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Temps de lecture estimé : 19 mn
09/01/19
corrigé 06/06/21
Résumé:  Les Zaventuriers font la connaissance de Niniel, une demi-elfe très réservée qui vivait seule dans sa clairière avant leur arrivée.
Critères:  #fantastique #merveilleux fh ff fhh fbi inconnu forêt entreseins cunnilingu 69 fsodo
Auteur : Fantasmatique            Envoi mini-message

Série : Le Sceptre du Tocard

Chapitre 10 / 19
Timide et solitaire

Résumé de l’épisode précédent : (voir en fin de récit)


Les quatre Zaventuriers se rendent au bord du lac Ouarium, dans le but de se téléporter jusqu’au Tertre Sanglant, mais ils n’arrivent pas à destination et leur cheminement n’est, par conséquent, pas terminé.




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Le Sceptre du Tocard




Chapitre 09 : Timide et solitaire.




Níniel est une orpheline mesurant 5 pieds pour environ 80 livres, avec des cheveux roux cuivrés et bouclés qui lui arrivent au milieu du dos. Son très beau visage à la peau pâle parsemée de taches de son est agrémenté par des yeux argentés, étincelants comme du métal en fusion. Elle n’a pas connu son père qui était humain parce que ce dernier a trépassé avant sa naissance, tué par des loups géants alors qu’il cherchait des plantes. Sa mère, qui était pour sa part une elfe, a disparu sans laisser de traces alors que la jeune sang-mêlé n’avait que dix-huit récoltes.


Après l’avoir cherchée vainement sans pour autant oser s’éloigner trop de sa chaumière, Níniel a vécu seule pendant quatorze récoltes, et elle en a par conséquent aujourd’hui trente-deux. Cependant elle est encore jeune, vu que les demi-elfes peuvent espérer en vivre 250 en moyenne. Étant donné qu’elle est presque toujours restée à l’écart des autres, elle ne sait pas grand-chose de la vie et elle est encore niaise, mais elle a appris à concocter des potions en regardant faire celle qui l’a mise au monde, et cette dernière les vendait aux paysans du Bourg-Laid. Cette femelle était considérée par ses clients comme étant une sorcière, ce qui était faux puisqu’elle était juste potionneuse, mais cela leur permettait à elle et sa fille d’être en sécurité, puisque les humains la craignaient.


C’était toujours elle qui se rendait chez eux, étant donné que ces êtres frustes et superstitieux répugnaient à entrer dans les Bois Sombres, qui n’ont pourtant rien de maléfique. Leur nom leur vient uniquement du fait que les arbres qui s’y trouvent sont anciens, et que leurs branches entremêlées empêchent la lumière d’y pénétrer. Cependant, il y a fort longtemps et alors que la forêt était encore jeune, une importante bataille s’y est déroulée dont le seul vestige est un tertre, dans lequel les dépouilles ont été déposées. Le souvenir que de nombreux décès violents y ont eu lieu contribue à la sinistre réputation de ces bois, bien que les valeureux guerriers qui y ont péri reposent en paix.


Du fait qu’elle est une demi-elfe, Níniel a bien entendu des aptitudes magiques innées, même si elle n’en a pas vraiment conscience puisque sa mère n’a jamais utilisé les siennes, et de ce fait elle ne lui a pas non plus appris à le faire. Elle a donc continué à fabriquer des potions après la disparition de cette dernière, et bien évidemment les habitants du Bourg-Laid, qui porte bien son nom non pas parce que l’endroit est horrible, mais parce que ceux qui y vivent ne sont pas plaisants à l’intérieur, ont continué à les lui acheter. Et elle a continué à les leur vendre, sans leur tenir rancune du fait qu’ils n’ont pas voulu l’aider dans la recherche de celle qui l’avait mise au monde, parce que Níniel a hérité de la nature naïve propre aux elfes de bois.


En effet, si les potions qu’elles préparaient étaient d’une qualité bien supérieure à celles fabriquées par des humains, grâce à une connaissance parfaite des plantes, ces êtres vils se sont bien gardés de le faire remarquer à l’elfe comme à la demi-elfe qui a pris sa succession, dans le but d’éviter d’avoir à les payer plus cher. Du fait de son innocence et de sa timidité, Níniel n’a jamais envisagé d’augmenter ses tarifs, par conséquent elle a toujours vécu simplement et modestement, se contentant de ce qu’elle avait et de sa solitude, puisque malgré sa grande beauté aucun des mâles du bourg n’a jamais envisagé de la courtiser. Cela a cependant eu l’avantage qu’elle a pu vivre seule sans avoir à subir le moindre outrage, à cause de sa réputation de sorcière qui est le seul héritage qu’elle a reçu de sa mère, avec sa petite chaumière et ses connaissances d’herboriste.




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Mais à cet instant et malgré sa timidité, Níniel avance bravement vers les quatre inconnus qui ont pénétré dans sa clairière. Bien qu’elle ait reconnu en eux une mage, une archère, un nain guerrier et un barbare, elle n’est pas effrayée, d’autant plus qu’elle trouve ce dernier très beau malgré son air farouche, et qu’elle ne peut pas s’empêcher de le regarder fixement. Lorsqu’elle est à deux pas d’eux, c’est l’humaine qui engage la conversation :



Puis elle ajoute en désignant ses compagnons chacun leur tour :



La demi-elfe, qui n’a pas quitté le plus grand des Zaventuriers des yeux, répond en rougissant d’une voix douce et mélodieuse :



Les compagnons sont intrigués par cette entrée en matière, en tout cas, trois d’entre eux puisque le quatrième se contente de répéter :



Visiblement il est ému à la vue de la superbe sang-mêlé, ce qui semble réciproque, et c’est Mella qui demande :



L’intéressée répond en devenant écarlate, et en parlant très vite comme pour masquer sa gêne :



Níniel a été, elle aussi, victime de « La soif d’aventures », qui lui a été insufflée par les Dieux à l’insu de son plein gré. Cependant cela s’est passé pour elle d’une façon différente, étant donné que pas un seul instant elle n’a envisagé de quitter seule son havre de paix, mais qu’elle a attendu que l’on vienne l’y chercher. C’est du moins ce que déduisent les Zaventuriers d’après ce qu’elle vient de leur révéler, mais pris d’un doute, c’est Gardain qui cette fois pose une question :



La jeune femelle réplique avec le même débit :



En entendant cela, Mella éclate de rire, ce qui améliore quelque peu l’ambiance qui était étrange, puis elle répond sur un ton enjoué :



Níniel répond cette fois plus calmement, après lui avoir fait un sourire timide :



Puis elle ajoute, tout en levant le bras pour leur montrer sa prise :



Et elle continue après une courte pose :





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Maintenant qu’ils ont fait connaissance ils s’organisent, et si la barde et leur hôtesse vont dans la petite chaumière pour cuisiner, Krill et Gardain coupent du bois dans le but de faire rôtir le gibier que Mella a abattu un peu plus tôt, après que le nain a demandé la permission à la propriétaire des lieux. Cela leur prend le reste de la matinée et, au moment où arrive pour eux l’heure de se restaurer, le jeune nain n’envisage pas un seul instant de proposer de repartir, tant comme ses amis il se sent bien dans cette clairière à l’atmosphère paisible. Avant qu’ils ne commencent à manger dehors, parce que le logis de Níniel est trop petit pour les accueillir tous, Mella demande à cette dernière si ça ne la dérange pas qu’elle se mette à l’aise. Comme la jeune femelle lui répond que non, la barde se met aussitôt nue, ne gardant que ses cuissardes à talons-stylets de 4 pouces de haut. Elle est immédiatement imitée par Hermine qui, pour sa part, garde ses sandales, tandis que la demi-elfe contemple leurs corps parfaits tout en prenant la même teinte qu’une pivoine. Bien qu’elle en ait envie, elle n’arrive pas à se décider à faire comme ses invitées, même si lorsqu’elle est seule elle reste souvent dans la même tenue qu’elles, mais avec les chaussures en moins.


Seulement son caractère très réservé l’empêche à présent d’en faire autant, et Gardain qui l’a parfaitement compris enlève ses protections de mailles, aidé par la mage, mais il garde sur lui son gambison, ses braies et ses bottes. Krill pour sa part, que son amie la barde a aidé à retirer son armure de cuir, n’enlève pas non plus sa chemise, ses braies ni ses bottes. Cependant, ce qui lui reste sur la peau ne cache pas le fait que son os de 6 pouces est devenu tendu, ce qui fait rougir Níniel à chaque fois qu’elle le regarde, mais le jeune mâle reste d’un calme contenu, de peur d’effaroucher cette jeune antilope, que de toute évidence il trouve très appétissante.


Ils discutent tout en prenant leur repas de la mi-journée, au cours duquel Níniel leur apprend qu’elle est seule au monde et qu’elle subsiste en fabriquant des potions, qui lui permettent d’acheter ce qu’elle ne peut pas se procurer dans la nature. Les Zaventuriers lui expliquent ensuite l’objet de leur quête, les progressions avec leurs récompenses, mais aussi les ascensions. Après les avoir écoutés en silence, tout en jetant de fréquents regards à Krill et en s’empourprant à chaque fois tandis que ce dernier lâche de temps en temps un « Humph… », la demi-elfe leur dit :



Gardain, soudain très intéressé, s’exclame :



Krill parle pour la première fois, depuis qu’ils se sont rencontrés :



Mais son ami le nain intervient :



Hermine prend à son tour la parole :



Les Zaventuriers réfléchissent quelques instants, et aucun d’entre eux ne fait de remarque au sujet du fait que Níniel se considère déjà comme étant l’une d’entre eux, même pas le nain et surtout pas le barbare, qui la couve toujours du regard comme s’il avait peur qu’elle ne disparaisse. Tout à coup cette dernière se lève gracieusement en le faisant sursauter, puis elle leur dit en rougissant :



Elle va ensuite dans sa chaumière, et Gardain en profite pour demander à ses compagnons :



C’est Hermine qui lui répond :


Il nous a prévenus que ça pourrait arriver, et que les points gagnés entre-temps ne seraient pas perdus. Par conséquent je ne vois aucune raison de s’en inquiéter.




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Níniel revient peu de temps après, en portant un plateau en bois sur lequel sont posés une théière ventrue et fumante, ainsi que cinq gobelets en grès. Ensuite elle sert ses invités avant de se rasseoir, puis elle les observe d’un air anxieux pour voir quelles seront leurs réactions. Mella goûte le breuvage la première, puis elle sourit à la demi-elfe avant de lui dire :



En entendant cela, l’ensorceleuse devient écarlate, mais elle ne répond pas et elle se dépêche de boire le liquide fumant, bientôt imitée par les autres. Au bout d’une dizaine de minutes, la demi-elfe se relève, et après avoir récupéré son plateau de bois, elle prend bravement Krill par la main pour qu’il l’accompagne jusque dans sa chaumière. Ce dernier ne se fait pas prier, visiblement ravi, et la barde s’adresse au jeune barbare avant qu’ils ne disparaissent :



Hermine hausse alors un sourcil, avant de demander à son amie dès que le couple a disparu :



En entendant cela, Gardain demande à son amie la barde :



Il lui répond, en essayant d’imiter sans y arriver sa voix harmonieuse :



Ses deux compagnes éclatent de rire, et c’est Hermine qui lui répond lorsqu’elle a retrouvé son sérieux :



Rassuré par cet argument le nain enlève son gambison et ses braies, découvrant ainsi sa saucisse qui est devenue raide comme un bout de bois, et il demande à la jeune elfe :



Cette dernière lui répond :



Le nain ravi va alors s’asseoir sur un rocher, et Mella vient se mettre à genoux devant lui pour enfouir son membre viril entre ses gros tétins, et les caresser doucement avec, tandis qu’Hermine qui a déjà assisté à cette pratique lorsqu’elle était dans le temple de Galipett, reste auprès d’eux pour donner des conseils à son amie sur la façon de procéder. Au moment où la semence du guerrier gicle entre les deux globes de chair de la barde, et qu’il grogne de plaisir en se vidant, ils entendent un gémissement venant de la chaumière et poussé par Níniel, qui n’est de toute évidence pas dû à la douleur. Retentit alors le Gong-Bong, tandis que l’elfe est en train de lécher le membre viril du nain dans le but de le nettoyer. Ensuite elle va faire un peu de toilette au bord du ruisseau, avant de revenir vers ses amis. Hermine lui demande alors :



Mella s’assoit gracieusement en tailleur sur la mousse de la clairière, avant de répondre :



Puis elle se relève pour aller installer la tente au bord de la clairière.




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La saucisse de Gardain reprend peu à peu de la vigueur, ce qui ne manque pas au début de l’étonner puisqu’un court moment s’est écoulé depuis sa dernière jouissance. D’autant plus que les deux femelles qui sont avec n’ont rien fait pour attiser son désir, mis à part rester nues et chaussée de leurs talons-stylets de 4 pouces de haut, et qu’ils s’est à présent habitué à la beauté de leurs corps. Une fois sa surprise passée, il sourit lorsqu’il repense au breuvage que la potionneuse leur a fait boire, parce qu’il se dit que l’avoir dans leur compagnie va considérablement agrémenter leur quête, en plus de leur être bien utile avec ses potions. Mais il est à nouveau effaré, lorsqu’après avoir entendu cette dernière pousser un second râle de jouissance, et que le Gong-Bong ait retentit presque en même temps une deuxième fois, il voit Krill sortir de la chaumière le membre viril toujours dressé. Le barbare s’approche d’eux, avant de dire à son ami :



Le nain suit le barbare quelque peu perplexe, mais Mella qui a tout écouté fait un sourire entendu à Hermine qui le lui rend, tandis que les deux mâles de leur compagnie entrent dans la petite chaumière. Les deux compagnes décident alors de nettoyer les morceaux d’étoffes qui ont servi à transporter le daim, ce qu’elles arrivent à faire sans problème, et un petit moment après, elles entendent de nouveaux cris de jouissance. Le Gong-Bong retentit une fois encore, c’est alors Gardain qui sort de la chaumine la saucisse toujours raide, et qui dit à Mella :



Puis il ajoute à l’intention d’Hermine :



La jeune mage qui n’a pas du tout l’air inquiète, lui répond :



Le nain et l’elfe vont donc dans la maisonnette, et la jeune femelle revient après qu’un moment se soit écoulé et que d’autres manifestations de plaisir se soient fait entendre, pour dire à son amie :



La mage se lève donc pour aller rejoindre les autres, tandis que la barde s’assoit pour jouer un air harmonieux avec sa flûte, jusqu’à ce que les autres membres de la Compagnie des Zaventuriers ressortent de la chaumière, cette fois tous les quatre en même temps.




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Mella n’est pas vraiment surprise de constater que cette fois Níniel est nue comme les autres, ce qui ne semble pas la déranger beaucoup puisqu’elle est à peine rouge, et cela est probablement dû au fait que son corps n’a à présent plus aucun secret pour les autres. La potionneuse a attaché ses cheveux avec un ruban, ce qui dégage complètement son beau visage, mais aussi ses oreilles. Ces dernières, bien que de le même taille que celles des humains, enfin lorsque celles-ci sont dans la moyenne, sont légèrement pointues en haut. Avant de rencontrer la barde, qui en a de plus grandes qu’elles, mais en a réduit la taille uniquement pour des raisons esthétiques, la demi-elfe avait honte de cela. Par conséquent elle tentait de les dissimuler le plus souvent possible aux yeux des gens du Bourg-Laid, qui étaient les seuls êtres intelligents qu’elle côtoyait.


Mais en présence de ses nouveaux amis, ce qu’elle considérait avant comme étant une infirmité ne la dérange plus, d’autant plus que parmi eux il y a une femelle qui est de la même race que celle qui l’a mise au monde. Les appas féminins de Níniel son petits, étant donné qu’elle se contente d’un modeste 65A, et du haut de ses 5 pieds ils apparaissent comme étant menus, surtout en comparaison de ceux des deux autres femelles qui ont été améliorés par les Dieux. Mais cela n’enlève rien à son charme, surtout avec ses gros tétons pointus aux larges aréoles, dont le rose clair ressort parfaitement sur sa peau pâle parsemée de taches de son, mais en moins grande proportion que sur son visage.


La fente de son connin qui est de la même teinte que les extrémités de sa poitrine est joufflue, parfaitement lisse comme ses aisselles, et une petite touffe de poils fauves de deux pouces de long, parfaitement délimitée et de la même nuance que sa chevelure, se trouve juste au-dessus. Ces particularités tout comme sa beauté éthérée lui viennent de son héritage elfique, ce qui fait qu’elle ne dépareille absolument pas des deux autres femelles de la Compagnie. Étant donné que tous les autres, une fois leur désir de jouissance assouvi se comportent de façon tout à fait naturelle malgré leur nudité, elle se sent en confiance. Comme la journée touche à sa fin, et que Colissimo ne se décide toujours pas à apparaître, ils décident se restaurer à nouveau dans le but de récupérer l’énergie qu’ils ont dépensée.


Ils mangent donc le fameux lapin aux carottes, et la jeune demi-elfe rougit cette fois de plaisir lorsque ses compagnons, Mella la première, la complimentent sur ses talents culinaires. Ensuite la demi-elfe demande à ses compagnes, tout en s’empourprant un peu plus :



Hermine lui répond :



Mella ajoute avec humour :



Cela les fait tous éclater de rire, et ils continuent à se régaler du plat mijoté en faisant un peu plus connaissance, puisque chacun raconte son histoire à la nouvelle membre de leur compagnie.




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Une fois que leur repas est terminé, la saucisse de Gardain se tend sans qu’il ait eu besoin de boire de la lapine raide, et l’os de Krill ne tarde pas à en faire autant. Les Zaventuriers se regardent alors légèrement indécis, puisqu’ils sont à présent en nombre impair, cependant les possibilités ne manquent pas, et l’humaine qui prend l’initiative ne tarde pas à répartir les rôles. Níniel gardera pour elle les deux mâles, tandis qu’avec l’elfe elles se feront un double broutage de Préry. La demi-elfe, va en rougissant une énième fois, mais sans hésiter se mettre à quatre pattes au milieu de la clairière, tandis que le barbare dont elle a déjà avalé sans problème le membre viril en entier malgré ses 6 pouces, décide de lui faire le Tube de Galipett tandis que Gardain lui administrera le fourrage du même nom. Les deux femelles restantes se mettent elles aussi en position, Hermine allongée, le dos sur la mousse qui tapisse le sol de la clairière, et Mella tête-bêche au-dessus d’elle. Bien que salivant un peu et ayant les yeux embués, la jeune potionneuse qui était encore niaise en début de journée parvient bravement à engloutir l’os du barbare. Elle réussit même à éprouver un certain plaisir, dû au fait d’en donner à celui dont elle s’est éprise.


Mais la véritable jouissance pour elle vient par derrière, alors que le nain fait coulisser sa saucisse dans le plus petit de ses trous, qui est devenu souple au point d’accepter sans dommages l’intrusion, et ce malgré l’absence de baume. Pendant ce temps-là, barde et la mage se régalent du nectar sécrété par leurs connins, tout en atteignant elles aussi peu à peu à la jouissance. Au moment où cela arrive, ils entendent une nouvelle fois retentir le Gong-Bong, sans qu’aucun d’eux ne puisse déterminer lequel a augmenté de niveau, vu qu’ils ont perdu le fils des actions multiples qui leur ont permis de progresser.


Étant donné que le messager des Dieux ne se décide toujours pas à apparaître, et à présent qu’ils sont tous repus, que ce soit au niveau de l’estomac comme du désir, après être allés tous ensemble faire un brin de toilette au ruisseau, ils vont prendre une bonne nuit de repos réparateur. Níniel décide alors de dormir avec les autres sous la tente elfique, ce qui est très bien accepté par ses nouveaux compagnons, et qui de toute façon deviendra leur quotidien lorsqu’ils reprendront le cours de leur quête dès la prochaine journée. Bien entendu Mella ne manque pas de jouer un petit air mélodieux avec sa flûte, dans le but de lancer un charme de répulsion autour de leur abri, et ensuite ils s’endorment allongés côte à côte dans leur abri de toile elfique.



À suivre…


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Présentation du monde et des personnages :


Les épisodes précédents :