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n° 18802Fiche technique40119 caractères40119
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Temps de lecture estimé : 22 mn
27/01/19
corrigé 06/06/21
Résumé:  Les Zaventuriers reprennent le cours de leur quête,ils arrivent dans une lande située entre les Bois Sombres et les Montagnes Rocheuses, et ils partent en direction de l'Est.
Critères:  grp forêt fellation fsodo échange aventure merveilleu sorcelleri -contes
Auteur : Fantasmatique            Envoi mini-message

Série : Le Sceptre du Tocard

Chapitre 12 / 19
Un culte divin

Résumé du chapitre précédent : (voir les liens en fin de récit)


Les Zaventuriers sont à présent au nombre de cinq, et ils se préparent dans le but de poursuivre leur quête.




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Le Sceptre du Tocard




Chapitre 11 : Un culte divin




Les Zaventuriers quittent la clairière de Níniel en empruntant le sentier qui se dirige vers l’est, et qui longe le ruisseau. La jeune demi-elfe se rend compte assez rapidement que marcher avec les talons-stylets hauts de 4 pouces est assez facile, grâce à leur charme équilibrant qui lui donne une grande stabilité. De plus, elle trouve ses nouvelles cuissardes plus confortables que celles qu’elle portait jusqu’à présent. C’est cette fois encore Mella qui a pris la tête du groupe, suivie de l’ensorceleuse qui connaît la forêt.


Viennent ensuite Hermine et Gardain, qui n’a pas protesté sur l’ordre dans lequel ils devaient avancer, et Krill ferme la marche. Au bout d’environ une lieue, le cours d’eau décrit une courbe pour aller vers le nord, et l’étroit chemin en fait autant. Ils profitent de trouver une petite clairière encore une lieue plus loin, pour s’y arrêter dans le but de se restaurer, estimant bien qu’ils ne voient pas le soleil que c’est à peu près la mi-journée. Après cette pause qui dure environ une heure, ils reprennent leur avancée, et c’est au bout cette fois de quatre lieues qu’ils arrivent à la lisière des Bois Sombres. Devant eux s’étend un espace dégagé et vallonné profond d’environ cinq lieues, qui monte en pente douce vers les Montagnes Rocheuses.


Aucun être vivant plus gros que des mulots ne semble peupler cette lande de terre, bien que la forêt derrière eux regorge d’oiseaux et d’écureuils. Mais il est vrai que ces derniers, perchés sur leurs arbres, n’ont rien à craindre des prédateurs, qu’ils aient quatre ou deux pattes, contrairement à ceux qui sont obligés de rester au sol. Étant donné que la chaude est encore loin de disparaître à l’horizon, les compagnons doivent alors décider s’ils vont s’aventurer en terrain découvert ou attendre le lendemain. C’est cette deuxième option qui l’emporte à l’unanimité, vu qu’ils pensent tous que le mieux est de rester prudents, et de ne repartir qu’à l’aube de la journée suivante, et ainsi avoir le temps de parcourir une bonne distance. La luminosité à ce moment-là ne pourra que s’accroître, de cette façon même s’ils ne seront pas à l’abri d’une attaque au moins ils verront leurs assaillants venir de loin, et par conséquent, ils auront le temps de se préparer. Ils choisissent donc de bivouaquer, et Mella installe sa tente à une vingtaine de pas du sentier, mais aussi à une autre cinquantaine de pas de la lisière.


Ses connaissances sylvestres lui ont en effet permis de trouver sans hésitation un espace dégagé dans les bois, les Zaventuriers ont donc pu s’y enfoncer, et ils se trouvent être parfaitement invisibles depuis les collines environnantes. Cela n’empêche pas la barde de lancer dès à présent son charme de faible répulsion, prenant le risque minime que sa musique soit entendue par des oreilles inamicales.




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C’est pendant qu’ils se restaurent sans avoir osé faire de feu, mais après s’être tous mis nus de façon assez naturelle dans le but d’être à leurs aises, que le nain demande à son amie elfe :



Elle lui répond amusée :



Le plus petit des guerriers est toujours sceptique, mais la dernière venue dans leur Compagnie intervient de sa voix veloutée :



Le nain est à présent convaincu, puisqu’il a la certitude que la jeune ensorceleuse ignore ce qu’est le mensonge, contrairement à la barde qui a déjà prouvé qu’elle était capable d’espièglerie. C’est pour cette raison qu’il n’insiste pas, et ils continuent de manger en silence. Malgré qu’ils sachent que le danger pourrait ne pas être loin, surtout tenant compte du fait que les gobelins sont des êtres qui aiment roder la nuit en quête de proies faciles, le calme paisible qui règne dans la clairière fait que l’ambiance est assez détendue. Cependant Gardain est sur ses gardes, et il demande à Níniel :





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Elle est visiblement peinée de leur raconter cette triste histoire, et ses compagnons se taisent un moment en signe de compassion, puis Hermine demande à Gardain :



Ce dernier, qui a posé son bras sur les épaules de Níniel dans le but de la réconforter, leur explique :



Son vocabulaire s’est visiblement enrichi, ce qui est non seulement dû au fait qu’il côtoie depuis maintenant une douzaine de journées des êtres plus civilisés que lui, mais aussi parce que son intelligence a été modifiée au cours de sa dernière ascension. Cependant, ce qui attendrit ses compagnons ce n’est pas ses souvenirs en matière de chasse aux êtres malfaisants, mais plutôt son attitude très protectrice vis-à-vis de celle dont il s’est épris. Cela a le don d’alléger à nouveau l’ambiance qui s’était appesantie.


Alors qu’ils ont fini de se restaurer, l’os de Krill prend peu à peu du volume pour finir par être bandé, très certainement parce que Níniel est innocemment restée collée contre lui, et que la peau douce et chaude de cette dernière le stimule. Lorsqu’elle se rend compte de son état, la demi-elfe va se mettre à quatre pattes tout en rougissant légèrement, ce qui fait pendre ses lourds appas féminins, et le barbare vient se placer à genoux derrière elle. Il l’attrape ensuite délicatement par la taille, avant de poser le bout de son membre viril contre le plus petit de ses trous, et de l’enfoncer en elle.


Tandis qu’ils commencent à se mouvoir tous les deux dans le but de se rapprocher puis de s’éloigner l’un de l’autre, sans dire un mot Mella va s’allonger le dos sur la mousse qui tapisse la clairière, en pliant et en écartant les jambes. Hermine réagit la première, elle vient se mettre au-dessus de son amie tête-bêche, et elles entreprennent de se lécher mutuellement le connin en se régalant du nectar qu’ils produisent. Gardain reste seul, légèrement dépité étant donné que sa saucisse est elle aussi devenue raide, mais la jeune mage lui dit entre deux coups de langue :



Il va donc sans se faire prier se mettre en position, tandis que la demi-elfe et le barbare ont peu à peu augmenté leur cadence, ce qui fait se balancer les tétins de la femelle. Cependant, elle fait attention à ce que le bout de l’os de son mâle ne ressorte pas de son étroit fourreau. Le nain pour sa part commence à s’activer, mais en allant doucement pour ne pas déranger ses deux compagnes, qui continuent à s’administrer un double Broutage de Préry. C’est en toute logique Krill et Níniel qui arrivent les premiers, mais en même temps à la jouissance, et le jeune mâle se vide dans les entrailles de sa femelle en grognant, tandis qu’elle pousse un gémissement étouffé afin de ne pas révéler leur présence de trop loin. Ils sont suivis un petit moment plus tard par Gardain et Hermine, qui fait preuve d’autant de retenue malgré le plaisir intense qu’elle éprouve à cet instant.


Peu de temps après, avec Mella, elles achèvent leur quête parallèle, ce qui procure à l’humaine une seconde fois le plaisir ultime, mais elles font preuve elles aussi de discrétion. Ils vont ensuite ensemble vers le sentier dans le but de faire un brin de toilette au ruisseau, mais bien que restant nus, ils emmènent avec eux leurs armes. Lorsqu’ils ont terminé de se décrasser, ils retournent dans la clairière où se trouve la tente elfique, dans laquelle ils entrent avec toutes leurs affaires. Ils ne prennent pas la peine d’organiser des tours de garde, puisqu’ils sont à présent tous convaincus que les peaux-vertes ne viendront pas jusqu’à eux. Seuls des loups ou éventuellement un ours, qu’ils soient géants ou pas, pourraient venir troubler leur sommeil, mais non seulement ils seraient alertés par le charme de répulsion et par l’anneau de détection de la barde, mais en plus ils savent que leur abri est assez solide pour résister à des coups de griffes ou de crocs.




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Après une nuit passée sans incident, Krill se réveille à l’aube d’une nouvelle journée, et il sort de la tente en prenant avec lui son épée à deux mains. Cependant, il se rend compte assez rapidement que rien ni personne n’est venu rôder près de leur campement. Alors qu’il est en train de se vider la vessie, Mella vient le rejoindre, et tandis qu’elle se soulage elle aussi après s’être mise accroupie, et alors que son urine gicle, elle lui demande :



Même si elle avait une idée derrière la tête, l’elfe est attendrie par le fait que le guerrier veut rester fidèle à sa manière à celle dont il s’est épris. C’est pour cette raison qu’elle n’insiste pas, et qu’elle se relève après avoir terminé d’arroser la mousse de la petite clairière. Mais c’est à ce moment-là que l’ensorceleuse sort à son tour de leur abri, et la barde en profite pour relancer la conversation tandis que son amie prend la même position qu’elle un peu plus tôt, dans le but de se vider comme ses compagnons l’ont fait avant elle. Mella lui dit :



Alors qu’elle n’avait pas rougi du fait d’avoir écarté les cuisses devant eux, et que se soulager lui avait paru cette fois naturel puisque son urine s’était mise à gicler sans aucune hésitation de sa part, l’ensorceleuse devient de la même teinte qu’une pivoine, et elle demande en bafouillant :



Níniel est toujours écarlate, mais elle répond cette fois sans hésiter :



Mella sourit en entendant cela, convaincue que son amie tient sa tolérance de son héritage elfique beaucoup plus que de sa part d’humanité, puisque c’est dans la philosophie du peuple de la forêt de se mélanger aux autres, avant de rentrer chez soi avec son compagnon du moment. Il est bon, je pense, de préciser que si les elfes des bois bien que très libres dans leurs mœurs partagent leur logis avec un seul partenaire, auxquels ils sont fidèles au niveau du cœur à défaut de l’être avec leurs corps, ils en changent en moyenne six fois dans leur vie. Autrement dit environ toutes les cent récoltes, à partir du moment où ils sont arrivés à l’âge adulte. En effet, rares sont ceux qui passent leur vie entière ensemble, puisque vous conviendrez que passer six cents récoltes avec la même personne, qu’elle soit mâle ou femelle, doit à la longue devenir lassant même si l’harmonie règne dans le foyer.




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Mais pour le moment l’os de Krill, qui a compris que son Antilope des Bois vient de lui donner la permission de niquer les autres femelles de leur Compagnie, quand il le voudra et comme il le voudra, se met à gonfler jusqu’à atteindre la taille de six pouces. Mella qui considère elle aussi que la cohésion de leur groupe passe par le partage, dit à Níniel :



La demi-elfe lui obéit, l’elfe vient ensuite se placer à quatre pattes sur elle, et avant qu’elles ne débutent un double Broutage de Préry, cette dernière ajoute pour le barbare :



Et tandis qu’il s’exécute, les deux femelles entreprennent de se lécher mutuellement le connin. Ils ont commencé leur quête de jouissance depuis à peine une minute, lorsque Hermine et Gardain arrivent à leur tour, et la barde dit à la mage :



Son amie ne se fait pas prier, elle vient se placer à quatre pattes face à elle, sa joue collée à la sienne, et elles se mettent à deux pour laper le jus que sécrète le connin de leur compagne. La saucisse de Gardain devient rapidement bandée elle aussi, et il n’a pas besoin d’invitation pour aller se placer derrière l’humaine, et enfoncer son membre viril dans son Antre de Cemenss(1). Pour la première fois, ils sont unis tous les cinq dans le but de se procurer le plaisir ultime, au point que si Hermine avait sa baguette de téléportation et qu’elle prononçait l’incantation adéquate, ils se retrouveraient transportés instantanément au même endroit. Bien entendu les deux mâles font preuve de retenue, dans le but de ne pas déranger les femelles dans leurs broutages, et c’est tranquillement, mais sûrement qu’ils parviennent tous à la jouissance. Krill y arrive le premier en grognant comme à son habitude de satisfaction, emmenant avec lui Níniel dans la volupté, puis Gardain et Hermine les rejoignent.


Tandis que les deux mâles se retirent de la partie les femelles continuent, la barde et l’ensorceleuse atteignent ensuite le plaisir ultime sous l’effet des langues agiles, et la seconde pour la deuxième fois. C’est à ce moment-là qu’ils entendent tous retentir le Gong-Bong, sans savoir lequel d’entre eux a provoqué le bruit sourd et étouffé. Cependant le divin messager n’apparaît pas. Par conséquent, après que Mella ait joué un air mélodieux avec sa flûte dans le but d’administrer aux trois femelles du groupe un charme de beauté-instantanée, les compagnons lèvent le camp bien entendu après avoir pris un léger repas matinal.




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Lorsqu’ils sont tous prêts, ils retournent à la lisière des Bois Sombres, et ils longent la forêt en direction de l’est, en surveillant sur leur gauche étant donné que si un problème doit survenir, il y a de fortes chances pour qu’il arrive de cette direction. Néanmoins ils ne sont pas inquiets étant donné que la vue est dégagée, et que quoi qui puisse surgir, ils auront soit le temps de s’y préparer pour y faire face, soit celui de s’enfuir sous le couvert des arbres s’ils se rendent compte qu’ils ont affaire à trop forte partie. Ils adoptent une nouvelle formation pour avancer, c’est à dire que si Mella reste en tête son arc à portée de main, et que Níniel et Hermine la suivent toujours, les deux guerriers Krill devant se placent sur le flanc gauche des femelles. De cette façon, le barbare peut cheminer côte à côte avec la demi-elfe. Cependant rien ne se passe, ils font une courte pause à la mi-journée pour se restaurer sans prendre la peine de se cacher, et lorsque la chaude commence à pointer de plus en plus vers l’ouest, Mella se met à écouter la brise dans les arbres, afin de trouver un espace dégagé dans la forêt pour qu’ils puissent y installer leur tente. Cela lui prend un petit moment tandis qu’ils continuent à avancer, étant donné qu’il faut que la clairière soit à la fois assez grande et suffisamment éloignée de la lisière. Néanmoins, elle finit par découvrir l’endroit idéal bien avant qu’il ne fasse nuit.


Ils pénètrent donc dans les Bois Sombres satisfaits, puisqu’ils ont parcouru environ huit lieues depuis leur départ, et qu’à ce rythme-là ils estiment qu’il leur faudra encore environ cinq journées pour atteindre le bourg de Port-Seulet. Lorsqu’ils arrivent dans une trouée deux fois plus grande que celle dans laquelle ils ont dormi la nuit précédente, Gardain installe leur tente, et les compagnons sont surpris lorsque Níniel sort également de son sac à dos celle qu’elle a emmenée avec elle, et qu’elle la place dans le prolongement de la première. Cela n’a en soit rien d’extraordinaire puisqu’elles ont des dimensions identiques, mais ce qui l’est c’est qu’une fois que les rabats qui servent à entrer et sortir en se soulevant viennent au contact les uns des autres, le double abri semble totalement hermétique et aussi solide que s’il n’y en avait qu’un.


Ensuite ils se restaurent à nouveau sans faire de feu, et lorsqu’ils ont terminé c’est sans surprise que l’os de Krill et la saucisse de Gardain se dressent, pour atteindre leurs longueurs optimales de six pouces. La jeune barde lance alors son charme de répulsion avec sa flûte, tandis que les autres attendent patiemment en écoutant sa musique mélodieuse. Ensuite ils doivent s’organiser pour atteindre la quête de jouissance, conscients que le fait d’y arriver tous ensemble soudera un peu plus leur Compagnie, au sens propre comme au figuré du terme. Mella prend tout naturellement la direction des opérations, et personne ne lui conteste ce droit sans doute à cause de sa qualité de doyenne du groupe. La jeune elfe décide donc de reproduire la même figure qu’à l’aube, mais en changeant le positionnement, puisque c’est cette fois Hermine qui se couche le dos sur la mousse, et qu’elle se met à quatre pattes au-dessus d’elle pour qu’elles puissent se faire un double broutage de Préry. Níniel vient alors à son aide en collant sa joue contre la sienne, alors que Krill fait la Promesse De Cemenss à cette dernière, et Gardain un Fourrage de Galipett à son amie elfe. Ils arrivent tous à la jouissance soit en même temps soit avec un léger décalage, et c’est à ce moment-là qu’ils entendent à nouveau le Gong-Bong retentir plusieurs fois. Cependant le divin messager ne se décide toujours pas à les honorer de sa présence. Comme ils n’ont pas d’eau pour faire leur toilette, ils vont alors directement dans la grande tente, dans le but de passer une bonne nuit de repos, sans comme la nuit précédente prendre la peine d’organiser des tours de garde.




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À l’aube, ils ressortent les uns après les autres de leur abri de toile, et cette fois encore rien ni personne n’est venu troubler leur sommeil ni rôder autour de leur campement. Pour bien commencer cette nouvelle journée, ils décident de partir en quête de jouissance, et c’est Mella qui s’allonge à son tour le dos sur la mousse, tandis que Níniel se place à quatre pattes sur elle, et que Gardain entreprend de faire la Promesse De Cemenss à cette dernière. L’humaine vient ensuite aider la demi-elfe, et elles se mettent à deux pour faire un Broutage De Préry à la barde, qui rend la politesse à l’ensorceleuse. La mage quant à elle reçoit un Fourrage de Galipett qui lui est administré par le barbare, puisqu’il est bien entendu venu rejoindre ses compagnons. C’est lorsqu’ils arrivent au plaisir ultime que le Gong-Bong retentit à nouveau, et Gardain en se redressant le membre encore raide, demande à ses compagnons :



À ce moment-là ,Colissimo apparaît en les faisant tous sursauter, et c’est lui qui répond :



Alors qu’ils se redressent tous pour s’assembler en demi-cercle autour du messager, ce dernier continue :



À ce moment-là apparaissent aux pieds de Gardain deux paquets faits de l’étoffe habituelle, cependant ils ne le font pas sursauter et cela fait tiquer le dieu mineur.



Colissimo tend alors le bras pour placer sa main trois pouces au-dessus de la tête du nain, qui ouvre de grands yeux ébahis en raison de la richesse des présents, mais le divin messager continue cette fois imperturbable :



À ce moment-là Gardain devient plus attirant, et aucun de ses compagnons peut-être mis à part Krill, n’a de doutes au sujet qu’il a augmenté son charisme et son intelligence, dans le but d’effectuer de meilleures négociations. Il a d’ailleurs l’air très satisfait de lui, mais Colissimo douche son enthousiasme en lui disant :





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Le nain rougit sous l’affront, cependant, conscient qu’il a affaire à un immortel il contient sa colère, et ce dernier continue visiblement content de la pique qu’il vient de lancer :



La cambrure de reins de la mage augmente un peu plus alors que son bassin s’élargit, rendant sa taille en apparence encore plus fine. Sa silhouette s’en trouve par conséquent embellie, mais rien d’autre ne se produit. Cependant, Colissimo qui tout comme elle a compris ce qui vient de se passer, lui dit :





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Tandis que Gardain s’empourpre à nouveau, le divin messager encore plus satisfait par ce nouveau trait acide, poursuit tout en grandissant jusqu’à atteindre la taille de 6 pieds 3 pouces :



Comme la fois précédente rien ne se passe en apparence, mais Krill sourit en se tournant vers Níniel, et il lui dit :



L’ensorceleuse devient écarlate, à la fois de fierté et de la confusion due au fait qu’elle est devenue le centre de l’attention générale, et Colissimo conclut :





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Le divin messager se tourne ensuite vers Mella tandis qu’il retrouve sa taille habituelle, avant de continuer :



Il tend ensuite son bras, afin de placer sa main à plat trois pouces au-dessus de la tête de l’elfe, avant de prononcer les phrases rituelles :



Alors les reins de Mella se cambrent un peu plus tandis que son bassin s’élargit légèrement, rendant sa taille en apparence encore plus fine, ce qui donne lui donne à elle aussi une silhouette encore plus attirante, d’autant plus que son charisme s’est également trouvé accentué. Cependant rien de plus ne survient, et Colissimo lui dit :



La jeune elfe absolument pas vexée, lui répond après avoir souri :





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Le messager lui sourit en retour, avant de se tourner vers l’ensorceleuse qui rougit à nouveau, n’ayant pas encore l’habitude de se retrouver dévêtue en présence d’étrangers, fussent-ils divins. Il lui dit :



À cet instant la chute de reins de la demi-elfe se cambre légèrement tandis que ses hanches s’élargissent, rendant sa taille à elle aussi encore plus fine en apparence, mais c’est la seule chose à être modifiée en ce qui concerne son physique, mis à part sa beauté qui s’est accrue grâce au charisme acquis. Colissimo sourit à nouveau, avant de dire :



Tandis que Níniel devient de la même couleur qu’une pivoine, le divin messager disparaît comme il est apparu, c’est à dire en faisant sursauter les Zaventuriers.



À suivre…



Note :

1) Antre de Cemenss : autre nom donné au connin, ou encore au vagin.


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Présentation du monde et des personnages :


Les épisodes précédents :