n° 18393 | Fiche technique | 59472 caractères | 59472 10195 Temps de lecture estimé : 41 mn |
26/05/18 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Il n'est pas facile de demeurer en Canfre quand on y arrive clandestinement. | ||||
Critères: #historique fhh extracon fsoumise humilié(e) chantage fmast fellation cunnilingu fgode pénétratio double fdanus | ||||
Auteur : Bernard Nadette Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Conflits Chapitre 23 / 32 | Épisode suivant |
Résumé 23 (voir les liens vers les épisodes précédents en fin de récit) :
La guerre fait rage à la suite d’un raid tanibrinque sur le port de Dorbauxe dans le royaume de Canfre. Des prisonniers sont emmenés en captivité. Une opération de débarquement est organisée pour venir en aide aux prisonniers, mais surtout pour libérer l’héritier du trône dont les geôliers ignorent la qualité. Suite au raid canfrais, c’est au tour des soldats tanibrinques de partir vers la captivité. Cela désespère Patricia comtesse de Swordfish, épouse du commandant glaisan et Audrey de Highjone, maîtresse d’Henri de La Tiémont, commandant des canfrais prisonniers. Elles forment le projet de se déguiser en soldats afin d’être embarquées avec les prisonniers et de suivre l’homme qu’elles aiment en Canfre. Ne pouvant se joindre aux officiers, trop peu nombreux et craignant que Ian de Swordfish ne refuse, elles décident de s’intégrer à la troupe grâce au sergent Quincannon. Si Audrey réussit sans problèmes à s’infiltrer, Patricia se fait surprendre, alors qu’elle se change pour enfiler un uniforme de soldat par le sergent Pierre Belrive et le soldat Lucien Brindacier. Pour qu’ils ne la dénoncent pas ni ne la chassent, elle leur accorde ses faveurs (voir particulièrement l’épisode n°11 « Débarquement »).
______________________________________________
Patricia et Audrey sont débarquées avec les autres prisonniers, toujours couvées par le sergent Quincannon. Avant de se faire connaître aux autorités, elles décident de se tenir coites pendant une journée, le temps que l’agitation se calme. Le soir, elles déambulent dans la cour de la caserne où les soldats sont retenus en attendant leur transfert vers leur lieu de détention. Soudain Patricia, agrippe le bras de son amie et entre dans le bâtiment précipitamment. Audrey lui demande :
Le lendemain, dès l’aurore, elles s’installent à une fenêtre pour observer les allées et venues. La relève à lieu peu après. Elles voient les deux hommes partir avec le reste de la garde. Elles laissent passer une bonne heure pour éviter toute surprise avant de sortir et arrêter un lieutenant qui traverse la cour. C’est Patricia prend la parole :
Le lieutenant est ébaubi de se retrouver en face de deux jeunes femmes en uniforme glaisan. Il va pour dépêcher une estafette pour chercher le commandant de La Tiémont, mais réflexion faite, il juge préférable de d’abord en référer à son supérieur qui est chargé du commandement. Il prie Patricia et Audrey de le suivre. Chemin faisant, il admire l’amour qu’elles portent à leur époux et leur courage pour les rejoindre en terre ennemie et il se demande si sa femme le ferait. Arrivée en présence du capitaine, Patricia répète son discours. L’officier ne montre pas autant de bienveillance que son subordonné :
Audrey demande :
L’arrivée des deux soldats clôt la discussion. Le capitaine donne ses instructions et salue brièvement ces dames avant de partir d’un pas alerte, sans même attendre qu’elles y répondent.
Les deux glaisanes sont effondrées. Patricia surtout est ulcérée. Avoir accepté tout ce qu’elle a accepté en vain, pour finir renvoyée, elle en pleurerait de rage et de dépit. Brusquement elle saisit le bras de son amie :
Le silence s’installe maussade, qu’Audrey rompt :
La journée passe lentement. Les deux jeunes femmes prient pour que les deux militaires soient bien de service. Vient enfin l’heure de la relève. Dieu merci, ils sont là. Elles descendent dans la cour et attendent un moment favorable, alors Patricia les aborde :
Les deux hommes s’arrêtent surpris :
Le soldat tire Belrive par la manche pour l’entraîner pour lui glisser quelques mots :
Le sergent reste interdit quelques instants avant de donner une claque dans le dos de Brindacier en éclatant d’un rire sonore. Il se tourne vers Patricia :
La comtesse s’en veut d’avoir été trop bavarde. Elle aurait dû dire qu’une fois dehors elle se serait mise en quête d’une personne, plus compatissante que le capitaine, qui les aurait laissées demeurer en Canfre. Il serait stupide de nier maintenant.
Patricia pense incontinent à la petite tache en forme de cœur qu’elle a en haut de la cuisse droite près de l’aine. Le sergent la regarde d’un air narquois. Par bravacherie elle lance :
Patricia reste coite, mais en son for intérieur elle doit bien le reconnaître. Le sergent enchaîne :
Les deux jeunes femmes se taisent attendant la suite. Les voyant attentives, il poursuit :
Patricia opine. Il reprend :
Sur ces paroles, il tourne les talons sans même attendre de réponse et s’éloigne à grands pas, suivi du soldat, les laissant décontenancées. La première, Audrey réagit :
Elles se mettent en quête. Elles déambulent pendant une heure en se faisant refouler avant pouvoir s’approcher de nombreuses de porte. Elles finissent par regagner la chambre qui leur a été assignée, assez découragées. Elles élaborent des plans chimériques une partie de la nuit avant d’enfin s’endormir.
Le lendemain matin, elles émergent tard, assez démoralisées. Elles tentent de faire parvenir un message à monsieur de La Tiémont. Sans succès, personne ne veut s’en charger, même avec la promesse d’une récompense sonnante et trébuchante. Probablement deux raisons à cela, primo aucun des soldats soit ne le connaît, soit ne sait où le chercher, secundo la crainte de se faire remarquer par le si peu commode officier. Elles traînassent un peu après le repas et retournent maussades dans leur chambre. L’après-midi est déjà bien avancé quand soudain Patricia s’écrie :
Audrey regarde son amie interrogative :
Elle laisse sa phrase en suspens.
Patricia va s’asseoir près de la fenêtre pour lire le livre qui l’accompagne depuis Mayphoult, tandis qu’Audrey sort. Elle revient une bonne demi-heure plus tard. Sa quête a été fructueuse, non seulement, elle a pu se procurer des serviettes, mais aussi plusieurs seaux et une brosse à cheveux.
Audrey fait un brin de toilette et se brosse les cheveux, cela l’apaise. La décision de Patricia la laisse plus que pensive. Elle voit son amie se contrister de sa conduite, au point qu’elle a craint un geste désespéré. Et voilà qu’elle va réitérer, sans que des tourments n’aient l’air de la tenailler ni manifester d’affliction. L’idée lui traverse l’esprit, qu’inconsciemment, la très honorable comtesse de Swordfish serait tentée de goûter de nouveau au dévergondage. Elle tente de chasser cette pensée de son esprit, mais n’y parvient. Elle en vient même à s’interroger si, somme toute, Patricia n’est pas mécontente, de pouvoir en toute bonne conscience retrouver des plaisirs gaillards.
La fin d’après-midi arrive et avec elle, la relève. Belrive et Brindacier s’installent bien en évidence devant la fenêtre des glaisanes. Audrey s’attendait à voir Patricia descendre, or icelle poursuit sa lecture, sans manifester l’intention de bouger. Au bout de dix minutes, elle demande :
Il fait déjà bien sombre quand Patricia se lève et sort. Son amie la suit. Alors qu’elle va pour descendre, elle s’arrête :
Audrey sort et se dirige nonchalamment vers les deux hommes qui visiblement commencent à trouver le temps long. Elle leur délivre le message en marquant à peine l’arrêt près d’eux et s’en retourne. Les soldats se présentent moins de dix minutes plus tard. Elle barre la porte et monte derrière eux. Patricia a allumé des chandelles et tiré le contrevent. Elle ne dit pas à un mot à leur entrée, c’est Audrey qui demande :
Le soldat lui tend un ballot. Elle l’ouvre, il contient deux robes, mais aussi des bas et deux chemises. Le sergent précise :
Patricia se lève un peu raide et commence à se dévêtir.
Elle obtempère en maniérant son déshabillage. Une fois nue, elle s’approche du sergent et se faisant câline, déboutonne sa vareuse et la lui retire. Elle fait de même avec le soldat. Elle continue avec la chemise et s’attaque enfin à la culotte. Elle met près de dix minutes à dénuder les deux hommes. Le sergent attrape Audrey par la taille.
C’est Patricia qui réplique :
Audrey, qui ne s’y attendait nullement à ce que le sergent se montre entreprenant, se dégage et, prise de court, rétorque :
Alors seulement elle se rend compte de ce qu’elle a dit sans réfléchir et de ce que cela peut sous-entendre quant au comportement de sa compagne. Elle se sent confuse, d’autant plus que Patricia la regarde. Elle lui fait un signe de connivence, espérant qu’il fera passer ses propos pour une manière de lui souhaiter bon courage et non pour un jugement sur son goût à se faire culbuter.
Le sergent s’est déjà tourné vers Patricia :
Il ponctue son entrée en matière d’une claque sur les fesses. Audrey va s’asseoir sur la chaise. Elle est aux premières loges pour la suite des opérations. Encore mieux que la dernière fois, où elle était un peu loin et ne pouvait voir qu’entre deux planches disjointes. Il ne lui est même pas venu à l’idée de laisser les protagonistes entre eux. Patricia eut préféré qu’elle se retire. De la voir s’installer comme au spectacle la contrarie, puis elle se dit qu’après tout, cela ne change pas grand-chose. Après tout n’a-t-elle pas déjà assisté à la première ? Cette fois-ci elle va lui montrer qu’elle peut garder le contrôle. Visiblement le sergent aime toujours parler et commenter. Cela fait partie de son plaisir. Le soldat, lui, est plus basique. Autant entrer dans le jeu de Belrive :
Elle va s’agenouiller pour sucer, il l’en empêche et l’emmène vers le lit où il la couche en travers. Elle s’attend à se faire pénétrer d’emblée, mais le sergent pressentant qu’elle n’est pas, malgré ses dires, dans les meilleures dispositions, met genoux en terre, soulève ses cuisses en les écartant et entreprend de la lécher. Ne s’attendant à ce genre d’initiative, elle pousse un « Oh ! » de surprise. Il ne se contente point de coup de langue, il débusque le clitoris pour le sucer et après qu’il eut gonflé aussi le mordiller. Pour ne point rester bras ballants, le soldat entreprend de lui peloter les seins. L’effet ne tarde point. L’intimité de Patricia s’humidifie et la salive du sergent n’en est pas la cause première. Le bougre sait y faire. Quand il lâche les jambes de la belle afin de lui introduire un doigt dans la chatte, elle les rattrape, de façon à lui offrir le meilleur accès à icelle. Il en profite pour mettre un second doigt et se met à la pistonner en prenant soin à ce que son pouce garde contact avec le bouton turgide. Quand il se relève, le « oh ! » n’est plus de surprise, mais de déception :
Brindacier ne se le fait pas dire deux fois. Il abandonne la poitrine qu’il pétrissait religieusement pour venir sur elle qui s’empare de son mandrin pour le guider. Malgré son calibre bien au-dessus de la moyenne, il entre sans difficulté et se met à la pilonner. À chaque fois qu’il l’affouille, elle émet un petit râle.
Le sergent, lui, prend une serviette et s’essuie le visage. Laissant son compère œuvrer, il vient s’asseoir près d’Audrey :
Audrey n’est pas loin de partager cet avis. Le sergent est peut-être un paillard, il n’en est pas moins plutôt finaud. Il poursuit :
Sur ces paroles il se lève :
Lucien maugrée.
Il obtempère alors de bon gré. Patricia relâche à regret son étreinte. Le sergent prend la place, tandis que l’autre fait le tour. Dès qu’à portée, elle s’empare de la colonne de chair pour la gober, obligeant l’homme à s’agenouiller. De par sa position, tête renversée, elle ne peut guère bouger icelle. Elle ne travaille donc quasiment que de la langue. Elle y déploie beaucoup de talent. Audrey en l’observant se fait la réflexion qu’elle ne croyait pas que l’on puisse autant la sortir. Elle se surprend à tirer la sienne pour comparer. Apparemment elle n’a pas la même capacité.
Pierre, le sergent, après s’être activé dans l’accueillant fourreau, sent que ça va jaillir. Il se retire et change de place avec le soldat. Tandis qu’il présente sa queue à la bouche, l’autre réinvestit le con. Peu d’efforts sont nécessaires à Patricia pour que le foutre se répande dans sa gorge. Une partie est avalée, le restant se coulant sur son visage. Cela ne l’empêche nullement de poursuivre. Le sergent la laisse œuvrer un moment avant d’aller s’asseoir près d’Audrey. Icelle, un peu par provocation, demande :
Tous deux se taisent pour regarder. Le dialogue n’a point l’air d’avoir contrarié les protagonistes qui poursuivent. Audrey se demande même si Patricia a entendu. Lucien s’active encore un bon quart d’heure, au grand contentement de la comtesse, puis va décharger dans sa bouche. Le flux est abondant. Elle ne peut tout absorber. Le surplus l’empoisse du menton aux cheveux. Elle se retourne afin d’être plus à l’aise pour sucer encore. Pierre se lève et assène une claque vigoureuse sur le postérieur de Patricia, ce qui ne l’arrête nullement. Il récidive :
Patricia s’arrête à regret, elle sait que les causeries du sergent vont probablement viser à son humiliation. Sa conversation avec Audrey, qu’elle a parfaitement ouïe, en étant un avant-goût. Ayant trouvé en icelle une auditrice zélée et même une interlocutrice, il risque de se montrer particulièrement corrosif. Mais est-ce vraiment immérité ? Le sergent interrompt son introspection qui n’a pas été jusqu’à éteindre le feu qui la consume :
Patricia a vu, dans la tournure que prenait la conversation, l’occasion d’une petite revanche sur Audrey :
Tandis qu’elle raconte, Patricia jubile de voir la figure de son amie devenir rouge. Elle poursuit :
Le sergent se tourne vers Audrey :
C’est Patricia qui répond :
Le sergent ne fait aucun autre commentaire. Il se tourne vers Patricia :
Patricia ne s’attendait nullement à ce genre de demande. Au point où elle en est, cela ne change pas grand-chose. Elle s’installe confortablement sur son lit et porte la main à sa chatte et se caresse. Le sergent sort une bouteille et sert trois verres en précisant à l’attention de la comtesse :
Il pousse un soupir de satisfaction :
À peine plus d’une minute s’écoule qu’il fait la moue :
Il n’est pas loin de la vérité. Paradoxalement cela la gêne presque de se masturber devant eux. Pourtant vu les circonstances, cela n’a guère d’importance. Alors autant y aller franchement. Elle se concentre. Ses caresses deviennent plus précises, plus appuyées, plus rapides. Les effets ne tardent point. Elle est bien partie quand le sergent l’interrompt en lui prenant la main. La frustration se lit sur son visage :
Il fouille dans sa besace et en sort un sac de tissu, apparemment bien rempli et lui tend en disant :
Elle prend le paquet avec circonspection en disant :
Celui-ci pèse bien sa livre et contient plusieurs objets qui s’entrechoquent. Elle l’ouvre et en verse le contenu sur le lit. Cinq morceaux de bois en tombent. Trois d’environ un pied de long, mais ayant des diamètres différents et deux ayant une forme qui lui rappelle les ifs taillés en forme de cône dans le jardin du château de son père. L’un des trois bâtons indique clairement leur vocation. Il est taillé à la semblance du sexe masculin. Elle en reste coite. Il faut qu’elle dise quelque chose qui entre dans son personnage de femme insatiable – mais n’est-ce vraiment un personnage ? – Elle se reprend :
Elle regarde les quatre godemichés. Le premier a un diamètre d’un pouce et demi, le second, celui qui est sculpté, deux pouces, le troisième, trois, quant aux ifs ils se terminent par une boule de presque deux pouces de diamètre, surmontée d’un cylindre long et d’un diamètre d’un pouce et demi, pour finir la partie conique mesure un demi-pied de long, et l’une à une base d’un diamètre de deux pouces, l’autre de quatre pouces :
Elle suce l’objet, se rallonge, écarte les cuisses et se frotte avec le phallus factice en insistant sur son bouton. Elle fait durer plusieurs minutes, avant d’enfoncer le leurre d’un coup dans sa chatte en se mordant les lèvres pour ne pas crier. Elle l’actionne énergiquement. Après l’avoir laissée à la manœuvre quelques minutes, Belrive lui retire son jouet :
Elle ne se le fait pas dire deux fois. Elle prend la pose et tend les fesses. Le sergent l’embroche, tandis que Brindacier va lui faire goûter sa queue. Le sergent commente :
Le soldat, trouvant qu’elle bavarde trop, l’emmuselle en lui mettant son gourdin entre les lèvres. Incontinent elle se met à le téter avec zèle. Chacun apprécie la situation qui dure jusqu’à ce que Pierre sente des frémissements qui le font migrer vers l’autre côté de Patricia, le soldat faisant le chemin inverse et investissant l’intimité de la comtesse avec tant d’impétuosité qu’elle faillit donner un coup de dent au sergent, qui heureusement n’en fut quitte qu’à se faire racler la peau un peu rudement :
L’incident fait perdre de sa roideur au sergent. Patricia, navrée de l’incident, s’emploie avec résolution à lui redonner consistance. Elle y parvient aisément, mais malgré toute sa bonne volonté, met un peu de temps à l’amener à lui donner sa liqueur. Il la laisse encore un peu s’occuper de ses breloques, avant de retourner s’asseoir :
Point n’est besoin au sergent de le redire. Le soldat sonne la charge. En de puissants coups de reins, il saboule la comtesse qui a bien du mal à se contenir de trop manifester vocalement que cela ne lui déplaît aucunement.
Depuis que le sergent lui a brouté le minou, sa résolution de conserver son contrôle a volé en éclat. Elle a basculé dans un autre monde où morale, éducation, convenances sont passées aux oubliettes. Le plaisir charnel y est au centre. Même les réflexions et piques du sergent y participent. Icelui s’adresse à Audrey, mais suffisamment fort pour que tous entendent :
Audrey se piquant au jeu surenchérit :
Le silence retombe, seulement coupé de l’ahanement du soldat, des râles étouffés de Patricia et du « schplou, schplou » que fait la queue du premier dans le con de la seconde. La sarabande dure un grand quart d’heure avant que Brindacier ne se retire pour aller finir dans la bouche de la jeune femme. Icelle doit encore s’activer un bon moment avant que les vannes ne s’ouvrent et le flot se déverse. Par contre, point ne lui est besoin de pomper beaucoup pour qu’il retrouve toute sa roideur, car il n’a quasi pas débandé. Le sergent, sans se lever, ordonne:
Patricia obtempère à l’instant. Cette fois point de réticence, elle y va hardiment sans qu’il soit nécessaire de l’encourager plus avant. Le sergent constate :
Il ne fait point d’autre commentaire. Il s’empare du leurre, qui a trois pouces de diamètre, le caresse et le met dans les mains d’Audrey en lui murmurant à l’oreille:
Audrey regarde le gode, dubitative, mais son hésitation à participer à la débauche de Patricia est de courte durée. Elle surmonte sa gêne et sans plus de barguignage suce l’objet. Ce faisant, elle se dit que cela est inutile, tant l’endroit où elle va le loger est abondamment lubrifié. La suggestion du sergent doit être plus pour la jauger que pour autre chose. Aussi se limite-t-elle à quelques coups de langue, puis sous l’œil intéressé des deux militaires, elle se lève discrètement et s’approche en tapinois de la croupe ondulante. Icelle bouge trop pour qu’elle puisse ajuster l’objet.
Patricia ne s’aperçoit de rien. Il faut dire qu’elle a les yeux clos. Pour calmer la houle, Audrey pose une main ferme sur les reins. Le tangage se calme, ne subsiste qu’un léger frémissement. Audrey plante à lors six bons pouces de bois dans la chatte de la comtesse. Icelle ne peut retenir un cri. Après un premier mouvement de recul, la surprise passée, elle se cambre et tend le croupion sans même se retourner. Tandis que son amie lui pistonne le con, elle continue à s’astiquer consciencieusement le bouton. Quand Belrive lui relève la tête pour qu’elle le suce, cela l’oblige à abandonner à regret son clitoris. Il lui présente son vit qu’elle embouche sans plus de manière :
Oyant cela, Patricia tourne la tête, car elle n’avait point vu que c’était Audrey qui la godait. Elle en éprouve une certaine gêne, ce qui ne l’empêche aucunement de continuer à s’ouvrir au ramonage. Le sergent la prend par les cheveux pour la ramener à l’ouvrage. Il le fait durer quelques minutes, avant de demander à Audrey de lui céder la place. Il ne l’occupe point incontinent. Ensuite, il se contente de passer son pieu sur le derrière de Patricia. Icelle qui voudrait quelque chose de plus substantiel, tortille des fesses pour le faire pénétrer dans l’endroit idoine. Le sergent s’en égaye :
La réponse de Patricia tient à la fois de son désir de complaire au soldat, dont elle connaît le goût pour les propos égrillards et de son propre appétit de luxure.
Patricia ne peut poursuivre, Brindacier lui ayant occupé la bouche comme ci-devant. Le sergent poursuit donc en s’adressant à Audrey :
Le sergent ne répond, se concentrant sur son affaire. Il fait durer icelle encore de longues minutes, avant comme dans ballet déjà bien réglé de troquer de place avec son compère. Le soldat ne se précipite pas, ne voulant que se reproduise l’épisode des dents. Comme son supérieur, tout à l’heure, il commence par frotter son vit sur la fente de Patricia. Ce n’est que lorsque le sergent se retire après avoir déchargé et laissé la dame lui nettoyer la queue de la langue et des lèvres, que d’un puissant coup de reins il la pénètre. La comtesse en est projetée en avant. Le soldat ne l’eût pas solidement tenue par les hanches, elle eut chu. Elle se ressaisit promptement et lance ses fesses au-devant du pieu qui la fouaille avec autant d’énergie que Brindacier en avait mis à s’introduire.
La partie se prolonge avec la même intensité vingt bonnes minutes durant. Par trois fois Patricia prend son plaisir. Ce sont les seuls moments où pendant une trentaine de secondes elle connaît une baisse de rythme, mais ce n’est que pour mieux repartir ensuite.
Comme ceci devient une habitude, Lucien quand il sent que cela va venir, quitte le côté pile pour aller éclabousser le côté face.
Le sergent alors et donne une grande claque sur le postérieur toujours tendu de celle qu’il ignore être comtesse, en ordonnant :
Elle obéit promptement en ouvrant largement les cuisses.
Curieuse, elle s’avance.
Comme le sergent va pour lui suggérer qu’elle peut le toucher, elle le devance et y porte la main. Elle prend entre deux doigts. Patricia est secouée d’un frisson. Son amie insiste, tantôt le frottant, tantôt le pinçant, parfois même le tordant. À ce traitement répondent ondulations du bassin et gémissements. Fort concentrée, Audrey prête peu d’attention au reste, jusqu’à ce qu’elle sente quelque chose lui tapoter le coude. Elle regarde. Le sergent lui tend discrètement le plus gros des godemichés en forme d’if, celui avec un diamètre de quatre pouces.
Elle prend l’objet, tout en continuant à jouer avec le clitoris. Elle s’assure que Patricia ne regarde pas, ce qui est le cas, car elle a les yeux fermés. Sans cesser de stimuler le bouton, elle approche la pointe de la chatte avide. D’un geste précis, elle l’enfonce résolument. Son amie se retient de par trop bramer et écarte encore plus les cuisses. Audrey regarde fascinée le con se dilater de plus en plus jusqu’à l’absorption complète du demi-pied de cône. Les lèvres se referment sur le manche. La main qui tient la boule sent les poils la chatouiller. Elle fait faire quelques quarts de tour, puis tire sur le manche. Elle a l’impression que les lèvres s’écartent à regret pour laisser sortir l’occupant. Il lui semble que l’évacuation ne finira jamais. Elle n’en revient pas de ce qu’elle a fait entrer. Comme pour s’en assurer, elle renfonce presque d’un coup. Patricia a un sursaut, mais ne pipe, car justement elle est en train d’en faire une aux deux hommes qui lui présenté leur vit. Le badinage dure jusqu’à ce que le sergent ordonne à Patricia :
Audrey se voit contrainte d’arrêter et retirer le godemiché pourtant si bien accueilli, mais l’endroit ne va pas rester inoccupé longtemps. Le sergent vient prendre la place vacante, tandis que son complice continue de se faire sucer. Somme toute ils reprennent le canevas déjà éprouvé pense Audrey, quand le sergent ira juter sur la figure ou dans la bouche de Patricia, le soldat prendra sa place. C’est affectivement ce qui se passe.
Brindacier montre toujours la même vigueur. La comtesse, bien que brimbalée, apprécie toujours autant. Le sergent commente :
Belrive continue à gloser, seul, car la comtesse toute à son plaisir de se sentir labourée ne répond plus. Après que le soldat eut déchargé, le sergent donne une grande claque sur le postérieur toujours tendu. Il fait signe à Audrey de s’approcher en lui tendant le plus mince des leurres. Elle trouve qu’après ce que Patricia vient d’absorber, icelui fait piètre figure. Elle le plonge malgré tout dans le sexe affamé et touille quasi comme pour monter des œufs en neige. Après l’avoir laissée œuvrer quelques minutes, le sergent lui montre du doigt le trou placé quelques lignes au-dessus. Audrey ne comprend pas. Par geste le sergent se montre explicite sur ce qu’il a en tête. Elle balance peu et entreprend d’enfoncer dans l’endroit préconisé. Pour la première fois depuis le début, Patricia renâcle. Quand Audrey insiste, elle se dérobe. Tous comprennent qu’il se serait mal venu d’insister, cela risquerait de compromettre la continuation de la nuit avec cette grognasse lubrique.
Audrey replonge le bâton dans l’endroit qui l’accueille favorablement. Elle repense au bouton et ordonne à son amie de se mettre sur le dos. Icelle obtempère avec tant de célérité qu’Audrey n’a pas le temps de retirer le godemiché de son étui. Tandis que d’une main elle continue de le manipuler, de l’autre elle s’occupe du clitoris érigé. Le sergent tend après quelques minutes un godemiché d’un calibre un peu plus conséquent. Audrey s’en empare et au lieu d’un échange, sans hésiter, d’un geste rapide enfile le second lui faisant rejoindre son pair dans la chatte de Patricia qui ne manifeste aucune désapprobation tant s’en faut.
Il s’approche et s’en empare pour lutiner.
Audrey de renchérir :
Patricia, la bouche occupée, ne répond pas.
Le trio s’occupe ainsi de la comtesse pendant près d’une demi-heure, avant que le sergent ne glisse discrètement quelques mots au soldat et manifeste le désir de changer de jeu. Audrey retire les godemichés et lâche le clitoris à regret. Ce que voyant le sergent la rassure :
Pendant ce temps Brindacier s’allonge sur le lit. Point n’est besoin de donner explications à Patricia qui va s’embrocher sur le pieu dressé. Le soldat s’empare de ses tétons pour les malaxer.
Audrey lui tend ses doigts :
Sa compatriote suce chacun des doigts consciencieusement, avant de lécher les paumes et les dos avec la même application. Durant l’opération nettoyage, le soldat fait attention à ne point la secouer. Icelle achevée, il la pilonne de plus belle. Sur un signe de son supérieur, il ralentit et retient son ardeur au grand dam de Patricia qui se tortille. Le sergent lui applique deux claques sur le postérieur et le saisit par les hanches. Il entreprend de rejoindre le soldat dans la si hospitalière grotte d’amour, renouvelant la pratique de Mayphoult. Avec peut-être encore plus de facilité, icelle accueille ce second visiteur. Elle se distant pour lui faire place sans marquer d’opposition fâcheuse.
Patricia se doutait que les deux complices voudraient renouveler cette double invasion. Elle la redoutait, cela l’avait même un moment fait balancer, avant d’accepter le marché. Mais depuis qu’icelui avait commencé, que le sergent l’avait léchée, qu’elle avait basculé dans un univers de stupre, sa volonté de n’y point consentir s’était effritée. Quand empalée sur le pieu du soldat, elle pressent que le moment approche, loin de le craindre, elle l’espère maintenant.
De sentir sa chatte ainsi envahie lui coupe le souffle, mais lui procure moult délicieuses impressions. Il lui semble que le monde entre en elle. Quand les deux hommes sont fichés au plus profond de sa caverne dilatée, ils font une pause. Lorsqu’ils se remettent en mouvement, elle a l’impression que son sexe va se retourner comme un gant. Ils se mettent, ensuite à bouger, tantôt de concert, tantôt à contretemps. Elle n’est plus que sensations, comme si son environnement se limitait à cette pénétration.
Audrey contemple fascinée cette chevauchée fantastique. Elle se rend compte que son amie est partie dans une autre dimension. Plus rien ne l’intéresse hors être baisée. Elle encourage les soldats :
Audrey poursuit ses exhortations avec chaleur, incitant les deux militaires à ne pas ménager Patricia qu’elle qualifie entre autres de : femelle enragée ; éponge à foutre ; panturne ; ribaude ; salope ; baiseuse ; … son vocabulaire suscite l’admiration du sergent. Icelui commence à sentir qu’il approche du point de non-retour. Il se retire donc et va, comme à l’accoutumée, juter dans la gorge goulafre. Brindacier reste le dernier en piste. Encouragé par le sous-officier et Audrey, il poursuit, semblant ne jamais devoir s’arrêter. Il faut plus d’une demi-heure qu’il sente poindre l’éjaculation. Il se dégage et offre à la bouche Patricia sa verge. Elle ne rechigne pas plus que ci-devant. Tandis qu’elle s’applique à finir le travail, le sergent dit à Audrey :
Point n’est besoin de lui répéter. Sitôt que Patricia avale ce que le soldat à encore généreusement épanché, elle donne deux claques sur la croupe et ordonne :
La comtesse obtempère quoiqu’avec moins de célérité. La fatigue se fait sentir. Audrey s’empare du bouton qui pointe toujours. De nouveau elle le frictionne, le pince, le tord même. Patricia, les yeux fermés ondule. Audrey prend le plus gros des cônes et l’enfonce d’un coup. Patricia se cabre en gémissant. Tout en continuant à manipuler le clitoris érigé, elle alterne entrées, sorties et rotations du godemiché. Elle taquine la morue, comme elle dit, pendant un bon quart d’heure, jusqu’à ce qu’à regret à la demande du sergent elle doive cesser. Icelui secoue la comtesse, fort dolente et l’aide à se lever en lui disant :
Patricia a l’air de se réveiller. Elle s’empare de serviettes et se précipite vers les seaux pour y ablutionner. Avant d’aller vider l’eau sale, Audrey prépare leur maigre baluchon en y incluant les cadeaux du sergent. Fort courtoisement, icelui donne à la comtesse un morceau de savon en précisant :
Il devise un peu fort affablement, quant à une répartie de Patricia, le sergent de rire :
Il s’éloigne et va chercher les vêtements féminins qu’il a apportés. La comtesse se vêt. Quand Audrey revient de son expédition, elle va pour faire de même, mais le sergent l’intercepte :
Audrey se fige :
Audrey ne sait plus à quel saint se vouer. Elle se doute qu’après sa conduite, ses paroles durant les près de six heures qui viennent de s’écouler, ne vont pas ne vont pas inciter Patricia à intervenir. D’ailleurs elle trouve qu’icelle la regarde matoisement. Elle reste silencieuse. Le sergent reprend :
Comme elle reste toujours sans rien dire, c’est Patricia qui insiste :
Toujours sans piper mot, la jeune veuve commence à retirer son uniforme, lentement d’abord, puis à la hâte. Bientôt elle est nue et reste les bras ballants. La comtesse prend la direction des opérations, les deux soldats s’asseyant confortablement pour la suite des évènements :
Elle obéit mécaniquement.
Audrey obéit. Si au début elle le fait presque paresseusement, bientôt elle y met plus fougue. Patricia avait raison de dire que le feu qui couvait en elle avait besoin d’être éteint. Cette dernière, voyant la tournure favorable que prennent les évènements, décide de passer à des batifolages plus conséquents. Elle retire la main de son amie et s’occupe de son clitoris. Icelui n’est pas aussi développé que le sien, mais il n’en réagit pas moins aux sollicitations très favorablement. Après en avoir joué quelque temps, elle plante le plus petit des godemichés dans la chatte et le manie avec vigueur. Puis elle repense à ce qu’Audrey avait tenté. Elle le retire du con et le pointe sur la rondelle et pousse fermement. Audrey, qui n’a pas encore pris son plaisir, ne proteste pas. Au contraire, de ses deux mains elle écarte au maximum ses deux globes. L’opération n’a pas l’air douloureuse, contrairement à Patricia qui n’avait pu endurer. Aussi cette dernière insiste-t-elle. Bientôt la moitié de l’objet a disparu dans les entrailles, puis les deux tiers. Tout en continuant de le manœuvrer, elle prend le plus petit des cônes et l’enfonce dans la chatte. Audrey se cambre et gémit :
Ce disant, elle se dit qu’il n’y pas de raison qu’elle ne pousse pas plus loin. Après l’avoir moult agité, elle retire le gode du cul. Sitôt fait elle entreprend de le remplacer par celui qui occupait la chatte. Le diamètre en est plus conséquent, pourtant Audrey ne regimbe point. Malgré quelques « doucement » tout le cône disparaît dans le cul. Ne voulant point laisser l’autre trou inoccupé, elle entreprend d’y planter l’autre cône celui avec un diamètre de quatre pouces. Là encore, malgré quelques nouveaux « doucement », l’appareil est englouti sans embarras. Alors Patricia se fait un plaisir de mouvoir les deux cônes. Audrey la bouche ouverte geint doucement. Après l’avoir laissé œuvrer près d’une demi-heure, le sergent intervient :
Patricia opine :
Audrey se lève et va pour retirer ce qui occupe ses orifices, mais la comtesse, tout sourire l’en empêche :
Audrey renonce à discuter et préfère s’exécuter. De bouger, cul et con ainsi remplis, lui procure moult émois. Une fois elle aussi vêtue, tout le monde, guidé par le sergent qui a les clefs, se dirige vers une porte dérobée. Ils y arrivent sans encombre. Patricia remet au sergent les deux écus pour prix des vêtements.
Il lui donne une tape sur le postérieur, ce qui pour effet d’enfoncer un peu plus dans le cul ce qui l’occupe. La jeune femme en hoquette. Le trio sorti, Belrive referme la porte en songeant que ces petites glaisanes ont vraiment un tempérament de feu. Il espère vivement avoir bientôt une nouvelle occasion de croiser leur chemin.
Le soldat mène les deux jeunes femmes à bon rythme en expliquant qu’il est déjà tard et qu’il doit être rentré avant le jour et la relève. Les deux amies ont bien du mal à suivre, l’une pour l’abondant usage de sa chatte depuis la tombée de la nuit, l’autre à cause de ce qui l’emplit et l’emplit même copieusement et lui procure moult émois.
Ils finissent par arriver. Brindacier leur dit d’attendre et sans plus d’explications, les plante là. Les deux femmes voient les minutes passer avec inquiétude, bien que l’établissement n’ait pas l’air d’un bouge. La porte s’ouvre enfin et le soldat leur fait signe d’entrer. Elles pénètrent dans la salle commune où arrive un homme visiblement tiré de son lit. Le commandant de La Tiémont, l’amant d’Audrey. Il les regarde éberlué :
Le soldat dit à l’officier :
Le soldat salue l’officier, présente ses respects aux dames et rentre au pas de charge. Le sergent est un peu déçu que son subordonné ne soit pas resté pour voir comment se déroulaient les retrouvailles, surtout depuis qu’il a appris par Patricia qu’Audrey et le commandant se connaissaient intimement. Brindacier lui répond que lui aussi aurait bien voulu, mais le temps pressait, il lui fallait rentrer au plus vite.
_______________________________________________
Les épisodes précédents :
Origines : attaque et prisonniers
La vie reprend : il faut s’adapter
La vie reprend : la curiosité peut révéler des choses
La vie reprend : espoir de promotion
La vie reprend : ennemis jusqu’où ?
Espoir de promotion – Croisée des chemins – À la cour du Roi
La déception pousse vers des voies étroites
Du côté des prisonniers : Marion – Jacquotte
À la cour Charles : Anaïs, Claire, famille et surprises
Retour au pays et du nouveau à la cour tanibrinque
Diversion – Débarquement en Érinlande
Retour en Canfre : Mathieu Lescot et Jacqueline Lechamp
Retour en Canfre : les familles ennemies
Arrivée en Canfre : Jacquotte, les Galleway, de La Tiémont
Retour plus délicat de Madeleine Lepont
Retour de Catherine de Révilly et de ses compagnes