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n° 18678Fiche technique19742 caractères19742
Temps de lecture estimé : 15 mn
24/11/18
Résumé:  Paris l'été, je m'ennuie de Flo, je rejoins la fraîcheur de la plage à sa recherche.
Critères:  fh vacances plage fsoumise hdomine nopéné -extraconj -bourge
Auteur : Sergefra  (bel homme, coquin, cultivé, gourmand)            Envoi mini-message
Co-auteur : Carla.moore      Envoi mini-message

Série : L'éducation des sens

Chapitre 06 / 08
La plage

Résumé des épisodes précédents :



J’ai rencontré Florence lors d’une exposition au Grand Palais. Nous nous sommes apprivoisés petit à petit et découverts des intérêts communs pour des situations érotiques sortant de l’ordinaire.




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La Plage




L’été approche. Paris se confit de chaleur.

L’air chaud enveloppe les corps, les amollit et leur laisse peu de repos, même la nuit. Je n’ai pas revu Florence depuis notre soirée « première de cinéma » ; cette soirée si particulière où elle a cru avoir été livrée masquée à son mari ou son beau-père. Elle a semblé me fuir. Mais je sais où elle prend ses vacances. Comme de coutume en juillet, elle va en famille, chez ses beaux-parents, dans cette station balnéaire de l’Atlantique où une baie infinie de sable blanc et fin côtoie des criques plus sauvages aux accès parfois compliqués.


Je ne sais pas si je pourrais me passer de nos jeux très longtemps. Je décide donc de rejoindre la côte quelques jours et de partir à sa recherche. Après les heures de route sous un soleil brûlant, la chambre que je prends dans un hôtel sur le port offre un repos rafraîchissant. Je revêts ma tenue d’été pour aller à la recherche de ma belle.


Je m’arrête à l’accueil pour demander un plan. La femme forte un peu revêche que j’interroge se tourne vers le bureau derrière et appelle :



Chloé ? Une jeune métisse, un job d’été certainement ! Après avoir écouté ma requête, elle déplie un plan sur le comptoir, l’examine, marque d’une croix le lieu de l’hôtel, et lève enfin les yeux pour me demander :



Mon hésitation a été remarquée, son visage s’habille d’une charmante moue mutine :



Je ressens l’incongruité de ma demande, je rougis légèrement, elle me sourit de ses magnifiques yeux verts. Elle reprend :



Elle se redresse et me considère un instant en suçant son stylo de manière équivoque.



Elle me sourit, elle est charmante, je bats en retraite, la remercie en bafouillant. Elle me dit que si jamais je ne trouvais pas mon amie, je savais maintenant où elle serait…


Je sors et pars en bicyclette explorer les criques. Le vent me rafraîchit de la chaleur du soleil, l’air sent la mer, les couleurs vives font du paysage un tableau vivant à peindre. Je m’approche du bord de la première crique en roulant : des adolescents bruyants l’occupent.


Je continue ma route et découvre la suivante : quelques couples avec enfants. Je pose ma bicyclette et descends les marches sauvages. Pas de trace de ma blonde, il est 13 h 30, peut-être attend-elle un soleil plus clément ? Je me dis que jamais je ne la retrouverais, mais que je me consolerai avec la jolie métisse. Je décide de dérouler ma serviette dans un endroit tranquille, un peu à l’écart et je m’assoupis rapidement à la lecture du journal. La brûlure du soleil me réveille, je me tourne vers mon sac pour attraper un tube de crème et soudain je la vois et l’entends :



Je la regarde, elle est magnifique presque nue, d’une blondeur presque nordique, le corps habillé d’un tout petit deux-pièces noir classique. J’ouvre le tube et me couvre de crème.



Elle se rallonge sur le ventre, le visage toujours tourné vers moi ! Elle passe ses mains dans le dos et dégrafe son soutien-gorge pour lui faciliter la tâche. Ses seins magnifiques se redressent quand elle se cambre. Elle me fixe dans les yeux et je me prends à imaginer ses mains, sur moi, m’enduire de crème. Son mari tout à sa tâche, le regard baissé vers son dos, ne remarque pas son sourire qui s’agrandit et sa bouche qui s’ouvre sur une promesse de plaisir.




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Mon mari, mon fils et moi avançons main dans la main pour notre première baignade de l’année.

Comme chaque année, nous venons passer quinze jours dans la résidence secondaire de mes beaux-parents, dans cette station balnéaire. Je suis heureuse d’être sortie de la torpeur parisienne de cet été caniculaire. Ces quelques derniers jours ont été éprouvants : il fallait que je m’éloigne au plus vite.


J’ai rejeté tous les appels de mon amant depuis la dernière soirée où il m’a emmenée dans un club libertin ; une soirée spéciale où j’ai frôlé la correctionnelle en y faisant l’amour, soit avec mon mari, soit avec mon beau-père ! Pendant ces quelques jours, je n’ai cessé de penser à découvrir qui m’a pénétrée et donné tant de plaisir sous l’œil de mon amant et maître de jeu ! J’ai lancé quelques remarques pour surprendre des réactions de l’un ou de l’autre, mais sans succès ! Si c’est mon beau-père, je n’oserais plus le regarder en face ! Si c’est mon mari, c’est un sacré salaud, lui qui me touche à peine quand on fait l’amour, toujours en missionnaire et toujours dans le noir !


Nous avons notre crique ! Enfin, nous venons toujours dans celle-ci, car elle est plus calme que la première et assez près du club pour Antoine. Aujourd’hui, dès que nous arrivons, Antoine, notre fils, jette ses affaires à terre et court jusqu’à l’océan pour y tremper les pieds. Nous nous installons, pas loin d’un homme endormi ! J’étale ma serviette, enlève ma robe légère et me retrouve en bikini, noir, classique. Il est moins sage que ceux que j’ai l’habitude de mettre les autres années. Ces dernières semaines, j’ai appris à aimer mon corps ! Pierre est surpris et me complimente.



Antoine s’assoit dans le sable et commence à creuser un trou avec ses deux mains !


Je suis allongée sur le dos et…

C’est pas vrai ! Que fait-il là ? Ce ne peut pas être le hasard ! Comment sait-il que je suis dans cette station ? Comment m’a-t-il retrouvée ?

J’ai envie de lui, instantanément, malgré toutes les promesses que je me suis faites depuis son dernier baiser. Il faut qu’il me voie !

Pour attirer son attention, je demande un peu trop fort :



Il me voit, il me regarde, il me magnétise. Il s’assoit et se passe de la crème. Je ne peux pas me détacher de lui ! Il me sourit, je lui réponds ! J’ai envie de ses mains sur moi. Lui reste les yeux posés sur moi. Je sens mes seins se tendre.


Je m’allonge sur le ventre, dégrafe mon soutien-gorge et me cambre pour qu’il puisse voir comme ils sont tendus ! Je me positionne plus correctement.



Je devine la surprise de mon mari : c’est la première fois que je défais le haut de mon maillot sur une plage !


Mon imagination, sous le regard intense de Paul, permute le propriétaire des mains qui m’enduisent de crème, c’est lui qui me caresse le dos, ses effleurements ne sont pas dus à la timidité ou à l’émotion, mais au désir de me donner des sensations fortes. Je repense soudain à sa façon de me regarder être prise par ce sexe anonyme, la poitrine malaxée par ces mains, le plaisir que j’avais à me livrer ainsi sous ses yeux.



J’ajoute, m’adressant au petit :



Pas enchanté le papa !



J’ai deux heures devant moi… devant nous !

Je me tourne vers mon maître dès qu’ils ont dépassé le petit cap qui sépare la crique des autres…





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Florence l’effrontée a renvoyé son mari sans état d’âme. Elle est à moi pour deux heures. Je me rapproche d’elle !



Son oreille est tout entière dans ma bouche maintenant, je la mange, la mords, la lèche. Je sens Florence tressaillir, j’ai posé sa main sur ma cuisse, le long de mon sexe pour qu’elle en sente la tension, mon autre main cachée par mon corps joue avec son sein gauche. Ma bouche glisse de son oreille à ses lèvres, les taquine, les mordille, les fait frissonner, s’entrouvrir, découvrir ses jolies dents blanches carnivores. Ma langue l’investit, découvre la sienne, lutte avec elle. La main de Florence s’est rapprochée subrepticement et presse gentiment mon sexe, elle s’est redressée, ma main enveloppe son sein au bout qui pointe.



Je l’entraîne dans l’eau fraîche. Florence veut remettre son haut.



Elle me suit, ses seins se balancent librement au gré de ses mouvements : ils sont magnifiques, pleins, coquins, le nez en l’air. Elle a gardé ses lunettes noires, et ses cheveux ramenés en arrière dégagent son adorable nuque. Je l’emmène jusqu’à la limite d’avoir pied, l’approche de moi. Je lui mordille la nuque, flatte ses seins, je m’approche de son oreille et la mordille, j’aime la sentir tressaillir, j’insinue ma langue dans son oreille.


Ma main glisse dans son maillot, elle a écarté les jambes sans que je lui demande rien et s’est cambrée comme j’aime. Son cul frotte mon sexe et le fait grandir, je la prends par la nuque et la retourne pour l’embrasser à pleine bouche. Je joue avec son sexe, ses lèvres, ses poils, je laisse mes doigts vagabonder en elle. Elle m’embrasse avec passion, elle se donne, elle frotte le bout de son sein contre mon épaule.




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Je l’ai suivi dans l’eau, il m’embrasse, me caresse.

Mes pensées ont perdu tout contrôle ! Je suis sa proie sexuelle, il me prend, me fait l’amour, là, en public ! Non, ce ne sont que mes pensées, lui ne fait que me susurrer à l’oreille : il veut que je lui demande ce dont j’ai envie !

« J’ai envie de toi, de ton sexe, de tes mains, de ta bouche partout : sur et en moi ! »

Ces mots sont dans ma tête, mais ne sortent pas de mes lèvres.


Non, nous en sommes à une nouvelle étape : les mots ! Cette nouvelle frontière est dure à franchir. Je ne peux pas. Je me rends compte que c’est ridicule si je réfléchis à tout ce j’ai fait depuis que je le connais… Mais je ne peux pas !

Alors je me sers de mes mains cachées par l’eau pour lui faire comprendre…

Il reste figé et m’ordonne de lui dire des mots crus.



Délivrance des mots, délivrance du corps… Je sens que je suis au bord de m’abandonner, là ! Au milieu de l’océan !




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Mon regard montre que je ne suis pas satisfait !



Je prends sa bouche d’une main et introduis mon pouce



Elle suce mon pouce avec application, le sort, le rentre et me regarde, les yeux bien dans les miens, elle veut me montrer son talent.



Elle me fixe de ses magnifiques yeux bleu gris.




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Il m’a laissée en plan après avoir joui en moi. Il a exigé des mots vulgaires, moi dont l’éducation a été si stricte. Je n’aurai jamais pensé prononcer de telles paroles, et j’ai aimé le faire : oui, je suis sa Sexbourgeoise, j’ai envie qu’il joue avec moi, je veux lui obéir, lui donner du plaisir. Et le pire, c’est que les fesses dans l’eau fraîche, je savoure ma fierté… Oui je suis une salope qui trompe son mari, qui s’exhibe sur une plage, dans un club, qui accepte la sodomie… Ou plutôt accepte de se faire enculer par un inconnu… sous les yeux de son amant !


Un homme qui, à côté de sa femme, me regarde sortir de l’eau, les seins encore tendus de plaisir, me rend fière. J’ai soudainement envie qu’il me possède… je lui souris, je l’allume, il baisse les yeux (gêné ou peur d’être surpris par sa légitime). Je ne suis plus la femme qui a honte, je suis celle qui ose, celle pour qui le désir et le plaisir du sexe sont tels qu’ils prennent le pas sur l’éducation et même sur l’amour. Car j’aime mon mari et mon fils.




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Florence a franchi une nouvelle étape, elle met des mots sur son plaisir à être à moi. Elle affirme ainsi sa soumission, la revendique par la vulgarité des mots utilisés. Ça la rend fière et forte par rapport à sa famille. Elle est belle quand elle me dit qu’elle est ma salope, ma sexbourgeoise, bien plus belle et désirable que la jeune femme que j’ai croisée au Grand Palais il y a quelques semaines. Je l’ai quittée il y a quelques heures à peine et j’ai déjà envie d’elle, de ce mélange de spontanéité prude et de belle salope. Certains signes ne trompent pas…


Je veux la voir par petit bout. Je prends mon téléphone et lui envoie un SMS.


Seule ? (Cling)


Rien…, les secondes passent, je m’apprête à la relancer.


(Bip-bip) Avec mon mari et mes beaux-parents.


Je l’imagine, un ruban noir dans les cheveux, un chemisier blanc, avec une jupe bien sage, sans maquillage. S’ils savaient…


Envoie-moi une photo de toi maintenant avec eux ! (Cling)


Une photo d’elle avec ses convives, c’est naturel et simple à faire, je devrais la recevoir. Pour mes demandes à venir… pas sûr…

J’entends sonner l’église, il est huit heures, ils doivent être à table.


(Bip-bip) Eh bien non, pas encore apparemment, puisque la photo que je reçois est prise devant une piscine : Florence, son fils et ses beaux-parents… Bingo, j’ai gagné pour l’habillement ! Mais Florence à ses yeux de sexbourgeoise, ceux qu’elle a avec moi, quand je suis en elle, la bouche légèrement entrouverte, mais très sage au demeurant, trop sage à mon goût. Il m’en faut une autre !


La même, ++ ! (Cling)


C’est parti, comment réagira-t-elle ?


Je sors dîner. En descendant, je croise la ravissante Chloé, mini-short, de longues jambes caramel posées sur des plates-formes, une chemise d’homme nouée à la taille dégage un ventre plat orné d’un délicieux nombril nature. Je lève la tête, elle me regarde franchement amusée.



Elle se penche à la recherche d’un plan, mes yeux l’accompagnent pour découvrir de bien jolis seins, sans marques, libres de leurs mouvements sous sa chemise d’homme.



Sa jolie poitrine se soulève au rythme de sa respiration.



Elle pique un fard, baisse la tête et d’une voix mal assurée, m’indique tout en traçant une croix :



Je rejoins le restaurant, m’assois, commande.


(Bip-bip) Une nouvelle photo sur mon smartphone, je la détaille : Florence, son mari, ses beaux-parents cette fois. Qu’a-t-elle changé ? Elle est assise en arrière sur un canapé, ses jambes, légèrement écartées, relevées par ses plates-formes, ont fait remonter sa jupe assez pour que je devine un sous-vêtement. Elle a attaché ses cheveux hauts avec une pince, et sa nuque ainsi libérée, elle regarde le photographe de trois quarts. Son mari, assis sur l’accoudoir, a posé une main sur son genou, mais c’est le photographe qu’elle fixe, très sage, mais aussi tentatrice. Je le ressens dans tout mon corps, mais j’en veux plus.


+ ! Un selfie de ton sexe ! Rappelle-toi ce que tu m’as dit ! Ce que tu es ! (Cling)




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La soirée en famille a commencé et je me sentais bien heureuse, épanouie, en sécurité parmi les miens ! Je devais appeler mon amant quand je serai disponible et j’aspirais à ce moment dans la sérénité coutumière.


Mais lui ne voyait pas la chose de la même façon : un premier SMS, puis un second pour me rappeler que j’étais à lui ! Je devais faire des photos de moi !

Osé ! Mais oui, il l’est, osé ! Et j’en suis la première bénéficiaire !


J’ai pris ça comme un jeu ! Quelques photos volées de mon intimité familiale !

Quand il m’a demandé d’aller plus loin, j’ai failli refuser, mais il m’a rappelé ma promesse d’être sa sexbourgeoise, son jouet sexuel ! Alors je me suis isolée dans la salle de bain et j’ai envoyé ce qu’il me demandait. Honteuse de trahir mon fils et mon mari en étant toute proche d’eux ! Ce n’était plus un moment volé, mais leur vie que je bafouais ! J’en avais conscience, mais tellement d’envie.




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Je finis de dîner, retourne à l’hôtel, demande ma clé à la toujours si ravissante Chloé.


(Bip-bip) Je pose mon téléphone sur le comptoir : une très belle photo d’un de tes seins, la pointe entre deux doigts. J’agrandis la photo.

(Bip-bip) Une autre : cette fois, ce sont tes lèvres que tu m’envoies, bien ouvertes, et légèrement humides, tes lèvres oui ! Celles du bas !


Je lève la tête, Chloé me tend la clé sans me voir, les yeux rivés à mon téléphone.



Elle sursaute et rougit, se retourne en bafouillant bonne nuit. Je monte dans ma chambre, m’allonge sur le lit et contemple avec délectation ce fruit que je veux maintenant manger en dessert.


Tes invités sont partis ? (Cling)

(Bip-bip) Oui, enfin !


Ton mari ? (Cling)

(Bip-bip) Au lit, épuisé par ses jeux sur la plage avec mon fils.


Rejoins-moi ! (Cling)

(Bip-bip) Et s’il se réveille ?


Rappelle-toi ce que tu m’as promis ! (Cling)

Rejoins-moi vite, je te veux nue sous une jupe très courte ! (Cling)

Et très maquillée, très pute et bourgeoise, dépêche-toi ! J’ai une surprise pour toi, quelqu’un qui te connaît… (Cling)