n° 18740 | Fiche technique | 20777 caractères | 20777Temps de lecture estimé : 16 mn | 21/12/18 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Après avoir retrouvé Florence à la plage, je lui ai fait l'amour dans la mer, pendant que son mari jouait avec son fils dans la crique voisine. Je retourne à l'hôtel, dîne et lui demande de m'y rejoindre? | ||||
Critères: fh fhh hotel fsoumise fellation pénétratio fdanus -dominatio | ||||
Auteur : Sergefra (Bel homme, coquin, cultivé, gourmand) Envoi mini-message Co-auteur : Carla.moore Envoi mini-message |
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Résumé des épisodes précédents :
« Nikki »
« Betty »
« Symphonie en noir et blanc à quatre mains »
« La présentation Happening pour la sortie d’un film »
« La plage »
J’ai rencontré Florence lors de l’exposition Nikki de Saint-Phalle. Je l’ai retrouvée plusieurs fois depuis dans des circonstances qui l’ont amené à se révéler. Je viens de la retrouver à la plage en compagnie de son mari et de son fils. Elle a trouvé un motif pour s’éclipser et nous avons fait l’amour dans la mer. Ce soir après dîner, l’envie me prend de la retrouver. Je lui demande par texto de me rejoindre à l’hôtel, sans lui laisser d’autre choix que de m’obéir. Je lui ai demandé tout au long de la soirée de m’en donner des preuves en m’envoyant quelques photos par SMS.
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Je finis de dîner, retourne à l’hôtel, demande ma clé à la toujours aussi ravissante Chloé. Cling ! Je pose mon téléphone sur le comptoir, une très belle photo d’un de ses seins, la pointe entre deux doigts, j’agrandis la photo, Cling, une autre, cette fois ce sont ses lèvres, bien ouvertes, et légèrement humides. L’effet est immédiat, je lève la tête, Chloé me tend la clé sans me voir, les yeux rivés à mon téléphone.
Elle sursaute et me regarde, intriguée. Je monte dans ma chambre, m’allonge sur le lit et contemple avec délectation ce fruit que je veux maintenant manger en dessert. Et je reprends le fil de notre discussion par SMS.
« Ta famille est couchée ? »
« … Oui, enfin ! »
« Ton mari ? »
« Au lit épuisé par ses jeux sur la plage avec mon fils. »
« Rejoins-moi ! »
« Impossible : s’il se réveille ? »
« Rappelle-toi ce que tu m’as promis ! »
…
« Rejoins-moi vite, je te veux nue sous une jupe très courte ! » « Et très maquillée ! très pute et bourgeoise, dépêche-toi j’ai une surprise pour toi ! quelqu’un qui te connaît ! »
oOo
La soirée s’est terminée par un jeu du Nain jaune avec ma belle-mère, mon mari et mon fils ! Philippe me fait l’amour ! Il est tendre comme toujours, mais ça me paraît insipide, inodore… inutile ; à vrai dire : ennuyeux. Dans ma tête courent les émotions des prises de vue ! Nouvelle transgression ! Il jouit se retourne et s’endort après m’avoir dit « merci » et « bonne nuit, je suis crevé ».
Je vais dans la salle de bain et me lave comme pour me purifier ! J’ai le sentiment d’être un trou pour Philippe ! Aucune émotion, aucun sentiment pendant l’acte ! Quel contraste avec ce que j’ai vécu cet après-midi dans l’eau ! Quelques caresses quelques baisers, quelques injonctions ! Je me sens plus impure avec Philippe qu’avec Paul… Paul : il faut que j’efface les textos et ; je reçois un nouveau SMS !
« Rejoins-moi vite, je te veux nue sous une jupe très courte »
J’ai commencé à répondre que je ne pouvais pas ! Mais je n’ai pas fini qu’un deuxième message est arrivé :
« Et très maquillée, très pute et bourgeoise, dépêche-toi, j’ai une surprise pour toi, quelqu’un qui te connaît… »
J’ai envoyé mon message expliquant l’impossibilité, s’il se réveillait, si mon fils avait besoin de moi !…
Florence résiste, puis rend les armes.
« Chambre 17, nue sous cette robe noire qui se boutonne par-devant, et puisque tu me fais attendre, tu ne fermeras que sept boutons ! Pas un de plus ! N’oublie pas très maquillée ! Prends un taxi !
…
« Rappelle-toi ce que tu m’as promis, je t’attends ! »
Les ordres se succèdent. Je ne peux pas y aller ! Comment faire ? Je sais que si je n’y vais pas, je vais tout perdre ! Mon cerveau raisonne à vitesse grand V. Je veux, j’ai envie il faut que je me rende auprès de lui ! Ma décision est prise ! Je vérifie que la chambre des beaux-parents est éteinte, ils doivent dormir ! À la lumière de mon smartphone, je cherche la robe demandée ; la prend et file dans la cuisine pour m’habiller ! Je laisse un mot sur la table :
« Je ne pouvais pas dormir, je suis allée marcher sur la plage regarder les étoiles ! Je ne tarde pas ! »
Un nouveau message arrive :
« Je t’ai envoyé un taxi ! Presse-toi ! »
Je file, monte dans le taxi qui arrive et profite du trajet pour me maquiller ! Avec qui m’attend-il ? Je ne connais que le facteur… ah ! oui ! le moniteur d’Antoine quand je l’emmenais au club l’an dernier ! Il n’était pas insensible à mes charmes ! Non, il est très jeune : il doit pas avoir vingt ans ! À moins que… Betty ? non elle devait partir en tournée en Europe du Sud (si je me rappelle bien !) La serveuse à cette soirée ?… ou… non, pas le blondinet ! Le taxi s’arrête ! Il me dit que la course est payée ! et me fait un clin d’œil.
Je me retrouve devant l’Hôtel ! je ne sais plus dans quelle chambre je dois le retrouver, et dans ma hâte j’ai laissé mon téléphone sur la table de la cuisine !
Devant la porte une jeune femme fume une cigarette, quand elle me voit elle me dévisage et me dit :
Je rougis et rentre. Une fois devant la porte, je respire un bon coup, défais les boutons de ma robe pour ne garder que les deux du centre, ce qui fait que ma poitrine est découverte jusqu’aux tétons et que si je fais un pas seul mon nombril sera caché ! Je frappe à la porte.
Je comprends ce qu’il veut, je lui réponds ce que je suis d’être sortie de mon foyer abandonnant homme et enfant pour venir coucher avec lui.
À voix très forte :
La porte s’ouvre.
oOo
On a frappé à la porte.
Florence me répond, mais pas comme je le souhaite, je lui demande de se présenter à nouveau comme il faut. Elle s’exécute, mais c’est presque chuchoté. Elle a fait beaucoup de progrès, mais elle est encore très prude.
Florence obéit et je lui ouvre : elle est telle que je lui ai demandé, somptueuse. Elle s’est cambrée à l’ouverture et l’un de ses seins a pointé son nez arrogant au bord de la robe. Je prends son visage dans ma main, presse pour lui ouvrir la bouche et l’embrasse enfin avec délectation.
Elle passe devant moi et se dirige vers la salle de bain.
À chaque pas ses jambes fendent sa robe jusqu’au pubis, ses seins ballottent, elle est sensuelle
Elle hésite à me répondre
Pendant qu’elle s’active, je noue autour de son cou un ruban noir, remonte ses cheveux blonds en un chignon très haut. Elle a rajouté un rouge très vif sur ses lèvres, exagère sur le mascara, elle est maintenant identique à mon fantasme.
Elle a parlé avec force, avec fierté
Je caresse sa nuque, glisse une main sous sa robe sur un sein, engage mon pouce dans sa bouche. Elle le tète avec voracité en me regardant d’un air de défi dans la glace.
Florence se lève avec lenteur et se met à marcher dans la pièce
Après plusieurs passages, le résultat est à mourir et ma prude bourgeoise s’est transformée en une allumeuse professionnelle.
Elle défait l’un des deux boutons, s’approche de moi, et sans attendre me prend la bouche et plaque sa main sur mon sexe. Gourmande, sa main s’active sur ma braguette, elle sort mon sexe douloureux, et le saisit de sa petite main douce et chaude.
Elle s’arrache à mon baiser
De ma main je presse ses cuisses pour qu’elle s’ouvre en grand, je lui prends l’oreille dans la bouche et lui glisse ce que mes doigts m’ont permis de constater
Elle manque défaillir sous me doigts, je m’en écarte.
Elle dénoue la faveur qui entoure le paquet, défait le papier délicatement, et découvre ce qu’il contient. Elle se retourne vers moi interdite et cramoisie.
Une cravache ! Non, je ne veux pas aller aussi loin ! Je ne veux pas de violence !
Il m’explique que la cravache peut s’utiliser de maintes manières, qu’elle n’est qu’un accessoire de fantasme et qu’il ne l’utilisera pas pour me fouetter sauf si je lui demande. Je sais que je peux lui faire confiance. Je prends la cravache et la lèche comme si c’était un pénis en le regardant. Puis, je la lui mets entre les mains, confiante et soumise !
Je m’approche et passe le bout de la cravache sur ses formes, sur ses lèvres luisantes, sur son bouton.
Elle tressaille.
Elle fait oui de la tête. Je prends le téléphone :
Je continue à parcourir de la cravache le magnifique corps abandonné de Florence. J’insiste particulièrement sur les tétons, les lèvres, son sexe, je lui donne à en sentir le goût dans sa bouche.
On frappe à la porte. Je pose la cravache entre les fesses de Florence, contre ses lèvres.
oOo
La cravache lui sert pour me caresser et c’est vrai que cet objet me fait frissonner, je n’y aurais jamais cru il y a quelques minutes. Il a décidé de m’exposer aux yeux de la fille de l’hôtel. Je suis fière de mon amant de sa puissance ! et j’espère de la part de la demoiselle soit de la gêne (quoiqu’elle n’ait pas l’air d’une Sainte-Nitouche), soit de l’envie, de la jalousie. Avant qu’elle ne rentre, il a coincé la cravache entre mes fesses. Il veut m’humilier, mais n’arrive qu’à me rendre fière de ma prouesse de maintenir cet objet fantasmatique. Oh ! et si ce n’était pas elle ! si c’était l’autre personne qui arrive enfin !
oOo
La porte s’ouvre sur l’employée, les yeux rivés sur le plateau chargé d’une bouteille et de trois flûtes. Elle fait trois pas à l’intérieur de la chambre, je ferme la porte derrière elle, puis la contourne pour me placer à ses côtés, face au lit. Chloé lève les yeux et tombe en arrêt devant Florence, toujours agenouillée nue, offerte, le stick entre les cuisses.
Un reste de pudeur fait tressaillir Florence, Chloé reste coite, je me saisis de la bouteille, l’ouvre et remplis les trois flûtes sur le plateau. J’en prends une, m’approche de Florence, la caresse lentement de la cheville jusqu’à son sexe, que j’ouvre en grand, en écartant bien les lèvres. La cravache est tombée sur le lit. J’appuie sur le bas du dos de Florence pour la cambrer, la flatte d’une main et pose la flûte sur son dos en équilibre. Je débarrasse enfin Chloé du plateau, prends une flûte d’une main, la cravache de l’autre et lui dit de se servir en lui montrant Florence.
Chloé ne bouge toujours pas, comme paralysée par le spectacle.
J’accompagne mes mots de la cravache, désignant la coupe et termine mon geste en frôlant délicatement les lèvres grandes ouvertes de ma maîtresse
Chloé tourne enfin la tête : des yeux je lui indique la coupe, très lentement, comme si elle dormait debout elle s’en saisit.
Et je choque mon verre contre le sien en la transperçant du regard.
À force de caresses subtiles du cuir, j’ai amené le sexe béant de Flo à luire de plaisir.
Chloé figée, interdite, ne dit toujours rien, je ne sais comment elle réagira à mon initiative
Je lui donne la cravache, et gardant ma main sur la sienne je l’amène à dessiner des arabesques sur ses cuisses, autour de son sexe, je suis tout contre elle qui caresse maintenant seule ma belle soumise, abandonnée à son plaisir.
Je fais remonter la main que j’avais posée sur sa hanche sur son ventre nu, sous son t-shirt jusqu’à empaumer un sein. Chloé continue à jouer de la cravache en appuyant plus ses caresses, elle semble fascinée par le sexe béant et la totale soumission de Flo. J’étire la pointe de son sein, Chloé en rythme passe maintenant le stick sur les mamelons de Flo, qui bouge en suivant son plaisir. Par les mouvements de mon corps contre Chloé, j’en décide la vitesse, ma main abandonne à regret son sein et se fraye un chemin sous son short, sur son sexe. Elle s’ouvre et me laisse passer, je comprends maintenant sa passivité, elle est trempée, et mon doigt sur son bouton aurait vite fait de la faire venir dans ma main. Mais un bip répété coupe l’action précipitamment.
« Dring »
« Dring »
« Dring »
Quelqu’un appelle en bas à la réception. Chloé sort de son état second, reprend le plateau vide et s’en va. Je prends une goulée de champagne et m’approche de ma belle au bandeau et la partage avec elle dans un long baiser gourmand.
Je n’en peux plus de cette tension, qui m’habite, je m’approche de sa bouche, tire sur la fermeture éclair, et libère mon sexe douloureux, qui se balance et touche son visage. Comme un veau sous sa mère, elle cherche à tâtons de ses lèvres, et me prend en bouche, les yeux bandés. C’est divin d’en sentir la fraîcheur du champagne, je crois en déceler encore les bulles. Très lentement elle s’écarte, laisse échapper mon sexe qui dodeline vers le haut, repart à sa recherche, le prend à nouveau, le serre au bout de ses lèvres, titille le méat de sa langue, l’enfourne brutalement, au plus profond de sa gorge. J’ai saisi dans une main son chignon et l’accompagne dans ses caresses. Elle s’écarte et libère ma bite, repart à sa recherche et recommence avec douceur, langueur, lenteur et un plaisir évident à coulisser avec sa bouche. C’est le moment de jouer la dernière scène.
Ma Flo sursaute et je sens ses dents pointues tout à coup sur ma tige.
Florence sursaute au contact du métal froid, que je vois aller et venir et disparaître en partie entre ses lèvres.
Je m’appuie sur la bouche de Flo, au fond de sa gorge et vois sous l’effet le doigt de notre hôte enter profondément en elle
Florence s’applique à me faire plaisir, elle invente des rythmes, alterne des dents, de la langue, aspire, repousse, elle est tout à sa tâche et se laisse pénétrer le cul de doigts étrangers. Je donne le rosebud à notre hôte. Il sort ses doigts et caresse les bords de l’anneau avec l’instrument. Puis à mon signal il l’enfonce.
Je vois le métal disparaître entre ses fesses, ce qui la projette contre mon ventre, et déclenche en moi des frissons incontrôlables. Et je jouis. Mes yeux se ferment d’un éclair de plaisir. Je remplis sa bouche de ma semence en longues saccades, la garde fermement sans bouger contre moi. Je la sens déglutir, avaler. Je joue avec ses cheveux, lui caresse la nuque.
oOo
Je peux me lever, mais garder le bandeau ! Je suis comblée par derrière et la bouche emplie du sperme de mon maître, c’est ainsi que cette tierce personne me voit ! Est-ce notre hôtesse qui est là près de nous ? Non, quelqu’un que je connais. Je suis sûre que celui-ci ou celle-ci me voit ainsi pour la première fois : qu’elle me découvre ! Mais je ne devine pas de qui il peut s’agir ! Ce n’est pas la fameuse Chloé, car je connais ce parfum.
Le champagne vient me rincer fraîchement la bouche, alors que j’entends des murmures de deux personnes qui se sont éloignées.
C’est moi qui viens de dire ça ! Et je n’ai même pas une once de gêne ! Je les veux sur moi tout de suite.
oOo
Flo debout nous provoque. « Je suis à vous », a-t-elle dit. Mon comparse la prend au mot, s’approche d’elle et d’une main avertie vérifie son désir. Flo prend la pose comme si je lui avais demandé : ouverte et cambrée, elle se laisse faire. Je me rapproche d’elle par derrière et d’une main flatte et joue avec son trou, de l’autre j’agace un sein. Ce n’est pas la première fois que quatre mains explorent son corps, mais c’est la première fois qu’elles la fouillent ainsi comme un unique objet de plaisir. Florence ronronne et part, toujours aveuglée du bandeau noir à la recherche de ce pouce qui joue avec sa bouche. Elle a, sans que je lui demande, prit mon sexe dans sa main et me caresse.
Florence lâche ma bite qui s’encastre entre ses fesses, ouvre la braguette, et des deux mains entreprend d’explorer le désir de notre convive.
oOo
Horreur ! Là, près de moi : c’est Philippe ou son père ! Je passe du présent au futur en un éclair ! Que va-t-il advenir de mon couple ? Quel regard sur sa femme ou belle fille ? Je suis tétanisée ! Paralysée !
A-t-il honte pour moi ? Est-il déçu ? Scandalisé ?
Puis retour à l’actualité ! J’imagine ce qu’il voit ! Ma position ! Mon maquillage ! Ma tenue ! Ma docilité ! Mon acceptation des mots crus et vulgaires ! Mon plaisir d’être dans cet état de soumise ! Les larmes coulent sous mon masque. J’ai honte ! Je mérite sa punition, ses insultes ! Je suis ignoble ! Oui, si je reçois des coups de cravache pour ma trahison, ce ne sera que mérité ! Je reçois une claque puissante sur les fesses ! Je sens la main de Paul sur la nuque, il m’appuie fermement dessus pour que je touche le membre durci avec mes lèvres. Mon familier frotte son sexe contre mon visage puis l’insère dans ma bouche. Paul me pénètre d’un coup au même moment. Chacun me baise sur le même rythme. Puis celui qui est devant moi s’arrête et me laisse l’initiative ! Je me dis qu’il faut que je m’applique, que ça lui permettra de pardonner ma lubricité cachée depuis si longtemps. Paul s’aperçoit de mon application.
oOo
Je la relève.
Je la prends par la main, la guide vers le lit, je l’y allonge.
Flo monte sur le lit, me cherche à tâtons, s’assoit sur moi et me chevauche comme une perdue.
Elle s’allonge sur moi, je lui prends la bouche, écarte ses fesses, et pénètre son cul d’un doigt, deux doigts, les ongles puis à fond, je ne lâche pas sa langue et sa bouche. Tout à son plaisir, Flo n’a pas remarqué que ce sont d’autres doigts maintenant qui l’ont ouverte en grand.
Je lui retire le bandeau, la regarde dans les yeux. A-t-elle compris ce qui passait avant que la deuxième bite s’enfonce en elle et qu’elle soit prise par deux hommes en même temps ? Je ne sais pas, mais j’ai vu ses yeux se plisser, sa bouche se tordre, lorsque l’autre l’encule, et c’est divin !
Et Florence repoussée par ma bite vers lui et par la sienne vers moi, tout à son plaisir, geint et feule.
Et j’entends ma Flo, tout à son plaisir, geindre