n° 18973 | Fiche technique | 15964 caractères | 15964 2861 Temps de lecture estimé : 12 mn |
04/05/19 |
Résumé: J'ai rencontré Florence lors de l'exposition Nikki de Saint-Phalle. Je l'ai retrouvée plusieurs fois depuis dans des circonstances qui l'ont amené à se révéler. En vacances à la mer, elle me rejoint à l'hôtel. Son beau-père se mêle à nous et repart avec. | ||||
Critères: fh hagé alliance fsoumise intermast fellation portrait -dominatio | ||||
Auteur : Sergefra (Bel homme, coquin, cultivé, gourmand) Envoi mini-message Co-auteur : Carla.moore Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : L'éducation des sens Chapitre 08 / 08 | FIN de la série |
Résumé des épisodes précédents :
« Nikki »
« Betty »
« Symphonie en noir et blanc à quatre mains »
« La présentation Happening pour la sortie d’un film »
« La plage »
« La surprise »
J’ai rencontré Florence lors de l’exposition Nikki de Saint-Phalle. Je l’ai retrouvée plusieurs fois depuis, dans des circonstances qui l’ont amenée à se révéler. Je viens de la retrouver à la plage en compagnie de son mari et de son fils. Elle a trouvé un motif pour s’éclipser et nous avons fait l’amour dans la mer. Ce soir après dîner, l’envie me prend de la retrouver. Je lui demande par texto de me rejoindre à l’hôtel, sans lui laisser d’autre choix que de m’obéir. Je lui ai demandé tout au long de la soirée de m’en donner des preuves en m’envoyant quelques photos par SMS. Flo m’a rejoint à l’hôtel, son beau-père se mêle à nos jeux et repart avec elle.
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Je pensais ne pas revoir Florence, depuis la soirée à l’hôtel, où nous l’avons investie à deux, son beau-père et moi. Avant de partir, il a tenu à ce que je profite une dernière fois de sa bouche chaude et humide. Les mains dans ses cheveux blonds, les yeux dans le bleu de ses yeux, la bite dans sa bouche accueillante, j’ai joui en longues saccades, tremblant sur mes jambes du plaisir d’une fellation d’une amoureuse experte.
Florence n’a pas cillé, ni fermé ses yeux, ni quitté les miens, comme si elle voulait remplir sa mémoire de mon plaisir avant de partir pour toujours ? Pour longtemps ? Elle m’a gardé en bouche, et laissé à regret, lorsque mon membre s’est rétracté. Pas un mot, pas un geste, immobile, à genoux, elle attendait. Je l’ai relevée, j’ai senti son plaisir entre ses cuisses d’une main vagabonde, elle s’est cambrée, ouverte, les chairs humides sous mes doigts. Je l’ai attirée tout contre moi d’un téton pincé, et je l’ai embrassée jusqu’à plus soif. Elle se donnait dans un abandon total d’elle-même, toute en sensations, sans aucun recul, sans aucune pensée, comme un objet de plaisir à ma disposition.
xxXxx
Le ton cinglant de mon beau-père m’avait fait frémir.
Je me suis agenouillée et ai pris son sexe en bouche.
J’aime sa bite, elle est fine et belle comme lui. Je l’ai embrassée sur sa bouche, cet œillet qui suinte de plaisir. Je me suis éloignée pour mieux la voir se dresser, j’ai vu le sang battre dans la veine et la redresser par à-coups désordonnés. J’essayais de l’attraper sans les mains, mais un mouvement impromptu la déviait de ma bouche toujours au dernier moment : j’ai levé les yeux et vu dans les siens une lueur de défi. J’ai compris qu’il jouait et voulait que je manifeste mon désir irrésistible et l’attrape par surprise.
Toujours à quatre pattes, je l’ai fixé de mes yeux grands ouverts, et léché mes lèvres lentement, passant ma langue sur leurs contours. J’ai creusé mon dos comme il aime, largement ouverte, et d’une main j’ai pincé le bout de mes seins, en laissant échapper un feulement de lionne. J’ai vu son sexe se redresser de battements plus amples, ses pupilles s’agrandir. Je me suis reculée sur mes mains et j’ai bondi en avant bouche grande ouverte.
Cette fois il ne m’a pas échappé, et son sexe est entré profondément dans ma gorge à toucher ma luette. Je l’ai vu frémir de plaisir dans la chaleur humide de ma bouche, pleine de son membre chaud, qui gonfle telle une éponge. J’ai reculé lentement jusqu’à ne garder que le bout de son gland, en veillant à ne pas le laisser s’échapper.
Mes lèvres en O ont entamé un lent va-et-vient le long du prépuce et, le membre durcissant, l’ont enfin décalotté. Je le sentais remplir ma bouche de plus en plus, j’ai relâché l’ouverture de mes mâchoires douloureuses et j’ai rayé de mes dents, juste la partie la plus sensible. Il a bondi instantanément, ses mains se sont crispées dans mes cheveux.
Il continuait à grossir en moi, à me remplir la bouche. J’accompagnai chaque va-et-vient de caresses de ma langue. J’ai aimé ses frémissements. Je voulais m’imprégner de cet homme qui m’avait menée là, dans cette puissance du plaisir, dans cette puissance du désir. Je comprenais que je ne le reverrais plus. Je l’envoie de ce regard dans lequel je plongeais.
Comprenait-il dans de mien toute la gratitude, tout mon attachement… Ce n’était pas qu’un initiateur à mon sens… et il n’aurait eu qu’un mot à dire… mais il ne le dit pas… il lâcha son foutre dans ma bouche. Une première giclée, bien au fond, une deuxième, puis des répliques, enfin des soubresauts. Il avait fermé les yeux, je l’ai vu trembler sur ses jambes et j’ai senti ses mains se crisper nerveusement dans mes cheveux comme si c’était les rênes de sa monture auxquels il se retenait. J’étais fière de l’avoir mis dans cet état, de mon savoir-faire.
Pour moi qui n’avais jamais été jusque-là avec mon mari, c’était un nectar royal, le fruit de son être, de son plaisir. Je m’en régalai jusqu’à la dernière goutte. Je voulais le garder en moi à jamais, et continuer à bénéficier des caresses qu’il me prodiguait de ses mains dans mes cheveux. Il resta ainsi jusqu’à ce que ce bâton redevienne souple et mou.
Pendant qu’il se retirait, mes yeux lui disaient : « je t’aime, ne me laisse pas… tu es l’amour de ma vie… tu seras mon maître à jamais ! Tout ce que j’accomplirai sera pour que tu sois fier de moi ! Je ferai savoir au besoin que tu es mon initiateur, mon maître à jamais ! »
La caresse dans mes cheveux me montrait qu’il me comprenait, mais qu’il était impuissant à satisfaire mon désir. À ce moment-là, cette faiblesse par rapport à mon futur maître me fit le haïr. Lorsqu’il me releva, je vis un instant de mélancolie dans ses yeux et une ultime caresse sur mes fesses comme une caresse sur la joue d’un enfant cela notre « adieu » tacite. Il saisit une coupe de champagne, en but une gorgée, qu’il mêla dans ma bouche à ce qui restait de son sperme. J’avalais les dernières gouttes de ce breuvage divin.
Et toute cette tendresse ressuscita en moi l’amour sans limites que j’éprouvais pour lui. Puis il me donna à mon beau-père qui m’a couverte de mon imper et m’a conduite dans un taxi. Puisqu’il me le demandait, je serai l’objet de ce nouveau maître. En passant par la réception, j’y vis Chloé, un seau à champagne et deux coupes posées sur le comptoir, je me suis dit qu’il y avait encore des amoureux réveillés à cette heure tardive ! Que c’était un hôtel pour amoureux… et que certains finissaient bien la nuit.
Nous étions tout juste entrés dans le taxi ! Décidément j’avais du mal à me faire au ton de mon nouveau maître ! Je m’exécutai avec des larmes, mais qui n’étaient pas les mêmes que celles qui avaient précédé. Lorsque je me relevai, il sortit de sa poche quelques feuillets et me les tendit :
Je vois le regard du chauffeur de taxi dans le rétroviseur : il lorgnait sur mes seins découverts, mais son regard est venu trouver le mien interrogateur.
xxXxx
À regret je l’ai écartée, et tendue à son beau-père
Il l’a enveloppée nue dans son imper et ils sont partis. J’étais triste, je ne savais pas si je la reverrais, j’avais le sentiment d’avoir fait une connerie en acceptant de m’en séparer. On a frappé à la porte, et Chloé est entrée une bouteille à la main.
Elle est belle dans son petit short blanc et sa chemisette d’homme, qui laisse ses seins libres. Ingénue et provocante, avec une moue tentatrice. Je suis triste et furieux contre moi-même d’avoir laissé partir Florence. Je prends les flûtes ouvre la bouteille les remplis, attrape Chloé par les poignets que j’emprisonne d’une main. J’approche une flûte de ses lèvres, verse le champagne dans sa bouche et l’embrasse pour y boire à même ses lèvres.
Elle répond avec fraîcheur et enthousiasme, sa langue se fait exploratrice, je sens ses tétons pointer, j’entrouvre sa chemisette, pour les libérer. Je joue avec ses pointes, je les agace, les étire, les pince, je l’entends gémir dans ma bouche. Je joue avec elle, je la caresse, goûte sa peau de ma langue, lui remplis à nouveau sa flûte, la fait boire.
Je défais son short et lui retire, elle est nue désormais, vêtue seulement de la chemise qui laisse entrevoir ses seins et le haut de ses fesses. Elle est mince, très belle, souple, un peu liane, un peu saoule. Je la fais boire au goulot, la tête levée la bouche ouverte, elle se cambre et avale les dernières gouttes de la bouteille que je tiens au-dessus de sa tête. Ma main s’est aventurée plus bas entre ses cuisses et joue avec ses chairs intimes voluptueusement ouvertes.
Je la caresse de la bouteille que je glisse entre ses seins, dont les pointes s’érigent doucement sous le froid. Je continue ma descente, prends sa bouche de la mienne, et descends plus bas. La bouteille glisse sur son ventre, agace son nombril, et poursuit son chemin vers son ventre. Ma langue ne la laisse pas respirer.
J’ouvre et prépare son sexe d’une main, de l’autre approche le goulot que j’enfonce lentement en elle. Je la sens se durcir dans ma bouche. Je prends ses mains et les joins à la mienne sur la bouteille sans cesser de l’embrasser. J’imprime un lent mouvement à la bouteille. Je la sens entrer plus facilement, lubrifiée de son plaisir. J’accélère le mouvement, sens son souffle s’accélérer, je retire ma main, laisse les siennes seules imprimer le rythme qui convient à son plaisir.
Je m’écarte et la regarde les yeux mi-clos, debout, toute à son plaisir, qu’elle apprivoise de la vitesse de ses mains sur la veuve Clicquot. Elle feule, la bouche et les yeux entrouverts, j’imprime cette image dans ma mémoire, elle se mêle à celle de Florence, nue et abandonnée, les deux se superposent, se mêlent en un orgasme onirique. Les mains de Chloé semblent prises de frénésie sur la bouteille, et se crispent comme pour la briser, sa bouche s’ouvre en grand, et laisse échapper un petit cri. Elle tremble sur ses jambes, manque tomber, je la rattrape d’un bras ferme. Elle ouvre les yeux. Je lui prends la bouteille la renverse dans la bouche, et avale les dernières gouttes qui s’en échappent. Elle me regarde toujours, les yeux flous de plaisir.
Elle reprend ses esprits, regarde autour d’elle, va pour reprendre son petit short blanc
Elle me regarde longuement, se met en mouvement, se dirige vers la porte et passe devant moi, son joli petit cul nerveux apparaît au bas de la chemise. Moins voluptueux que celui de Florence, il laisse entrevoir à chaque pas l’obscurité de son intimité, des promesses de plaisirs gourmands, sans fin. Je me prends à l’imaginer avec Florence, un tourbillon de sens et de couleurs… Elle me manque déjà, je n’ai jamais vécu une telle harmonie des sens, des envies, un tel mélange de culture, de belle éducation, de manières, de sensualité, d’érotisme et de sexualité bestiale.
xxXxx
Nous sommes sortis du taxi. Il ne m’a même pas saluée… comme un DVD qu’on ne prend même pas la peine de sortir du lecteur après l’avoir visionné ! Il est monté dans sa chambre rejoindre ma belle-mère.
Je me suis assise sur le fauteuil et j’ai lu le contrat. Je pouvais y accepter des humiliations, des prêts à d’autres, des exhibitions, mais aussi des douleurs physiques.
Je m’imaginais avec mon beau-père… non vraiment, je ne pouvais pas avec lui ; Paul, lui, j’aimais le subir, j’étais fière, mais avec mon beau-père ! non. Je barrai le tout et inscrivis un mot à l’adresse de mon mari, m’excusant de la douleur que je lui faisais, terminant que j’espérais qu’on ne se battrait pas pour la garde de notre fils. Que j’étais désolée pour ce qu’il apprenait sur son père. Que j’aimais une autre vie avec un autre homme… je déposai le mot discrètement sur la table de nuit et je ressortis en appelant à nouveau un taxi.
En l’attendant, je me demandais ce qui unissait ces deux hommes ? L’un était-il un professionnel style gigolo qui dressait des femmes pour des autres moyennant argent ? Mon beau-père faisait-il chanter Paul ? Celui-ci était-il un employé du premier ?
Perdue dans mes pensées, je ne vois pas arriver le taxi. C’est le même chauffeur qu’au retour, il me fait monter devant, me dit des choses gentilles pour consoler mes larmes, un vrai « père ». Il me dépose sans me faire payer. Et je grimpe quatre à quatre l’escalier.
J’entre dans la chambre sans frapper, je suis surprise d’y retrouver Florence, une bouteille de champagne dans la main. C’est sa tenue qui me surprend, elle ne porte qu’une chemise. Serge, derrière elle, me fait signe de m’approcher : le rayonnement de ses yeux m’indique que j’ai eu raison de revenir.
Je vois ses mains descendre sous la chemise, sur ses fesses, qu’il écarte largement. Elle est belle ainsi, c’est vrai, et provocante avec sa fente rose et luisante au milieu de cette peau pain d’épice. Serge m’attrape par la main et me colle contre Chloé, il se redresse au-dessus de son épaule pour me prendre la bouche. Son baiser est délicieux, tendre, et fougueux, profond et amoureux.
Il entraîne ma main avec la sienne explorer l’intimité de Chloé. Je la sens abandonnée, s’humidifier. La main de Serge m’entraîne à la découverte du corps offert, et la fougue de sa langue dans ma bouche, dicte l’intensité des caresses que nous prodiguons à notre victime volontaire. Il entraîne mes doigts à la saisir en même temps par les orifices de son entrejambe, comme un joueur de bowling.
Il me laisse jouer seule avec elle, pour mieux la maintenir d’une main autour du cou et de l’autre laisser mon imperméable glisser au sol. Je suis nue maintenant. Mes seins s’agacent au contact du tissu de la chemise de Chloé, et mon pubis moule ses fesses, sous la pression ferme de la main de Paul au creux de mes reins. Sa langue s’introduit au plus profond de ma bouche, et mon majeur pénètre plus avant le sexe offert. Elle tourne au fond de ma bouche et mon pouce appuie plus fort sur son anus. Il se retire et me regarde, j’en fais autant de mes doigts. Sa langue vient à nouveau jouer avec la mienne, mes doigts se glissent à l’intérieur de Chloé qui laisse entendre son plaisir.
Paul se recule, pour me transpercer de son regard, accompagne Chloé à la porte, s’en sépare tendrement, et ferme la porte derrière elle. Il se rapproche, me mordille l’oreille déclenchant en moi des ondes de plaisir, m’embrasse à me faire perdre le souffle, ses mains, ses doigts sont partout, son corps épouse mes courbes, ses gestes sont emplis de passion, il me glisse en m’attirant vers le lit :
Je ne réponds que par ma docilité, une docilité qui épouse ses paroles ; elles sont plus douces que toutes les caresses du monde, plus puissantes que toutes les saillies du monde. Le bonheur m’enveloppe d’une couverture bienfaisante, et je m’endors, nue dans ses bras, impudique de béatitude. Je lui appartiens désormais corps et âme.