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Temps de lecture estimé : 32 mn
05/02/20
corrigé 05/06/21
Résumé:  La suite des aventures de la jolie bisexuée au camping.
Critères:  fff grp fbi jeunes médical vacances fdanus hsodo -totalsexe
Auteur : Soyouz

Série : Les vacances de Julie

Chapitre 10
L'examen

Court résumé (pour ceux qui ont la mémoire de l’histoire) :


Julie, une splendide jeune femme en apparence, mais en fait hermaphrodite, passe ses vacances dans un camping de bord de mer avec sa tante Cécile. La stupéfiante bisexuée a déjà rencontré Clarisse, une jolie brune, et son frère Yann, puis Jessica, une pulpeuse et provocante petite Anglaise, qui à son tour lui a présenté deux autres garçons, Fred et Ben.

Dimanche soir, alors que sa tante passe la soirée avec un homme qu’elle a rencontré dans l’après-midi, Julie baise sans retenue avec Jessica et les trois garçons.



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Résumé complet des épisodes précédents :


Cécile, une prof trentenaire célibataire, est venue passer ses vacances en mobil-home dans un camping de bord de mer avec sa nièce Julie, une splendide jeune femme en apparence. En apparence seulement, car Julie est en fait hermaphrodite : sous le short en jean serré qui met en valeur les formes excitantes de son corps somptueux se cache une impressionnante verge masculine en parfait état de fonctionnement. La belle bisexuée a d’abord rencontré (et baisé) Clarisse, une jolie brune d’à peine vingt ans, en vacances avec sa mère et son frère. Puis elle est tombée sous le charme d’un superbe jeune homme brun aux yeux bleus, Yann, qui l’a sautée et même enculée sur une petite crique tandis qu’elle s’efforçait de ne pas lui dévoiler la totalité de son anatomie. Et enfin, tard le soir, sa partie mâle incroyablement excitée après la soirée avec Yann, elle a rencontré Jessica, une jolie blondinette anglaise avec un corps de rêve, avec qui elle a vécu une des plus intenses expériences sexuelles de toute sa vie.


Le lendemain, en rejoignant avec Jessica le jeune homme à son emplacement, elle découvre avec amusement que Clarisse et Yann sont en fait frère et sœur. Tous les quatre partent se baigner, chacun perdu dans ses pensées lubriques. À la plage, la belle hermaphrodite est partagée entre son attirance pour Yann et son désir pour Clarisse, les caressant discrètement dans l’eau l’un après l’autre. Mais c’est sa partie mâle qui prend le dessus, et pendant que Jessica, excitée par le jeune homme, l’entraîne nager et lui taille une pipe, Julie, la caressant sous un drap de bain, offre à Clarisse un stupéfiant orgasme.

Il s’avère que c’est une « femme fontaine », et la stupéfiante bisexuée la fait jouir et éjaculer à trois reprises, tandis que Yann et Jessica baisent à côté d’eux, sous l’auvent de la caravane qu’occupent le jeune homme et sa sœur. Mais leur mère revient inopinément, manquant de les surprendre, et tous quatre s’interrompent et se rhabillent de justesse.


Les jeunes gens retournent à la plage, mais Julie, frustrée d’être la seule à ne pas avoir joui, disparaît, et Jessica rencontre plusieurs autres jeunes hommes qui la draguent au grand dam de Yann. Celui-ci rejoint finalement sa sœur à leur emplacement, et ils découvrent, horrifiés, que Julie y est allée baiser leur mère.

Le soir venu, elle se confie et raconte toute sa journée à sa tante Cécile. Celle-ci est abasourdie par le récit qu’elle entend et tente de lui faire la morale, mais lutte intérieurement contre son attirance pour la jeune hermaphrodite, parvenant finalement à la repousser. Alors que la trentenaire part passer la soirée avec un homme qu’elle a rencontré l’après-midi, Jessica, accompagnée de Frédéric et Benjamin, deux copains de Yann, rejoint Julie, qui les fait entrer tous les trois dans sa chambre.


Alors qu’ils baisent sans retenue tous les quatre, plusieurs personnes viennent successivement frapper à la porte du mobil-home. C’est d’abord Clarisse, persuadée par Cécile que sa nièce passe la soirée seule et triste. Mais qui repart énervée après avoir entendu les gémissements de Jessica et des garçons. Puis c’est au tour de Yann, que l’hermaphrodite invite à se joindre au quatuor. Et finalement une vieille voisine, excédée par les hurlements de Julie, mais qui repart épouvantée après que la jeune bisexuée, croyant avoir affaire à sa tante, lui a ouvert la porte, nue.


« Clarisse »

« Interlude »

« Yann »

« Jessica »

« Le réveil »

« La plage »

« La caravane »

« Cécile »

« Quintet »



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Il est plus de minuit. Dans sa chambre, Julie est agenouillée sur le lit et tient fermement Yann par les hanches, le sodomisant avec force. Jessica, accroupie à côté d’eux, le branle vigoureusement en encourageant l’hermaphrodite à défoncer son beau petit cul.


Plus tôt dans la soirée, sous les regards incrédules des autres jeunes hommes, elle a d’abord enculé Ben, pendant qu’il baisait la petite Anglaise. Puis ce fut le tour de Fred. Mais Yann résistait. Et il a fallu tout le savoir-faire des deux copines pour qu’il cède enfin.


De chaque côté du trio, exténués, vidés par trois éjaculations chacun, épuisés par la sodomie qu’ils ont subie, le cul douloureux, Ben et Fred observent leur copain gémir à son tour à chaque assaut de la grosse queue que Julie enfonce par à-coups dans son derrière dégoulinant de l’huile répandue par Jessica pour faciliter la pénétration anale.


Les gros seins de la stupéfiante bisexuée se balancent à chaque va-et-vient. Elle grogne de plus en plus fort à mesure qu’elle intensifie ses mouvements. Le beau brun couine sous ses coups de bite et sous la vive branlette que lui offre la blondinette en le couvant d’un regard lubrique.


Et tous les deux éjaculent presque en même temps, Julie tout au fond du cul de son partenaire en le défonçant quelques ultimes secondes à toute allure, et celui-ci à travers les doigts de Jessica, son sperme coulant jusque sur les draps dans lesquels il s’effondre ensuite, anéanti.



Il grimace de douleur en essayant de se dégager tandis qu’elle s’écrase contre son dos, sa longue verge épaisse toujours plantée entre ses fesses.



Se redressant sans mouvement brusque, elle s’extrait lentement de son derrière tandis qu’il couine encore une fois.



Le jeune homme brun ne répond rien. Il se redresse avec difficulté et se retourne sur le lit en grimaçant et en soupirant. La jeune hermaphrodite rejoint la belle Anglaise dans la salle d’eau et douche rapidement le bas de son corps, nettoyant surtout son pénis redevenu flaccide. Dans la chambre, les garçons revêtent non sans mal leurs sous-vêtements.




Le bar du camping est sur le point de fermer. Les dernières animations prennent fin, la musique s’éteint peu à peu. Cécile a passé la soirée avec François, l’homme qu’elle a rencontré l’après-midi. Ils ont flirté comme des gamins. Quelques baisers, quelques caresses. Il est plus âgé qu’elle, il pourrait presque être son père, mais elle s’en fout, elle se sent bien avec lui. La soirée est presque terminée, il la raccompagne jusqu’à son emplacement, ils marchent bras dessus bras dessous en discutant, en rigolant.


Il n’a pas osé lui proposer de venir dormir chez lui. Sa caravane de célibataire est minable, mais surtout elle n’a pas vraiment répondu aux quelques caresses un peu plus appuyées qu’il a osé entreprendre. Elle ne l’a pas non plus repoussé, mais… il n’est pas sûr qu’elle accepte. Alors il la raccompagne, et il verra. Peut-être qu’une fois arrivés à son mobil-home…


Cécile sait bien ce qu’il a en tête. Et elle aussi, elle y pense. Elle pourrait s’abandonner à lui, aller passer la nuit dans sa petite caravane rigolote de hippie attardé. Ou bien elle pourrait lui proposer de partager sa chambre, dans le mobil-home. Mais il y a Julie. Elle ne veut pas la laisser seule toute la nuit, et elle ne veut pas non plus lui imposer François. Pourtant, avec tout ce que cette petite peste lui fait subir ! Mais justement, elle se doit d’être un exemple. Hmmm… quoique… cette main sur ses fesses… ça lui donne envie d’aller plus loin.


Ils s’embrassent fort. Il la presse contre elle. Ses caresses se font plus précises. Elle hésite. Les rend, doucement. Le faire entrer… ou attendre demain… Ils marchent encore un peu. Parviennent à quelques mètres du mobil-home. Il y a de la lumière. Julie n’est pas couchée ! Alors qu’elle voulait passer la soirée seule et se coucher tôt. Les mains de François remontent sur la poitrine de Cécile tandis qu’il l’embrasse encore une fois.


Elle le repousse, doucement, soucieuse. Impossible de le faire entrer, en tout cas. Elle ne sait pas ce qu’elle risque de trouver. Julie en train de se masturber, ou au lit avec sa petite salope anglaise, ou peut-être avec le beau jeune homme brun dont elle a oublié le prénom… En tout cas, ce n’est sans doute pas la peine d’amener François là au milieu…





Julie revient de la petite salle d’eau, où Jessica finit de se laver.





Même sans en être très près, on devine des mouvements dans le mobil-home. Quelqu’un marche, une autre lumière s’allume, dans la salle. Cécile jurerait qu’ils sont plusieurs.



En plus des mouvements, on devine des voix. Ils sont plusieurs, c’est sûr. Une voix de garçon. Telle qu’elle connaît sa nièce, il y a certainement la petite salope anglaise et le beau jeune homme brun. Inutile que François tombe là-dessus. Passant une main autour de sa taille, elle l’entraîne un peu à l’écart du mobil-home, dans l’ombre entre deux réverbères.



Ils s’embrassent une dernière fois. Il a accepté, il a compris qu’ils ne coucheraient pas ensemble ce soir. Mais il viendra la voir demain à la première heure.





La lumière extérieure du mobil-home s’allume précisément au moment où il commençait à s’éloigner, et la porte s’en ouvre aussitôt. Cécile se crispe. François se retourne. Elle aussi, malgré elle.



La trentenaire baisse la tête, déconfite. C’est un type qu’elle n’a jamais vu qui sort de SON mobil-home, descendant avec difficulté les deux marches qui conduisent à la petite terrasse en bois.



Yann sort en troisième, grimaçant et se frottant les fesses avant de se laisser tomber sur une chaise longue en bois.



L’un d’eux s’allume une cigarette. Ils n’ont pas vu le couple qui continue de les épier. Jessica apparaît à son tour, une bouteille de vin et un tire-bouchon à la main, suivie de Julie, qui apporte plusieurs verres.



Celle-ci n’a pas encore osé intervenir. Elle n’a pas envie de le mêler à ça, et pas non plus envie de provoquer une scène à cette heure-ci dans le camping.



Oui, au moins, elle est presque habillée, se dit-elle en observant la petite Anglaise qui ne porte toujours que son bikini blanc bien trop petit. Ç’aurait pu être pire…

L’un des jeunes hommes s’est relevé et s’affaire après la bouteille de vin. Julie s’approche de lui et, ce n’est pas évident à cette distance, mais Cécile jurerait qu’elle lui passe la main aux fesses.



Les autres rigolent.



Cécile soupire une fois de plus.



Ils s’embrassent. Un bruit de bouchon qui saute, Fred vient d’ouvrir la bouteille. Cécile prend une profonde inspiration, puis fait rapidement quelques pas vers le mobil-home. François s’éloigne de deux ou trois mètres et se retourne pour l’observer s’avancer dans la lumière près des jeunes gens qui se sont tus et immobilisés en l’apercevant.



Les trois garçons et la jeune femme saluent d’un vague bonsoir en s’efforçant de reprendre une attitude décente.



Puis elle fixe sa nièce d’un regard sombre.



Un lourd silence exacerbe l’embarras de la jeune hermaphrodite. Ennuyé pour elle, Yann intervient :



Elle s’avance jusqu’à l’entrée du mobil-home et y jette un regard circulaire avant d’en fermer la porte.



Les cinq jeunes gens se regardent tour à tour, penauds.



Ils se lèvent presque en même temps, adressent un sourire embarrassé à la jolie bisexuée, puis s’éloignent l’un après l’autre. Jessica part en dernier après avoir rapidement caressé le dos de sa copine et lui avoir susurré quelques derniers mots en anglais.



Cécile attend qu’ils soient tous éloignés pour reprendre d’un ton autoritaire.



Sa nièce soupire, se saisit de la bouteille de vin et du tire-bouchon, puis rentre dans le mobil-home.



Cécile ne voit pas François s’éloigner à son tour. Tout à sa colère, elle entre après la jeune hermaphrodite et tire la porte avant de répondre, haussant le ton.



Julie se dit que si sa tante avait entendu le boucan qu’ils faisaient tous les cinq un peu plus tôt dans la soirée, quand la vieille voisine s’est pointée, elle serait devenue complètement dingue. Elle a envie de répondre, de crier elle aussi… de lui répéter que c’est pas bien méchant, ou bien que c’est de la jalousie… Mais la trentenaire prend les devants :



La jeune bisexuée soupire fort et bruyamment, mais s’exécute. Elle va ranger les bouteilles de vin et d’huile, puis retourne dans sa chambre et soupire de nouveau. Pendant ce temps, Cécile met un peu d’ordre dans la petite salle d’eau avant de se brosser les dents.


Mais Julie est un peu désemparée par l’état de sa chambre, sa tante avait raison. Le lit est déplacé, le matelas décalé, le drap défait, les oreillers dispersés, la couette en boule dans un coin de la pièce. Elle commence par replacer le meuble, rajuster et retendre le drap sur le matelas, mais elle a soudain une moue de dégoût. Elle vient de mettre la main sur une tâche froide et gluante. Sans doute du sperme. Ou peut-être de l’huile. Et il y a plein d’autres taches au beau milieu du lit, dont certaines tirent de façon inquiétante vers le marron foncé. Elle soupire une fois encore et reste un instant déconcertée.



Cécile n’en croit pas ses oreilles. Cette petite salope va revenir à la charge ?! Elle n’a encore pas eu assez de cul ? Elle sort en rage de la salle d’eau et rejoint sa nièce qui contemple son lit d’un air dépité. Et réprime une moue de dégoût et une envie de rire en découvrant les taches sans équivoque qui ornent tout le drap.



Julie s’efforce de prendre une attitude docile, mais finit par pouffer de rire.



Cécile la contemple un instant de la tête aux pieds avec suspicion.





Il est presque deux heures du matin lorsque Julie, douchée et séchée, rejoint en caleçon et tee-shirt la chambre de sa tante. Celle-ci a installé un traversin dans le sens du matelas au beau milieu du lit. Lorsque sa nièce se glisse dans les draps, elle bougonne encore :



La jeune hermaphrodite sourit malgré elle, mais se tourne pour ne pas le montrer, se contentant de penser on verra ça plus tard…




Il fait déjà bien jour lorsque Cécile se réveille. Elle a l’agréable surprise de découvrir François à ses côtés. Elle est lovée contre lui, il la caresse, il lui embrasse le cou. Ses mains vont et viennent sur son corps, l’excitant, l’émoustillant. Quel réveil délicieux ! Elle se tortille pour frotter ses fesses contre l’entrejambe de son amant, qu’elle sent tout dur, gonflé, énorme. Lui aussi se déhanche doucement, dans un simulacre de pénétration. À travers les tissus de leurs vêtements, le gros gland rigide vient pousser contre sa vulve qui s’humecte rapidement.


Elle passe une main derrière ses cuisses entre leurs deux corps pour palper et branler le sexe tendu. Elle est impressionnée, il a vraiment une grosse queue. Une grosse queue… Une grosse queue ? … Une grosse queue ! Cécile s’éveille en sursaut. Elle lâche le pénis et s’écarte vivement du corps de Julie en se maudissant d’avoir ainsi rêvassé dans un demi-sommeil.


Derrière elle, sa nièce semble toujours dormir. Pourtant, ces caresses, ces mouvements, il y a quelques secondes à peine… Était-ce dans son rêve… ? Le traversin qu’elle avait étendu entre elles est à leurs pieds. Elle baisse les yeux jusqu’entre les jambes de l’hermaphrodite. À l’évidence, elle bande fort. Sa verge tendue déforme son caleçon entre ses cuisses. Mais elle respire doucement, régulièrement.



Aucune réponse. En essayant de ne pas faire de bruit, de ne pas trop remuer le matelas, elle se lève, marche à pas de loup jusqu’à la porte de la chambre. Sa nièce n’a pas bougé. Elle ne se sera rendu compte de rien. Cécile est rassurée. Elle sort puis referme silencieusement la porte après un dernier regard vers la jeune femme endormie.


Ce n’est que lorsqu’elle entend la poignée se relever que Julie ouvre les yeux et sourit. Elle l’aura, se dit-elle… ce n’est qu’une question de temps


En attendant, elle bande à mort. Elle pourrait peut-être… Mais la fatigue est plus forte, et la belle bisexuée se rendort presque aussitôt.




Elle a l’impression de n’avoir que peu redormi lorsque sa tante vient la réveiller en écartant grand les rideaux, en ouvrant la baie vitrée. Le franc soleil déjà chaud envahit la petite chambre.



Elle émerge avec peine.



Julie s’étire et se frotte les yeux. Elle bande encore, et se souvient très bien du petit épisode matinal.



Cécile enrage. Elle meurt d’envie de gifler sa nièce, mais parvient à se contenir.



Pfff ! Dures, les vacances avec Tante Cécile, se dit Julie. Debout à neuf heures pour aller faire la lessive… Elle soupire en se levant, va jusqu’aux toilettes en faisant semblant de s’efforcer de cacher sa verge tendue des regards renfrognés de la trentenaire.



Julie s’enferme en hâte en entendant la voix d’un homme inconnu. Sans doute le copain de sa tante.



Pfff ! Ben au moins, il est pas en retard…





Et cinq minutes plus tard, les deux tourtereaux s’installent sur la petite terrasse en bois autour de tasses de café fumant. L’odeur délicieuse des croissants tièdes parvient jusqu’à Julie, toujours aux toilettes à attendre d’avoir débandé complètement pour sortir.


C’était bien la peine de me tirer du lit avant qu’il arrive ! pense-t-elle. Il n’est pas venu voir à quoi ressemblait ma « bauge », comme elle dit.


Elle sort pour filer rapidement dans la salle de bains, se passe un peu d’eau sur le visage, s’assure d’être globalement présentable, ceint par sécurité une serviette autour de sa taille, puis va s’enfermer un instant dans sa chambre pour enfiler son short en jean dont le tissu rigide ne trahira pas ce qu’elle est. Et seulement ensuite, elle descend du mobil-home et rejoint sa tante et son copain.


Aucun risque que je le lui pique, remarque… se dit Julie après les rapides présentations. Je ne sais pas ce qu’elle peut lui trouver. Enfin… il est pas mal, mais il est vieux… il a au moins cinquante ans…


Cécile est rassurée d’observer que sa nièce sait quand même encore à peu près se tenir, et rassurée aussi de constater qu’elle ne regarde pas François avec les yeux gourmands qu’elle a trop souvent l’habitude de lui voir.


La jeune hermaphrodite déjeune poliment avec eux, soutenant un moment une conversation minable à propos de la pluie et du beau temps, puis débarrasse rapidement pour aller affronter sa corvée de la matinée. Elle commence par défaire les draps, housses et taies de sa chambre, et les rassemble dehors sous les yeux étonnés du cinquantenaire, trop poli pour demander pourquoi ce ménage si matinal, mais que Cécile devine avoir parfaitement compris la situation.


Et alors qu’elle s’apprête, munie de quelques pièces, à tout emporter jusqu’au bloc de sanitaires où sa tante lui a indiqué qu’elle trouverait un lave-linge, elle aperçoit deux personnes arriver hâtivement dans la direction de leur mobil-home. Un vieux, encore plus vieux que François, et une femme superbe d’une petite quarantaine d’années, aux longs cheveux châtain clair qui tombent autour de son beau visage surmonté de fines lunettes ; elle porte un tailleur gris clair qui lui dessine une silhouette magnifique. Julie sent sa bite se rappeler à elle en la voyant.



La femme ne répond rien, se contente de le suivre. Elle porte une petite mallette. Tous les deux se dirigent jusqu’à l’emplacement voisin.



Cette belle femme est médecin. La jeune bisexuée la dévisage avec gourmandise quand les deux passent près d’elle.



Le vieil homme lance un regard mauvais dans la direction du couple attablé, puis baisse la tête en apercevant Julie qui l’observe avec étonnement. Les yeux de la doctoresse croisent ensuite un instant ceux de la jolie jeune femme, et toutes les deux se fixent quelques secondes, chacune savourant la beauté du visage de l’autre.



Elle est superbe, cette toubib. Je me la taperais bien… pense l’hermaphrodite en reprenant le chemin des sanitaires, emportant tous ses draps.




Elle l’a presque oubliée lorsque, une trentaine de minutes plus tard, après avoir fait de la monnaie, enfermé son linge pour un cycle long, et déambulé un peu dans le camping, elle sort de la petite supérette en rapportant une baguette de pain et un magazine qu’elle sait que sa tante apprécie. Mais elle a l’agréable surprise de la croiser de nouveau : la belle doctoresse sort de la réception.


La jeune hermaphrodite n’est pas la seule à la dévorer des yeux. À quelques mètres, deux retraités la contemplent avec envie. La femme monte finalement dans une petite décapotable et au moment où elle va mettre le contact, son regard s’arrête encore dans celui de Julie, quelques secondes, ravivant ses envies.



Julie a un sourire intérieur en entendant ça. Ah oui… une lesbienne… Et si elle allait consulter, tiens…



À l’évidence, les deux retraités ne l’ont pas remarquée. Elle s’approche d’eux avant qu’ils ne s’éloignent.



Tous deux lèvent les bras au ciel en poussant un « Oh ! » de dépit.



Depuis qu’ils savent qu’il est noir ? a envie de demander Julie. Mais en sentant venir la discussion qui va la faire chier, elle tente plutôt d’éluder :



Les pauvres vieux… s’ils savaient…



C’est moi qui vais la prendre assez vite, j’espère…





Julie passe le reste de la matinée à traîner dans le camping, voguant de la machine à laver à son emplacement, attendant d’éventuelles nouvelles de Clarisse, de Yann ou des autres garçons, en attendant que le linge soit prêt. Mais aucun d’entre eux ne vient. Et Jessica est absente pour la journée, partie visiter la région avec sa famille. Mais tant pis, elle les verra tous ce soir. Même si elle se serait bien tapé Clarisse, même si elle bande en repensant aux éjaculations incroyables de la jolie brunette, elle est trop fière pour aller mendier du temps avec elle, et de toute façon, elle doit garder des forces pour le docteur Laroche, cet après-midi…


À 13 h 45, elle a mangé, s’est douchée, préparée, a convaincu sa tante de lui prêter la voiture pour une petite course dans le bourg, a éludé ses questions pénibles, et s’apprête à partir. Et à 13 h 55, elle se gare derrière l’église, près du cabinet médical, qui n’est rien d’autre que le rez-de-chaussée d’une maison de ville. Il est déjà ouvert, et elle n’est pas la première. Une mémé en pousse la porte juste avant elle.



Hmm ! La secrétaire est un canon aussi !



La femme lui adresse un joli regard étonné.



Et ses yeux vicieux, j’adore ! Si ça foire avec la toubib, je pourrai toujours tenter de me la faire.



Cinq minutes et quelques paperasses plus tard, Julie rejoint la vieille dans la salle d’attente. Juste avant d’y entrer, elle aperçoit derrière elle la secrétaire se lever et quitter son petit bureau pour aller frapper à une porte. Avant qu’elle s’y engouffre, l’hermaphrodite la scrute encore en détail : une jolie brune élancée, sans doute un peu plus âgée que sa tante Cécile, aux cheveux courts un peu frisés et avec surtout un cul époustouflant qui semble lui dire « viens ! »


Vers 14 h 10, la belle doctoresse ouvre la porte de la salle d’attente et appelle la mémé. Elle a un haussement de sourcils en apercevant la jolie jeune femme. Est-ce qu’elle se souvient d’elle ? Est-ce qu’elle se rappelle l’avoir aperçue ce matin ? En tout cas, Julie la trouve toujours aussi belle et désirable. Rouvrant la porte, elle l’observe suivre la petite vieille, s’arrêter souffler quelques mots à sa secrétaire. Le regard de la brune croise celui de la jolie bisexuée, qui retourne s’asseoir dans la salle d’attente pour mûrir son plan.


Deux autres personnes la rejoignent bientôt, un couple de petits vieux. Décidément. Ils la saluent, puis s’assoient et discutent à voix basse.


14 h 25, la porte s’ouvre de nouveau. Une femme entre avec un gamin grisâtre qui n’a pas l’air dans son assiette. Immédiatement suivie par le docteur Laroche, qui adresse un délicieux sourire à Julie en l’invitant à la suivre.



Bizarrement foutu, le cabinet, observe la jeune hermaphrodite en parcourant le couloir tout en longueur. Enfin, pense-t-elle, au moins, si je la fais crier, les patients ne l’entendront pas depuis la salle d’attente. Peut-être que la secrétaire l’entendra, mais ça ce serait plutôt drôle.


Toutes les deux entrent dans un salon de consultation chaleureux décoré dans un style arts modernes. La doctoresse s’installe face à Julie.



Hmm… donc elle se souvient de moi… intéressant… La toubib la dévisage avec intensité, puis baisse rapidement les yeux le long de son corps, comme pour l’évaluer.



La jeune hermaphrodite prend une profonde inspiration et hausse les sourcils pour répondre avec ingénuité et d’une voix la plus naïve possible :



Elle a échafaudé ce rôle de composition toute la matinée et le début d’après-midi. Pourvu que ça marche ! Elle poursuit de sa voix innocente :



La doctoresse écarquille brièvement les paupières, puis darde longuement des yeux inquisiteurs dans ceux que Julie a bien du mal à garder ingénus. D’autant plus de mal qu’elle sent qu’elle a gagné son pari : elle a l’impression qu’un léger sourire carnassier se dessine sur les lèvres de son interlocutrice.



Julie ne répond rien et s’efforce de conserver son air naïf.



Pendant qu’elle décroche son téléphone et appuie une touche, Julie se lève, s’avance vers la table de médecine cachée de la porte d’entrée derrière une grande étagère, et ôte rapidement ses chaussures.



Elle a encore une fois un léger sourire qui semble obscène à cette dernière. Hmmm ! De l’aide de la secrétaire… Mais c’est encore mieux que prévu !



En raccrochant, la doctoresse ne quitte pas Julie des yeux lorsqu’elle retire encore son tee-shirt.



La salope ! Elle s’exécute et libère ses gros seins au moment précis où la secrétaire frappe et entre. La jolie bisexuée fait mine de sursauter et tente de cacher sa poitrine dans un accès de pudeur feinte.



La nouvelle venue écarquille les yeux en retenant un éclat de rire, puis se retourne pour fermer la porte à clef. Mais elle les écarquille de nouveau lorsqu’elle s’avance vers l’hermaphrodite et la découvre presque nue, seulement vêtue de son short en jean serré qui cache encore pourtant l’essentiel de son corps particulier déjà si beau.



Faussement intimidée, mais ne voulant surtout pas se dévoiler trop vite, pour voir jusqu’où ces deux salopes sont prêtes à aller, Julie s’allonge sur la table, presque à plat ventre, légèrement sur le côté. La doctoresse et son assistante sont en train de se laver soigneusement les mains auprès d’un lavabo aménagé dans le fond du cabinet. L’hermaphrodite risque un regard furtif derrière elle, s’assure qu’elles ne peuvent pas la voir. Elle jurerait qu’elles sont en train de ricaner, sans doute à s’imaginer pouvoir profiter facilement du corps qui leur est offert sur un plateau. Elle va les baiser toutes les deux, ces deux lesbiennes salopes ! Elle bande déjà !


Mais pour l’instant, elle se tortille pour ôter rapidement son short en jean sans se dévoiler, sans se retourner. Elle le laisse bientôt tomber aux pieds de la table de consultation sur laquelle, après avoir remonté ses organes mâles gonflés sous son bas-ventre, elle s’allonge cette fois nue complètement à plat ventre, les cuisses serrées, et les coudes repliés près du corps pour empêcher sa poitrine de s’écraser.



Julie ne répond rien et ferme les yeux en réprimant un sourire. Elle sent quelqu’un s’approcher derrière elle, une main se pose sur le bas de son dos, quelque chose d’autre plus bas sur ses fesses… hmmm, c’est chaud et mouillé… peut-être un gant de toilette… la première main descend vers ses globes, une seconde la rejoint pour les écarter, la troisième portant le gant s’aventure contre son anus, frottant doucement à plusieurs reprises de bas en haut. C’est doux, il y a sans doute un savon liquide quelconque. Ces attentions excitent déjà très fort l’hermaphrodite qui meurt d’envie de se dandiner sur la table de médecine pour masser sa verge gonflée sous son ventre. Mais elle parvient encore à se retenir.



La jeune bisexuée continue de jouer l’ingénue, mais bande à tout rompre et sent sa vulve s’humidifier. Et si elle pouvait voir les sourires et les regards que s’échangent les deux femmes au-dessus de son derrière, elle serait encore plus excitée. La doctoresse s’éloigne vers une armoire à pharmacie dont elle extrait un petit tube et des gants de médecine jetables. Elle s’équipe de l’un et en tend un autre à sa secrétaire qui l’enfile en souriant.



Julie sent le produit se répandre autour de son cul et couler un peu le long de sa raie. Deux doigts plastifiés l’étalent aussitôt autour de son anus.



Je t’attends, ma salope… Une nouvelle rasade de lubrifiant coule sur les doigts qui s’agitent encore un peu autour de l’orifice avant d’en écarter doucement les parois et de s’immiscer sans la moindre difficulté, arrachant seulement à Julie un léger soupir.



Celle-ci tente de ne pas se déhancher de façon trop visible.



La petite salope ! se dit à son tour Hélène Laroche. Elle n’a rien du tout, elle veut juste se faire baiser par une lesbienne notoire. Eh bien, elle va voir ce qu’elle va prendre… Elle agite et tournoie plus ou moins doucement ses deux doigts enfoncés dans le derrière de la jeune femme, lui soutirant des petits gémissements et des dandinements du bassin.



Julie peine à se retenir de gémir, mais aussi de rire.



L’assistante interpellée sourit et glisse sa main droite gantée juste en dessous de celle de la doctoresse, et l’hermaphrodite excitée pousse un franc gémissement en sentant deux autres doigts s’enfoncer sans ménagement dans sa fente trempée.



Les deux mains s’agitent alors ensemble dans le bas-ventre de Julie qui se fait défoncer ses deux orifices en cadence. Elle ne cherche plus à dissimuler ses soupirs et ses plaintes de plaisir, et accompagne les va-et-vient de déhanchements saccadés qui branlent en plus sa grosse queue tendue toujours maintenue comprimée sous son ventre par ses cuisses serrées.



Celle-ci s’y prend comme une reine, ses deux doigts excitent les zones les plus sensibles du vagin de l’hermaphrodite qui à ce rythme-là ne va effectivement pas tarder à jouir. Mais le pouce de l’assistante cherche à l’évidence le clitoris de Julie. C’est un miracle que ni l’une ni l’autre ne l’aient encore percée à jour, que ses couilles soient encore restées inaperçues. La belle bisexuée s’efforce de ne pas trop relever son bassin quand elle accompagne les caresses et serre les cuisses pour fermer l’accès à ses organes mâles. Et elle repousse doucement la dénommée Sandra lorsque celle-ci fait mine de diriger son autre bras sous son ventre pour la caresser de ses deux mains. Elle sent qu’elle ne va plus tenir très longtemps sans se trahir. Mais de toute façon, son corps de femme ne pourra pas jouir dans ces conditions, si elle ne peut pas s’abandonner complètement. Et pour le moment, c’est sa grosse queue qui la démange le plus. Elle a très envie de se faire l’une après l’autre ces deux gouines salopes.



De sa main libre, elle verse une nouvelle dose de lubrifiant et enfonce bientôt sans ménagement un troisième doigt dans le cul de la jeune femme qui couine un peu plus encore.



Julie décide que ces deux salopes ont assez joué avec elle. Ça va être son tour de jouer…



Elle s’extrait de leurs étreintes en se redressant puis en se retournant vivement en même temps qu’elle annonce d’une voix cette fois carnassière :



Les deux quarantenaires ont un hoquet de stupeur en découvrant soudain sa longue queue épaisse rigide qui pointe vers elles lorsque Julie s’appuie cambrée en arrière sur ses bras tendus et les couve d’un regard lubrique amusé par leur ébahissement. Durant quelques longues secondes, toutes les deux contemplent bouche bée l’engin incroyable qu’arbore la somptueuse jeune femme.



Mais elles ne réagissent pas, se contentant de regarder l’une et l’autre tout le corps prodigieux qu’elles avaient cru avoir déjà réduit à leur merci.



Elle n’a jamais vu ça au cours de sa carrière ni seulement imaginé ça. Et elle repense à la vieille femme qu’elle a examinée le matin même.



Julie ricane.



Et restant appuyée d’une main en arrière, elle referme l’autre sur la chevelure de la brune et l’attire fermement vers sa queue tendue. Puis changeant de côté, elle presse ensuite la tête du docteur Laroche pour l’inviter à accompagner sa secrétaire dans la fellation maladroite qu’elle entreprend. Et un instant plus tard, des doigts vont et viennent comme précédemment dans sa chatte et son cul, et d’autres enserrent la hampe de son organe incroyable dont les deux femmes sucent le gros gland avec plus ou moins d’habileté.




15 h 30. Sandra, la secrétaire et compagne du docteur Laroche, rejoint enfin le bureau d’accueil du cabinet après être passée rapidement aux toilettes se nettoyer, se rhabiller, se recoiffer, se rendre de nouveau présentable. Elle est épuisée et a un peu mal, mais elle vient de jouir deux fois dans une baise dont elle se souviendra. Elle débranche le répondeur automatique puis se dirige jusqu’à la salle d’attente du médecin, où attendent trois personnes supplémentaires.



Elle regarde plus précisément les trois qui n’étaient pas encore enregistrés, une cinquantenaire, un vieil homme, et un jeune adulte.



Elle les devance en retournant s’installer à son bureau. S’asseoir lui fait un peu mal. Bah, elle demandera quelque chose à Hélène un peu plus tard…




Dans le cabinet, Julie achève de se rhabiller sous les yeux extatiques de la doctoresse à peine remise de la baise et de la sodomie qu’elle vient de subir en s’abandonnant complètement à cette gamine incroyable.



Julie sourit et l’observe en refermant son short en jean serré qui revient masquer sa particularité et lui permettre de passer de nouveau simplement pour une belle jeune femme.



La toubib se traîne avec sa culotte à la main jusqu’à son bureau. Elle griffonne en hâte sur une feuille qu’elle arrache ensuite.



Julie sourit une fois encore.



Elle quitte de la pièce sous les yeux toujours époustouflés de la doctoresse qui renfile en hâte sa culotte avant de sortir pour filer aux toilettes.

Quand elle revient vers l’accueil, Julie rigole en s’étonnant de découvrir Yann parmi les trois personnes qui attendent une consultation.



Elle l’ignore et s’approche pour l’embrasser sous les yeux mi-surpris mi-amusés de Sandra.



Il rougit instantanément et bafouille quelques paroles en hâte. L’assistante de la doctoresse peine à se retenir de rire.



Et tous les deux sortent sous les regards amusés de la secrétaire et ceux irrités des autres patients.





Elle lui tend la prescription médicale.