n° 17192 | Fiche technique | 14011 caractères | 14011 2305 Temps de lecture estimé : 10 mn |
26/12/15 corrigé 07/06/21 |
Résumé: Être prisonniers ne veut pas dire forcément abstinence. | ||||
Critères: #historique fh fhh hplusag fplusag extracon enceinte humilié(e) cunnilingu 69 pénétratio sandwich fsodo | ||||
Auteur : Bernard Nadette Envoi mini-message |
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Résumé des épisodes précédents :
« Origines : attaque et prisonniers »
« La vie reprend : il faut s’adapter »
« La vie reprend : la curiosité peut révéler des choses »
« La vie reprend : espoir de promotion »
« La vie reprend : Ennemis jusqu’où ? »
« Espoir de promotion - Croisée des chemins - À la cour du Roi »
« La déception pousse vers des voies étroites »
À la suite d’un raid tanibrinque sur le port de Dorbauxe dans le royaume de Canfre, des prisonniers – hommes, femmes, enfants – sont emmenés en captivité. Ils ont été séparés en plusieurs groupes. Les militaires sont retenus sur un ponton, sauf leur commandant qui est assigné dans une caserne. Six jeunes filles ont été discrètement vendues à une maison close. Une d’entre elles parvient à s’évader. Quatre autres, d’un certain statut social, ont été conduites dans une institution d’éducation pour jeunes nobles tanibrinques, où la directrice, faute d’instructions précises, choisit de s’en servir comme domestiques. Les deux cent cinquante autres sont emprisonnés dans un ancien couvent où ils doivent travailler… La vie de ces exilés s’organise.
Le vice-amiral vicomte Charles de Sombreuil fait partie du Conseil du Roi. Il est l’amant de la marquise Anaïs de Pierrenoire. Sur instruction il lui distille des renseignements sur ce que s’y décide, la belle marquise les revendant à un agent tanibrinque. Cette « mission » le tient éloigné de celle après qui il soupire.
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Henri de La Tiémont poursuit ses échanges de messages avec les agents de son pays. De même il visite régulièrement ses hommes sur le ponton et les prisonniers de l’abbaye. Une fois même il est autorisé à pousser jusqu’à l’endroit où sont retenues Catherine de Révilly et ses compagnes. Il découvre que la vie dans ce pensionnat pour jeune fille de la haute société tanibrinque n’est pas idyllique. Il parle même avec Louis, le simple d’esprit. Catherine est d’ailleurs surprise en voyant de loin la conversation durer. Louis semble plus disert avec un interlocuteur masculin qu’avec elle. M. de La Tiémont essaie bien d’intervenir auprès de la directrice, pour améliorer la situation de ses compatriotes victimes de brimades, mais celle-ci pratique la politique : tant que la bonne marche de l’établissement n’est pas perturbée, il n’y a pas lieu d’intervenir. Si Elizabeth, Ann et Victoria continuent à s’ingénier à persécuter les canfraises, elles le font de manière plus discrète. Aussi la directrice ne voit-elle pas de raison de s’occuper de ces détails.
À peine a-t-il repris le chemin de la ville que le discours est oublié et les choses se poursuivent comme devant. Pour se protéger, les victimes évitent de se déplacer seules et de rester isolées. Cette méthode donne de bons résultats, mais de temps à autre, elles se laissent surprendre. Deux fois surtout furent particulièrement cruelles. Une nommée Marie-Thérèse de Reuilly, qui avait quitté le groupe pour retourner chercher quelque chose qu’elle avait oublié, s’est fait coincer, ficeler et badigeonner l’entrejambe d’un mélange d’épices et d’alcool. Elle resta ainsi plus d’un quart d’heure avant d’être délivrée par ses consœurs inquiètent de son absence prolongée. Elle eut l’impression que le feu la dévorait et malgré moult trempettes, l’endroit resta sensible pendant quasi trois semaines. Catherine aussi se fit piéger, ligoter et bâillonner. Une fois à leur merci ses bourreaux s’ingénièrent à introduire les objets les plus hétéroclites dans son vagin et même dans son anus. L’inventaire en était surprenant, comprenant, carotte, brosse, flacon, manche de balai et de pioche, rouleau à pâtisserie, sans compter leurs doigts. Heureusement Catherine ne fut pas blessée durant l’opération. Elles la libérèrent un navet dans le cul et une pomme au fond de la chatte. Si elle réussit à se débarrasser assez aisément du premier, la seconde lui donna du fil à retordre. Elle mit presque vingt minutes à l’extraire par petit bout en la déchiquetant avec les ongles. Louise de Vaudémont et Antoinette-Marie Berclot eurent la chance d’échapper à d’aussi rudes brimades.
Par contre Louis est relativement épargné. Il n’est jamais violent, se contentant de fuir lorsqu’il se trouve dans une situation difficile, mais pour cela il fonce et avec sa force les conséquences peuvent être aussi inattendues que surprenantes. Ces demoiselles sont devenues plutôt circonspectes depuis que l’une s’est retrouvée assise dans un massif de rosiers, une autre le derrière dans un seau, la même à plat ventre dans la boue et la troisième couverte d’encre. Probablement pour contenter leur côté voyeur, la seule chose qu’elles continuent à faire, c’est d’envoyer deux bonnes l’aguicher. Pour dire vrai, elles n’ont pas vraiment besoin de pousser ces dernières. Contraintes à l’abstinence depuis qu’elles ont accompagné leurs maîtresses dans cette institution, où il n’y a point de représentant de la gent masculine, elles ne sont pas mécontentes de se faire foutre, même sous l’œil à la fois intéressé et goguenard de leurs maîtresses. Elles trouvent que si du côté de l’esprit il est un peu lent, du côté de la baise, il a un don certain.
Au couvent, à mesure de leur aménagement, des pièces sont attribuées aux familles, ce qui désengorge les dortoirs. Bien qu’il soit seul, Maître Lescot en a obtenu une. En effet le gouverneur de la ville se décida à charger les prisonniers de leur propre intendance et gestion. C’est Mathieu qui a été choisi pour cette tâche. Cette vaste pièce lui sert de bureau, il y travaille, rencontre fournisseurs et clients tanibrinques, y range ses livres de comptes et y conserve quelques monnaies. Elle lui sert aussi de chambre.
Comme Jacqueline le secondait dans ses tâches, afin qu’elle puisse travailler avec lui le soir sans avoir à ressortir dans la froidure de la nuit, il fait ménager un second couchage. Celui-ci est établi à l’autre bout de la pièce avec un paravent. Les apparences sont sauves, mais quand d’aventure on passe devant la porte après dîner, grincements et brimbalements d’un lit ouïs montrent qu’icelui fatigue beaucoup plus que son compagnon. De plus des bruits bien humains, faits de gémissements et de halètements complètent les premiers, ôtant les derniers doutes que d’aucuns auraient pu avoir. L’intendance n’est plus, le soir tombé, leur préoccupation. Ils mettent manifestement alors grand entrain à forniquer et y prennent indéniablement beaucoup plus de plaisir.
Si Mathieu et Jacqueline baisent avec constance, ils ne sont pas les seuls. Claude Taimongu et Dominique Lepucat qui ont vu leurs relations passer de l’animosité la plus virulente, à l’amitié, puis à l’amour, platonique dans un premier temps et charnel ensuite, ne sont pas en reste. Après le dépucelage de la donzelle, ils sont restés quelques jours sages, mais dès que l’incommodité occasionnée par l’inauguration fut atténuée, ils récidivèrent et souvent. Les premières fois, un peu inquiet de se faire surprendre et tout à l’objectif que Dominique soit enceinte, ils bâclent quelque peu, mais ils apprennent vite que faire l’amour peut s’avérer des plus plaisants.
Rapidement ils oublient leur crainte d’être découvert ou plutôt s’en moquent et par là même, prennent leur temps. Les préliminaires se prolongent. Jeux de mains, de lèvres et de langue se multiplient et ils n’hésitent pas à remettre le couvert plusieurs fois de suite. Ils prennent autant de plaisir à se mignarder cajoler ou sucer, qu’à baiser. Même quand il apparaît qu’ils sont arrivés à leur fin et que la fille est en cloque, ils ne renoncent nullement à poursuivre ces jeux si plaisants. Dès qu’ils ont un moment, ils s’éloignent afin de pratiquer le déduit. Comme la mignonne n’est pas toujours discrète en prenant son plaisir, rapidement tous savent qu’ils forniquent tant et plus. Sur les conseils de Mathieu, qui connaît bien les deux familles, rien n’est fait pour empêcher ce rapprochement. Il espère qu’il préfigurera celui des deux clans dont l’antagonisme empoisonne depuis trop de décennies la vie de la cité.
Lorsqu’il lui est confessé que Dominique est enceinte, il s’empresse de programmer un mariage, à la grande joie des deux futurs conjoints qui voient ainsi aboutir leur projet. Un autre couple qui avait aussi pris un peu d’avance recevra aussi le même jour la bénédiction du prêtre. Ce double mariage est l’occasion d’une fête qui permet aux exilés d’oublier un temps leur condition. Les nouveaux mariés bénéficient d’une chambre qu’ils inaugurent pour leur nuit de noces avec moult entrains.
Madeleine Lepont n’a pas, elle, la possibilité de bénéficier d’une chambre privée, aussi doit-elle continuer à rechercher, pour ses parties de jambes en l’air, des endroits isolés. Ses amis les Duport en jouissent d’une et n’ont plus besoin de recourir au même expédient pour profiter l’un de l’autre et vivre leur sexualité.
Madeleine songe que s’il en avait été ainsi dès leur installation, jamais elle n’aurait découvert les plaisirs de la chair. Maintenant, elle ne saurait s’en passer, même si de vivre dans le péché la tourmente. Elle fait même montre d’un solide appétit. Une fois Athanase a été retenu hors du monastère plusieurs jours. Ce sevrage inopiné la mit quasi en état de manque. Le garçon rentra un matin, après avoir travaillé toute la nuit. Elle le convia à un rendez-vous discret et l’attendit près de la porte du dortoir. Comme il tardait à venir, elle alla le chercher et l’entraîna. Arrivés dans un des endroits retirés qui abritaient leurs épanchements. Elle le déshabilla avant de se dévêtir elle-même.
La fatigue aidant il ne se montrait guère vaillant, elle le fit allonger, s’agenouilla et entreprit avec beaucoup de conviction, de la main, des lèvres et de la langue à lui donner de la vigueur. Comme elle s’activait, elle sentit une main qui venait, fort agréablement, s’occuper de son conin déjà ruisselant. Sans s’interrompre, elle écarta un peu plus les genoux, pour lui faciliter la tâche. Quand elle se sentit prise par les hanches à deux mains, elle mit quelques secondes à réaliser l’incongruité de la chose. Elle n’eut pas le temps de lever la tête et se retourner qu’un vit la pénétrait. Elle sursauta, chercha à s’écarter, mais fermement tenue elle ne le put.
Elle songea à se débattre, mais d’être ainsi envahie concordait trop à sa fringale de pénétration, pour qu’elle fît plus que quelques tortillements, qui in fine ne firent que l’ouvrir davantage. Ces velléités passées elle laissa son assaillant continuer de la saillir en se cambrant et tendant la croupe. Elle avait reconnu l’ami de son amant, Renaud Tardif, un cordier, à peine plus âgé – il approchait des vingt ans – plus grand aussi, mais au visage moins avenant, aussi brun que son compagnon. Cela avait interrompu l’activité buccale de la dame.
Athanase n’entendit pas qu’elle cesse la mise en condition qu’elle avait entreprise. Aussi la saisit-il illico par les cheveux pour la ramener à l’ouvrage. Elle ne se déroba point. Cela faisait quelque temps qu’Athanase avait proposé à son ami de partager sa bonne fortune. Celui-ci, plutôt timide, était réticent. Il craignait la réaction de Madeleine. Le marin avait beau l’assurer qu’avec son tempérament ardent Madeleine ne ferait pas d’embarras à la venue d’un nouveau galant, l’autre tergiversait. C’est en la voyant, à son retour de corvée, tout excitée après plusieurs jours d’abstinence, qu’il pensa que c’était le moment. Il convainquit son ami, et celui-ci les suivit. S’il avait eu du mal à se décider, Renaud mit du cœur à l’ouvrage. Il la ramona fort vigoureusement, au plus grand plaisir d’icelle. Quand il se fut vidé les couilles, il alla se faire sucer et son complice le remplaça dans le con laissé vacant. Durant plus de quatre heures, ils la besognèrent. C’est dolente et repue, quoique la mâchoire un peu douloureuse qu’ils la laissèrent.
De ce jour Madeleine est, fort régulièrement, honorée par les deux hommes, séparément ou ensemble. C’est à l’occasion d’une partie à trois que Renaud, toute timidité oubliée, l’encule pour la première fois. Elle est en train de chevaucher Athanase, allongé sur le sol, quand il arrive à son tour. Elle monte et descend le long de la hampe. Il est troublé par le mouvement de la croupe, déjà maculée de sperme, de la pouliche. Il s’approche et regarde fasciné le troufignon se dilatant et fermant alternativement. Il sort son sexe déjà dressé, saisit la taille de Madeleine, interrompant son mouvement de ludion endiablé et sans préliminaires conquiert la porte étroite.
Madeleine ne comprend pas sur le champ ce qui se passe. Quand elle sent que c’est son cul qui subit l’assaut, elle tente de se dégager, mais prise entre les deux compères n’y parvient pas. Il faut bien avouer que ses efforts ne sont nullement frénétiques, car elle ne trouve pas la chose déplaisante. Elle a la chance que cette inauguration se passe sous les meilleurs auspices. Plusieurs facteurs y aident : en pleine action elle n’est nullement tendue ; Athanase a répandu sur sa raie abondance de foutre et surtout, elle a de bonnes prédispositions.
Cette première s’étant on ne peut mieux déroulée, elle n’est aucunement opposée à récidiver… et elle récidive. Son cul est plus qu’accidentellement fréquenté. Elle s’arrange d’ailleurs, dans cette optique, à avoir toujours sur elle un peu de suif, de saindoux, huile ou autre matière qui judicieusement appliquées facilitent l’accès à l’endroit. Surtout qu’elle s’est prise d’apprécier hautement de se faire prendre en sandwich, de sentir les deux hommes remuer en elle en même temps. Bref elle rattrape le temps perdu et profite pleinement de la fougue et de la jeunesse de ses fouteurs. Être enculée présente en outre un avantage. Point de risque de se faire engrosser, tandis que par l’autre voie, il faut faire attention lors des périodes fécondes à ce que ses deux amants ne se répandent pas dans son con. Alors, leur retrait précipité est souvent frustrant, mais cela vaut mieux que de revenir à Dorbauxe en cloque ou avec un enfançon à la mamelle.