Tri par récit | Dernières notations |
Athanagor | Obsédé sexuel courtois, sensible et à l'esprit perturbé en présence de femmes. Manque de chance : elles m'attirent terriblement. | ||
Moyenne des notations = 14.140. Ecart type = 2.130. Elle est basée sur 1029 notes. Au total 1065 appréciations. |
N° Date |
Titre, auteur(e), série | Nb car | Not | Commentaires | Moy |
---|---|---|---|---|---|
19040 (18/06/19) |
fh Ceci n'est pas un plan cul ! |
15821 | Excellent - 18 | Superbe. Je n’ai que des compliments en tête. Ce petit récit me laisse admiratif. Concis, précis, propre. J’y trouve tout ce qui fait la saveur d’une belle rencontre, avant, pendant et après. J’en retiens l’idée que la vie vaut le coup d’être vécue. | ++++ |
18743 (22/12/18) |
fh Le comte de Noyelle |
33654 | Excellent - 18 | Ouah… Il est sévèrement frappé ce récit ! Je n’ai jamais lu d’excuse aussi pourrie pour avoir fait miauler la chatte de Belle-Maman ! Tu parles d’un trip ! Mais c’est cool, j’ai bien profité des vapeurs, j’en ai encore les pupilles dilatées ! Excellent. | ++++ |
18632 (30/10/18) |
co Au coeur de la Grande-Forêt |
45279 | Excellent - 18 | Soyons objectif : c’est hors norme (et je ne pense pas au nanisme, ça je m’en branle…). Quel boulot d’écriture, de construction ! Quel esprit fécond ! Quel plaisir de lecture ! Et C’EST PARFAITEMENT VRAI que ceci est LA VÉRITABLE HISTOIRE ! | ++++ |
18407 (04/06/18) |
fh Sale copulo ! Normes inversées... (1) |
53236 | Excellent - 18 | Le procédé d’inversion n’est pas nouveau pour l’auteur. Utilisé ici dans un autre contexte, il est toujours aussi efficace, voire davantage : la projection est plus aisée pour moi dans ce cas. J’ai trouvé ce texte très intelligent, brillant. Bravo. | ++++ |
18389 (24/05/18) |
co La sorcière d'Étrépigny Les enquêtes du curé Meslier (0) |
10944 | Excellent - 18 | Un pur petit chef-d’œuvre ! C’est documenté, cultivé sans être chiant, ficelé comme il faut, avec de l’esprit et de la malice… et puis ça parle un peu de cul aussi ! Tout ce que j’aime ! Que demander de plus ? D’autres épisodes ? Encore ! (18 = excellent) | ++++ ![]() |
17803 (26/02/17) |
bl Dans ses yeux |
99338 | Excellent - 18 | Sans parler des qualités littéraires indéniables, je retrouve ici l'inconstance humaine dans toute sa splendeur. Tantôt puérils, excessifs, manipulateurs (y compris envers eux-même)... les personnages sont pourtant si beaux. On ne badine pas avec l'amour. | ++++ |
17565 (19/09/16) |
dn Une histoire d'amour |
29734 | Excellent - 18 | J’ai bien aimé ces instantanés poétiques qui, bout à bout, racontent une histoire. D’autant plus que certains tapent juste, pile poil sur le nerf à frisson. L’effet est saisissant : en parlant d’émotion et de ressenti, l’auteur vise l’essentiel. | ++++ |
17347 (22/04/16) |
ne Rencontre de l'Ange |
32492 | Excellent - 18 | Récit bouleversant où l'horreur et la tendresse se côtoient, où l'attentat, les secours sont très réalistes et où pourtant le merveilleux fait doucement sa place… Superbe fin, même si les tout derniers mots sont empruntés, mais quel emprunt. | ++++ ![]() |
16817 (16/05/15) |
fh D'ébène et d'opale - 2/2 D'ébène et d'opale (2) |
30519 | Excellent - 18 | D’un quiproquo, qui ne semble finalement tromper personne, découle une relation aussi incendiaire qu’inhibitrice. C’est un des nombreux paradoxes de ce récit basé sur les oppositions. Moi-même, je peine parfois à lire une langue aussi riche… et pourtant ! | ++++ ![]() |
16757 (14/04/15) |
ne Poésie brodskyenne |
13120 | Excellent - 18 | Fantastique, désespérée, impulsive, révoltée, contemplative et critique, écorchée, exaltée, amère, revendicatrice... La poésie de Brodsky est complexe comme une vie. C'est peut être pour ça qu'elle me touche. | ++++ |
15762 (24/08/13) |
fh L'harmonique des corps L'harmonique des corps (4) |
23026 | Excellent - 18 | Cette série fait fortement écho à des souvenirs personnels et j’ai peur de ne pas avoir l’esprit très objectif. Autant dire que j’ai adoré cette série. Très sexuelle, très intime, et bien plus : c’est un vrai parcours initiatique, terriblement humain. | ++++ ![]() |
13973 (04/08/10) |
co Quatorze centimètres |
16217 | Excellent - 18 | Nos années lycée : les vestiaires, les filles, le premier cinémamoureux, le 14 cm qui pourrait être un zozotement ou des oreilles décollées. Les premières fois et la vraie première fois, celle qui compte... C'est finement raconté ! J'ai adoré ! | ++++ ![]() |
13337 (21/06/09) |
co Merci, Julie |
17209 | Excellent - 18 | Je découvre l’auteur et je suis impressionné. « Elle croque les hommes comme des cerises, en crachant les noyaux. » J’aurais aimé l’écrire. L’histoire est simple, juste, touchante. Elle est servie par une écriture fine, qui pose l’essentiel. J’adore. | ++++ |
12093 (17/12/07) |
co Haunted House |
29008 | Excellent - 18 | Un des premiers récits lus sur Rvbb qui m’ont marqué. L’ambiance y est très réussie. J’adore ce mélange de fantastique et d’érotisme, qui, à mon avis, n’est pas évident à écrire : le risque de tomber dans le ridicule est grand. L’auteur s’en sort très bien en soignant une mise en condition progressive avant… la bascule. Le schéma n’est pas nouveau, mais il est bien réussi, je trouve. La scène érotique qui suit peut ainsi se dérouler dans un contexte de tension où l’on recherche ses repères. C’est très efficace. Mais bon, je relis ce récit quelques années après ma première lecture et j’ai compris le truc. C’est évident en fait : il y a une explication scientifique toute bête. Un peu de zététique et j’ai même pu retrouver la petite culotte ! | ++++ ![]() |
10530 (19/06/06) |
fh Dies illa |
17111 | Excellent - 18 | Je me suis pris une claque. Entre le blocage initial, la libération jouissive, le « père modèle », l’incompréhension… j’ai été chahuté. Montagnes russes haletantes, où j’ai craint, à mesure que la fin approchait, que les rails s’arrêtent dans un mur. | +++ |
10372 (30/04/06) |
un Branleur ! |
22270 | Excellent - 18 | Ça pourrait être le récit désolant d'un accro de la branlette (pathologie réelle), mais la virtuosité de l'auteur en fait quelque chose de jubilatoire. Au lieu de toucher le fond, il atteint les sommets... d'un jet puissant. | ++++ ![]() |
10167 (19/02/06) |
bl Le Résistant |
22931 | Excellent - 18 | C’est superbement écrit. J’ai été un moment perplexe… plongeons-nous dans l’absurde ? Et puis je me suis reconnu résistant, un peu. Je suis finalement subjugué par la puissance de ce récit allégorique, extrême et sombre, du tourment des désirs charnels. | ++++ ![]() |
21022 (27/07/22) |
dn Paysanne |
8050 | Excellent - 18 | Oui, c’est beau, splendide même. A l’écrit, c’est impressionnant, alors l’imaginer improvisé à l’oral… ça me laisse rêveur. Qui ne succomberait pas à de telles tirades ? Même Roxane a bien fini par pleurer sur l’épaule – et le nez – de Cyrano. Chose étrange pendant ma lecture : je voyais exactement à qui j’aurais pu dire ces mots (voulu dire…). C’était troublant. J’imaginais ma Jeanne à la place de cette Rose. (Malheureusement pour elle, je n’ai jamais été qu’un âne.) |
++++ |
21016 (24/07/22) |
fh Nutella |
30656 | Excellent - 18 | L’auteur ne serait-il pas un peu lassé de ronronner dans les comédies romantiques pour se diriger vers un registre plus amer ? L’élan romantique est pourtant bien présent : une rencontre improbable, un amour impossible, un brin mélancolique et consommé avec beaucoup de tendresse et ce qu’il faut de fougue… Seulement cet élan est étouffé par le poids du quotidien, du marketing et des promos agressives. Il est surtout brisé par ces barrières qu’on se met soi-même, et qui sont susceptibles de transformer de bons souvenirs en regrets. La résignation des personnages est décevante, surtout de la part de Vincent, qui avait de bonnes raisons de vouloir prendre une revanche sur la vie. Restent un beau récit, amer certes, mais désintéressé, et cette belle parenthèse, qui m’a permis de rêver malgré tout. Merci M’sieur. |
++++ |
21004 (14/07/22) |
fh Un 14 juillet bleu blanc sexe 14 juillet 2022 (0) |
33747 | Excellent - 18 | J’imagine Samir Erwan poser ses mots tel Delacroix esquissant les contours de sa Liberté. Enfin bon, sans rire, fallait oser l’image. Mais l’auteur a bien fait, et très bien même ! Le résultat est jouissif. Et moi, comme un con, je lis sa version de « Un 14 juillet bleu blanc sexe » en guettant le faux pas, la phrase de trop… et je me pourris ma lecture tout seul. Mais à quoi bon ? J’ai bien fini par courir, moi aussi, derrière cette Liberté. L’auteur a réussi à m’entraîner dans le tourbillon de son récit. L’ambiance, l’action, les personnages… tout est crédible. La narration est bien dosée : elle ne verse pas dans le récit partisan ou caricatural (même si la teinte dominante est le noir, ça ne parle pas vraiment politique ici). J’ai aimé l’érotisme décomplexé. L’écriture aussi, avec de belles tournures. Mais pourquoi ce saut dans le temps ? Je n’en comprends pas l’intérêt. |
++++ ![]() |