n° 18670 | Fiche technique | 15173 caractères | 15173Temps de lecture estimé : 9 mn | 20/11/18 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Après une nuit particulièrement agitée, Sébastien est tiré du lit par Jennifer. | ||||
Critères: h jeunes douche cérébral revede hmast | ||||
Auteur : AuteurSecret |
Épisode précédent | Série : La nouvelle vie Chapitre 04 | Épisode suivant |
Résumé des épisodes précédents : « Une invitée imprévue », « Première soirée » et « Une nuit agitée »
Sébastien, un étudiant rennais a accepté de dépanner Jennifer, la sœur de son ex petite-amie, en l’hébergeant quelque temps afin que celle-ci puisse commencer à travailler dans sa ville. La jeune serveuse est arrivée en fin de journée, les deux jeunes gens s’apprêtent à dîner.
Sébastien a alors dîné et observé la séance d’essayage de Jennifer puis a quitté le studio pour se rendre à une soirée chez une amie.
Après la soirée chez Carla, Sébastien est rentré chez lui dormir au pied du lit où se reposait Jennifer. Un sommeil perturbé par un rêve érotique, lui-même interrompu par un réveil sonore…
ooo000ooo
Alors que le réveil sonne, balançant une chanson pop bien énervante, je vois Jennifer se dépêcher de revenir de la kitchenette vers le lit afin d’éteindre son portable. Les yeux à moitié ouverts, je distingue seulement ses cheveux en bataille ainsi que son débardeur blanc et son mini-short. La belle se penche pour éteindre l’agression musicale que je subis, l’occasion pour moi de jeter un œil, le plus discrètement possible, dans son décolleté et profiter de la naissance de ses seins lourds. Une fois le son coupé, Jennifer tourne son regard vers moi pour vérifier qu’elle ne m’a pas réveillé : évidemment mes yeux quittent alors cet agréable paysage. Nos regards se croisent, Jennifer semble confuse et gênée…
Le brouillard est présent dans mon esprit, j’aurais peut-être dû me coucher plus tôt cette nuit, mais je ne suis pas habitué, ou plutôt plus habitué à partager ce studio ! Jennifer se redresse lentement.
Sur ces mots, mon ex-belle-sœur fait demi-tour et se dirige vers la table de la cuisine lentement, laissant involontairement l’occasion à mes yeux curieux de profiter d’un postérieur que je sais déjà bien rebondi, et probablement ferme, pour l’avoir examiné discrètement à plusieurs reprises la veille. Sur cette belle image, je me remets en boule dans le sac de couchage et ferme les yeux…
À peine le temps de sentir mes forces me quitter que j’entends la voix de Jennifer me tirer de mon confort ! Elle chuchote, mais le mal est fait !
Jennifer retient un petit rire
Surpris, mes yeux s’ouvrent d’un coup sur le visage de Jennifer proche de moi, la belle se tient à genoux, légèrement penchée vers moi, me soumettant une nouvelle fois à la torture de son décolleté…
Je commence alors à me redresser légèrement dans le sac de couchage, mais sens qu’un effet indésirable de mon rêve de la nuit dernière et de la vision que mon invitée m’offre, risque de contrarier mes plans. En effet, je me vois mal me lever fièrement devant la sœur de mon ex, le boxer déformé par mon sexe dur comme du bois… J’improvise alors un balbutiement :
En effet, je me souviens avoir parlé de cet achat de tenue hier, mais je ne me souviens pas avoir dit que je me taperai une journée shopping ! Mais la belle serveuse semble avoir décidé pour moi ! La voilà qui commence à me tirer par le bras puis par l’épaule. Je m’accroche au sac de couchage ! Il est hors de question que Jennifer me voit ainsi, bonjour le malaise !
Voyant que je lui résiste, la têtue ne lâche pas l’affaire et choisit une solution tout aussi puérile qu’efficace : les chatouilles ! Or, il se trouve que je suis très sensible à cette torture ! Et ses doigts sont clairement doués pour ça ! Me voilà en train de me tortiller comme un ver dans mon sac de couchage, battant même des jambes. Ce qui laisse une opportunité à l’assaillante, dont une des mains s’écarte et ouvre la fermeture éclair de ma protection du moment ! La panique se mêle aux rires provoqués par les chatouilles !
Mais je sens à présent l’air plus frais sur mes jambes, signe que je suis en grand danger ! J’essaye de serrer les jambes, dans une posture peu avantageuse. Jusque-là, Jennifer n’a pas remarqué mon trouble, je crois, mais la voilà qui s’enhardit et profite de mon instant de faiblesse pour attraper à nouveau mon bras et tirer dessus de toutes ses forces ! Par réflexe et par peur de sentir mon épaule craquer, je suis le mouvement sans réfléchir, puis en une seconde, je me retrouve sur un genou puis debout face à elle…
Un silence lourd s’abat sur mon minuscule studio quand ses yeux se posent clairement sur mon entrejambe ! Un silence de peut-être une seconde, mais qui me paraît durer une éternité, avant que je ne mette mes mains sur mon paquet. Jennifer commence à rougir et se confond en excuses, m’explique qu’elle n’avait pas compris et que j’aurais dû lui dire clairement ce qui arrivait, elle m’aurait laissé le temps de me calmer…
Ses mots détendent un peu la situation, et je remarque que son regard a tendance à s’attarder sur mon ventre et mon torse. Je suis loin d’être un bodybuilder, mais mes abdos et mes pecs sont plutôt joliment dessinés. Paraît-il en tout cas… J’en profite pour essayer de retourner la situation et transférer ma gêne sur la présumée mateuse !
Nous rions de bon cœur, mais sommes quand même tous les deux bien rouges de gêne. Jennifer se retourne alors pour retourner vers la kitchenette, et profite d’être de dos pour me provoquer gentiment :
Alors qu’elle finit sa phrase dans un sourire, je suis comme scotché, ne trouvant aucune bonne réplique à lui envoyer. La belle s’installe alors à table face à moi :
Alors que Jennifer sourit de ses petites provocations et blagues, je m’installe à table face à elle, essayant toujours de calmer mon sexe décidément bien réveillé ! Le petit-déjeuner de déroule dans une ambiance sympathique, et ce, même si mon regard a vraiment du mal à se retenir de plonger dans le débardeur de mon interlocutrice. Interlocutrice qui semble commencer à avoir froid dans cette tenue, d’après la réaction que je peux constater au travers du fin tissu censé protéger le haut de son corps, et qui à ce moment précis, aurait bien besoin de l’aide d’un soutien-gorge ! J’hésite alors à lancer une petite vanne, mais je me dégonfle, on ne sait jamais à quel moment on va trop loin, alors pour le coup, je vais m’abstenir et essayer de me contrôler.
Le petit-déjeuner est avalé rapidement. Jennifer enchaîne alors directement avec la vaisselle, qu’elle présente comme un dédommagement pour l’hébergement. Et on peut dire que la jeune femme est énergique dans son travail, ses fesses s’agitant au rythme du reste de son corps qui…
« Oh, Sébastien, faut vraiment te calmer ce matin, tu vas finir par exploser ! »
Afin de me donner un peu d’air, je me lève de table et préviens que je vais filer prendre une douche. Jennifer me dit de faire vite, car elle souhaite aussi en prendre une avant de partir au centre-ville. J’acquiesce et file dans le couloir, le sexe à moitié calmé. Je saisis un boxer et le reste de mes habits et fonce dans la salle de bains.
Je quitte alors mon boxer déformé et me brosse les dents. Nu face au miroir, je me regarde : j’avoue que j’aime bien me regarder dans cette tenue, ça me fait quelques sensations que je ne saurais expliquer…
Trois minutes plus tard, me voilà debout dans la baignoire, l’eau chaude de la douche m’aspergeant. Après m’être énergiquement lavé les cheveux, je passe mes mains sur le haut de mon corps. L’odeur du gel douche envahissant la pièce, je masse distraitement mes pectoraux en effleurant légèrement mes tétons. Je sens clairement que mon corps ne demande qu’à se lancer, il veut se libérer !
Et puis, dans la buée, mon cerveau me renvoie des images de Jennifer, ses seins lourds si près de moi ce matin, ses fesses à croquer, rondes comme des pommes, ses cuisses charnues à la peau probablement délicieusement douce sur laquelle je pourrais faire glisser mes mains… Mon ventre se tord, ma main droite titille toujours mon téton gauche qui se dresse, lui aussi. Je sens mon pénis se réveiller de plus belle. Ma main gauche vient le flatter, passe dessous : j’imagine la main de Jennifer à sa place ! Je soupèse mes testicules lisses et bien remplis, trop remplis même ! Je sens presque le bout des ongles de Jennifer les titiller gentiment… Je commence à les faire rouler, à les masser…
Ma main droite, de son côté, continue son petit manège et pince mon téton, le tourne légèrement, le tire par moment. C’est comme si les dents de la serveuse le tiraient et que le bout de sa langue jouait avec la pointe du muscle pectoral. Je me sens frissonner. Ma main gauche glisse depuis mes testicules jusqu’à la base de mon sexe. Une base est dure, large et épaisse, je laisse glisser ma main vers l’extrémité de ma verge…
Mes doigts arrivent au bout, je joue un petit peu avec mon prépuce, puis le fais glisser délicatement vers moi. Une fois découvert, mon gland se révèle à cet instant très sensible, la moindre goutte d’eau l’électrise. Je frôle mon urètre du bout de l’index et dois déjà réprimer un gémissement. Serait-ce possible de résister si mon index était remplacé par la douce langue de Jennifer, si celle-ci était dans la baignoire à genoux, noyée par la douche et le désir, ses longs cheveux bruns collés à son corps humide, ses mains agrippant mes fesses, me montrant son contrôle de la situation ?
Ma main commence alors doucement un va-et-vient, la peau suivant merveilleusement le mouvement. Tout mon corps n’est plus que frissons, ma main droite doit quitter mon torse pour se poser sur le mur face à moi pour aider mes jambes à supporter mon poids, devenu énorme à cet instant ! Progressivement, les mouvements sur mon sexe se font plus rapides, plus forts aussi ! Au même rythme, mon imagination improvise et me renvoie à présent l’image de Jennifer dans mon dos, couvrant mes épaules et mon cou de baisers suaves et sensuels, sa main droite masturbant mon sexe plein de désir pour elle, sa main gauche caressant mon ventre, puis mon torse… Ses doigts atteignant ma bouche, ses doigts que je lèche et suce avec délectation. Nos corps tremblant de désir et de plaisir… Je sens sa main, MA main accélérer, mon sexe tentant de profiter du moment tout en résistant aux assauts, qui le font se tendre de plus en plus fort.
Mais c’est déjà trop tard, le mouvement ne ralentit plus, au contraire, la caresse sensuelle se transforme déjà en masturbation effrénée, je serre les dents. Je bascule tout mon poids sur mon bras droit lorsque je sens mes jambes trembler, à la limite de défaillir ! J’essaye de ne pas faire de bruit : ne pas gémir, ne pas couiner, surtout pas ! Ma main gauche va plus vite que jamais, je me masturbe plus fort que jamais, si fort que je ne sens même plus mon bras faire ce mouvement violent et délicieux à la fois ! Je ne sens plus que le contact de ma paume sur mon sexe. Mon sexe qui se raidit une dernière fois, à en devenir presque douloureux. Je sens la veine grossir, prête à éclater !
Ça y est, le point de non-retour est franchi ! Mon sexe être pris de spasmes caractéristiques, mon épaisse semence est propulsée hors de moi, mon corps pris de tremblements frénétiques. Je me mords les lèvres pour garder un semblant de silence ! Les jets se multiplient avec les spasmes, cinq, six, sept… Je ne peux compter !
Mon sexe commence enfin à montrer des signes de résignation ! Je respire profondément, puis j’ouvre les yeux, je constate l’ampleur des dégâts, je sens et vois mon téton gauche impudiquement dressé et tiré. Je vois mon sexe se calmer tout doucement dans des spasmes de plus en plus légers. Je vois aussi le mur carrelé face à moi, tâché de sperme qui glisse vers la baignoire, lentement. Ce sperme mêlé à l’eau, ces gouttes et ces traînées blanches qui se marient avant de disparaître. C’est magnifique. J’aime voir ce spectacle. J’en recueille du bout du majeur sur le carrelage, puis le porte à ma bouche. Ce plaisir coupable. Ma langue sort…
Dix minutes plus tard, après avoir repris mes esprits et m’être bien nettoyé, je sors de la douche pour commencer à m’essuyer. Mes yeux regardent mon corps dans le miroir au-dessus du lavabo. Certains diraient que je me mate. Je suis cependant extirpé de mes pensées par un détail, un élément sur le lavabo.
Je jurerais que la brosse de Jennifer n’était pas à cet endroit avant ma douche…