Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 18193Fiche technique53214 caractères53214
Temps de lecture estimé : 29 mn
10/12/17
Résumé:  Monsieur de Sombreuil retrouve l'élue de son cœur, Claire (la fille de son supérieur, l'amiral de Villerutay) et la marquise de Pierrenoire.
Critères:  fh fhhh nympho soubrette noculotte fellation cunnilingu 69 fgode pénétratio sandwich fdanus fsodo historique
Auteur : Bernard Nadette      Envoi mini-message

Série : Conflits

Chapitre 21
Le retour de Monsieur de Sombreuil

Rappel succinct de la situation (voir les liens vers les épisodes précédents en fin de récit) :


La guerre fait rage à la suite d’un raid tanibrinque sur le port de Dorbauxe dans le royaume de Canfre. Le vice-amiral vicomte Charles de Sombreuil fait partie du Conseil du Roi. Il est l’amant de la marquise Anaïs de Pierrenoire. Sur instruction, il lui distille des renseignements sur ce qu’il s’y décide, la belle marquise les revendant à un agent tanibrinque. Cette « mission » le tient éloigné de celle après qui il soupire : Claire de Chabannes de Villerutay, la fille de son supérieur l’amiral. Un jour, énervé par l’irruption de la marquise alors qu’il désirait rester seul, il l’entraîne dans une écurie où il se montre quelque peu brutal. Profitant que son père l’amiral est parti rejoindre la flotte pour une mission de haute importance et que l’hôtel de Villerutay est en grande partie déserté, Claire y invite Charles et se fait dépuceler avec un moult enthousiasme. De son côté, la marquise révèle qu’elle n’a pas été sans se rendre compte que les bavardages du vicomte ne correspondent pas à son sérieux et que les informations qu’elle récolte ont été soigneusement choisies et que les renseignements qu’elle fournit sont ceux qu’il est souhaitable que l’ennemi connaisse. Cela change son regard sur elle.



_________________________________________________




Le retour de Monsieur de Sombreuil



Après avoir quitté le château familial, Charles de Sombreuil retourne à Ressaville. Ses malles posées, il va rendre visite à Claire de Villerutay. C’est son père, de passage pour rendre compte à Sa Majesté, après l’expédition pour ramener le Dauphin qui l’accueille. L’amiral narre par le menu à son lieutenant le déroulement de l’opération et son heureuse issue.


Tandis que les deux hommes sont en discussion, la jeune femme apparaît. Elle est peu intéressée par les batailles, fussent-elles navales. Aussi, après avoir laissé son père et son amant discuter un trop long moment à son goût, elle demande à Charles des nouvelles de son voyage qui l’a fait partir si rapidement qu’il n’est point venu lui faire ses au-revoir. La jeune femme réussit à garder une voix neutre, bien qu’elle ait été fort désappointée que Charles ne fût pas venu lui faire visite avant de se mettre en route. Quand elle pense « visite », c’est à celle de sa chatte qu’elle songe ; et de son cul aussi, d’ailleurs.


Le vice-amiral raconte par le détail la mort de son père, la découverte des papiers concernant son oncle, sans préciser toutefois le rôle de son père dans leur dissimulation, la recherche de sa tante, jusqu’à son arrivée au château familial. Il amuse son auditoire en faisant la description de la mesquinerie de la belle-sœur d’Éléonore.

L’amiral ayant mentionné qu’il lui restait moult choses à régler, Charles prend congé. Claire le raccompagne jusqu’à la porte et, son père n’étant plus à portée d’oreille, glisse :



Il effleure sa joue d’un baiser et s’éloigne, impatient d’y être déjà. Le lendemain, il se rend au Conseil. En sortant, il se met à la recherche de la marquise de Pierrenoire afin de pouvoir lui souffler ce qui serait intéressant que l’espion tanibrinque qui l’appointe sache. Il est d’ailleurs étonné de ne pas la voir flâner aux alentours. Ne la trouvant pas, il décide de se rendre à son hôtel et l’y trouve enfin. Icelle manifeste sa joie de le voir :



Le comte accepte l’invitation et lui narre par le menu ses pérégrinations et rencontres. L’heure est avancée. Quand ils quittent la table, le comte – depuis les conversations de la marquise avec Monsieur de La Reynie et avec lui ensuite – la regarde d’un autre œil. Il n’envisage plus de se conduire comme il le faisait ci-devant avec elle. La baiser sans trop d’égards, car il la mésestimait fort pour sa trahison. L’estime et même le respect qu’il lui porte maintenant l’en empêchent. C’est Anaïs, le voyant sur le point de partir, qui lui dit :



Et ajoute en murmurant :



À dire vrai, pour la belle marquise, son rôle d’espionne est devenu presque secondaire. Elle s’est attachée à Charles, bien qu’elle sache son cœur pris par la fille de l’amiral. Elle ne veut rater occasion de bénéficier de sa présence quand cela se présente.



Cette question rappelle à Charles le précédent bain qu’il a pris en ces lieux. Il répond :



La marquise n’a pas fini sa phrase que, de retour de courses, la camériste entre. En voyant l’amant de sa maîtresse, elle rosit légèrement. Anaïs se tourne vers elle, et pour mettre dans l’embarras à la fois Charles et icelle, contre qui elle a encore quelques rancœurs de ses gloussements :



Charles ne pipant mot, elle reprend :



La bonne rosit un peu plus et ne dit mot. La marquise enchaîne :



Marguerite se dandine un peu avant de répondre :



Un petit diablotin souffle à la marquise :



Le comte et surtout la marquise sont pantois d’ouïr cette réponse. Malgré cela, elle est la première à revenir de son ébahissement :



Sur une petite révérence, la bonne s’éloigne. Une fois qu’elle est sortie, le comte ne peut s’empêcher de remarquer :



Il faut moins de cinq minutes à Marguerite pour être de retour, munie du fouet et d’un petit flacon d’huile. Elle graisse le manche d’abondance avant de le déposer sur un torchon qu’elle a déployé sur un guéridon. Elle retire robe et chaussures pour se retrouver nue de la taille aux pieds. Elle se met à quatre pattes et se caresse. Après s’être frictionnée la moule un bon moment, elle oint ses doigts et se titille la pastille. Se sentant "à point" elle dit d’une voix enrouée :



Madame balance un moment à prier Charles de procéder, mais in fine choisit d’œuvrer, y trouvant une certaine appétence. Elle s’empare du fouet, en ajuste le pommeau à l’anus de sa camérière qui se paluche, et pousse doucement en vrillant. Le passage s’ouvre benoitement et le manche disparaît. La marquise, sous l’œil intéressé de Charles, manœuvre l’objet plusieurs minutes avant de nouer la mèche pour le maintenir en place :



Marguerite se lève, fait une nouvelle révérence, toujours cul nu ; enfin, presque, puisqu’il est occupé, en disant :



Puis elle reprend ses vêtements, s’habille et sort de la pièce d’un pas alerte, suivie du regard étonné des deux amants qui font encore quelques commentaires sur le fondement défoncé de la bonne, et surtout du goût qu’elle en a, se demandant si elle n’a pas pratiqué par elle-même hors de leur sollicitation. Charles se garde de mentionner Claire, qui a elle aussi prisé – et ce dès la première fois – se faire casser le coco. Ils abordent ensuite, à basse voix, ce qu’Anaïs doit transmettre à l’espion glaisan. Ils n’ont pas le temps d’achever que Marguerite vient les avertir que le bain est prêt. En la voyant évoluer, rien ne laisse supposer qu’elle a sept pouces, d’un diamètre de deux, enfoncés entre les fesses.


Ils se rendent à l’endroit où la baignoire a été dressée, se dévêtent de concert et se plongent dans l’eau. L’intermède avec Marguerite les ayant émoustillés, ils se bécotent et se lutinent d’abondance. En sortant du bain, ils oublient espion et renseignements pour, sitôt séchés, aller vers le lit. Charles y pousse Anaïs pour s’agenouiller, écarter ses cuisses et la langueter. La dame aime le procédé et le manifeste. En échange, elle l’attire pour le pomper jusqu’au lâcher de crème. Icelui ne l’interrompt qu’à peine. Elle poursuit son affaire pour garder à la tige la fermeté idoine.


Elle l’accueille alors dans sa grotte béante et emprisonne son amant de ses jambes et de ses bras. Disposition inutile car il ne cherche aucunement à fuir ; au contraire, il semble qu’il veuille la fouailler au plus profond. Commencé sous de tels auspices, l’après-midi se passe de la plus agréable manière. Charles se vide de nouveau par trois fois, tantôt sur les fesses quand il la baise en levrette, tantôt sur le ventre quand cela est en missionnaire. Entre chaque, la marquise ne marchande point l’usage de ses lèvres, de sa langue et de ses doigts pour le faire revenir raide, le tout entrecoupé de câlins et tendresses.


C’est un peu fatigués par leur entrain génésique qu’ils se lèvent. Le temps a passé fort vite à si plaisantes occupations et déjà l’heure du dîner approche. Le comte reste pour le repas. C’est Marguerite qui assure le service. Elle a toujours l’air fort à l’aise, va, vient, descend à la cave, remonte, se baisse, se redresse avec naturel. Une fois desservi, elle revient :



Incontinent, elle retire ses vêtements qu’elle plie soigneusement et s’agenouille, jambes largement ouvertes. La marquise défait le nœud. Sitôt la lanière lui passant entre les cuisses ôtée, la camériste y porte la main pour s’astiquer avec fougue. Anaïs se met à manœuvrer le manche avec une certaine vigueur qui visiblement plaît, en témoigne le ronronnement de la bénéficiaire. L’exercice dure et Marguerite jouit à trois reprises sans que cela éteigne son ardeur. C’est la quatrième qui la voit rendre les armes. Quasi, elle s’effondre. Ce voyant, la marquise retire le dard du si obligeant fourreau :



La bonne reste plus d’une minute comme engourdie, sous l’œil à la fois intéressé et étonné du couple, avant de reprendre ses esprits et de se lever. Elle a les jambes en coton et le feu aux joues ; au cul aussi, d’ailleurs. La frénésie passée, elle sent présentement que sa porte étroite a été quelque peu malmenée. Elle récupère le fouet, ses affaires, fait révérence :



Elle sort de la pièce en oubliant de se vêtir. Après cet intermède, le comte demeure pour la nuit. Fatigués de cette fertile journée, ils se couchent sagement et s’endorment rapidement. Le lendemain matin, Charles étant appelé tôt par ses devoirs, seuls de rapides baisers sont échangés avant qu’il ne parte. Ils auraient volontiers été plus démonstratifs.


Ce jour durant, le vice-amiral travaille d’arrache-pied sur des dossiers d’armement, de carénage et de réparation de vaisseaux. Le soir, il reçoit un message de Claire lui confirmant le départ de son père le lendemain et qu’elle l’attend le soir. De son côté, Madame de Pierrenoire va rendre visite au correspondant de Sa Gracieuse Majesté pour l’informer des dernières nouvelles.


Il n’est point besoin, le jour dit, de traîner Monsieur de Sombreuil vers le passage que Perrine a ouvert à son intention. Mademoiselle de Villerutay l’attend de pied ferme en tenue d’Ève. Elle lui saute quasi dessus pour le dévêtir, ce qu’elle fait avec une remarquable célérité, et l’entraîne vers le lit pour un tête-bêche, bien qu’elle n’ait nul besoin de stimuli : son intimité est déjà épanouie et lubrifiée. Elle-même n’insiste point trop pour ne pas risquer d’épuiser trop vite son amoureux. Elle profite du cunnilingus. Elle est, à plusieurs reprises, secouée de frissons de plaisir.


Après ces amuse-bouches, passer à des choses plus consistantes n’est pas pour lui déplaire. Elle est aux anges quand Charles l’enfile. Elle attendait ce moment depuis son dépucelage, il y a trop de semaines. Bien sûr, elle s’était souvent caressée pour tromper ses manques de queue et avait même une fois usé d’une carotte, mais cela n’est point semblable à sentir la chaleur d’un homme, ses baisers, ses mains vous peloter et son vit vous ramoner.


Ce premier engagement la comble, mais lorsque Charles se retire pour décharger sur son mont de Vénus, elle s’empresse de le sucer pour un second, en levrette cette fois. Elle apprécie cette position où son amant peut donner plus d’ampleur et de force à ses allées et venues. Quand il se vide sur ses fesses, nullement rassasiée, elle replonge pour un nouveau pompier.


Pour le nouvel assaut qu’elle envisage, elle demande au vice-amiral d’oindre sa rosette, car c’est dans cet étroit chemin qu’elle l’attend. Il ne se fait pas prier pour accéder à ses désirs. L’admission se fait sans inconvénient. Le cul de Claire s’ouvre sans difficulté et absorbe le gourdin avec aisance. Charles commence avec une certaine modération puis, voyant comment réagit la demoiselle, y va de plus en plus fort. Elle met le même enthousiasme à se faire labourer le troufignon que lors de l’inauguration d’icelui, et ce n’est pas peu dire ! Il avait alors été étonné de la fougue qu’avait mise Claire à la gymnastique génésique pour sa première. La seconde n’a rien à lui envier. Charles, qui a de la résistance, après l’avoir défoncée – le terme n’est pas exagéré – un bon quart d’heure, se vide dans ses boyaux.


Avec vivacité Claire se retourne et, oubliant dans son impatience de l’essuyer, embouche le sexe. Elle œuvre jusqu’à ce qu’il retrouve bonne fermeté. Elle s’allonge alors sur le dos, cuisses largement ouvertes, lui offrant une vue saisissante sur l’entrejambe congestionné. Le contemplatif n’est pas du goût de Claire qui manifeste rapidement son impatience à se faire baiser. Il accède à son désir. Elle referme bras sur ses épaules et jambes autour de ses hanches. Elle l’enserre si fort qu’il a presque peine à se retirer pour éviter de se répandre en elle.


Toujours pas rassasiée, elle entreprend de lui redonner une nouvelle fois fière allure. Elle a plus de mal à arriver à ses fins. Quand enfin elle y parvient, c’est pour se faire enculer de nouveau, demandant à Charles de ne pas la ménager. Quand il rend les armes, elle entreprend une nouvelle fellation, mais il crie grâce. Déçue, elle demeure fiévreuse. Son œil se porte sur sa coiffeuse. Elle se dresse brusquement, s’empare d’une brosse à manche d’ivoire qu’elle s’enfile dans le cul et se pistonne furieusement. Quand elle cesse enfin, c’est pour rester inerte sans même retirer le leurre d’entre ses fesses.


Elle a le souffle court, les cheveux collés par la sueur et le regard vague. Charles la regarde, ébaubi par la frénésie dont a fait preuve la jeune fille, son insatiabilité.

Il retire la brosse de son étui de chair. Claire reste toujours comme engourdie. Il procède à de rapides ablutions, se vêt, puis procède à la toilette de Claire. Icelle émerge alors et l’embrasse fougueusement. Perrine est appelée et aide sa patronne à passer son vêtement de nuit. Sur un dernier baiser et un « je t’aime » vibrant de sa maîtresse qui s’endort aussitôt, il regagne le passage, accompagné de la domestique qui le referme derrière lui. De retour dans ses appartements, lui aussi épuisé, il s’endort illico.


Le réveil est un peu délicat. Il se met au travail courageusement. Le soir, il retourne à l’hôtel de Villerutay où elle montre le même allant que la veille.


Le lendemain, après le Conseil, il doit partir pour aller inspecter un arsenal qui ne donne pas le rendement espéré. Il passe faire ses civilités à la marquise et à Claire avant de prendre la route. Il met une semaine à arriver à destination ; une dizaine de jours pour lui sont nécessaires pour appréhender et résoudre le problème. Icelui est assez simple à diagnostiquer. Le directeur aime un peu trop les femmes, ce qui en soi n’est pas un crime, mais surtout l’argent qui facilite ses conquêtes, et c’est là que le bât blesse. Il y a malversation : produits payés plus chers ou de moindre qualité, payes d’ouvriers fictifs détournées… etc. Le vice-amiral le destitue et nomme un responsable intérimaire. Il met une semaine à revenir. Malgré les appuis dont bénéficie le directeur, la décision est confirmée.


Claire attend le retour de Charles.

Le lendemain de son arrivée, après une matinée studieuse, il la rejoint, comme convenu, pour une promenade à cheval. À son arrivée, elle le prie de la suivre dans l’écurie. En lui montrant la selle elle lui demande :



Il ne voit rien de spécial, sinon que ce n’est pas une selle d’amazone.



Il constate, étonné :



Elle se saisit d’une tige de bois luisante sertie d’anneaux portant crochets. Elle explique :



Elle joint le geste à la parole et visse l’objet. Le vice-amiral commente :



Elle déboîte une petite pièce et retire les anneaux.



Elle tend la jambe. Bien que qu’interloqué, il joint les mains. Elle y place le pied et il pousse. Elle enjambe le cheval pour s’asseoir sur sa croupe. Elle demande que Charles lui passe les étriers. Elle s’y dresse, relève sa jupe jusqu’à la taille, dévoilant son charmant conin. Elle ajuste le morceau de bois à sa chatte et l’y fait disparaître. Une fois bien en selle, elle laisse retomber sa jupe :



Elle lance sa monture. Le comte saute en selle et la rejoint :



De fait, il mesure un bon pouce et demi de diamètre pour bien cinq de longueur.



Charles comprend alors le pourquoi de l’aspect luisant du brimborion. Ils cheminent tranquillement en devisant de choses et d’autres. Une fois passées les rues les plus encombrées, Claire dit :



Et de lancer son cheval au trot. Le comte l’imite. Rien ne laisse deviner, en la voyant chevaucher, l’aménagement particulier de sa selle. Elle maintient l’allure plus d’une heure avant de passer au galop. Elle engage sa monture sur quelques obstacles qu’elle franchit sans embarras. Quand elle arrête son cheval, elle se tourne vers Charles :



Elle repart au trot. Charles, qui s’inquiétait au début de l’incommodité qui aurait pu résulter pour sa mie de sa trouvaille, est pleinement rassuré en la voyant chevaucher sans gêne aucune. Il s’alarme de nouveau en la voyant s’arrêter, pliée en deux. Il la rejoint et s’enquiert :



Ledit Charles est quelque peu songeur de se voir taxé d’inconvenance. Claire repart. La promenade dure jusqu’à la nuit. Par deux fois encore elle arrête sa monture pour reprendre ses esprits. De retour à l’écurie, Claire se trouve fort embarrassée car un palefrenier l’accueille pour l’aider à démonter. Elle ne peut décemment pas le faire en sa présence. Elle n’ose imaginer la tête qu’il ferait en voyant sa selle, et surtout les bavardages qui ne manqueraient pas, à l’office, d’aller bon train. Elle ne doute pas que, comme pour la marquise de Pierrenoire et son enculage d’écurie, cela ne se répande comme traînée de poudre.


Heureusement, Charles a la présence d’esprit d’envoyer le lad à la cuisine pour que le souper soit rapidement préparé. Elle peut alors démonter sans crainte et retirer de la selle ce qui en fait sa particularité et la rendre anodine. Enfin, presque, car icelle est d’abondance détrempée, la donzelle ayant eu le con diablement coulant durant la randonnée. Elle s’empresse de l’essuyer au mieux. Quand elle se met à marcher pour rejoindre ses appartements, le démarrage est difficile, tant son entrecuisse est moulu. Malgré cela elle ne regrette nullement son après-midi. Après le repas, Charles rejoint officiellement ses quartiers, pour revenir officieusement par le passage ouvert par Perrine.


Quand même un peu flapie par sa chevauchée, la douce Claire se montre moins insatiable que les jours précédents. Elle se contente de se faire enculer par deux fois.


Le lendemain est jour de Conseil. Avant de s’y rendre, le comte reçoit un message de sa sœur Véronique lui annonçant que sa mère, la comtesse douairière, est au plus mal. Il obtient de Sa Majesté un congé pour se rendre à son chevet. Il passe avertir Claire de son absence d’un peu plus de deux semaines. Elle se montre fort chagrine de la nouvelle défection de son amant. Elle fait contre mauvaise fortune bon cœur et lui annonce qu’elle va durant ce temps aller passer quelques jours à la campagne dans la gentilhommière que son père possède à une quinzaine de lieues de Ressaville, pour faire quelques promenades.


Charles sourit intérieurement en songeant au genre de cavalcade auquel doit penser la demoiselle. Il visite également la marquise pour l’avertir de son départ et lui communiquer quelques informations convenues, puis il pique des deux vers le domaine familial.


Alors qu’elle s’apprêtait à partir à la campagne avec Perrine s’annonça à l’hôtel de Villerutay une délégation de la Ligue maritime du Nord en mission diplomatique. L’ambassadeur n’a son audience auprès de Sa Majesté que dans plusieurs jours. Il désirait en attendant avoir un entretien préliminaire avec l’amiral au sujet des dommages occasionnés par la guerre sur le commerce, la reconnaissance des pavillons neutres et le droit de visite des navires.


Son père, qui s’attendait à cette démarche, lui a laissé pour instruction en son absence d’accueillir au mieux les membres de l’ambassade et de les adresser au vice-amiral de Sombreuil. Icelui étant parti au chevet de sa mère, elle les adresse à Monsieur le premier secrétaire du Ministère de la Marine. Comme son père lui a précisé, elle leur propose de séjourner à l’hôtel de Villerutay.


L’ambassadeur et son secrétaire logeront chez le consul. Les quatre officiers de marine qui l’accompagnent accepteraient l’hospitalité proposée, le consulat ne pouvant tous les héberger, mais ne veulent point contrarier les projets de campagne de Claire. Après discussion, c’est dans le pavillon qu’ils résideront jusqu’à la date de l’audience.


La demeure de Monsieur de Villerutay est assez modeste. Un corps de logis à un étage, comptant une quinzaine de pièces, des écuries assez vastes, et plus loin des bâtiments agricoles et des communs. Un couple en assure la conciergerie. Des fermiers s’occupent des terres. C’est Fanchon Duperche, l’ancienne nourrice de l’amiral, et son époux qui sont concierges. Tous deux sont un peu sourds et ne voient plus très bien, mais l’amiral y est fort attaché. Il ne veut point les désobliger en leur retirant toute fonction : ils se sentiraient inutiles, voire rejetés.


L’un des hôtes, Hans von Wallendorff, se montre rapidement empressé auprès de Perrine. Icelle, ne sachant pas comment l’éconduire sans brutalité, s’en ouvre à sa maîtresse.

Claire prie le galant de ne plus assiéger sa domestique. Monsieur von Wallendorff promet, et ce d’autant plus aisément qu’il a senti quelque chose dans l’attitude et les propos de son interlocutrice qui l’incite à faire sa cour non plus à la domestique, mais à son hôtesse. Il la commencera en suggérant qu’il avait abordé la bonne car il n’osait regarder sa maîtresse.


Claire ne le rabroue point. Elle pense que Monsieur de La Reynie pourrait apprécier si elle pouvait obtenir quelques renseignements du jeune officier sur la Ligue du Nord.

De fait, elle glane de menues informations. Pour ce faire, elle laisse Hans se montrer plus entreprenant qu’il ne serait séant. D’abord tenir la main, puis consentir à des baisers dans le cou. Sous les câlinages la belle est émoustillée, aussi ne s’indigne-t-elle pas plus quand il s’autorise à glisser une main dans son corsage. Quand c’est sous ses jupes qu’il la glisse, elle n’oppose guère de résistance, et encore moins quand il la renverse dans l’herbe et la trousse.


Hans ne pensait pas qu’il serait aussi aisé de culbuter son hôtesse, car point n’est besoin de la prier pour qu’elle écarte les cuisses afin de l’accueillir. Monsieur de La Reynie et ce qui se passe dans la Ligue sont alors à mille lieues de ses préoccupations. Sentir un vit la limer, voilà ce qui lui importe. Lorsqu’il montre des signes d’alanguissement, elle se charge de lui redonner vitalité avec une pipe hardie. Hélas, la cloche du dîner interrompt trop rapidement la joute qu’elle eût volontiers poursuivie plus avant.


Le repas terminé, la discussion s’engage au salon, durant laquelle Claire tente de glaner quelques nouveaux renseignements. Au moment de partir se coucher, elle glisse à Hans que la porte de sa chambre n’est point close.


Icelui, ayant constaté l’inflammabilité de la demoiselle, songe à faire profiter son cousin Frantz de ses bonnes dispositions. Hésitant à l’amener impromptu directement dans la chambre, il songe à proposer à Mademoiselle de Villerutay une promenade au clair de lune. Elle accepte volontiers. Tandis qu’elle va quérir un châle, il retient son cousin, lui narre sa bonne fortune et lui propose de la partager. Claire accepte la présence du second officier à la déambulation sous les étoiles. De même elle n’objecte pas quand celui-ci, imitant Hans, se permet quelques privautés et ne fait rien pour l’empêcher de pénétrer dans sa chambre.


À ce moment, Charles est loin, et pas seulement physiquement : dans son esprit aussi. C’est son désir exacerbé de sexe qui l’occupe, l’après-midi l’ayant laissé inassouvie. À peine entrés, elle se retrouve rapidement nue. Il faut avouer qu’elle a mis du sien pour quitter ses vêtements et aider ses partenaires à faire itou. Elle apprécie hautement le jeu à quatre mains et deux bouches des cousins. En contrepartie, elle les gratifie de gâteries buccales, avant qu’alternativement ils ne la baisent.

À un moment, elle demande à Frantz, à moins que ce ne soit à Hans, elle ne sait trop lequel la ramone à ce moment (à sa décharge, elle est prise en levrette) :



Hans, car c’est lui en action, point sûr d’avoir saisi :



Plus de doute. Il quitte le con et plonge d’un coup là où ou il est appelé. Son cousin et lui ont la même pensée : « Cette demoiselle de Villerutay est une belle gueuse… ». Et une même idée leur vient : en faire bénéficier leurs compagnons, Maximilian von Spee et Max von der Goltz.


Cette entrée sans préparation dans son étroit orifice coupe le souffle de Claire. Elle reste un moment pétrifiée, la bouche ouverte sans qu’aucun son n’en sorte. Quand ses sens lui reviennent, ce n’est point pour protester contre la brusquerie de la pénétration, mais pour participer avec ardeur au labourage de son croupion. Elle se cambre et va au-devant du pieu. Frantz, délaissé car la donzelle a cessé de le sucer pour mettre sa tête dans ses bras afin de mieux tendre les fesses, se dit que les deux trous étant disponibles et utilisables, il n’y a pas de raison pour qu’il reste hors des ébats. Il laisse son acolyte œuvrer encore une minute avant de lui glisser quelques mots de ses desseins. Icelui approuve l’idée d’un hochement du chef.


Hans se retire de l’accueillant cul et s’allonge, invitant Claire à venir s’enconner. II l’attire pour qu’elle s’allonge sur lui. Elle eût plutôt incliné à poursuivre dans la même voie, mais n’ergote pas : il sera toujours temps d’y revenir. Il la fait s’allonger sur lui et passer les jambes de chaque côté des siennes pour bien les maintenir écartées. Il complète l’agencement aux fins de l’intervention de Frantz en écartant les ravissants globes. Icelui, voyant les conditions à son entrée en jeu optimales, se place au-dessus du couple. Il se laisse quasi tomber sur Claire, entrant lui aussi d’un coup dans sa rosette. Elle ne s’attendait aucunement à cette initiative qui, là encore, lui coupe le souffle.


La surprise passée, elle prise l’intervention. Cette nouvelle sensation de sentir deux vits s’activer concomitamment l’enchante. Les deux hommes, qui eux aussi pratiquent pour la première fois, apprécient aussi. Parfois leurs mouvements sont synchronisés, parfois non. Ils sentent quand ils la pénètrent au plus profond en même temps le sexe de l’autre. Ils s’étonnent de la capacité d’absorption de la fille, car ils ne la ménagent pas. Cela a même l’air de lui plaire beaucoup ; et ça n’en a pas que l’air car elle prend son plaisir, et peu discrètement qui plus est. La nuit est avancée quand ces messieurs regagnent leur chambre.


Le lendemain, les officiers doivent se rendre à Ressaville pour une réception. Au désappointement de leur hôtesse, d’autant qu’ils ne rentreront que le surlendemain fort avant dans la nuit. Quand ces messieurs font leur apparition, la matinée est bien avancée. Après le repas, un voisin qui a appris la présence des invités vient faire visite. Ancien capitaine, il a dans son jeune temps fréquenté les ports du Nord et est ravi de pouvoir en parler et avoir des nouvelles de connaissances. Il est très bavard et regagne ses pénates le soir approchant. Il obtient plus de renseignements que la fille de l’amiral, malgré l’ardeur qu’elle y a mise. De plus, il est plus à même d’en évaluer la valeur ; c’est d’ailleurs pour cela que Monsieur de La Reynie l’a diligenté. Et qui se méfierait d’un vieux monsieur ?


Après dîner, Claire et ses hôtes sortent se promener. Hans et Frantz proposent une partie de colin-maillard qui est acceptée avec empressement. Claire étant la seule participante, il n’y a guère de doute quand elle est attrapée. Ces messieurs font quand même mine d’hésiter : cela permet d’avoir les mains qui s’égarent sans que la demoiselle y trouve à redire, et ils ne s’en privent pas. Quand c’est elle qui a les yeux bandés, les mains se font également indiscrètes. In fine, quand le jeu s’achève, elle est dépoitraillée, les tétons dressés, et c’est non plus deux, mais quatre hommes qui la suivent dans sa chambre.


Claire n’est pas complètement inconsciente. Elle sait que ces hommes quittent d’ici peu le royaume ; son père et Charles sont absents… elle se permet donc ce dévergondage. Seule Perrine, qui ne la trahira point, est au courant. Le vieux couple est trop sourd et trop miraud pour se rendre compte. Le reste de la domesticité est dans les communs suffisamment éloignés du château pour ne rien craindre. De plus, elle s’est arrangée pour que les promenades se déroulent à l’opposé d’iceux. Cet intermède licencieux terminé, elle reprendra le cours de sa vie avec celui qu’elle aime mais à qui elle en veut, quoi qu’elle en dise, de ses rapports avec la belle marquise. Il n’y pas de raison, se dit-elle, qu’elle aussi ne connaisse des plaisirs en d’autres bras. Elle remplace la durée par la quantité.


Tous se retrouvent rapidement nus et la fête commence. Après quelques préliminaires manuels et buccaux, Claire est baisée par chacun des hommes présents à tour de rôle, Hans en missionnaire, Max en la prenant sur lui et les deux autres en levrette, mais chaque fois elle garde la bouche occupée. Après cet échauffement, Hans attire Claire sur lui. Une fois icelle en place, occupée à sucer Max, le cousin approche et s’enfonce dans le fion d’un coup. Cette fois-ci elle n’est point surprise par cette intrusion. Elle se doutait que les deux hommes récidiveraient, et l’escomptait même quelque peu.


Ce sont les deux autres officiers qui n’en croient pas leurs yeux. Maximilian vient regarder de plus près, imité par Max qui retire sa queue des lèvres pourtant accueillantes. À partir de là, Mademoiselle de Villerutay passe une bonne partie de la nuit prise entre deux hommes. Chacun d’eux étant tantôt dessus, tantôt dessous, tantôt dans le con, tantôt dans le cul ou devant à se faire sucer. Bien qu’ils la travaillent sans relâche, elle subit l’assaut sans faiblir, prenant plusieurs fois son plaisir. Après que Max, le plus résistant de ces messieurs, l’eut enculée une dernière fois, ils se retirent. Elle s’endort presque immédiatement, sans même se débarbouiller du foutre qui englue sa figure ni nettoyer celui de son ventre et de ses fesses. Elle en a également une bonne rasade dans sa fleur de Sodome. Elle songe à peine à s’inquiéter qu’ils n’aient pas fait de même dans son vagin.


Le lendemain, elle n’émerge pas avant le milieu de l’après midi. Après s’être lavée, elle reste jusqu’au dîner dans sa chambre qu’elle rejoint seule après le repas ; son intimité est un peu sensible. Après cette nuit de repos, elle se réveille fraîche et dispose. Sachant que ses hôtes doivent quitter la propriété le surlendemain matin pour l’audience de Sa Majesté à la suite de laquelle ils reprendront la route de leur pays, elle décide de profiter des dispositions de ces messieurs avant leur départ, et ce dès l’après-midi. Tout ce joli monde se retrouve au salon pour une dernière partie de jambes en l’air.


Charles, au soir du troisième jour d’une chevauchée fiévreuse, en arrivant dans une auberge reconnaît un domestique de la famille. En le voyant, il craint le pire. Icelui le rassure. Sa mère se porte au mieux, il n’y plus d’inquiétude à avoir. Il lui remet une lettre de sa sœur où elle s’excuse de s’être affolée trop rapidement et que sa venue n’est point indispensable.


Soulagé, le comte passe une nuit moins tourmentée que les deux précédentes. Le lendemain, il décide de reprendre le chemin de Ressaville. Alors qu’il chemine tranquillement, il se demande si Claire aurait pu suivre la cavalcade qu’il vient de faire avec sa selle trafiquée. Il opte d’abord pour la négative, trouvant l’exercice par trop éprouvant. Puis en y réfléchissant plus avant, sa réponse n’est plus aussi péremptoire ; l’appétence dont elle fait preuve pour les choses du sexe le fait douter.


De spéculer sur sa belle lui fait rappeler qu’il va passer non loin du domaine de l’amiral, et que s’y rendre ne lui ferait point faire grand détour. Il en prend donc le chemin.

En arrivant, il croise le père Duperche, qui lui dit que Mademoiselle est avec ses invités au premier. Il attache la bride de son cheval à un anneau et grimpe le perron d’un pas alerte, tout à la joie de la revoir et s’engage dans l’escalier. Il ouït, venant du dehors, la voix de Perrine le héler ; mais ayant déjà été renseigné par le concierge quant à la présence de Claire dans la maison, il passe outre.


Arrivé à l’étage, il traverse le palier et entre dans le salon où Claire reçoit. Elle a un sens de l’hospitalité très développé. Charles la découvre, vêtue des seuls bas en soie blanche qu’il lui a offerts. Elle est entre deux hommes. Celui du dessous la baise tandis que celui du dessus l’encule d’amples et puissants mouvements. Elle en suce un autre tandis qu’un quatrième regarde la scène en se caressant le vit. Et cela doit faire un temps certain qu’ils sont en action car elle a le visage dégoulinant de foutre.


Il reste quelques secondes médusé devant le spectacle de son aimée. Perrine arrive en lançant un avertissement. Celui-ci attire l’attention des protagonistes qui tournent leurs regards vers lui. Claire lâche un cri en partie étouffé par la queue dans sa bouche et essaie de se lever rapidement. Prise entre deux partenaires, cela se révèle délicat. Quand elle est enfin debout, Charles a déjà tourné les talons et claqué la porte. Elle attrape un saut-de-lit et se lance sur ses traces.


En sortant, le visage fermé, il bouscule la chambrière qui arrive essoufflée et dévale l’escalier. Arrivé au bas du perron, son cheval a disparu. Il est certain de l’avoir bien attaché. Il regarde de tout côté et aperçoit le concierge qui le mène vers les écuries. Il le hèle, mais l’autre n’entend pas. Il part sur ses traces et le rattrape sans difficultés car il ne marche pas vite. Il l’arrête. Le bonhomme se retourne. Il le remercie et lui dit qu’il ne va point demeurer céans et repartir à l’instant. L’autre ne lâche pas la bride. Il a l’air un peu égaré, les yeux fixes qui ne le regardent même pas. C’est en entendant des pas précipités dans son dos qu’il regarde derrière lui. Il comprend alors l’attitude du vieux. Claire arrive en courant, simplement vêtue d’un déshabillé flottant qui ne dissimule guère son anatomie. Elle l’attrape par le bras :



Charles la toise :



Il dégage et saute en selle. Claire s’accroche à ses basques :



Il talonne sa monture. Elle tombe à genoux avec un cri d’oiseau blessé. Il ne se retourne pas. Elle reste comme hébétée. Perrine arrive avec un manteau dont elle couvre sa maîtresse, l’aide à se relever et l’entraîne vers sa chambre sous le regard incrédule des concierges, d’un palefrenier et de quelques fermiers, mais également de ses quatre partenaires de paillardise qui regardent la scène par la fenêtre.

Quand elle regagne sa chambre, Hans va à sa rencontre et s’inquiète :



Claire, qui veut garder malgré tout bonne contenance :



Arrivée dans ses appartements Claire s’effondre en larmes. Elle vient de perdre Charles. Elle ne se fait guère d’illusions quant à un éventuel raccommodement après le spectacle qu’elle vient de lui donner. Elle se maudit de son inconséquence, mais pouvait-elle prévoir son retour au bout de moins d’une semaine alors qu’il devait être absent plus de deux ? En plus de cela tout s’est ligué contre elle. Il serait passé la veille, le voisin était en visite ; le jour d’avant ses visiteurs étaient absents, et le lendemain ils étaient partis. Cerise sur le gâteau, la porte n’était point fermée et Perrine, envoyée occuper la mère Duperche, ne pouvait le retenir.


La camériste dévêt sa maîtresse et entreprend de la laver sans que Claire ne réagisse beaucoup. Jusqu’à présent la fille de l’amiral procédait seule à ses ablutions après ses ébats. Aussi sa domestique, même si elle savait que sa maîtresse baisait d’abondance, n’en est pas moins étonnée de voir l’état d’icelle. Le visage, mais aussi le ventre, les seins et les fesses gluants de foutre, et surtout de tout son entrejambe congestionné. Malgré cela, elle s’inquiète pour sa maîtresse. Elle qui est sage et encore pucelle tente de la réconforter tout en œuvrant :



Elle brode et disserte tout au long de la toilette. Elle suggère, connaissant la fougue de Claire pour le déduit et présumant que cela lui redonnerait goût le la vie :



La discussion se prolonge. Perrine insiste sur les avantages de la chose et en minimise les inconvénients. Elle sent que petit à petit sa maîtresse se fait moins réticente. Peut-être la manière dont elle nettoie longuement la vulve de Claire n’y est-elle point étrangère. Elle argumente tant et si bien que la demoiselle finit par se rendre à ses raisons, et c’est d’un pas décidé qu’elle retourne vers le salon où les quatre hommes, de nouveau vêtus, discutent de l’incident. En entendant quelqu’un approcher, ils changent de conversation.


Elle entre dans la pièce :



Cette entrée en matière rend les quatre marins dubitatifs. Max hasarde :



Et l’attrapant par la taille pour l’attirer vers lui et l’embrasser, il ajoute :



La belle n’oppose qu’une résistance de principe, et rapidement tous les protagonistes se retrouvent en tenue de nature. Bientôt la très accueillante jeune fille s’ouvre par tous les trous pour recevoir l’hommage des mâles empressés à la combler. Elle passe plus d’une heure à quatre pattes. Quand l’un d’eux s’allonge sur la causeuse, elle vient s’enconner et tend l’arrière-train dans l’attente de l’occupation de son autre accès. Elle n’est pas déçue. Les aiguilles tournent et les hommes aussi.


Perrine, qui ne perd rien, juge qu’elle a trouvé le bon moyen pour redonner le moral à sa maîtresse. Elle est si absorbée qu’elle ne remarque un brouhaha assourdi. Quand elle réalise, il est trop tard. La porte du salon, à l’opposé de son poste d’observation, s’ouvre : Mademoiselle de Villerutay est de nouveau surprise entre deux hommes.


_______________________________________________




Les épisodes précédents :


Origines : attaque et prisonniers

La vie reprend : il faut s’adapter

La vie reprend : la curiosité peut révéler des choses

La vie reprend : espoir de promotion

La vie reprend : ennemis jusqu’où ?

Espoir de promotion – Croisée des chemins – À la cour du Roi

La déception pousse vers des voies étroites

Du côté des prisonniers

Du côté des prisonniers : Marion – Jacquotte

Les surprises du vicomte

Débarquement

Occupation et conséquences

À la cour Charles : Anaïs, Claire, famille et surprises

Retour au pays et du nouveau à la cour tanibrinque

Diversion – Débarquement en Érinlande

Retour en Canfre : Mathieu Lescot et Jacqueline Lechamp

Retour en Canfre : les familles ennemies

Arrivée en Canfre : Jacquotte, les Galleway, de La Tiémont

Retour plus délicat de Madeleine Lepont

Retour de Catherine de Révilly et de ses compagnes

Le Dauphin