Ce texte est né d’une chanson, d’un grenier, d’un carnet oublié, et du besoin, un jour, de ne plus détourner les yeux.

Librement inspiré de la chanson « Deux Pieds » de Thomas Fersen. Juste une balade tranquille dans la tête d’un type qui prend son temps… peut-être un peu trop.

D’abord crainte, puis apprivoisée, cette présence discrète devient une alliée précieuse, offrant liberté et plénitude à ceux qui l’acceptent. À l’image de la chanson qui l’a inspiré, ce texte célèbre l’acceptation de soi et la paix intérieure.

Il revient sur les traces de son passé.

Société de consommation, quand tu nous tiens...

Alex est un romantique...

Empreinte de nostalgie, je vous propose un pan de mon enfance.

Depuis les Baléares jusqu’à la Galice, la guerre civile faisait rage depuis maintenant deux ans.

Sept femmes, à travers les âges, lèvent les yeux vers deux colombes. Elles y voient un trouble, un désir, une vérité, un combat. De la peur à la fierté, cette fresque explore les étapes de l’acceptation de soi pour celles qui aiment des femmes. Une lutte.

Les ailes de la Rolls effleuraient des pylônes quand, m’étant malgré moi égaré, nous arrivâmes ma Rolls et moi dans une zone dangereuse, un endroit isolé.

Le temps qui passe.

Il y a des voix qui ne chantent pas : elles témoignent.

Elle s’appelait Louise. Elles s’appellent toutes Louise. Celles qui nous brisent.

Un drame par deux géants de la chanson.

Parfois, il suffit d’un banc, d’un carnet et d’un peu de tisane pour que les racines apprennent à respirer autrement.

Deux chansons, deux histoires qui s’imbriquent. Certains diront que j’aurais pu choisir une autre fin… J’ai préféré respecter celle des chansons qui m’ont inspiré.

J’ai appris récemment qui est l’auteur-compositeur français le plus souvent samplé, et c’était un peu inattendu. Mais du coup ça mérite bien un modeste hommage, non?

Marcia danse avec des jambes Aiguisées comme des couperets Deux flèches qui donnent des idées Des sensations Marcia, elle est maigre Belle en scène, belle comme à la ville

Celle-là, je ne pouvais pas la laisser passer. Déjà, je l’aime beaucoup, pour son ambiance douce-amère, son univers feutré, mélancolique et un brin surréaliste. Et puis… L A, E dans l’A, T I, T I A

Une fuite après une scène de ménage. Une rencontre entre deux parfaits inconnus.

Dudule n’aime plus les murs.

Comme tous les soirs, il rentre chez lui, sauf que quelque chose ne va pas se passer tout à fait comme d’habitude.

Elle aimerait choisir ses jeux à sa guise mais la bienveillance des enfants, comme celle des adultes, s’envole parfois quand il s’agit d’accepter la différence.

Il y a des chansons qui font danser, d’autres qui font pleurer, et puis il y a celles qui grattent là où l’esprit ne sait pas qu’il démange.