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Temps de lecture estimé : 23 mn
11/11/17
corrigé 06/06/21
Résumé:  Julie et ses amis passent l'après-midi à la plage. Yann ne sait toujours pas qui elle est vraiment, mais il commence à se poser des questions...
Critères:  fh ff fbi jeunes grosseins vacances plage collection fdomine voir exhib ffontaine intermast fellation nopéné
Auteur : Soyouz

Série : Les vacances de Julie

Chapitre 06
La plage

Résumé des épisodes précédents :


« Clarisse »

« Interlude »

« Yann »

« Jessica »

« Le réveil »


Cécile, une prof trentenaire et célibataire, est venue passer ses vacances en mobil-home dans un camping de bord de mer avec sa nièce Julie, une splendide jeune femme en apparence. En apparence seulement, car Julie est en fait hermaphrodite : sous le short en jean serré qui met en valeur les formes excitantes de son corps somptueux se cache une impressionnante verge masculine en parfait état de fonctionnement.


La belle bisexuée a d’abord rencontré (et baisé) Clarisse, une jolie brune d’à peine vingt ans, en vacances avec sa mère et son frère. Puis elle est tombée sous le charme d’un superbe jeune homme brun aux yeux bleus, Yann, qui l’a sautée et même enculée sur une petite crique tandis qu’elle s’efforçait de ne pas lui dévoiler la totalité de son anatomie. Et enfin, tard le soir, sa partie mâle incroyablement excitée après la soirée avec Yann, elle a rencontré Jessica, une jolie blondinette anglaise au corps de rêve avec qui elle a vécu une des plus intenses expériences sexuelles de toute sa vie.


Le lendemain, en rejoignant avec Jessica le jeune homme à son emplacement, elle découvre avec amusement que Clarisse et Yann sont en fait frère et sœur. Tous les quatre partent à la plage, chacun perdu dans ses pensées lubriques.


___________________________




Il n’y a pas encore grand-monde à la plage en ce tout début d’après-midi ; la plupart des vacanciers sont attablés pour déjeuner. La mer est calme, dans cette petite anse un peu abritée par les falaises voisines. Plus loin, vers le bout de la baie, quelques modestes bateaux de plaisance achèvent de donner à l’ensemble du paysage une superbe allure de carte postale.


Dans l’eau jusqu’à la taille, quatre jeunes gens jouent à une sorte de volley. Julie, Jessica, Clarisse et Yann se renvoient un ballon avec plus ou moins d’habileté et de réussite. Ils tentent de se faire un maximum de passes sans perdre la balle, mais l’un ou l’autre rate régulièrement sa relance et envoie le ballon loin d’eux. C’est alors souvent Yann, le beau jeune homme considéré comme le « boyfriend » de Julie, qui se dévoue pour nager un crawl rapide et le récupérer.


Et cela agace invariablement Clarisse, qui trouve que son frère surjoue un peu son côté séducteur. Cela l’agace d’autant plus quand Jessica se livre avec lui à une course inutile, finissant quasiment dans ses bras à faire mine de lui disputer la balle, dans le seul but d’agiter ses gros seins juste sous son nez. À côté de la jolie bisexuée, elle soupire une fois de plus en regardant cette petite allumeuse chauffer son frère qui se laisse provoquer avec un plaisir évident.



Depuis qu’elle a été échaudée par des garçons ou des filles en qui elle avait placé sa confiance, l’hermaphrodite n’aspire plus à aucune exclusivité dans ses relations, et ne voit donc aucun problème à cela. Mais elle sait que c’est un problème pour la plupart des gens, et que la jalousie peut conduire à des réactions assez fortes.


Clarisse, qui est justement jalouse de Jessica, et peut-être un peu aussi de son frère, ne s’attendait pas à cette réponse. Un instant étonnée, elle soutient ensuite le regard de la stupéfiante bisexuée avec concupiscence. Alors que Jessica tente une fois de plus d’arracher le ballon au jeune homme en lui chatouillant les côtes (et les fesses), Julie nage jusqu’à la jolie brune, les bras en avant et le nez ne dépassant qu’à peine de l’eau, tout en la provoquant encore des yeux.



Mais Julie la rejoint et passe une main derrière ses fesses, glisse l’autre entre ses cuisses, puis s’agenouille sur le sable et presse son visage contre le corps de la jeune femme, lui embrassant et lui léchant un court instant le ventre avant de répondre d’une voix troublante :



Agenouillée dans l’eau, partiellement invisible, elle appuie et frotte aussitôt deux doigts à travers le maillot de bain contre la vulve de la brunette, et plonge son autre main sous le tissu du vêtement.



Sans la libérer de son étreinte, Julie tourne la tête.



Et faisant entrer même sa deuxième main sous le slip de bain, elle continue de la caresser un court instant. Derrière elle, Jessica et Yann les rejoignent en marchant aussi vite que l’eau le leur permet. Bien malgré lui, le jeune homme a un début d’érection. Le corps et le manège de la petite Anglaise y sont pour quelque chose, c’est évident. Mais c’est avec Julie qu’il sort. Julie qui est magnifique aussi, et tout aussi bandante. Il l’observe justement. Mais… que fait-elle… aussi près de sa sœur ?



Julie s’écarte alors, toujours en nageant. Et de toute façon, la belle petite blonde lui répond en anglais un truc qu’il ne comprend pas. Une raison de plus de ne pas s’occuper d’elle et de rester avec Julie. Au moins, elle, il la comprend. D’un autre côté, se dit-il malgré lui, pas besoin de se comprendre pour baiser.


Mais il chasse cette pensée et l’image des seins et du cul envoûtants de Jessica pour se précipiter dans un nouveau crawl véloce jusque vers Julie qui nage aussi vers lui. Et tous les deux se rejoignent pour s’étreindre en pressant leurs deux corps l’un contre l’autre dans un baiser fougueux qui irrite Clarisse et enthousiasme Jessica.



Une fraction de seconde, la somptueuse hermaphrodite s’inquiète en se demandant si les deux autres ont compris, mais leur absence de réaction lui confirme rapidement que non, et, en massant Yann sans équivoque entre les cuisses, elle répond dans le même langage :



Jessica sourit.



Elle a passé sa main dans son caleçon de bain et le branle fermement pendant que lui caresse ses fesses.



La blondinette adopte une moue boudeuse et contrariée.



Et toutes les deux rigolent.



Julie reprend sa place en attendant que Jessica relance la balle. Elle sourit, amusée et excitée d’avoir pu en moins d’une minute caresser la jeune femme puis son frère.



La sublime blondinette lance la balle en l’air au-dessus d’elle, puis la repousse en détendant ses deux mains levées dans la direction de Yann. Ils jouent tous les quatre quelques minutes encore, mais le garçon ne semble plus aussi alerte que précédemment.



Arrivée à un mètre de lui, elle lance la balle à Jessica et s’élance en nageant pour le ceinturer.



Il l’observe et lui adresse un sourire gêné. Elle l’embrasse.



Jessica pouffe avant de répliquer :



Elle n’a plus désormais de l’eau que jusqu’aux cuisses ; Yann et Jessica la regardent sortir, bouche bée, les yeux fixés sur ses fesses qui roulent dans son short en jean moulant.



Elle lance fort le ballon vers le large. Et tous les deux, à défaut de déchiffrer ce qu’ils se disent, se comprennent enfin et s’élancent pour nager à toute allure pour le rattraper, avant de le relancer plus loin encore.



Celle-ci est assise sur sa serviette, les jambes légèrement repliées, appuyée sur ses bras tendus derrière elle, et observe la belle hermaphrodite s’approcher.



La brunette soupire.



Clarisse soutient un instant le regard défiant que lui lance Julie, puis baisse les yeux vers le short en jean qui lui ceint les hanches.



L’hermaphrodite sourit, puis se laisse tomber à genoux sur sa serviette, à deux mètres de celle de la jeune femme.



Elle se tourne pour s’allonger sur le dos et ferme les yeux. Clarisse l’observe, son beau visage détendu, son corps de rêve… et ce petit vêtement qui cache un truc incroyable !



Julie sourit, les yeux toujours fermés.



La belle bisexuée laisse Clarisse finir de râler, puis, sans bouger, reprend d’une voix très douce :



Un instant, elles ne parlent plus. Julie respire doucement, savourant les chauds rayons du soleil, le bruit des vagues, les cris des mouettes et ceux de quelques enfants. Elle se sent bien.

Clarisse, elle, est déchirée entre sa fierté et la forte attirance sexuelle qu’elle ressent pour cette… cette créature ! Si un mec lui avait fait la même chose, elle l’aurait viré sans hésitation. Ou même une fille. Mais des mecs, des filles, elle en aurait trouvé d’autres… Alors que là… Et si un mec lui avait dit la même chose, elle l’aurait traité de prétentieux. Mais là… elle n’ose pas… parce qu’une part d’elle-même sait, en tout cas espère, que ce sera vrai…



Julie sourit de nouveau.



Oui, elle s’en souvenait. Et en effet, l’image des deux jeunes femmes prêtes à s’offrir à elle la fait saliver. Elle sent sa verge se gonfler un peu dans son short en jean.



Ah oui… dommage… se dit l’hermaphrodite. Elle se serait bien tapé ces deux petites gouines en même temps.



Mais hors de question qu’elle lui montre la moindre trace de regret !



Les réactions de la jeune femme l’amusent globalement, mais d’un autre côté, maintenant qu’elle commence à bander, peut-être qu’elle pourrait précipiter un peu la suite…


Elle ouvre les paupières en tournant la tête vers la brunette. Celle-ci, cambrée, toujours appuyée en arrière sur ses bras tendus, contemple l’océan. À bien la dévisager, Julie se dit qu’elle ressemble beaucoup à son frère. Les mêmes traits fins, le même nez droit, les mêmes pommettes marquées, les mêmes yeux bleus. Ses longs cheveux noirs mouillés pendent raides jusqu’à son drap de bain. Sa poitrine et ses hanches, à défaut d’être pulpeuses, sont bien dessinées sur son corps élancé.


Et l’ensemble est très bandant, conclut Julie en se redressant et se relevant vivement. Elle décale sa serviette pour l’emmener tout près de celle de Clarisse, qui l’observe faire sans un mot. Puis elle s’y agenouille de nouveau, mais cette fois-ci tout contre la jeune femme. Elle s’assoit sur ses talons et passe sa main gauche dans les longs cheveux noirs, entortillant ses doigts.



Clarisse ne répond rien, continuant de faire semblant d’admirer l’océan. Mais une douce chaleur l’irradie doucement. Julie pose son autre main sur son genou droit et remonte lentement en effleurant sa jambe. Et la jolie brune, complètement conquise et vaincue par ses désirs, ouvre un peu plus ses cuisses et tourne la tête pour embrasser à pleine bouche sa conquérante.




Yann et Jessica sont désormais loin du bord ; ils n’ont plus pied depuis un bon moment et nagent toujours l’un près de l’autre, se frôlant parfois, et parfois se cognant, ou parfois encore se touchant plus que nécessaire. Pour se donner le change, ils se lancent de temps en temps le ballon. Et la superbe Anglaise, mine de rien, les a conduits jusque derrière un des bateaux de plaisance. Et quand elle est sûre qu’ils sont cachés, invisibles de la plage, elle grimace soudain, apparemment de douleur, en remuant bizarrement.



Le jeune homme ne comprend pas un mot, mais devine que quelque chose ne va pas. Il s’approche rapidement d’elle pour qu’elle puisse s’accrocher à lui, et elle passe ses bras autour de ses épaules, se pressant alors contre lui, écrasant contre son buste ses gros seins durcis par l’eau froide et l’excitation. Et elle sent son sexe tendu pointer contre elle. Il ne fait plus aucun effort pour se dissimuler. Il n’en fait plus que pour les maintenir la tête hors de l’eau.



Il ne sait pas ce qu’elle a dit, mais il comprend très bien qu’elle s’est foutue de lui en prétendant avoir mal, que ce n’était qu’un prétexte pour se jeter dans ses bras. Mais qu’est-ce qu’elle est bonne ! Et maintenant elle glisse sa main dans son caleçon de bain… elle referme ses doigts autour de sa queue toute dure… Mais il a une pensée pour sa copine, quand même, et repousse doucement la petite bombe.



Elle lui lance un regard suppliant de chien battu.



Et sous ses yeux ahuris, elle lève les bras et fait mine de se laisser couler. Et le temps qu’il se décide à plonger pour aller la chercher, elle remonte à la surface en exhibant le haut de son bikini qu’elle envoie flotter à quelques mètres d’eux. Subjugué, Yann la scrute d’un regard surexcité. C’est vraiment une salope intégrale ! Et sa poitrine qu’il entrevoit sous les vaguelettes… C’en est trop pour lui. Il se rue sur elle et lui roule une longue pelle en refermant ses mains sur ses gros seins.




Sur la plage, Julie a relevé sa main gauche sous la tête de Clarisse et la presse contre la sienne. Elles s’embrassent toujours. Et elle a relevé sa main droite jusque sur la poitrine de la jolie brune, qu’elle caresse à travers le tissu de son bikini.


Elles n’ont pas vu, ni l’une ni l’autre, qu’à une cinquantaine de mètres d’elles, un peu en arrière en direction de la dune, un groupe de quatre garçons les observent depuis qu’elles sont sorties de l’eau. Et les quatre n’en croient pas leurs yeux ! Il y a là deux superbes filles qui sont en train de se rouler des pelles et de se peloter ! Comme dans les films ! Changeant de position, ils s’allongent tous les quatre à plat-ventre sur le sable, la tête vers le bas de la plage. Et ils bandent devant le spectacle.


Julie baisse à nouveau sa main droite, l’amenant jusqu’entre les jambes de Clarisse, et elle frotte doucement sa vulve à travers son slip de bain.


Mais un éclat de rire gras trahit les quatre spectateurs et les deux filles tournent en même temps la tête dans leur direction. Dans un réflexe, Clarisse referme ses cuisses, mais Julie sourit et lui chuchote :



Et sans attendre sa réponse, elle se retourne pour se saisir du drap de bain de Jessica qu’elle étend par-dessus les genoux repliés de la jolie brune pour masquer ce qu’elle s’apprête à faire.



Et elle glisse sa main sous la serviette entre les cuisses de la jeune femme en l’embrassant encore. Quelques ricanements leur confirment que leur manège n’est pas inaperçu. Elle caresse de nouveau le sexe de Clarisse qui souffle et se dandine discrètement.



Et elle presse de nouveau la tête de Clarisse contre la sienne pour l’embrasser, en même temps qu’elle écarte discrètement le tissu de son bikini pour chercher sa vulve.




Plus loin, en mer, Jessica et Yann sont cachés derrière le bateau de plaisance et s’entredévorent la langue en se caressant vivement. La petite bombe anglaise masturbe franchement le jeune homme qui a retiré son caleçon de bain et l’a envoyé flotter à côté du soutien-gorge dont elle s’est débarrassée un peu plus tôt. Et lui masse et presse ses gros seins en descendant régulièrement la tête sous l’eau pour les mordiller. Ils doivent faire en permanence quelques efforts pour se maintenir à la surface, mais cela les excite l’un et l’autre de s’abandonner ainsi en plein océan.


Jessica prend soudain une grande inspiration puis se laisse couler pour aller sucer le sexe tendu du garçon qui n’en croit ni ses yeux ni les sensations incroyables qu’il ressent. En apnée, elle le pompe une vingtaine de secondes en gobant et en aspirant sa queue presque entière. Puis à bout de souffle, elle remonte et il se jette sur elle pour lui dévorer de nouveau les seins et lui caresser la fente.


Mais elle ne veut pas qu’il aille trop loin ici ; elle a de mauvais souvenirs de pénétrations dans l’eau de mer : le sel, couplé aux frottements des deux sexes, l’a déjà brûlée et lui a fait mal. Alors elle se contentera de le sucer, et ensuite ils iront baiser bien au sec, quelque part sur la terre ferme.


Elle recommence plusieurs fois son manège – les pipes sous-marines – pour le plus grand bonheur de Yann, puis elle le convainc de faire la planche, et alors qu’il s’accroche d’une main à l’échelle du bateau derrière lequel ils se cachent, elle se faufile jusqu’entre ses cuisses pour continuer de le sucer. Sa bite dépasse en partie de la surface, et elle la pompe essentiellement à l’air libre, sa bouche ne descendant sous l’eau que lorsqu’elle laisse le gland s’enfoncer jusqu’au plus profond de sa gorge.


Et si Yann trouvait déjà ça incroyable lorsqu’elle le suçait en apnée, il est désormais subjugué par les caresses qu’elle lui prodigue, par sa bouche qui glisse sur son gland et sa hampe, par sa main qui va-et-vient, et qui malaxe doucement ses burnes, par son autre main, sous ses fesses, qui lui caresse la raie et lui titille le cul. Il gémit sans retenue à chaque va-et-vient des lèvres autour de sa queue.


Il sait qu’il va jouir très vite, et il a compris que c’est ce qu’elle voulait. Il ne se retient pas, et même quand elle devine qu’il va exploser, même quand elle sent les soubresauts de sa bite, elle ne ralentit pas du tout le rythme de sa fellation et il éjacule bientôt quatre ou cinq jets chauds dans sa bouche alors qu’elle continue de le pomper avec ardeur en pressant ses couilles jusqu’à la dernière goutte.


Puis elle se retire et, bouche fermée, le défie d’un regard de braise et déglutit à plusieurs reprises. Yann n’en revient pas ; il est stupéfait par cette incroyable salope. Il cherche quelque chose à lui dire, mais n’a pas de très bonnes idées.



Mais il a une pensée pour Julie. Il s’en veut un peu d’avoir cédé aussi vite à la magnifique Anglaise.



Et ils nagent jusqu’à leurs maillots.




Sur la plage, les quatre garçons n’en reviennent pas. Ces deux nanas sont incroyables ! L’une des deux, la plus belle et la plus pulpeuse, est apparemment en train de masturber l’autre, une jolie brune, plus fine, qui se retient pour ne pas se déhancher de façon trop visible et pour ne pas gémir. Ils sont presque sûrs qu’elles les ont repérés, et pourtant elles n’ont pas cessé leur petit manège. Ce sont vraiment deux salopes ! Et tous les quatre bandent franchement et se trémoussent à plat-ventre sur le sable.


Clarisse a d’abord eu du mal à s’abandonner ainsi sur un lieu public, mais les caresses de Julie sont un vrai délice. Pas de doute, elle sait s’y prendre. Elle a glissé en elle son majeur et son annulaire avec lesquels elle presse et cajole la face antérieure de son vagin, excitant la partie interne de son clitoris, et avec son pouce elle tournoie sur la partie externe.





Yann n’a pas compris, évidemment, mais lui aussi a vu. Ils sont loin du rivage, mais même à cette distance, on peut entrapercevoir que les deux jeunes femmes sur le sable sont collées l’une à l’autre.





C’est vraiment bon. Clarisse se retient pour ne pas crier son plaisir. Mais elle le sent monter en elle. Très vite. Les doigts qui tournoient, dedans, dehors, qui pressent ses organes de tous les côtés. Une vague de chaleur envahit tout son bas-ventre. Elle va jouir. Elle ne peut plus se retenir, elle se déhanche à toute allure, convulse du bassin autour des doigts de l’hermaphrodite et pousse de petits cris.


Et soudain c’est l’explosion. La vague de chaleur et d’extase l’irradie d’un seul coup. Mais ce n’est pas la seule vague… elle sent sa vulve s’inonder, un flot de liquide chaud s’épanche de son corps et coule autour de la main que sa partenaire agite toujours. Elle n’a jamais ressenti ça, elle ne sait pas ce qui lui arrive. C’est trop bon, mais elle a un peu honte. Mais c’est vraiment trop bon. Elle jouit encore, et coule encore. Elle éjacule. Ça ruisselle. Elle continue de convulser en se serrant contre le corps de la belle bisexuée qu’elle a prise dans ses bras.


Julie est hyper excitée ; elle bande à tout rompre dans son short serré. La surprise, le plaisir, la fierté, l’excitation de l’avoir fait jouir ainsi, de la sentir éjaculer aussi fort sur ses doigts, sur sa main. Elle a déjà rencontré des « femmes fontaines » mais jamais personne qui n’a giclé autant.


Clarisse finit par s’effondrer inerte sur sa partenaire, dans ses bras. Julie retire sa main trempée et la ressort, dégoulinante, de sous la serviette.



La jolie brune se serre tout contre elle et l’embrasse avant de reprendre :



La somptueuse hermaphrodite sourit, puis regarde autour d’elle.



Plus haut, en effet, les quatre garçons sont dans un état de stupéfaction et d’excitation difficile à décrire.



Julie sourit de nouveau, s’essuie la main sur le corps de la jolie brune et se redresse. Sa queue gonflée comprimée dans le short en jean lui fait mal ; elle meurt d’envie de défoncer cette salope qui lui a giclé dessus, pour voir si elle pourrait la faire encore gicler avec sa bite… mais c’est impossible tout de suite. Elles vont attendre son frère et la petite Anglaise qui sortent de l’eau. Sous la serviette, Clarisse réajuste son maillot, puis elles repositionnent le drap de bain de la blondinette.


La stupeur des quatre garçons grimpe d’un cran supplémentaire lorsqu’ils voient Jessica approcher. Une troisième nana encore plus bandante que les deux autres… Mais cette fois il ne se passe plus rien… Ils observent encore un peu Julie et ses deux compagnes, en jalousant Yann qui se trouve au beau milieu de ces trois filles, mais finissent par aller se baigner sans plus trop leur prêter attention.


Quand le jeune homme les rejoint, il embrasse rapidement Julie mais s’inquiète :



Elle aperçoit les yeux suppliants de la jolie brune.



Clarisse pouffe plus ou moins discrètement, et Yann semble mal à l’aise.



Julie sourit.



Clarisse et Yann comprennent qu’on parle d’eux, mais sans pouvoir en dire davantage.



Clarisse sent leurs regards sur elle et sur son drap de bain, et ne sait pas où se mettre. Elle se déplace pour cacher les marques de son éjaculation.



L’incroyable bisexuée semble réfléchir un instant. Mais Yann se rapproche d’elle et lui demande :



Clarisse, lorsqu’elle comprend le sous-entendu, explose de rire. Mais le jeune homme, honteux, baisse les yeux quelques secondes avant de rétorquer :



Elle se délecte un instant de sa confusion, mais l’interrompt enfin :



Il écarquille les paupières en la regardant sans comprendre.



Yann déglutit ; que va-t-elle lui dire ? Clarisse est tout ouïe, et Jessica – même si elle ne saisit pas en détail les paroles échangées – devine une certaine tension dans leurs échanges et s’attend presque à ce qu’elle lui montre sa verge.



Le jeune homme est instantanément partagé entre des pensées extrêmes.



Une fois de plus, celle-ci ne sait pas où se mettre. Tous les deux, Yann et Clarisse, s’observent avec un mélange d’incompréhension, de stupéfaction, de dégoût… mais aussi de défi.



Mais Julie la sauve de l’embarras en reprenant à l’attention du jeune homme :



Celle-ci, profitant d’un blanc dans leurs échanges, demande en anglais :



La jolie petite Anglaise rigole en relevant des yeux gourmands vers Yann et en se rapprochant de lui.



L’intéressée tourne vers elle un regard d’abord étonné, puis ardent ; son frère ne répond rien, digérant avec peine les informations précédentes. Quant à Jessica, elle continue de faire les yeux doux au beau jeune homme.


Quelques minutes plus tard, ils marchent tous les quatre lentement sur le sentier revenant au camping. Yann, toujours perdu dans ses pensées, se retrouve bientôt à cheminer à côté de Julie.



Yann soupire. Il est déçu, il attendait plus. Mais il veut savoir. Il y a autre chose qui le titille. Et qui l’excite aussi.



Julie hésite à lui répondre froidement la vérité. Elle soupire à son tour et cherche à minimiser.



Clarisse, qui n’a pas perdu une miette de la discussion, attend un peu crispée, sans lever les yeux, la réponse de Julie. Mais celle-ci élude complètement et murmure à l’oreille du jeune homme d’une voix chaude :



Il ne répond rien, mais malgré lui, alors qu’il est plutôt contrit par la tournure des événements, ça l’excite et lui redonne la gaule.


Julie, elle, bande toujours plus ou moins, d’autant plus quand elle regarde les culs de Clarisse et de Jessica juste devant elle. Ou bien quand elle pense à ce qu’elle vient de dire : baiser Yann avec la petite bombe anglaise. Mais pour l’instant, c’est Clarisse dont elle a le plus envie. Clarisse qui lui a giclé sur la main. Elle a envie de voir si elle peut la faire jouir encore comme ça.


La jolie jeune femme brune est perdue elle aussi dans ses pensées lubriques. Elle est sur un petit nuage. Elle vient de jouir et de ressentir un truc qu’elle n’avait jamais vécu, et elle a envie de recommencer. Elle a de nouveau palpé rapidement l’entrecuisse de Julie lorsqu’ils se sont engagés sur le sentier en sortant de la plage, et elle l’a senti tout dur : une bosse rigide déformait son short serré. Elle a eu envie d’elle, envie de jouir encore.


Et Jessica, excitée par la pipe qu’elle a offerte à Yann un peu plus tôt, a elle aussi très envie de sexe. Elle n’est pas sûre d’avoir tout bien saisi, mais elle pense avoir compris que le jeune homme sera pour elle, et que sa copine hermaphrodite veut avant tout se taper l’autre fille. Et cela lui convient très bien. Ce garçon est très beau, et son petit air déboussolé depuis quelques minutes le rend super excitant.




À suivre