui. Je suis maintenant Alexandra sa femelle (Soirée chez Alban, je deviens Alexandra).


Jean-Gab est passé un soir et nous sommes partis tous les deux dans un délire de travesti. Nous sommes sortis en ville. Il m’a supplié de le sodomiser, ce que je fais contre le bar : son premier petit blanc et moi mon premier petit noir (Sortie en travesti avec Jean-Gab).


J’ai découvert que mes voisins Murielle et Marc sont très coquins. Alban m’a emmené à une plage naturiste gay, il m’a exhibé et baisé en public. Le soir j’accepte de devenir sa soumise et d’être éduquée par Maîtresse Zoé (Soirée en tête à tête avec Alban).



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Alexandra, la soumise




Je passe la journée du dimanche à traîner mettant de l’ordre dans mes pensées. Je me rends compte et conviens que ce qui m’arrive est monumentalement surprenant. Je ne pouvais pas imaginer il y a quarante-huit heures qu’Alban me demanderait d’être sa soumise et que j’accepterais.

De plus j’ai accepté d’être dressée pour devenir une bonne femelle soumise à servir les plaisirs de mon Maître.


Qu’est-ce que cela va changer dans ma vie ? Comment les gens vont-ils me voir maintenant ? Plus comme un petit PD, mais comme un travelo à Black ? Que va-t-il se passer avec Diane ? Il faudra un jour que je lui en parle.


Justement, vers midi elle m’appelle. Le téléphone fonctionne bien en ce moment.



Elle ne croyait pas si bien dire.



Si elle savait ! Mon cul lui appartient déjà.



Cette conversation avec Diane me rassure, car elle me donne en quelque sorte un blanc-seing pour « me distraire » y compris avec Alban. Elle connaît son nom maintenant. Son propos m’interroge aussi parce qu’elle me parle de « coacher » Laura et Marc. La connaissant assez dominatrice, elle doit vouloir soumettre ce couple d’amis, les dresser et les mettre à sa botte.

Je serai curieux de voir ça. En pensant cela, je me dis que ce soir j’ai moi-même rendez-vous avec Zoé, celle qui va me dresser en femelle soumise.


Bizarre croisement de situations entre deux proches, mais… à sept mille kilomètres de distance, me dis-je.


À dix-huit heures pile, je suis devant la maison de Zoé qui habite à quinze minutes à pied de chez moi. Cela tombe bien, car je n’ai pas d’auto et je me voyais mal prendre un taxi pendant deux semaines.


Je suis inquiet, c’est la première fois que je vais me soumettre à une « Maîtresse ». Autrefois, Jean m’avait aussi « éduqué », mais de façon très douce, là je doute que cela soit le cas. Zoé a l’air d’être une femme à poigne, très autoritaire, il faut que j’entre complètement dans le jeu sinon je risque les ennuis avec elle et Alban.

Je sonne au portillon.



Je m’exécute et nu, mes vêtements sous le bras, je parcours une trentaine de mètres pour rejoindre la maison. Les haies ne sont pas très fournies et de temps en temps le faisceau des phares d’une voiture croise ma marche, cela veut dire que je peux être vu de la route. Je n’ai pas intérêt à me faire prendre par un milicien en maraude, car j’aurais vite fait de me retrouver au poste de la Sécurité publique à expliquer pourquoi je suis nu, même si c’est dans une propriété privée. On ne badine pas avec les mœurs dans une République socialiste marxiste.

Zoé m’attend à l’entrée de la maison sur le perron.



Elle me fait entrer.

Au début du couloir, il y a des casiers ouverts. Zoé m’en montre un.



Zoé va dans le salon et m’ordonne de la suivre. Elle s’assoit. J’attends qu’elle m’invite à le faire aussi.



1— Tu m’appelles Maîtresse ou Maîtresse Zoé.

2— Tu obéis à tous mes ordres et tu attends un ordre avant de faire quoi que ce soit : pas d’initiatives.

3— Tu es nue chez moi et à chaque fois que cela est ordonné, ou bien tu portes les habits que je te donne à porter.

4— Tu portes ton collier de chienne.

5— Tu réponds aux questions comme je viens de te l’enseigner.

6— Tu es épilée en permanence. Dès demain, tu te feras épiler ici, en plusieurs étapes, de façon définitive, le pubis, les fesses et les jambes puis, plus tard, le reste du corps y compris les bras. Tu veilleras à avoir les cheveux coupés à ras.

7— En dehors de chez moi, tu porteras exclusivement des sous-vêtements féminins, en toutes circonstances, et tous lieux. Je t’en fournirai.

8— Si tu désobéis ou accomplis mal les ordres, tu seras punie. La punition pourra être de toute nature, y compris physique, mais sans violence.

9— À partir de maintenant, tu as interdiction formelle de te caresser et de te faire jouir seule, sauf si tu en reçois l’ordre. Ton sexe, c’est ton anus qui devient une chatte de femelle dont ton Maître et moi disposons à notre guise.



Zoé ajoute :



J’essaie de tout retenir pour ne pas avoir de problèmes avec Maîtresse Zoé.


Zoé continue :



Je suis rassurée par cette dernière phrase.


Elle poursuit :



Sur le ton du conseil, elle me fait :



Dehors, je me rhabille et repars chez moi, les escarpins à la main, la tête pleine de pensées et de questions défilant à cent à l’heure presque les mêmes qu’au début avec Jean.

Là, c’est bien plus sérieux.

Dans quelle aventure je me suis fourré ? Vais-je être à la hauteur de ce que mon Maître et son éducatrice veulent faire de moi ? Bien que Diane me laisse libre de mes relations ici (en tous cas, elle semble bien le penser) quelle sera sa réaction quand elle saura que je deviens une lopette féminisée soumise à un mâle africain, pour qui je suis prêt à tout ? Et à mon travail, ma transformation va bien se remarquer !


Je cesse de me poser toutes ces questions auxquelles seul le temps apportera des réponses et me dit : « c’est comme ça alors sois naturel et profite de ce que la vie t’envoie ».


J’arrive chez moi. Dans la cour, Murielle m’interpelle :



J’ai juste le temps de poser les escarpins (les voir aurait suscité quelques questions) et d’aller à sa rencontre, au grillage à moitié éventré qui sépare les deux cases.



Cela fait longtemps que je n’ai pas eu un contact physique aussi proche avec une femme. La demi-obscurité et l’éclairage derrière elle me laissent voir que sa poitrine est libre sous un léger chemisier à fines bretelles dont les échancrures plongent devant et derrière.

Elle porte aussi un short, que devrais-je dire ? Plutôt un vestige de short de coton blanc effiloché ultra court largement échancré lui aussi devant et derrière pour ne pas être de reste avec le chemisier. La pièce de tissu qui tient le short sur ses hanches n’est vraiment pas large.



J’avais déjà refusé son invitation une fois, refuser une deuxième fois serait incorrect. Je sentais à son attitude allumeuse qu’elle avait quelque chose à me demander.



Murielle me devance et une fois de plus, j’ai la preuve que deux hémisphères sont généralement séparés par une ligne, celle du short qui sépare les deux fesses de ma voisine est aussi virtuelle que l’équateur. Je me demande s’il y a assez de tissu pour tenir la couture !


Je m’assieds en terrasse pendant qu’elle va chercher à boire. Elle revient avec deux bières et m’en tend une en se penchant. Deux autres hémisphères, avides de liberté ceux-là, sont à un parallèle de sortir du chemisier. Elle le sait la coquine et prend son temps pour se redresser, elle a de beaux tétons et je comprends qu’elle apprécie les miens.


Elle tire un fauteuil face à moi, approche un pouf et s’installe confortablement le bassin en avant et les pieds sur le pouf. Le cours de géographie reprend et je constate bien la virtualité de la ligne de séparation des deux hémisphères postérieurs qui se prolonge sur le devant délimitant cette fois deux protubérances lisses et charnues : les grandes lèvres de sa chatte débordent du short. Ma très bonne vue me permet de dire que la couture du short à cet endroit est très humide, le frottement de cette couture et la proximité du clitoris ne sont pas étrangers à cet état.

Après tout l’équateur passe bien en milieu maritime !



Je me demande si elle a compris que j’étais en train d’osciller du bassin le cul planté sur un concombre me l’enfonçant le plus possible en les écoutant.



Sans vergogne Murielle se caresse un téton, la couture du short est plus que trempée.



Marc arrivait.



Marc va chercher deux « col blanc » au frigo, entre-temps Murielle arrive, en effet très à l’aise. Elle a revêtu – si toutefois ce verbe convient – une espèce de paréo du même tissu que son chemisier quasi transparent, une bande de tissu haute de trente centimètres lui laissant la hanche et la cuisse droite entièrement dénudée. Elle n’a toujours pas de culotte. Ce voile tient par une fine chaînette nouée à la taille. Le chemisier a disparu, ses tétons sont dardés. Elle fait très femelle.



Elle aurait pu demander à son mari, mais non, elle me le demande à moi, c’est de la provocation.



Murielle s’assied dans son fauteuil dévoilant son sexe épilé et luisant jusqu’à mi-cuisse tellement elle coule. Marc sera à la fête ce soir, elle est chaude comme une baraque à frites.



Je pense à Arthur, il sera trop content de me rendre ce service.



Je repasse la clôture, il est tard et j’ai mon premier « entraînement haut Talon » à faire. Encore un week-end très haut en érotisme. Je repense à Murielle : quelle salope ! J’avais mal tellement elle m’a fait bander. Mais voilà ! L’article 9 à respecter.


La semaine sera peut-être chaude aussi, ma première semaine « d’éducation de soumise » chez Maîtresse Zoé.



(à suivre)