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Temps de lecture estimé : 23 mn
28/08/18
corrigé 06/06/21
Résumé:  Julie s'enferme avec Jessica et deux garçons dans le mobil-home de sa tante, en espérant que celle-ci les laisse tranquilles un moment...
Critères:  2couples grp fbi jeunes grossexe vacances trans fellation double fsodo partouze -totalsexe
Auteur : Soyouz

Série : Les vacances de Julie

Chapitre 09
Quintet

Résumé des épisodes précédents :


« Clarisse »

« Interlude »

« Yann »

« Jessica »

« Le réveil »

« La plage »

« La caravane »

« Cécile »


Julie, une splendide jeune femme en apparence, mais en fait hermaphrodite, passe ses vacances dans un camping de bord de mer avec sa tante Cécile. La stupéfiante bisexuée a déjà rencontré Clarisse, une jolie brune, et son frère Yann, puis Jessica, une pulpeuse et provocante petite Anglaise.

Dimanche soir, alors que sa tante part rejoindre pour la soirée un homme qu’elle a rencontré dans l’après-midi, Julie se retrouve seule à leur mobil-home. Mais elle est rejointe par Jessica, accompagnée de deux jeunes hommes, Frédéric et Benjamin, deux copains de Yann.




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Moins de trois minutes après avoir accepté l’invitation, Fred et Ben sont assis nus sur le rebord du lit de la chambre de Julie dont les rideaux ont été tirés, et les deux jeunes femmes sont agenouillées sur le sol du mobil-home et les sucent en cadence. Julie, en soutif et short en jean, pompe le sexe durci de Fred, mais ne cesse de jeter un œil à la verge un peu plus grosse de Ben que Jessica, toujours uniquement vêtue de son beau bikini blanc, dévore de l’autre côté du lit.


Les garçons sont aux anges, ils n’en croient pas leurs yeux. Deux impressionnantes bombes sexuelles sont en train de leur tailler des pipes en se défiant du regard. Et à les entendre gémir doucement, on peut deviner qu’elles savent s’y prendre.



La pulpeuse blondinette anglaise suce encore un peu le pénis gonflé de son partenaire, puis se relève à son tour et roule sur le lit dans la direction de sa copine, qui fait pareil. Toutes les deux se rejoignent au milieu du matelas, puis s’embrassent à pleine bouche et se pelotent un moment sous les yeux fous d’excitation des deux mâles qui masturbent doucement leurs queues tendues.


Julie a envie de ces queues ; elle sent qu’elle mouille. Mais en plus, elle bande. Elle a aussi envie de Jessica. Ou peut-être de défoncer l’un ou l’autre des petits culs des garçons. Elle a le temps, elle verra bien, la soirée ne fait que commencer. Elle roule par-dessus Jess, l’embrassant et malaxant encore un peu ses gros seins tandis que la petite salope la masse plus ou moins discrètement entre les jambes. Puis, étendue sur le dos devant Ben, se laissant dépasser quelque peu sur le côté du lit, elle penche la tête en arrière et écarte grand ses lèvres, invitant le jeune homme, qui ne se fait pas prier, à lui baiser la gueule.


Et légèrement courbé en avant, ses deux mains fermées sur la lourde poitrine de l’hermaphrodite, et sa queue plantée dans sa bouche, il imprime des coups de bassin rapides, amples. Son gland gonflé vient buter contre l’arrière du palais de la jeune femme, puis ressort jusqu’à ses dents, et entre à nouveau. De plus en plus vite, de plus en plus fort.


Ben déborde d’excitation, ses couilles tendues le démangent, et baiser la bouche savoureuse de cette incroyable salope le rend dingue. Il ne s’arrêtera pas, il va lui gicler dans la gorge ! Et après, on verra bien. Mais elle est tellement bonne qu’il va rebander très vite, il en est sûr. Alors il accélère encore, jusqu’au point de non-retour. Et il grogne bientôt en balançant deux ou trois coups rapides et forts qui défoncent un peu plus la mâchoire de cette petite chienne, avant d’éjaculer une grosse quantité de foutre sur sa langue en tenant sa tête pour continuer de la baiser.


À côté d’eux, Jessica s’est arrêtée un instant de sucer pour se délecter du spectacle de la jouissance imminente du jeune homme, et elle branle doucement le sien.


Julie sent le sperme chaud jaillir dans sa bouche, un premier jet fort, qui gicle jusqu’à sa gorge, manquant de la faire tousser, puis un autre, épais, qui coule sur l’arrière de sa langue, et trois autres encore. Elle sent la queue se vider de quelques dernières gouttes. Mais elle n’avale pas, elle va leur donner du spectacle, à tous les trois. Et il a intérêt de bander rapidement de nouveau. Elle a envie qu’il la baise avec sa grosse bite. Sinon, de toute façon, elle l’enculera, avec sa queue bien plus grosse encore.


Elle se redresse et se jette sur Jessica pour l’embrasser à pleine bouche, repoussant contre sa langue toute la semence qu’elle avait gardée. Le liquide visqueux coule entre leurs lèvres tandis qu’elles se roulent une longue pelle qui fait baver les deux garçons.


Fred se branle à côté d’elles, à toute allure. Il ne veut pas, il ne peut pas se retenir. C’en est trop pour lui, ces deux bombes qui lèchent leurs lèvres pleines de sperme… Il va éjaculer lui aussi. Il s’approche en se levant debout sur le lit, sans cesser de se branler avec ardeur, et il ferme bientôt les yeux en couinant au moment où il balance à son tour plusieurs jets rapides qui viennent s’échouer sur les visages toujours collés des deux jeunes femmes.


Celles-ci, survoltées par la jouissance des garçons, les mains de l’une serrées autour de la tête de l’autre, se lèchent maintenant le menton et le bas du visage, récupérant le sperme qui y a coulé, avant de s’embrasser encore, et de le laisser de nouveau couler entre leurs lèvres. Ben sait déjà qu’il est prêt à baiser de nouveau, il ne débandera pas maintenant, pas avec ce à quoi il assiste. Et Fred qui finit de jouir a du mal à croire ce qu’il voit et à se remettre de son orgasme et du spectacle de ces deux salopes avides de sexe à un point qu’il n’aurait jamais imaginé.


Une fois qu’elles ont joué un moment avec le sperme et effacé en l’avalant finalement toutes les traces sur leur visage de la jouissance des garçons, elles se regardent en riant, avant de retourner vers eux des yeux insatiables. Et chacune referme une main sur la bite de son partenaire, prête à poursuivre.



Mais des coups sourds se font soudain entendre, quelque part contre une cloison du mobil-home. Ou contre la porte d’entrée ? Quelqu’un qui frappe ? Julie enrage, et les trois autres se sont immobilisés en l’observant. Encore une fois juste alors qu’elle était sur le point de baiser ! Et qui cela peut-il être ? Des voisins qui viendraient se plaindre ? Mais non, pour l’instant, ils n’ont pas fait de bruit, à peine les garçons ont-ils poussé quelques gémissements…


Et ça frappe encore. Elle soupire de nouveau en se dégageant de l’étreinte de Jessica, et se redresse en murmurant dans un mélange de français et d’anglais :



La sculpturale blondinette s’agenouille au milieu du lit en saisissant une bite dans chaque main.



La jeune bisexuée reconnaît la voie de la jolie brune, et ferme les yeux, soufflant par le nez, hésitante. Doit-elle lui ouvrir ? Ou bien lui demander de revenir plus tard ?



Voilà qui explique comment elle a trouvé l’emplacement. Mais ça ne tient encore pas debout, Cécile et Clarisse ne se connaissent pas, ne se sont jamais vues. Enfin, n’importe ! D’un côté, elle est contente que la brunette soit venue ; cela signifie qu’elle ne lui en veut plus, ou plus trop. Et d’un autre côté, elle a quelque chose sur le feu ; hors de question qu’elle abandonne ces deux mecs à Jess, surtout dans sa propre chambre.



Julie se retourne pour lancer un regard dans la chambre : la petite blonde provocante a fait tomber son bikini et, à quatre pattes sur le lit, suce alternativement les deux bites que lui avancent tour à tour les garçons. Et eux caressent son corps voluptueux.



En sortant après avoir rapidement renfilé son chemisier et s’être essuyé le visage d’un revers de l’avant-bras, elle découvre Clarisse, toute belle, apprêtée pour la soirée.



La jolie brune ne lui répond rien, mais lui saute presque au cou pour l’embrasser, plaquant ses lèvres contre les siennes. Résistant un instant en fermant la bouche, Julie l’entrouvre bientôt et les langues des deux jeunes femmes s’enroulent pour un baiser voluptueux.



La stupéfiante bisexuée, encore un peu plus excitée, hésite à lui raconter franchement qu’elle vient d’avaler le sperme de deux garçons, mais parvient à se contrôler et se contente de passer sa langue sur ses lèvres en refermant la porte derrière elle avant d’éluder :



Ou peut-être qu’elle veut se faire sauter, se dit-elle ensuite. Peut-être que je pourrais me la taper vite fait, et la faire jouir en giclant encore une fois, avant de retourner baiser avec Jess… Elle lui lance un regard avide en se léchant encore les lèvres et en pressant son corps contre le sien. Tellement avide, contre son entrejambe tellement dur, que Clarisse devine ses intentions et reprend en se reculant doucement :



Silencieuse, Julie observe encore Clarisse en réfléchissant. Elle ne sait pas si elle doit en vouloir à Cécile d’avoir agi ainsi. Elle pensait sans doute bien faire.



Alors que les yeux de Julie s’embrasent de nouveau en se posant sur son corps, elle précise aussitôt :



Un gémissement sourd s’élève de l’intérieur de la caravane. Clarisse blêmit.



Julie ferme les yeux en soupirant.



– Écoute, je…

– Non ! Ne me dis pas ! Je préfère ne pas savoir ! Fais ce que tu veux.


Et la brunette tourne les talons en soupirant. Julie soupire elle aussi, puis court après elle. Elle la rejoint en quelques pas et l’attrape par le bras, la retournant avec force pour l’attirer contre elle.



Mais Julie la retient, et l’attire de nouveau contre elle.



Elle l’embrasse. La jolie brune se laisse faire.



Puis Julie la libère et tourne les talons, abandonnant la jeune femme désemparée au beau milieu de l’allée du camping sous la lumière naissante d’un réverbère qui vient de s’allumer.




De son autre côté, Ben la tient par les hanches et la défonce avec ardeur.



Elle dégrafe et ôte son soutien-gorge sous les yeux époustouflés des garçons, puis déboutonne son short en jean en soufflant en français :





Françoise, qui fait des mots croisés dans son lit dans le mobil-home voisin, entend soudain hurler fort. À tel point qu’elle se relève en hâte, croyant que quelqu’un s’est blessé juste à côté.



Ils sont au moins deux, se dit la septuagénaire en ouvrant une vitre de son mobil-home.



C’est pas possible ! Ça vient encore de chez les mêmes voisines ! C’est déjà là qu’il y avait du bruit ce matin ! Pourtant ces deux femmes avaient l’air bien agréables lorsqu’elles se sont installées. Elles ont dit bonjour poliment. Mais depuis…


Le volume des voix diminue peu à peu, et la vieille dame referme bientôt sa fenêtre en se disant qu’il faudra surveiller tout ça et peut-être prévenir la réception.




Si le volume sonore des voix des garçons a effectivement diminué à la demande de leur hôtesse, leur stupeur n’a pas encore baissé d’un iota. Toujours planté dans l’arrière-train de Jessica, Ben l’observe, hébété, sucer l’énorme queue gonflée que lui tend Julie ; et à côté d’elle, Fred, bouche bée grande ouverte, écarquille des yeux ahuris sur la chose inattendue.



Médusés et fascinés, ils l’observent et l’écoutent en bavant d’un mélange d’excitation et d’incrédulité.



Ils la regardent ébahis monter s’agenouiller sur le lit.



Tous les deux réagissent en même temps, furieusement excités et fermement décidés à venir défoncer cette incroyable créature. Ils bondissent chacun sur le lit. Mais Fred est le plus rapide à se ruer derrière elle à genoux et, après s’être assuré qu’elle a dit vrai d’un doigt qu’il ressort aussitôt trempé, conduit son sexe entre les jambes de la jeune hermaphrodite. Ben, qui a abandonné Jessica sans hésitation, se fait prendre de vitesse ; il s’arrête finalement debout devant la pulpeuse bisexuée et lui enfonce sa bite dans la bouche.


Et alors qu’elle recommence à sucer, Julie gémit en sentant Fred s’introduire lentement en elle, puis la défoncer presque aussitôt à grands coups de bite dans sa chatte mouillée. Jessica, même si elle n’a pas compris tout ce qu’a dit sa copine, a savouré la scène en souriant. Et maintenant, elle se tourne pour se placer avec quelque difficulté à quatre pattes entre les jambes de Ben, offrant sa croupe à la stupéfiante hermaphrodite. Et sans cesser de pomper, celle-ci la pénètre bientôt, lui arrachant un long gémissement lorsqu’elle s’enfonce en écartelant sa vulve de sa queue impressionnante.


La jeune bisexuée a déjà eu des expériences avec des couples, elle a déjà défoncé une femme tout en se faisant prendre par un homme. Mais jamais avec quelqu’un comme Jessica, et jamais avec deux mecs en même temps. Elle baise en se faisant baiser, et en suçant en plus. Elle gémit, doucement, avec une pensée pour les voisins, en savourant les assauts de Fred et la queue de Ben. Et les mains des garçons sur ses gros seins.


Et surtout, aussi, en défonçant la superbe petite anglaise qu’elle tient par les hanches. Le plaisir est décuplé, intense, physique, profond, et mental aussi. Dans sa queue, son gland, avide, qu’elle enfourne sans ménagement dans le corps de la blondinette ; et dans sa chatte, qui palpite à chaque va-et-vient de la bite de Fred ; et dans sa tête, en pensant à Ben qu’elle pompe sans retenue.


Mais de nouveaux coups secs se font entendre soudain contre la porte du mobil-home ; on frappe encore.



Elle enrage ! Elle est si bien, là !

Si c’est encore Clarisse, elle se promet de l’enculer.

Et si c’est sa tante…

En soupirant, elle se retire d’entre ses partenaires.



Mais elle l’ignore et se lève, sa longue verge épaisse tendue devant elle.



Puis comme quelques minutes plus tôt, elle va jusqu’à la porte d’entrée.



Yann… Ce n’est pas lui qu’elle attendait, mais c’est tant mieux. Il vient sûrement pour recoller les morceaux cassés par leur fin de journée décevante. Il est fou d’elle, elle le sait. Il tombe bien, ça va lui faire un mec de plus. Et depuis qu’il l’a enculée, elle a toujours envie de se faire son beau petit cul…



Il s’exécute et pénètre dans le mobil-home juste à temps pour voir la belle Julie, la queue tendue en avant, rouler de son superbe cul en retournant vers sa chambre. Il ne s’attendait pas à la voir à poil… et visiblement, elle ne fait même pas attention à lui… Il entend gémir dans la pièce voisine… Elle n’est pas seule… Pourtant sa tante avait dit que… Mais qu’est-ce qu’elle est bonne !



Il verrouille puis se précipite à sa suite et écarquille soudain les yeux en découvrant Jessica allongée sur Ben pendant que Fred, agenouillé derrière elle, est en train de cracher sur son cul et d’y étaler la salive avec son gland. Sous les yeux déjà fous d’excitation du beau brun, Julie remonte à genoux sur le lit et s’avance quelque peu pour aller plonger son énorme gland droit dans la bouche de la petite Anglaise qui se met à pomper à toute allure.



Julie le regarde enfin, le provocant des yeux. Et en tenant la tête de la blondinette, elle s’avance encore, lui enfonçant un court instant profondément sa grosse queue, mais se retirant doucement ensuite lorsqu’elle s’assoit sur le visage de Ben pour qu’il la lèche.

Et elle se déhanche aussitôt, balançant par à-coups son bassin d’avant en arrière, frottant sa vulve contre la langue et le nez du garçon, et plantant sa verge gonflée entre les douces lèvres de Jessica.



Yann devient dingue. Dingue d’un mélange d’excitation, de frustration, de jalousie, de rage… Il espérait la trouver seule, et d’après sa tante, elle n’avait pas le moral… Et il la trouve en train de baiser dans une partouze pire encore que cet après-midi… Mais elle l’excite ! Toutes les deux, ces deux grosses salopes l’excitent ! Il bande déjà à bloc. Alors il fait contre mauvaise fortune bon cœur et retire ses habits pour dévoiler sa queue tendue et se prépare à venir défoncer l’hermaphrodite, par n’importe quel trou resté libre !



Alors il vient. Brutal, soudain, imprévisible. Ah elle le provoque, elle veut jouer avec lui ! Elle va voir, elle va comprendre de quoi il est capable ! Sautant sur le lit, il la tire en arrière, la faisant tomber à la renverse, arrachant du même coup la bouche de Jessica. Puis il se jette sur sa poitrine, s’agenouille par-dessus son corps, et baise un instant ses gros seins en les tenant fermés autour de sa bite.


Mais déjà elle relève son bassin en tenant levée sa queue immense qu’il sent presser contre son cul. Hors de question ! Hors de question qu’elle l’encule avec son énorme engin ! C’est lui qui va la baiser ! Qui va l’enculer, d’ailleurs ! Il sait qu’elle aime ça ! Il s’avance davantage pour lui défoncer un peu la bouche ; elle le laisse un instant aller et venir entre ses lèvres.


Puis elle le fait tomber sur le côté, et roule par-dessus lui. S’il pense qu’il va la dominer, elle ! Il se fourre le doigt dans l’œil ! Elle bondit pour l’enjamber, à califourchon sur son torse, et sa grosse queue juste sous son nez, et elle plaque ses deux mains sur sa tête pour le tirer en avant par les cheveux en lui ordonnant :



Exalté, fébrile, vaincu, il entrouvre les lèvres ; elle s’y enfonce d’un puissant coup de bassin, fort, lui écartelant la mâchoire. Puis elle lui baise la bouche une trentaine de secondes en lui tenant toujours la tête.



Derrière elle, Jessica couine plus fort à mesure que Fred s’enfonce difficilement dans son cul. Ben continue de la défoncer par en dessous, et elle se délecte en apercevant Julie défoncer Yann de la sorte. Mais le garçon derrière elle lui fait mal.



Julie tourne la tête pour la regarder et comprend à sa mimique pourquoi elle demande ça.



Mais avant qu’elle puisse entendre sa réponse, Yann lui mordille le gland, puis la fait tomber à son tour sur le côté.


– Moi aussi, je vais te faire mal ! rugit-il. Ramène de l’huile, Fred, oui ! Je vais enculer cette grosse salope !

– Oui, encule-moi, rétorque-t-elle, et ensuite c’est moi qui t’enculerai !


Il marque un temps d’hésitation, déglutit en lui dardant ses yeux fous d’excitation, puis la pousse pour qu’elle se retrouve à plat ventre et se penche sur ses fesses, où il crache une grosse bavée de salive avant de lécher sa raie et son petit trou.


Dans la partie cuisine du mobil-home, Fred ouvre à toute vitesse tous les placards jusqu’à trouver une petite bouteille d’huile qu’il rapporte dans la chambre. Puis il reprend sa place derrière Jessica, et attaque de nouveau son cul après y avoir versé une bonne quantité de graisse.


Yann vient lui prendre la bouteille et s’en verse un peu sur le gland, puis, avant de la reposer, en fait couler sur la raie de Julie, qui ne cesse de se déhancher pour frotter sa verge contre les draps. Et en se penchant par-dessus son corps, sans difficulté, bien plus facilement que la première fois sur la plage, il l’encule, profondément, vivement. Elle couine, savoure ses coups de bite, et continue de malaxer sa queue contre le matelas.


Derrière eux, Jessica gueule désormais franchement. Ses partenaires défoncent ses deux orifices sans ménagement. Julie a une pensée pour les voisins, mais conclut rapidement qu’elle s’en fout. Elle tourne la tête pour l’apercevoir, pour observer son visage déformé par le plaisir, pour la voir hurler. Et juste à temps pour la contempler jouir, crier plus fort encore, secouée par des spasmes d’extase, tandis que les deux bites vont et viennent toujours à toute allure dans son corps survolté.



Julie en veut aussi. Elle est jalouse de la façon dont sa copine a joui si vite. Son corps de femme a du mal à atteindre l’orgasme, et la petite Anglaise en a eu un en trois minutes de baise et de sodomie simultanée. Et en plus, l’incroyable hermaphrodite, même si elle peut se targuer d’une expérience impressionnante, n’a jamais vécu de vraie double pénétration. Elle a déjà enculé des filles pendant que leurs mecs les baisaient, ou le contraire, ou encore pendant qu’elle leur mettait aussi un gode. Mais dans l’autre sens, les quelques fois où elle s’est tapé deux mecs, ou même trois une fois, ils se focalisaient plutôt sur sa queue, avant de s’occuper de sa chatte ou de son cul seulement. Il n’y a qu’avec des mecs seuls, trois ou quatre fois, que c’est arrivé, que son partenaire la baise en la sodomisant avec un gode, tout en la branlant avec l’autre main.



Yann roule sur le côté en attrapant le corps de Julie qu’il maintient tout contre le sien, et il reste bien fiché en elle en l’amenant sur le dos, allongée sur lui. Il a bien compris ce qu’elle voulait, il l’a vue regarder Jessica jouir.


Alors qu’il la reprend ses va-et-vient dans son cul, elle s’appuie d’abord sur ses coudes, puis sur ses bras, redressant son buste pour braquer ses yeux, au-delà de ses gros seins et de sa propre bite tendue vers elle, dans ceux de Jessica qui fait déjà mine d’avancer à quatre pattes pour la sucer.



La petite Anglaise s’extirpe d’entre ses amants et bondit en avant pour se saisir de l’organe surdimensionné de l’incroyable hermaphrodite, et elle enfonce deux doigts de son autre main dans sa chatte grande ouverte sous ses couilles gonflées, au-dessus de la bite du beau brun qui la sodomise toujours fort. Julie gémit, c’est bon ! C’est trop bon !


Fred observe la blondinette s’éloigner de lui, puis relève les yeux vers la stupéfiante bisexuée, contemple sa queue disparaître entre les lèvres de la jeune femme qui lui branle en plus la chatte. Il n’a jamais imaginé ça, même dans ses pires fantasmes. Il se masturbe doucement en descendant du lit. Il va venir lui baiser la bouche, à cette salope, avec sa queue qui sort du cul de la belle Anglaise ! Ça l’excite à mort !


Ben se relève et s’avance en branlant son sexe tout dur. Il avait toujours pensé qu’il en avait une grosse, mais maintenant qu’il a vu celle qu’arbore cette… femme… c’est une vraie leçon d’humilité. Il regarde Jessica la sucer avec application. Cette grosse bite lui ferait presque envie. Mais le cul de la belle Anglaise aussi ! Il s’approche d’elle à genoux, la prend par les hanches.



Se retenant de tomber sur un bras, elle attrape Jessica par les cheveux et la force à relever les yeux vers elle.



Et la pulpeuse petite Anglaise, souriant de l’excitation incroyable de sa copine, s’écarte sans lâcher sa grosse queue, se plaçant sur le côté pour laisser la place au jeune homme qui s’approche à genoux, se frayant un chemin parmi les jambes de Julie et de son amant.


Fred s’approche de cette dernière sur le côté du lit, en se masturbant et en la couvant d’un regard surexcité. Il s’agenouille sur le lit, tout près d’elle. Yann voit ses cuisses s’avancer tout contre eux. Et il amène sa bite juste devant le visage de la somptueuse hermaphrodite. Mais elle détourne aussitôt la tête dans un mimique de dégoût.



Mais elle ne termine pas sa phrase et pousse soudain un profond gémissement au moment où Ben s’enfonce dans sa chatte. Et elle crie, ensuite, en savourant les coups de bites désynchronisés dans son cul et dans son sexe. Et Jess qui branle encore en souriant sa grosse queue… Et Yann qui malaxe ses gros seins… C’est trop bon ! Partout !


Fred enrage. Cette salope ne veut pas le sucer ! Mais c’est vrai que sa bite pue, il la sent aussi. Il hésite. Aller se laver pour pouvoir lui baiser la bouche… ou bien retourner bourrer le cul diabolique de cette bonasse d’Anglaise ! Mais celle-ci tranche pour lui en se redressant soudain et en enjambant le corps de Julie, au-dessus de son ventre, juste devant Ben.


L’hermaphrodite pense d’abord qu’elle veut se faire lécher, mais en lui souriant d’un regard insolent, la sculpturale petite bombe sexuelle se recule doucement, puis se penche en avant et se laisse tomber contre elle, s’appuyant sur ses bras tendus, écrasant l’une contre l’autre leurs deux grosses poitrines. Elle lui roule une longue pelle, en se reculant encore, se glissant peu à peu entre son corps et celui de Ben qui continue de défoncer Julie, imperturbable.


Celle-ci peine à ne pas s’effondrer en arrière sous le poids de la petite Anglaise pourtant légère, mais elle tient bon et gueule encore un peu plus lorsque, continuant de reculer doucement, Jessica s’empale peu à peu en gémissant sur sa grosse queue.


Fred se branle fort en regardant la scène inouïe. Le visage de Julie, déformé par l’extase, les gémissements qu’elle pousse, qui dépassent en intensité ceux des trois autres, trahissent le plaisir qu’elle ressent. Il soupire puis se rue jusqu’à la salle de bains pour aller nettoyer en hâte sa queue tendue.


Yann ne peut presque plus bouger ; il a abandonné les seins de sa partenaire lorsque Jessica s’est allongée sur elle, et la tient désormais par les hanches, accompagnant ses mouvements pour la sodomiser. Ben s’est agrippé aux jambes repliées de l’hermaphrodite pour éviter d’être repoussé en arrière par ses déhanchements infernaux et continue à la défoncer, tandis qu’elle-même baise la petite Anglaise par violents à-coups à chaque impulsion de son bassin.


Julie est dans un état d’extase incommensurable ; son cul, sa chatte, sa bite, ses seins écrasés par ceux de Jess… elle ne gémit plus, elle hurle ! La position est inconfortable, elle a mal aux mains, aux jambes, au ventre, au cou, mais elle n’y prête presque pas attention tant son plaisir est immense. Ses bras finissent par céder, toutefois, et elle s’effondre complètement en arrière, écrasant le pauvre Yann sous le poids cumulé des deux jeunes femmes. Mais il tient bon et continue à l’enculer, tout en respirant avec peine à travers les cheveux cuivrés qui recouvrent son visage.


Jessica embrasse Julie en gémissant aussi, l’empêchant un moment de hurler à pleine gorge. Toutes les deux ont les yeux fermés, et ne voient pas revenir Fred, mais elles le sentent sauter sur le lit et rouvrent les paupières pour le découvrir prêt à pousser son gland entre leurs lèvres encore jointes.


Cette fois, il sent bon, le savon liquide, celui qu’elle prend pour nettoyer le gode de sa tante. Le gode… elle pourrait presque… Mais non ! c’est déjà si bon ! Elle ouvre la bouche pour sucer la queue du troisième garçon qui s’y enfonce en grognant. Son excitation est à son comble, et les coups de bite dans son cul et sa chatte sont si bons… Elle geint de plaisir. Elle sent monter la jouissance dans son bas-ventre. Elle se déhanche furieusement, assénant de grands coups de sa grosse queue à Jessica qui manque de tomber et hurle elle aussi. Elle va jouir. Elles vont jouir toutes les deux…




Dans le mobil-home voisin, Françoise soupire, excédée. Elle n’a jamais entendu des gens aussi bruyants. Toutes fenêtres fermées, elle entend hurler, c’est vraiment incroyable, un tel manque d’éducation ! Et ces cris, vraiment ! On pourrait presque penser que c’est une femme qui jouit en faisant l’amour, se dit la septuagénaire ; mais elle sait qu’à moins de simuler, on ne crie pas ainsi dans ces circonstances. Et de toute façon, il y a deux voix de femmes, et tout à l’heure, ce sont des hommes qu’elle a entendus. Ce doit plutôt être des jeunes qui jouent à un de leurs jeux idiots. Un jeu à se faire peur ou à se faire mal. Quoi qu’il en soit, c’en est trop ! Elle va aller leur dire sa façon de penser, à ces jeunes-là ! Quand elle pense qu’à côté d’elle René dort à poings fermés ! Comment fait-il pour ne pas être réveillé par tout ce raffut ! Elle se lève et enfile une robe de chambre.




Julie a joui comme rarement dans sa vie sous les assauts de tous ses amants ; son corps de femme est dans un état de plénitude et de bien-être apaisant ; elle se sent bien, heureuse. S’extirpant d’entre les garçons, elle s’est laissé tomber sur le côté, emportant Jessica dans ses bras, et elle continue de la baiser doucement en la câlinant. Mais son plaisir était tellement intense, tellement fort, qu’elle ne s’est même pas aperçue que Jess et Yann avaient joui aussi, subjugués par la puissance de son orgasme. C’est seulement maintenant qu’elle sent du sperme s’écouler de son cul, et qu’elle perçoit que la petite Anglaise ne se déhanche plus comme quelques secondes plus tôt. Derrière elle, Ben et Fred se masturbent doucement en contemplant les filles, encore stupéfaits de l’orgasme dévastateur auquel ils viennent d’assister.


Julie est dans un tel état d’abandon qu’elle ne réagit qu’à peine en entendant encore une fois des coups sourds contre la porte. Elle se contente de sourire. Clarisse et Yann sont déjà venus. Ça ne peut être que Cécile, cette fois. Cécile qui revient sans doute avec son mec. Sa partie mâle est encore excitée. Elle va aller lui ouvrir, à poil, avec sa queue toujours tendue, et on verra la tête qu’ils vont faire, elle et son mec. Elle va regretter de l’avoir repoussée et giflée…




Françoise prend son air le plus mauvais et le plus coléreux lorsqu’elle entend la porte du mobil-home se déverrouiller, et elle s’apprête à lancer une bonne leçon de morale. Mais elle pousse un grand cri au moment où la porte s’ouvre d’un coup en grand pour dévoiler une créature de l’enfer, un visage diabolique et une poitrine charnue de femme surmontant le bas du corps d’un homme d’où émerge une horrible longue verge tendue.


Le sourire effronté que Julie destinait à sa tante se change immédiatement en mimique d’affolement, et elle claque la porte au nez de la vieille qui se signe soudain en criant :



Partagée entre rire et embarras, Julie écoute, silencieuse, derrière la porte. Encore des bafouilles d’église, elle a l’air de prier. Mais sa voix diminue, comme si elle s’éloignait. La jeune femme risque un regard vers l’extérieur en décalant le voilage d’une des fenêtres, et elle aperçoit la vieille qui repart, le visage et les mains levés vers le ciel. C’est bien ce qu’elle pensait, c’est sa voisine, elle doit être folle.


Mais c’est vrai qu’ils ont dû faire beaucoup de bruit, se dit finalement la jeune hermaphrodite en retournant vers la chambre et en reprenant en main sa bite qui s’est un peu amollie dans la bataille.



Françoise est convaincue d’avoir vu un démon. Elle rentre dans son mobil-home s’enfermer à double tour et se précipite dans son lit à côté de René. Ou bien peut-être simplement qu’elle est somnambule… espère-t-elle. Peut-être qu’elle a rêvé… Elle se blottit contre René, tremblante. Il grommelle. Elle ferme les yeux et rabat la couverture sur sa tête pour se protéger du mal.


Quand Julie revient dans la chambre, elle devance les questions en disant simplement :



Mais il n’y a que Yann pour faire un peu attention à elle ; le séduisant jeune homme brun a renfilé son caleçon et est assis sur un coin du lit à observer Ben, la bouteille d’huile à la main, qui encule Jessica, et celle-ci, à quatre pattes sur le lit, qui suce profondément Fred.