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Moyenne des notations = 14.946. Ecart Type = 3.252. Elle est basée sur 1876 notes. Au total 2180 appréciations. |
N° Date |
Titre, auteur(e), série | Nb car | Not | Commentaires | Moy |
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23120 (04/06/25) |
dn Partie 2 : Les Ombres du passé Héritage de sang (2) |
41513 | L’univers est riche, la plume est immersive… mais certains passages, particulièrement violents et non consentis, m’ont mis très mal à l’aise. Le texte franchit une ligne difficile à défendre, même dans un contexte fantastique. Par ailleurs, quelques redites, parfois (souvent) mot pour mot, affaiblissent et nuisent au rythme. C'est dommage. | ++++ ![]() |
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23119 (03/06/25) |
ne K.O, en une heure à peine, tu m'as mise K.O Une chanson, une histoire (0) |
17462 | Une claque bien sentie, comme une scène de théâtre où l’héroïne refuse de sombrer. De la colère, de la dignité, et juste ce qu’il faut de mordant pour qu’on applaudisse Maude jusqu’au rideau. Et puis franchement… Fabrice ? Il peut garder sa marinière. | ++++ ![]() |
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23118 (03/06/25) |
ne Dudule le vagabond Une chanson, une histoire (0) |
10289 | C’est paillard, c’est tendre, c’est drôle, c’est trash sans être vulgaire. Une balade entre chanson coquine et errance sentimentale, avec un Dudule attachant comme pas deux. J’ai ri, j’ai soupiré, et je suis prêt à reprendre en chœur. Et dire que tu ne veux pas filer le lien à ton frère… quel gâchis ! | ++++ ![]() |
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23117 (03/06/25) |
co Laurette Une chanson, une histoire (0) |
24147 | On est venu pour une chanson de Delpech, on repart avec une leçon de vie, une initiation, et un petit pincement au cœur. Laurette, c’est plus qu’un café : c’est une madeleine trempée dans un smoothie maison. Touchant, bien mené, parfois un poil long, mais l’émotion est au rendez-vous. Merci pour le voyage ! | ++++ ![]() |
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23115 (02/06/25) |
fh Soirée d’été – Sara au beau tatouage |
14154 | Très bon - 16 | Une jolie ambiance d’été, des personnages crédibles, et une montée du désir bien menée. On sent que l’auteur s’amuse avec le trio, et nous aussi. Cela dit, quelques lourdeurs descriptives freinent parfois l’élan, et certains passages gagneraient à plus de suggestion. Mais l’ensemble reste chaud, doux, et efficace. Sara a bien mérité son tatouage… et sa nuit blanche ! | ++++ |
23114 (02/06/25) |
dn Partie 1 : Une Vampire qui s'ennuie Héritage de sang (1) |
43506 | Très bon - 16 | Sérène est un sacré morceau : punk, vampire, blasée et franchement jouissive à suivre. L’univers pue la rouille, le sang et le cuir, et c’est un régal. Un poil trop de "seins tressaillants", de "cuisses musclées", de descriptions anatomiques répétées qui finissent par lasser, voire réduisent l’impact érotique, mais l’humour noir et l’ambiance poisseuse compensent largement. Mention spéciale au chat Rusty (RIP). On veut la suite, et vite – avant que Sérène ne s’ennuie pour de bon… et nous avec ! | ++++ ![]() |
23113 (01/06/25) |
ne Oh ! Dis-moi ! Une chanson, une histoire (0) |
11455 | J’ai glissé avec Delphine entre deux cognacs et une larme, bercé par la voix d’un inconnu presque trop lucide pour être vrai. Un joli moment suspendu, entre fête gâchée et début de possible. Et puis, sacré Ethan… il a le sens du timing et du tact, ce gars-là ! | ++++ ![]() |
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23112 (01/06/25) |
ne Elaeudanla Téïtéïa Une chanson, une histoire (0) |
13420 | Magnifique ! C’est beau, c’est flou, c’est magique. | ++++ ![]() |
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23111 (01/06/25) |
me Merde in France Une chanson, une histoire (0) |
6960 | Le fond est plus un prétexte qu’un récit : une femme (supposément) ivre, larguée, en rage contre l’anglais, l’amour et les mots. Le propos est plus pulsionnel que construit, mais il touche quelque chose d’authentique : le délire de l’abandon, le sabordage linguistique comme réponse à la perte, la colère qui se dilue dans la vodka (ou le thé, ou le whisky, ou... bref). On est plus dans l’état que dans la narration. | ++++ ![]() |
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23110 (31/05/25) |
co Albert suivi de Discrète |
10986 | Très bon - 16 | Deux textes ciselés, à la plume vive, ironique, cultivée. On savoure l’élégance du verbe et le recul amusé sur les mondes explorés. Un brin d’autosatisfaction parfois (c’est le jeu !), et un érotisme qui frôle plus qu’il n’enflamme. L’émotion reste contenue, l’intellect en embuscade. Mais quelle personnalité dans l’écriture ! | ++++ |
23109 (31/05/25) |
ne Le prix de l’Humanité |
20696 | Excellent - 18 | Une fable puissante, poétique et lumineuse, qui revisite le mythe avec grâce et intelligence. L’écriture est fluide, les idées profondes, les émotions justes. J’aurais aimé mettre 19 — vraiment — mais le site ne le permet pas. Pour moi, c’est quasi parfait. Seul un léger creux de rythme vers la "fusion" freine un instant la magie. Mais quelle maîtrise… et quel souffle. | ++++ |
23107 (30/05/25) |
ne Le dernier tango Une chanson, une histoire (0) |
8636 | Un texte aussi élégant qu’un pas de tango bien mené, qui serre le cœur sans jamais l’écraser. On suit Marcia dans son dernier éclat avec émotion. | ++++ ![]() |
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23106 (30/05/25) |
co L'été Une chanson, une histoire (0) |
7066 | Une échappée sensuelle et brûlante, comme une chanson d’été qu’on fredonne longtemps après le dernier rayon de soleil. On se laisse volontiers happer par cette passion torride et ce parfum d’irréel. Dommage que le ton reste un peu trop appuyé par moments, là où une touche de légèreté ou de mystère aurait pu donner plus de relief à cette belle parenthèse enfiévrée. | ++++ ![]() |
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23105 (30/05/25) |
co Pale blue eyes Une chanson, une histoire (0) |
22324 | Un trip littéraire à la fois flingué et poétique, comme un solo de guitare sous acide dans un loft sans fenêtres. Bravo pour ce shoot d’émotions et de références ! | ++++ ![]() |
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23104 (29/05/25) |
co J’étais banc, et je savais Confessions assises (0) |
7394 | Très bon - 16 | Un banc qui parle mieux que bien des psychanalystes, et qui a plus de fesses à son actif que le canapé de Freud ! C’est drôle, fin, parfois touchant, souvent jouissif (au propre comme au figuré). On s’assoit, on lit, et on repart un peu plus léger. Bravo pour ce texte aussi grinçant qu’humaniste. | ++++ ![]() |
23101 (28/05/25) |
fh Au clair de la lune Une chanson, une histoire (0) |
4115 | Un joli détournement de comptine qui joue avec les doubles sens comme un Pierrot sous absinthe. Entre la "plume" et la "lume", entre Lubin et la voisine qui bat le briquet, le texte allume une petite flamme bien rieuse. Coquin mais pas vulgaire, farceur sans forcer, ce pastiche rime gentiment avec plaisir. Bonus pour la pirouette finale qui dédramatise avec humour. Un clair de lune qui réchauffe ! | ++++ ![]() |
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23100 (28/05/25) |
ne L'appartement de la rue Sarasate Une chanson, une histoire (0) |
8126 | Un vieux cabotin attachant, un infirmier attendri, un coloc sceptique… et une bouteille de Lillet pour lier tout ça ! Ce texte plein de verve et de tendresse nous offre une jolie rencontre entre deux générations, avec des dialogues savoureux, des jeux de mots qui piquent un peu, et une émotion qui surgit là où on ne l’attend pas. Léonard, on l’adore et on le redoute. Un vrai bon moment de lecture | ++++ ![]() |
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23099 (28/05/25) |
ne Boulevard Richard Lenoir Une chanson, une histoire (0) |
12031 | Deux histoires d’amour en miroir dans un immeuble parisien. Le texte joue subtilement sur le non-dit, la nostalgie et la tendresse, avec une belle construction chorale. Un léger manque d’audace émotionnelle, mais l’ensemble fonctionne très bien. | ++++ ![]() |
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23095 (26/05/25) |
fh Milord Une chanson, une histoire (0) |
11249 | Milord, ce n’est plus seulement une chanson, c’est ici une plongée sensuelle dans les remous du désir et des souvenirs. Entre une larme salée, une fille du port et un roulis brûlant, le narrateur se laisse emporter par une marée douce-amère. L'écriture est lyrique, vibrante, et rend un bel hommage à Piaf. Une confession charnelle pleine d’ombre et de lumière, où l’on se perd avec plaisir dans le ressac des mots. | ++++ ![]() |
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23094 (26/05/25) |
me La ville que j’ai tant aimée Une chanson, une histoire (0) |
12899 | Une chanson d’Irlande, une ville blessée, un hymne à la paix. Ce texte nous emmène dans les ruelles de Derry, entre mémoire politique, musique folk et espoir fragile. L’analyse est limpide, la traduction sensible, et le choix de la chanson, bouleversant. À travers les mots de Phil Coulter, c’est toute une génération qui refuse la haine, et un auteur qui nous rappelle qu’aucune guerre ne mérite de faire taire les chansons. | ++++ ![]() |