Date
(24/03/24)
fh
La rencontre
Céline et moi (1)
La relation qui se met en place ici est marquée par la domination de la femme. Pas comme celles que j’ai pu lire par ailleurs, dans des récits de D/s, il s’agit plutôt d’un lien de l’ordre de l’emprise. Céline prend l’ascendant sur le blanc-bec, pendant que pour ce dernier, ça n’a pas l’air d’être un jeu.
C’est bien écrit, bien mené, efficace.
« elle récupère mon orgasme dans sa main… » Ouah, trop forte ! :)
(23/03/24)
fh
La porte des souvenirs
Le refus (1)
(22/03/24)
co
Julien
(22/03/24)
ne
Chacun fait ce qui lui plaît
La référence n’échappe à personne ; elle est prégnante sans être pesante, j’ai surtout aimé la façon dont elle revient, mine de rien, à travers quelques mots, un rythme… Bon, je suis un peu déçu de ne pas avoir retrouvé sur le parquet les moutons qui font « Yeah, yeah, yeah », ni aucune trace de décalcomanie… mais je m’en remettrai. :)
(22/03/24)
fh
1,2,3,... je suis à toi remplis moi, 4,5,6...
C’est efficace pour qui cherche une histoire de sexe ; c’est excitant. C’est écrit d’une plume des plus banales (formules toutes faites, ton « oral »…), mais là, franchement, on s’en fout. Dans le genre, j’ai trouvé ça pas mal du tout.
P. S. « Magali monte en excitation et s’ouvre de partout. » Pourquoi j’ai pensé à ma moto à ce moment-là ?!! Hou la laa…
(21/03/24)
dn
Encens de benjoin, gros sel et bol chantant
Le refus (2)
Cela dit, la raison du refus initial n’en est pas moins mystérieuse pour moi et il est plus compliqué de comprendre le revirement final sans connaître les raisons de l’héroïne de ne pas vouloir d’enfant.
Cela dit je ne suis pas obligé de tout comprendre pour apprécier ce récit. Il m’a emporté et c’est bien là l’essentiel. J’ai aimé l’écriture, le sujet… même le happy-end, alors que je trouve ça trop souvent convenu et artificiel.
(19/03/24)
ne
Être mère, non merci !
Le refus (3)
(18/03/24)
ne
Caylus, Tarn-et-Garonne
Mais avec un peu de persévérance, j’ai découvert un récit très sympathique. Je me suis douté assez rapidement du type d’intrigue qui se tramait, sans en deviner le détail. Les informations sont diffusées judicieusement, le mystère n’est jamais totalement levé et le suspens est bien géré. J’ai beaucoup aimé la chute également, je l’ai trouvé très élégante.
(18/03/24)
fh
Ne plus partir trop tard du bureau
J’ai beaucoup aimé aussi le naturel de la narration, avec quelques réflexions très réalistes. Le ton est posé, l’auteur prend le temps de situer l’action, de détailler la réaction des personnages… Et quand il est question de cul, les mots sont justes, sans tabou ni faux semblant. C’est très agréable à lire… et excitant aussi !
J’ai également apprécié que ce ne soit pas l’histoire « classique » de la bourgeoise blanche qui se tape le black de service. Picth qui m’aurait fait fuir.
(17/03/24)
fh
Trois refus
Le refus (4)
(17/03/24)
ne
Et si c’était possible !
Le refus (5)
(16/03/24)
dn
Une histoire d'ours
À la lecture, j’ai trouvé les quelques explications qui ponctuent ce récit superflues et un poil agaçantes, parce qu’elles me rappellent que « c’est pour rire, hein ». Mais en y réfléchissant, si je vois ça comme une interpellation qu’un conteur pourrait faire à son public, au même titre que l’introduction finalement, ça me dérange beaucoup moins.
(16/03/24)
fh
Karine au concert
Et la drogue ? Il n’en est pas question, mais je me demande quand même… pour avoir l’idée de mettre en alexandrins ce genre d’histoire, il faut bien un petit truc pour aider non ?
Mais c’est là tout le sel de ce texte : faire fusionner (je suis plus fusion que garage) deux univers a priori incompatibles. Ou quand la forme et le fond détonent. L’histoire est crue, basique, limite trash. La bonne idée, c’est d’avoir gardé le vocabulaire qui va avec. Le résultat ressemble à un Gothique qui aurait enfilé un tutu rose. Je salue l’initiative.
(15/03/24)
dn
L'ironie de Mona Gaze
Le refus (6)
Le sujet reste délicat à aborder, car il pointe un phénomène admis inconsciemment et ultra majoritaire, au cinéma notamment : le male gaze. C’est fait de façon judicieuse, je trouve, en donnant la possibilité au lecteur (en tout cas aux hommes hétéros, tiens, tiens…) de s’identifier.
J’ai hâte de lire la suite !
(15/03/24)
me
Une expérience inoubliable.
Le refus (6)
Ce qui est regrettable, c’est que j’avais le 06 de Virginie Efira à négocier, pour obtenir quelques informations, mais puisque c’est inutile…
J’ai passé un très bon moment de lecture. Merci.
(13/03/24)
ne
Les chiens de la meute
Le refus (8)
J’ai été séduit dès le premier paragraphe. Ça a été une évidence pour moi : j’étais parti pour un bon moment de lecture. Tout me plaisait. Comme le dit lui-même l’auteur, ça claque. Le thème me parle, les mots sont à la bonne place, les sonorités sont bien choisies, ça balance, il y a du rythme. J’adore.
La suite de ma lecture a été parsemée de petits moments de grâce, de moments plus flous aussi. Cela reste pour moi une très bonne surprise.
(13/03/24)
ne
Un si bel automne
Le refus (9)
Et puis j’ai moyennement apprécié la narration, même si finalement je trouve le commentaire de Giordano juste sur ce point : c’est écrit avec réalisme. Peut-être trop pour moi, au détriment d’aspects plus littéraires ?
(11/03/24)
co
Tu me dis : "non"
Le refus (9)
Enfin, le « tu-tu » m’a également dérangé. À mon avis, il ne se justifie pas ici et était facile à éviter.
(11/03/24)
ne
Camp-climat
Le refus (11)
(09/03/24)
ne
L’appel de la « frontier »
Le refus (12)
J’ai beaucoup aimé aussi que la prise de conscience politique du héros enrichisse les plus classiques histoires de règlements de compte entre hors-la-loi. C’est un bon point pour l’originalité.