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DBHB24 | |||
Moyenne des notations = 17.500. Ecart type = 2.366. Elle est basée sur 46 notes. Au total 46 appréciations. |
N° Date |
Titre, auteur(e), série | Nb car | Not | Commentaires | Moy |
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22012 (26/09/23) |
me Courtisanes, cocottes et monde de la nuit parisienne Histoires de femmes libres (16) |
40041 | Top du top - 20 | Olga, C’est encore une magnifique chronique historique que tu nous offre en nous présentant ces très belles biographies de ces quatre demi-mondaines, terme que je préfère à cocottes, très péjoratif à mon avis. Ces quatre femmes aux origines, au statut social, différents réussirent grâce à des parcours atypiques, mais surtout à leurs corps et leurs charmes, à devenir en leurs temps les reines de la nuit parisienne, et à côtoyer des têtes couronnées, des aristocrates, de grandes fortunes et de grands artistes de toutes origines. A la lecture de tes écrits très détaillés, il s’avère en effet que ce furent toutes des femmes libres. Oui, libres en effet de disposer de leurs corps, de leurs vies et de leurs destins, mais surtout, libre de se venger des hommes pour la belle Otero, libre d’afficher sa bisexualité pour Liane de Pougy, libre d’être (ou pas) une espionne pour Mata Hari, et libre d’être une véritable artiste pour Kiki. Je te remercie, une fois de plus, d’avoir partagé avec nous toutes tes connaissances. Je ne peux aussi que t’encourager à continuer à nous surprendre ainsi par tes textes atypiques. Didier |
++++ |
21933 (04/08/23) |
me Colette, la romancière scandaleuse Histoires de femmes libres (15) |
23503 | Top du top - 20 | Olga, Je te dois un grand Merci pour cette chronique de femme libre consacrée à Colette. N’étant pas littéraire dans l’âme, je ne connaissais cette icône de la littérature française que de nom. Son œuvre m’était totalement inconnue, comme l’était tout autant sa vie personnelle et je ne parle pas de sa sexualité… Oui je te remercie donc, de par cet intéressant écrit très détaillé et de grande qualité, de m’avoir ouvert les yeux sur l’improbable, l’incroyable, et scandaleuse vie de cette écrivaine que je découvre bisexuelle. A la lecture de ce texte enrichissant, il est sûr que pour son temps, le début du 20ème siècle, Colette fut une véritable femme libre. Félicitations une fois de plus pour tout ce travail fourni. Didier |
++++ |
21855 (19/06/23) |
me Deux impératrices de Chine Histoires de femmes libres (14) |
24645 | Top du top - 20 | Olga, En préambule à mon commentaire, je tiens à souligner que question cinématographique tu ne pouvais pas choisir mieux que tous ces excellents films pour illustrer ton propos. L’histoire de la Chine, ne faisant pas partie de mes spécialités, tu me fournis donc là une présentation historique forte intéressante et enrichissante à la fois. Même si au final je n’apprécie pas du tout ces deux personnages, quelles femmes effrayantes, quelle cruauté !!! Mais en effet quels parcours, forts improbables à la base pour des femmes de ces époques, qui plus est dans une civilisation réputée très patriarcale, ce qui prouvent, démontrent une certaine intelligence et une grande habileté de leur part, avec pour toute deux le même résultat la main mise sur le pouvoir. L’une, Wu Zetian, afin de régner sans partage, écarta sans états d’âme tous ses fils, pourtant légitimes prétendants au pouvoir suprême. L’autre, Tseu Hi, de manière plus machiavélique, avança plus masquée, en étant la régente de plusieurs jeunes empereurs, mourant rapidement de surcroît. Par certains côtés, surtout leurs attitudes envers leurs amants, elles me font penser à la tzarine Catherine 2 de Russie dîtes « la Grande Catherine », mais là aussi je ne suis pas un spécialiste en la matière. Je finirai en remarquant que le grand timonier tenait Wu Zetian en grande considération, je n’en suis nullement surpris. Elle a dû l’inspiré même, tellement leurs parcours, leurs attitudes et leurs tempéraments sont similaires… Félicitations encore une fois pour tout ce travail de recherche et de mise en forme. Didier |
++++ |
21811 (30/05/23) |
me Deux femmes de lettres Histoires de femmes libres (13) |
26608 | Top du top - 20 | Olga, C’est encore une très belle et enrichissante présentation que tu nous as fait là. Je connaissais de réputation ces deux femmes comme écrivaines reconnues, mais aussi comme étant pour l’une l’implacable ennemie de Napoléon, et la compagne de Chopin pour l’autre. A la lecture de cette chronique très instructive, j’en ai désormais une autre vision plus complète, leurs vies ne se limitant pas qu’à cela. En effet, ces deux femmes jugées disgracieuses en leurs temps, ont cependant réussi à collectionner les aventures amoureuses auprès de diverses élites, tout en étant des féministes avant-gardistes qui ont joué de leurs notoriétés pour d’écrire afin de défendre le droit de leurs contemporaines. Oui Olga, ce sont bien des femmes libres, de par leurs pensées, leurs écrits, leur sexualité, voire bisexualité… Félicitation encore une fois, pour ce travail de qualité. Didier |
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21690 (12/04/23) |
me Histoire de femmes libres (12) : Deux Merveilleuses Histoires de femmes libres (12) |
27571 | Top du top - 20 | Olga, Ce sont bien là effectivement deux femmes libres que tu nous présentes dans cette excellente chronique très historique. Oui libres, elles l’étaient, tout d’abord dans cette période très sombre de la révolution, d’user de leurs charmes, d’utiliser leurs corps afin de pouvoir vivre, survivre plutôt, face à une mort annoncée par La Terreur. Puis enfin, elles l’ont été tout autant après, libres de profiter de tous les plaisirs que leurs nouvelles vies pleines d’espérances leurs offraient, jusqu’à qu’elles se « rangent » ou s’assagissent finalement… Je connaissais peu l’histoire, et encore moins la réputation sulfureuse, de cette madame Tallien, dont le nom m’était pourtant connu, lié à jamais historiquement à celui de Barras et de Bonaparte lors du Directoire. Je te remercie donc pour toutes tes précisions qui me permettent enfin de mettre une vie sur un nom. Concernant Joséphine, ton écrit ne fait que confirmer tout ce que je savais sur cette femme très controversée de par son attitude envers Bonaparte, mais qui sut parfaitement par la suite tenir son rang d’épouse avec Napoléon. Pour finir, je tiens à souligner, et qui est formidable voir surprenant en soi, c’est qu’en amour ces deux femmes ont pu être complices, parfois rivales mais jamais ennemies. Cependant, ce qui est remarquable, c’est qu’à l’inverse de son amie madame Tallien, Joséphine a su déceler tout le potentiel de ce petit général « mal fagoté » et sans le sou et le bénéfice qu’elle pouvait tirer de sa liaison, de son mariage avec qui deviendra le premier empereur des français… Une fois de plus toutes mes félicitations, Didier. |
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21584 (04/03/23) |
me Marie-Antoinette, la reine calomniée Histoires de femmes libres (11) |
26923 | Top du top - 20 | Olga, C’est une excellente et très passionnante présentation que tu nous as fourni sur Marie-Antoinette. Celle qui reste à tout jamais la plus mal aimée des reines de France. Frivole, légère, dépensière, comme d’autres avant elle, Marie-Antoinette, désignée de fait comme le bouc émissaire de tous les maux dont souffrait le royaume de France sur l’instant, était au mauvais endroit et à un mauvais moment de l’histoire ... A sa décharge, n’étant pas préparée, ni éduquée initialement pour tenir ce rôle de reine, Marie-Antoinette, véritable pion politique, ne dût ce mariage arrangé qu’à la raison d’état afin de consolider cette étrange, cette incongrue, alliance entre la France et l’Autriche. Cette même raison d’état qui la vit à être condamnée à la guillotine, alors que Robespierre la savait déjà mourante d’un cancer bien avancé… Concernant sa vie intime que dire de plus à ce que tu as écrit, tout est dit. Marie-Antoinette, aima- t-elle sincèrement le roi Louis XVI ? Marie-Antoinette était-elle une femme dépravée ? Fût-elle injustement calomniée pour ses mœurs légères? Nul ne le saura jamais vraiment. A mon humble avis cependant, qu’elle soit physique ou purement platonique, sa liaison avec Axel de Fersen n’en reste pas moins avérée Et il en va de même sûrement pour celles avec la Princesse de Lamballe et la Duchesse de Polignac. Pour tout le reste, je ne pourrais me prononcer objectivement, car à l’instar de Messaline bien avant elle, cela tient peut-être du fantasme, de l’imaginaire collectif. Mais toutefois, ne dit-on pas qu’il n’y a pas de fumée sans feu… Didier |
++++ |
21274 (09/11/22) |
ne Cavale 3 Cavale (3) |
33807 | Top du top - 20 | Même si je préfère les "Happy ends", ce texte final n'en est pas moins FORMIDABLE. Cette série dans son intégralité est digne des meilleurs polars... |
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21271 (08/11/22) |
dn Cavale 2 Cavale (2) |
38048 | Top du top - 20 | Tout autant FORMIDABLE que le premier | ++++ ![]() |
21270 (07/11/22) |
dn Cavale Cavale (1) |
37612 | Top du top - 20 | Un seul mot FORMIDABLE. | ++++ ![]() |
21258 (01/11/22) |
me Catherine II, la Messaline du Nord Histoires de femmes libres (10) |
18662 | Top du top - 20 | Olga, c’est une fois de plus un formidable texte que tu nous livres là avec cette présentation de la vie Catherine II de Russie, que je trouve, pour ma part, très instructif. Historiquement, et comme beaucoup, je la connaissais comme une grande tsarine éclairée, du siècle des Lumières, qui, dans la lignée de Pierre le Grand, s’efforça de faire de la Russie une grande puissance européenne et moderne. Je savais également qu’elle avait eu des amants dont Orlov et Potemkine. Pourtant, je ne me doutais pas que la Grande Catherine fut autant sulfureuse, avec à sa disposition entre autres, ce «harem» de jeunes hommes, ces «éphémères» que lui fournissait Potemkine et aussi cette pièce secrète, la fameuse chambre des plaisirs. A la lecture de cette chronique, Catherine apparaît bien comme l’illustration d’une femme de pouvoir, régnant de surcroît, libre de toutes contraintes. En effet, d’un côté en prenant le pouvoir elle fût libre de son destin, lui permettant ainsi d’un autre côté, après avoir été malheureuse en mariage, d’être libre de sa vie amoureuse et sexuelle… Je tiens à souligner en final que je partage encore une fois ton avis quand, en faisant une brève comparaison entre ces deux monarques hypersexuels, que furent Louis XV et Catherine, tu confirmes ce constat désolant et récurrent dans la manière dont l’histoire fût écrite. Le premier, le roi « bien aimé », apparaît comme un monarque séducteur, alors que la seconde l'impératrice de Russie est considérée comme une femme lubrique et dépravée... Didier. |
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21224 (17/10/22) |
me Ninon de Lenclos, une courtisane intellectuelle Histoires de femmes libres (9) |
14725 | Top du top - 20 | Olga, félicitations pour cette chronique très détaillée et bien argumentée me permettant d’approfondir mes connaissances sur l’emblématique Ninon de Lenclos. Fille d’un libertin notoire et d’une bigote, Ninon fût une courtisane et femme d’esprit, ayant fréquenté les plus grands noms de la cour de Louis XIV, et ébloui le Grand Siècle par sa personnalité rayonnante, demeurant, encore aujourd’hui, une icône de l’émancipation féminine. Il faut toutefois souligner que c’est son appétit insatiable pour les hommes, mais aussi pour les femmes parfois, qui participa à sa légende. Ayant appris les bases de la séduction, et pour subvenir à ses besoins,Ninon commença jeune dans la galanterie, devenant une courtisane de très haut rang. Après avoir été poursuivie par le parti dévot, et enfermée un temps dans un couvent, Ninon, tout en poursuivant son «commerce» jusqu’à un âge très avancé, tint un salon littéraire où toute la grande noblesse se pressa, impressionnée par sa culture. Continuant donc à se faire payer discrètement pour ses faveurs, et se faisant énormément d’argent placé astucieusement, Ninon fût véritablement libre dans un monde où les femmes n’avaient aucune indépendance financière, ou presque. Renonçant à se marier, Ninon aura cependant un seul et unique grand amour, Louis de Mornay, pour qui, elle vivra durant trois ans loin de Paris dans son château de Villarceaux, où dit on elle aurait côtoyé et initié la future madame de Maintenon au plaisirs saphiques. Pour moi, Ninon de Lenclos, Courtisane et Femme de lettres, ne représente pas seulement l’amour, mais aussi la liberté en amour. Très en avance sur ton temps, elle prôna la liberté des sexes dans une France où la femme était cantonnée à sa vie d’épouse et de mère. Ninon reste à tout jamais une figure avant-gardiste et même presque féministe pour son époque, étant restée indépendante des hommes toute sa vie… Didier. |
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21163 (22/09/22) |
me La reine Margot, intrigues, fureurs et amants Histoires de femmes libres (8) |
23686 | Top du top - 20 | Avec cette chronique, très passionnante et détaillée, sur Marguerite de Valois, tu nous présente une femme « libre » par excellence, dans cette période sombre et troublée de l’histoire de France correspondant à la fin de la dynastie des Valois et là l’avènement de celle des Bourbons. Marguerite, dont on prétendait, dit-on, que hors la folie de l’amour était fort raisonnable, c’est-à-dire peu souvent, n’en était pas moins une femme intelligente et cultivée. Mais surtout ce fût une femme libre, oui libre de vivre ses passions amoureuses, que cette princesse de sang qui pour « raisons d’état » avait dû se résoudre à épouser puis, enfin reine, à divorcer d’un homme, d’un roi qu’elle n’aimait guère. Cependant ce mariage d’état « arrangé » fut une bénédiction pour tout deux, car il leur permit de laisser libre court à leurs libertinages respectifs. La réputation de Marguerite de France, comme tant d’autres avant elle, en fût bien sûr ternie, car ayant voulu jouer un rôle politique, elle fît l’objet de nombreuses et virulentes attaques, venant de toutes les partis en présence, concernant ses incestes et sa nymphomanie présumée… Je tenais enfin à souligner qu’avec ce texte très enrichissant, tu nous brosse également le portrait d’une France, d’une aristocratie déchirée par les guerres de religions, et qu’il m’a permis de découvrir entre autre chose l’existence, pour reprendre tes propos, du mythique escadron volant de cette reine noire que fût Catherine de Médicis. Je finirai en disant, et je te rejoins sur ce point, qu’il est désolant de constater que, dans notre Histoire, voir même dans notre société actuelle, dite moderne et libérale, un homme hypersexuel soit forcément un tombeur, un Don Juan, un Séducteur, mais qu'à l'inverse une femme ne peut être qu'une Salope voire une Pute... Didier |
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21148 (16/09/22) |
me Isabeau de Bavière, ou quand une femme perdit la France Histoires de femmes libres (7) |
19708 | Top du top - 20 | Olga, je te tiens tout particulièrement à souligner la qualité et le réalisme dans tes propos, au sujet de cette brillante évocation de cette reine, qui me permettent ainsi d’enrichir mes connaissances sur une sombre période de l’histoire de la France, qui je l’avoue, ne fait pas partie de mes prédilections historiques. En effet, autant Charles VI « le roi fou », et l’incontournable Charles VII, me parlent, autant Isabeau de Bavière, épouse du premier et mère du second m’étais totalement inconnue. La lecture de ta chronique me permet donc de découvrir la vie de cette femme, cette reine, qui commençant comme un conte de fée finira cependant en tragédie. Drôle de vie que celle d’Isabeau de Bavière, épouse bafouée par un mari volage devenant fou de surcroît, qui finira reniée par son fils et oubliée de tous pour avoir eu le malheur, dans la tourmente d’une guerre civile, de signer au nom de son époux un traité défavorable un temps au royaume de France… Comme tu fais allusion à Charles VII dans ton écrit je conclurai simplement mon propos par une simple question. Olga, nous fera tu le plaisir de nous écrire une aussi belle chronique sur sa somptueuse et incontournable favorite Agnès Sorel ? Didier |
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21139 (12/09/22) |
me Aliénor, femme libre aux temps des troubadours Histoires de femmes libres (6) |
17820 | Top du top - 20 | Aliénor d'Aquitaine personnage emblématique de l'Histoire, aussi bien française qu'anglaise, fait figure de véritable « OVNI » en ce moyen âge si austère. Décrite par ses contemporains comme « Perpulchra » (hyperbelle), mais aussi intelligente, cultivée, femme à forte personnalité et surtout libre, Aliénor était vraiment en avance, en décalage, avec son époque. Aliénor n'eut cependant peu de chance dans ses deux mariages. En effet, elle fût mal marié en première noce avec ce « moine » roi qu'était Louis VII « Le pieux ». Un roi français si austère que cela pourrait expliquer pourquoi elle fut une épouse adultère aux dires de ses détracteurs. Puis, en seconde noce Aliénor, foncièrement amoureuse, se maria avec Henri Plantagenêt, le beau roi « chevalier » anglais. Cette fois ci cependant, ce fût lui qui n’eut de cesse de la tromper, avant de l’emprisonner ... Légende noire pour les uns, légende dorée pour les autres, Aliénor reste pour moi une femme, une reine, de légende, à l’incroyable destin, ayant réussi le long de sa longue vie à être successivement reine de France puis reine d'Angleterre. Olga, tu nous livre là comme à l’accoutumée, une excellente chronique toute aussi bien argumentée que documentée. Félicitations une fois de plus… Didier |
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21123 (06/09/22) |
me Théodora, la prostituée devenue impératrice de Byzance Histoires de femmes libres (5) |
16936 | Top du top - 20 | Olga, Merci pour ce magnifique texte bien documenté sur l’incontournable et célèbre épouse de l’empereur byzantin Justinien. En un mot, je ne connaissais de Théodora que ce que les livres d’histoire écrivaient, une vie pieuse et élogieuse en tant qu’impératrice. Ton écrit me permet donc de découvrir une vie extraordinaire et un autre aspect de sa personnalité que je ne soupçonnais pas. Belle, ambitieuse et volontaire, mais aussi intelligente, Théodora a donc réussi, avec ce parcours rocambolesque, à se sortir des bas-fonds pour se hisser au pouvoir suprême. La vie de Théodora pourrait ressembler ainsi à un véritable conte de fée, une danseuse devenant impératrice, si il n’y avait ce contexte et surtout ces écrits post-mortem si sulfureux de Procope de Cesarée. Ecrits, confirmant une fois de plus que dans ces sociétés machistes, les femmes de pouvoir dérangeaient fortement et n'obtenaient nullement la reconnaissance qui leur étaient pourtant dû... Merci encore une fois pour tout ces textes d’une très bonne qualité et si enrichissants culturellement. Didier |
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21112 (02/09/22) |
me Deux impératrices sulfureuses Histoires de femmes libres (4) |
21358 | Top du top - 20 | Olga, c'est encore une très belle présentation historique que tu nous livre là avec ce texte sur ces deux impératrices débauchées. Comme à l'accoutumée, elle est bien argumentée et surtout bien illustrée. Messaline, la plus connue et sexuellement faisant figure de légende, y tient naturellement une part importante. Ne souhaitant pas revenir sur ton excellente et enrichissante démonstration, je veux juste te dire que concernant sa «réputation» historique, je partage parfaitement ton point de vue. L'Histoire étant, en effet, écrite par les vainqueurs, à leurs profits, et souvent parfois au détriment de la réalité et de la vérité, nous ne saurons jamais avec exactitude qui fut réellement Messaline, une femme dépravée ou une femme ambitieuse avide de pouvoir. Ce qui est sur cependant, c'est qu'il n'y a pas de fumée sans feu… Faustine, m'étant moins connue que son auguste époux Marc-Aurèle, je te remercie donc de m'avoir éclairer sur sa trépidante et sulfureuse vie. Ton sous titre, «Faustine et les gladiateurs» étant là un véritable clin d'oeil aux clichés que l'on peut avoir sur les matrones romaines et leurs fantasmes... Une fois de plus je te dis FELICITATIONS pour tout ce travail de recherche, de documentation et de mise en page, nous permettant ainsi de partager ce moment de «Culture». Didier |
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21103 (29/08/22) |
me La patricienne scandaleuse et la princesse débauchée Histoires de femmes libres (3) |
18232 | Top du top - 20 | Olga, c’est encore une très belle chronique que tu nous livre là avec ce troisième texte axé sur la Rome antique. Tu nous y fais une très enrichissante présentation sur la vision que se faisait cette civilisation romaine, très patriarcale, sur le rôle de l’épouse, se devant d'être fidèle et cantonnée à la continuité, à la pureté de la lignée, mais aussi sur l’adultère, et bien sûr sur le divorce. Il est vrai que le « statut » de l’épouse évolua quand Rome passa de la République à l’Empire, cependant son droit au plaisir resta proscrit. J’ai bien apprécié également, pour illustrer ton écrit, l’évocation de ces deux femmes libres, effectivement plus méconnues que la célèbre impératrice Messaline, sulfureuse épouse de ce « malchanceux » Claude. Même si leurs quêtes de liberté et de plaisir étaient identiques, le sort réservé à ces deux femmes qui se voulaient libre a été très différent. Clodia, patricienne de la République, fût simplement jugée, tandis que Julie fille d’un empereur « puritain » fût, elle, condamnée par celui-ci pour l’exemple à un terrible exil… Fort heureusement pour les femmes la liberté sexuelle a bien évolué avec le temps, même s’il reste encore beaucoup de travail à faire... J’ai hâte de parcourir ta prochaine parution sur ces impératrices « sulfureuses ». Didier |
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21074 (20/08/22) |
me Cléopâtre, la sensualité et l'ambition Histoires de femmes libres (2) |
21791 | Top du top - 20 | Cléopâtre, la mythique, la légendaire… Olga, tu t’es lancé dans un véritable défi en écrivant cette chronique !!! Défi, à mon avis, brillamment relevé au regard de cette très enrichissante présentation historique, très argumentée et si bien illustrée… Je ne retiendrai de ton texte que, en avance sur son temps, Cléopâtre, femme émancipée, charmeuse et surtout intelligente, a dû, a su s’allier, se lier aux hommes forts de l’époque afin de pouvoir conserver le droit de gouverner son royaume. Fût-elle pour quelque chose dans la mort de César, j’en doute. Cléopâtre fût cependant le prétexte de la guerre fratricide opposant Octave à Marc Antoine, dans leurs quêtes de pouvoir et pour une mainmise de Rome sur l’Egypte. Sulfureuse, surement hypersexuelle, Cléopâtre vit sa réputation pourtant ternie, voire diabolisée de son vivant par Octave, puis post mortem par une société machiste écrivant l’histoire. Entrée dans la légende, d'un côté par sa romanesque mais tragique histoire et de l'autre par sa sulfureuse réputation, il est vrai que pour beaucoup, Cléopâtre reste immortalisée à tout jamais sous les traits d'Elizabeth Taylor dans le magnifique film du même nom. Bravo pour tout ce travail de recherche et de mise en forme. Didier |
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21813 (31/05/23) |
fh L'exhib, c'est du gâteau |
13988 | Excellent - 18 | Encore un très beau texte sur le sexe mais aussi sur l'amour, comme si bien les écrire Jacquou. Bien vu de laisser chacun imaginer le devenir de ce couple de pâtissier. Pour moi, ils vivent un bonheur parfait, libre désormais de toutes contraintes professionnelles... Didier |
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21717 (22/04/23) |
fh Une assistante d'érection Sexe en entreprise (2) |
15608 | Excellent - 18 | Belle suite torride en soi, où jalousie, rivalités, et complot sont au programme pour cette chaude équipe de femmes lubriques. Ne dit on pas de plus "Rira bien qui rira le dernier"... |
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