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n° 17248Fiche technique18061 caractères18061
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Temps de lecture estimé : 13 mn
01/02/16
Résumé:  Les conséquences d'une vengeance.
Critères:  #historique #initiation fh ff couple fellation cunnilingu fgode pénétratio fsodo
Auteur : Bernard Nadette      Envoi mini-message

Série : Conflits

Chapitre 09 / 32
Les surprises du Vicomte

Résumé des épisodes précédents :


« Origines : attaque et prisonniers »

« La vie reprend : il faut s’adapter »

« La vie reprend : la curiosité peut révéler des choses  »

« La vie reprend : espoir de promotion »

« La vie reprend : Ennemis jusqu’où ? »

« Espoir de promotion - Croisée des chemins - À la cour du Roi »

« La déception pousse vers des voies étroites »

« Du côté des prisonniers »

« Du côté des prisonniers : Marion - Jacquotte »


La guerre fait rage à la suite d’un raid tanibrinque sur le port de Dorbauxe dans le royaume de Canfre. Le vice-amiral vicomte Charles de Sombreuil fait partie du Conseil du Roi. Il est l’amant de la marquise Anaïs de Pierrenoire. Sur instruction, il lui distille des renseignements sur ce qu’il s’y décide, la belle marquise les revendant à un agent tanibrinque. Cette « mission » le tient éloigné de celle après qui il soupire. Un jour énervé par son irruption alors qu’il désirait rester seul, il l’entraîne dans une écurie. De retour chez elle, ayant peu apprécié l’attitude de sa camériste, la marquise fait partager à icelle les nouveautés que le vicomte lui a fait découvrir.



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Comme l’heure en approche, la marquise prie le vicomte à dîner. Il accepte de bonne grâce, cela lui permet de glisser quelques indiscrétions stratégiques supplémentaires. À la demande d’Anaïs, c’est Marguerite qui doit s’occuper seule du service, et elle se montre exigeante, obligeant sa chambrière à de nombreux allers et retours et même à plusieurs descentes à la cave. Avec ce qu’elle a enfoncé dans le fondement, Marguerite aurait préféré un peu moins d’activité, mais petit à petit elle s’habitue à cette présence. Sans aller jusqu’à y prendre grand plaisir, elle finit par ne pas trouver la chose si désagréable. Quand le repas est achevé, la table débarrassée, Marguerite attend les ordres de sa patronne. Celle-ci l’interpelle :



Le vicomte intervient :



Marguerite ne se le fait pas dire deux fois. De devoir garder la nuit durant ce manche enfoncé entre les fesses ne la ravissait pas vraiment. En un rien de temps elle est nue. Elle se penche en avant et s’accoude sur la table. La marquise s’approche et défait le nœud sans trop de difficulté. Quand la mèche est déroulée, elle ne retire pas l’objet et se tourne vers Charles :



Sans lui laisser le temps de répondre, elle enchaîne :



Elle y va et y met du cœur. Elle se frotte l’entrejambe, dégage son bouton pour le titiller et s’enfonce parfois jusqu’à trois doigts dans la chatte. Sa patronne observe longuement, ne trouve rien à redire et commence à sortir le gode improvisé, avant de rentrer, de le tourner, de l’agiter, de le sortir et l’enfourner à nouveau. Après quelques minutes de ce traitement énergique, Anaïs voit sa bonne frémir et entend sa respiration s’accélérer. Elle pense qu’elle a assez fait durer, que sa bonne doit commencer à fatiguer et qu’il va être temps d’arrêter. À sa surprise, Marguerite qui s’astique toujours ardemment la moule, se met à onduler de la croupe et haleter bruyamment, lâchant de temps à autre un gémissement où visiblement la douleur ne point en rien. Ce que voyant, la marquise poursuit son ferme ramonage. L’autre finit, vibrant de tout son être, par prendre son pied en émettant un son de gorge profond des plus curieux. Anaïs retire alors le manche complètement. La domestique se redresse lentement, les jambes un peu molles et se retourne le visage rouge vers sa maîtresse qui lui dit :



Marguerite s’en empare, ramasse ses affaires et s’éclipse sans prendre le temps de se vêtir, comme si elle avait le feu aux fesses. Ce qu’elle a d’ailleurs. Madame de Pierrenoire glisse à Monsieur de Sombreuil :



La marquise qui n’en a éprouvé aucun, préfère changer de sujet. Son cul, suite au traitement de l’après-midi, la brûle encore. Elle ne veut pas risquer que son amant revienne y planter son dard. Elle se demande comment Marguerite a pu prendre du plaisir de la sorte. Après avoir conversé, de sujet moins brûlant, quelque temps encore, Charles prend congé.


Le lendemain, il va saluer l’amiral qui va rejoindre la flotte. Ce dernier lui propose de venir occuper sa loge à l’opéra pour la représentation du surlendemain. Charles qui apprécie la musique accepte avec chaleur.


Le premier acte va commencer, quand il entend quelqu’un s’installer derrière lui. Il se retourne pour se retrouver en face de Claire de Villerutay. Il va pour saluer. Elle tourne la tête en l’ignorant. Il se rassoit penaud. Il songe même un instant à se retirer. Il se ravise, la scène n’est pas passée inaperçue. Partir serait comme se reconnaître coupable et perdre la face. Durant le second acte, il sursaute presque en entendant Claire murmurer à son oreille :



Il obéit. Elle lui donne rendez-vous le lendemain soir dans l’hôtel de Villerutay et le modus operandi pour y parvenir. Quand l’opéra s’achève, la jeune femme part sans lui adresser un regard, le laissant perplexe. Le lendemain, le vice-amiral quitte son logement dans l’hôtel de la Marine pour rejoindre le passage que l’amiral a fait aménager avec son hôtel qui est mitoyen. Au débouché du couloir il est attendu par Perrine, la camériste de Claire, qui le conduit jusqu’à cette dernière qui l’attend le visage sévère. Avant qu’il ait pu la saluer, elle l’accueille avec un :



Ce dernier, qui ne peut rien révéler quant aux raisons de sa conduite, est au supplice. Il ne sait que dire et bredouille quelques mots incompréhensibles. Charles baisse la tête, accablé. Elle enchaîne :



De plus en plus ahuri, il a du mal à ordonner ses idées :



Cela, il ne peut pas le dire. Si Claire est une charmante jeune femme fort bien faite, à la taille bien tournée, aux fins cheveux châtains, au teint éblouissant, aux yeux couleur huître, elle a un solide bon sens et si elle se montre hardie, elle le fait de manière réfléchie et non point téméraire. De plus Charles doit bien avouer que la demoiselle manie fort bien l’épée et tire au moins aussi bien que lui avec les armes à feu. Il n’aurait jamais pensé que l’amiral autorise sa fille à ce genre d’exercice. Cela l’avait surpris, mais avait contribué à son attirance pour elle.



Ce disant elle se lève et fait glisser sa robe d’intérieur pour apparaître en tenue d’Ève.



Comme Charles reste abasourdi, Claire s’approche à le toucher. Quand il sent ses seins contre sa poitrine, il réagit enfin. Il l’embrasse avant d’entreprendre de se dévêtir. Tandis qu’il retire veste et chemise, elle s’agenouille et s’attaque à la culotte. Quand elle a dégagé la partie de l’anatomie du subordonné de son père qui présentement l’intéresse, celle-ci est à demi dressée. Se trouvant à bonne hauteur, elle s’en empare et l’embrasse. Voyant que, sous l’effet de petits bisous, cela se lève rapidement, elle poursuit. Petits bisous deviennent gros et insistants. Elle finit par coller ses lèvres au gland et se met à le flatter de la langue, et tout naturellement poursuit en l’accueillant dans sa bouche de plus en plus profondément au grès de ses navettes le long de la hampe.


Bien qu’ayant fini d’ôter le haut il la laisse un moment œuvrer avant de la relever. Il finit de retirer le bas et l’entraîne ou la suit vers le lit, on ne sait trop. Elle s’y laisse choir jambes pendantes. Il la rejoint sur le lit. Ils se perdent dans un nouveau baiser, durant lequel il flatte la poitrine de son amie. Quand leurs bouches se séparent, il va embrasser les seins palpitants. Les attaches d’abord, puis il se rapproche progressivement des pointes, les suce, les mordille, s’y attarde quelque peu, avant de descendre doucement vers le ventre pour arriver au mont de Vénus et finir sur la vulve. Il disjoint les genoux de Claire, exposant sa féminité.


La jeune femme, d’avoir son intimité ainsi offerte pour la première fois, ressent un mélange d’excitation et de délicieuse gêne. C’est la satisfaction qui l’emporte quand Charles décolle ses lèvres de la langue et va débusquer le bouton sensible qu’elle a si souvent cajolé en pensant à lui. Aujourd’hui, c’est lui qui s’en occupe et c’est… hum… délicieux. Il sait s’y prendre. Une pointe de jalousie l’effleure en pensant que c’est avec la marquise qu’il a dû se perfectionner, mais après tout, peu lui importe, puisque présentement c’est elle qui profite de ce talent. Son corps est embrasé.


De son côté, malgré les déclarations et le prompt dénudement de Claire, il est émerveillé de la voir, elle, encore vierge, si réceptive. Ses lèvres quittent le délicieux conin. Il passe sur elle et guide sa queue vers ce que sa bouche vient de délaisser. Quand sa chatte est abandonnée par la langue diabolique, la jeune femme émet un grognement de protestation, que Charles interrompt d’un baiser, mais surtout en insinuant son vit dans le con de Claire. Icelle répond au baiser et ouvre, si cela est possible, encore plus les cuisses. Bien que ce soit une première, la pénétration est aisée. Charles s’enfonce, avec ravissement, dans la chatte palpitante. Il sent une résistance, mais poursuit. L’obstacle est emporté sans difficulté. Le dépucelage n’atténue en rien les ardeurs de la fille de l’amiral, au contraire. Elle s’agrippe à son amant et son corps ondule sous l’abordage, avant de se détendre quand elle jouit. Charles se retire de la grotte d’amour et se répand sur le ventre repu. Il s’allonge au côté de Claire. Celle-ci descend de son nuage de plaisir, embrasse Charles et regarde son sexe maculé d’un mélange de cyprine et d’un peu de sang. Elle se redresse et appelle :



La porte s’ouvre presque instantanément et la camériste apparaît avant qu’il n’ait eu le temps de se couvrir. Décidément, après la bonne de la marquise, voilà que c’est celle de Claire qui le voit dans le plus simple appareil. En la regardant approcher, il se rend compte qu’elle a le visage empourpré et le regard brillant et ce n’est pas dû qu’aux chandelles. La coquine n’a pas perdu une miette de ce qui vient de se passer :



Moins de deux minutes plus tard, Perrine revient avec des serviettes et un seau fumant. Tout devait avoir été prévu. Elle verse l’eau dans une bassine.



À peine la bonne le dos tourné, Claire prend Charles par le sexe et l’entraîne :



Il la suit. Elle procède à la toilette de Charles. Il lui rend la pareille, avant qu’il regagne le lit. Il recommence à l’embrasser et la caresser. Il va pour la pénétrer de nouveau, mais elle l’arrête :



Il la regarde, interrogatif :



Elle se hoche de la tête, hésitant visiblement.



Le vicomte renonce à discuter plus avant. Ce que femme veut…. Et puis, par Dieu, si cela se révèle déplaisant, elle ne pourra s’en prendre qu’à elle. Il prend le pot et l’ouvre. Il contient de la crème parfumée qui paraît tout à fait adéquate pour l’usage considéré. Il revient près d’elle. Ils s’embrassent. Il la prie de se mettre à quatre pattes, d’écarter les jambes et de se cambrer.


Point n’est nécessaire de répéter, à peine a-t-il fini sa phrase qu’elle est déjà en position en précisant qu’elle a pris lavement pour nettoyer l’endroit. Charles pense que, décidément, Claire n’a rien laissé au hasard. Cette charmante demoiselle mène la barque et n’entend point dévier de la route qu’elle a choisie.


Il prend de la crème avec les doigts et oint l’anus de la belle. Il répète l’opération plusieurs fois en massant la rondelle. Il pense à la marquise et Marguerite et recommande à Claire de se caresser. De nouveau elle obtempère avec célérité. Pendant qu’elle se stimule, si tant est qu’elle en ait besoin, il en profite pour enduire sa queue. Cela fait, il revient s’occuper du petit trou. Il le caresse, le titille, y introduit un puis deux doigts qu’il tourne et vrille, sans que cela rompe le rythme des doigts de la jeune femme se paluchant. Jugeant le terrain suffisamment préparé. Monsieur le vice-amiral pointe sa verge, l’ajuste, saisit la taille de la fille de son chef et pousse doucement.


Nulle protestation, la voie s’ouvre sans résistance. Sa queue s’enfonce de plus en plus profondément jusqu’à complètement disparaître dans le fondement de la donzelle. Icelle réagit à cette incursion en se cambrant encore plus et en tendant les fesses. Elle a tout englouti sans embarras. Il n’y a pas à dire, elle a des dispositions à jouer la bête à deux dos. Aucun de ses deux pucelages n’a présenté d’opposition ni occasionné de tourment à être enlevés. Charles commence le va-et-vient, Claire gronde de contentement. Tout en continuant à se doigter, elle va à la rencontre du pal qui la transperce. Elle prie et même supplie Charles d’y aller plus fort. Il satisfait à cette adjuration, d’abord prudemment puis, voyant la fougue de sa dulcinée, de plus en plus énergiquement, pour finir par lui bourrer le cul sans retenue. Elle apprécie et prend son pied sous ce traitement de choc.


Après un moment d’accalmie dans le feu qui la consume, sentant Charles toujours raide, mais figé, elle lui intime de reprendre. Il se remet à l’ouvrage, laboure avec la même vigueur que ci-devant l’étroit conduit. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, de nouveau une onde de jouissance la secoue. La seule différence, c’est que cette fois-ci, le secours de ses doigts n’a point été nécessaire. Charles se vide pour la seconde fois.


Claire Jubile. Pour un coup d’essai, c’est un coup de maître. Elle n’est pas loin de penser que toutes les mises en garde et autres avertissements annonçant le pire, ne sont que balivernes énoncées par des rabat-joie. Pourtant certains ont été dispensés par des amies qui parlaient d’expérience. Peut-être n’en avaient-elles pas envie comme elle. Elle désirait tant ce moment que ce ne pouvait être que merveilleux. Quant à Charles, il est étonné et plus encore ravi, de l’aisance avec laquelle s’est déroulée cette double première. Il s’y mêle une sorte de crainte en voyant la quasi-frénésie que sa partenaire met à se faire tringler en ce jour où elle ne fait qu’inaugurer sa sexualité. Que donnera sa libido par la suite ?